psycho du travail digitalisé - 3.3 Les propriétés organisationnelles des TIC dans l’activité

Selon le texte, comment les salariés perçoivent-ils généralement leur investissement personnel dans l'activité médiatisée?

Pourquoi une organisation pourrait-elle être réticente à accorder une trop grande autonomie aux salariés, même dans les espaces de liberté médiatisés?

Quelle conséquence paradoxale peut entraîner une autonomie imposée ou excessive pour les salariés, selon Ughetto (2001)?

Comment le passage brutal d'un système technologique prescriptif à un système flexible peut-il affecter les salariés?

Dans le contexte des informaticiens du domaine bancaire des années 1980, pourquoi les services informatiques ont-ils opté pour des environnements de programmation facilement maîtrisables par des non-spécialistes, même si cela impliquait des limitations en termes de performances et de sécurité à long terme?

Parmi les orientations suivantes dans l'implémentation des technologies, laquelle met le plus l'accent sur le contrôle et la standardisation des pratiques des employés?

Quelle est la principale caractéristique des technologies prescriptives en termes de structuration de l'activité?

Comment les technologies prescriptives influencent-elles les compétences requises des employés?

Lequel des systèmes suivants est le plus susceptible d'être classé comme une technologie prescriptive?

Comment les technologies prescriptives cherchent-elles à influencer les pratiques professionnelles au sein d'une organisation?

Quelle critique Dejours adresse-t-il à l'égard de l'utilisation de l'informatique dans une logique prescriptive?

Les technologies prescriptives, en imposant une interface unique et un vocabulaire métier standard, peuvent entraîner quel type de conséquence inattendue au niveau de la communication interne?

Dans un contexte de travail fortement structuré par des technologies prescriptives, comment un employé pourrait-il exercer une forme de résistance créative face à la rigidité du système, tout en respectant les procédures établies?

Dans quel type d'environnement professionnel les technologies prescriptives sont-elles le plus appropriées ?

Quel modèle d'organisation est généralement associé aux technologies prescriptives ?

Parmi les exemples suivants, lequel illustre le mieux une technologie prescriptive ?

Quelle est la logique sous-jacente des TIC (technologies de l'information et de la communication) dans un contexte de technologies discrétionnaires ?

Dans un modèle d'activité déployé par des technologies discrétionnaires, quel est le principal objectif ?

Quelle est la compétence clé mise en œuvre dans un environnement utilisant des technologies prescriptives ?

Quel est le rôle principal de l'individu dans un environnement régi par des technologies prescriptives ?

Dans quel type d'organisation les technologies discrétionnaires sont-elles les plus susceptibles d'être utilisées ?

Une entreprise souhaite encourager l'innovation et l'échange de connaissances entre ses employés. Quel type de technologie devrait-elle privilégier ?

Une entreprise cherche à optimiser son modèle d'activité en intégrant des technologies qui permettent un aménagement concerté de l'activité, tout en conservant certains jalons à respecter. Parmi les options suivantes, quelle est la logique la plus difficile à concilier avec cet objectif?

Selon le texte, quel paradoxe est mis en évidence concernant l'utilisation des technologies prescriptives dans l'activité professionnelle ?

Comment les employés gèrent-ils les injonctions paradoxales créées par les technologies et les organisations selon Dujarier (2006)?

Quel rôle supplémentaire la technologie joue-t-elle, au-delà de simplement indiquer quoi faire et comment le faire ?

Comment le travail 'vit'-il en dépit des tentatives de le contrôler par des modèles préformatés ?

Pourquoi la codification informatique stricte des savoir-faire se heurte-t-elle à des difficultés ?

Quelle est l'ambition principale des technologies flexibles selon le texte ?

Comment les technologies flexibles envisagent-elles la gestion de l'activité ?

Quelle est la conséquence de la validation du bon déroulement de l'activité par la technologie pour l'entreprise ?

Comment peut-on décrire l'interaction entre les prescriptions organisationnelles/informatiques rigides et l'activité humaine réelle ?

Question extrêmement difficile: Si l'on considère que l'activité professionnelle est une équation complexe où les technologies prescriptives représentent des contraintes ($C$) et les technologies flexibles offrent des degrés de liberté ($L$), quelle expression mathématique décrirait le mieux l'état d'un salarié confronté à des injonctions paradoxales, cherchant un équilibre entre standardisation et personnalisation, sachant que son énergie psychique ($E$) est inversement proportionnelle à la rigidité des contraintes et directement proportionnelle aux degrés de liberté, et que le risque social ($R$) augmente avec la transgression des contraintes, mais diminue avec la capacité d'adaptation ?

Comment l'expertise du système peut-elle potentiellement affecter la créativité et l'innovation selon le texte?

Quel est l'objectif principal de l'environnement Edge de Microsoft, basé sur l'IA?

Comment le système Edge de Microsoft sélectionne-t-il les informations pour les utilisateurs?

Quel est l'impact attendu de l'environnement Edge sur les conduites et standards professionnels des utilisateurs?

Selon le texte, quel rôle les technologies peuvent-elles jouer par rapport à la technostructure?

Comment le statut de l'individu est-il susceptible d'être requalifié grâce aux technologies, selon le texte?

Sur quoi les technologies peuvent-elles influer en matière d'activité, d'après le texte?

Quels facteurs déterminent si certaines catégories de technologies sont plus adaptées que d'autres à des besoins professionnels spécifiques?

Considérant l'objectif d'optimisation du travail par l'IA, quel risque majeur émerge si l'on se fie excessivement aux recommandations du système au détriment de l'expérience individuelle et située?

Dans le contexte de l'utilisation de l'IA pour réguler les pratiques de travail, comment un employeur pourrait-il exploiter de manière abusive le système de l'environnement Edge de Microsoft, et quelles seraient les conséquences éthiques potentielles pour les employés?

L'usage de soi dans l'activité médiatisée est toujours pleinement reconnu et valorisé par les organisations.

Les salariés ont toujours l'impression que leur investissement personnel dans l'activité médiatisée est pleinement reconnu et valorisé par leur employeur.

Les systèmes prescriptifs offrent aux employés davantage de choix et de marge de manœuvre que les systèmes flexibles.

Une trop grande autonomie des salariés ne présente jamais de risque pour le fonctionnement structuré d'une organisation.

Dans les années 1980, les services informatiques ont opté pour des environnements de programmation complexes, réservés aux informaticiens hautement qualifiés.

Les projets d'implémentation des technologies dans les organisations présentent une vision unifiée de la place de l'individu au travail.

Les systèmes discrétionnaires imposent une organisation rigide de l'activité.

Les technologies prescriptives favorisent une grande autonomie et flexibilité dans l'exécution des tâches.

Les ERP et le workflow sont des exemples de technologies prescriptives.

L'usage des TIC prescriptives vise à diversifier les pratiques professionnelles au sein d'une organisation.

Selon Dejours, l'informatique a permis de déployer un système d'organisation contraire aux idéaux de Taylor.

Les TIC flexibles encastrées, telles que la messagerie et les forums, sont caractérisées par une organisation planifiée de l'activité, limitant les interactions spontanées.

L'implémentation des TIC prescriptives est en contradiction avec les principes du néotaylorisme, car elle encourage la diversification des compétences et l'autonomie des employés.

Les technologies prescriptives favorisent l'adaptation et les initiatives des salariés.

Selon Dujarier, les procédures opératoires rendent le travail totalement prévisible et contrôlable.

La technologie ne fait que donner un format à l'activité, sans lui accorder de légitimité.

L'activité humaine peut être totalement enfermée dans les modèles préformatés par les technologies.

Le travail se développe uniquement autour des prescriptions, sans marge d'autonomie.

La codification informatique stricte des savoir-faire est toujours adaptée aux situations imprévisibles du travail.

Les technologies flexibles visent à limiter le choix de l'individu dans ses modes d'action et de décision.

Les technologies flexibles restreignent le 'champ des possibles' dans la gestion de l'activité.

Les technologies, en validant le déroulement de l'activité, ne font qu'ajouter une couche de complexité sans apporter de reconnaissance à la valeur du travail.

Les injonctions paradoxales imposées à l'individu par les technologies sont facilement gérables et n'entraînent aucun risque psychologique ou social.

Les technologies prescriptives sont plus adaptées aux situations nécessitant de la souplesse et de la réactivité.

Un ERP (Enterprise Resource Planning) est un exemple de technologie prescriptive.

Les technologies discrétionnaires favorisent une organisation structurante.

Dans un modèle d'activité déployé avec des technologies prescriptives, l'individu a un rôle de producteur de connaissances.

La logique sous-jacente des TIC dans les technologies prescriptives est une logique d'adhésion.

Le Web 2.0 est un exemple de technologie prescriptive.

L'adoption des 'meilleures pratiques' suggérées par les systèmes d'expertise favorise toujours la créativité et l'innovation.

Les compétences réflexives et adaptatives sont davantage mises en œuvre avec les technologies prescriptives.

La technologie Edge de Microsoft vise à optimiser le travail des salariés en leur suggérant des ressources pertinentes.

Les technologies discrétionnaires sont préconisées dans les activités à hauts risques comme le contrôle de processus industriels.

Le système Edge de Microsoft supervise les logiciels de communication et de collaboration des collègues pour identifier les informations appropriées.

L'objectif principal du système Edge est de contraindre les utilisateurs à adopter des standards professionnels uniformes, sans considération pour leur contexte individuel.

Un progiciel d'aide à la publication comme PowerPoint est classifié comme une technologie prescriptive.

Les technologies peuvent potentiellement remplacer complètement la technostructure dans la régulation des pratiques au travail.

Dans une organisation utilisant des technologies discrétionnaires, l'objectif est de trouver la solution optimale parmi toutes les options possibles.

Les technologies permettent de transformer l'individu d'un simple exécutant à un acteur complètement indépendant de toute structure organisationnelle.

L'engagement subjectif dans l'activité est totalement indépendant de l'influence des technologies.

Tous les contextes de travail et profils d'utilisateurs sont idéalement servis par le même ensemble de technologies.

L'efficacité d'un système d'IA comme Edge est basée sur des algorithmes qui assurent une parfaite neutralité dans la sélection de l'information. Il n'y a aucun biais potentiel dans les recommandations proposées.

Dans un environnement de travail, l'harmonisation entre la logique disciplinaire imposée par les technologies et la logique d'adhésion volontaire des employés est un processus qui ne nécessite aucune concertation.