TD1 - Éthique appliquée et IA

Un dilemme est une situation où l'on est forcé de choisir entre deux options qui présentent toutes les deux des inconvénients majeurs.

L'éthique est une réflexion sur la bonne conduite, en tenant compte des contraintes des situations.

Un test conçu par Alan Turing pour évaluer la capacité d'une machine à imiter le comportement humain dans une conversation.

Un article publié en 1950 par Alan Turing qui établit un test pour mesurer l'intelligence artificielle.

L'idée de l'article de Turing, où une machine tente de se faire passer pour un humain en répondant à des questions.

Un programme informatique simulant une conversation humaine via des réponses standardisées.

Des mots déclencheurs qui permettent au programme de générer des réponses génériques dans une conversation simulée.

La capacité d'une machine à passer le Test de Turing, démontrant ainsi sa capacité à imiter le comportement humain.

Une forme primitive du Test de Turing qui met en évidence la capacité d'une machine à simuler une conversation humaine.

La capacité d'une machine à générer des réponses génériques imitant un dialogue naturel.

L'utilisation de l'IA dans la conception d'un système informatique engendre des discussions concernant la rigueur scientifique et la possibilité de biais dans les algorithmes.

La sécurité des données et la vie privée sont des aspects importants de l'IA, soulevant des questions sur l'anonymat, la traçabilité, l'exploitation et les risques de piratage.

Le développement de l'IA soulève des questions sur l'économie, l'investissement, la concurrence, l'accès aux ressources et la possibilité de pertes d'emplois.

L'impact environnemental de l'IA est un sujet important, avec des discussions sur le bilan carbone et la consommation d'énergie.

L'utilisation de l'IA soulève des questions sur la responsabilité civile et pénale, avec des discussions sur la possibilité de créer une zone de non-droit.

La création d'algorithmes d'IA doit suivre des règles strictes pour garantir le respect des droits fondamentaux et éviter les préjugés et la discrimination.

L'IA actuelle manque de sensorialité, de conscience, d'imagination et d'affectivité, ce qui soulève des questions sur sa capacité à comprendre et interagir avec le monde.

Le développement de l'IA, avec des technologies comme le deepfake et le deep learning, pose des questions sur la perte de contrôle humain, avec des systèmes potentiellement imprévisibles.

Un algorithme d'intelligence artificielle qui, en analysant l'activité cérébrale d'un individu, peut reconstituer des images qu'il a vues avec une précision remarquable.

Un domaine de l'intelligence artificielle qui se concentre sur l'utilisation de la technologie pour améliorer les performances humaines, par exemple dans le domaine de la médecine ou de la production.

L'emploi d'une intelligence artificielle pour assister les chirurgiens dans les interventions, permettant une plus grande précision et moins d'erreurs.

L'utilisation de l'IA pour suivre l'état de santé des patients à distance via des capteurs et des analyses automatiques de données.

L'IA peut être utilisée pour développer des prothèses intelligentes qui s'adaptent aux besoins de l'utilisateur, offrant une plus grande autonomie et fonctionnalité.

L'IA peut analyser de grandes bases de données pour créer des traitements sur mesure, en fonction des caractéristiques spécifiques de chaque patient.

L'utilisation de l'IA pour identifier les risques de maladie chez les individus et prendre des mesures préventives adaptées.

L'utilisation de l'IA pour aider les médecins à prendre des décisions plus éclairées, en analysant des données médicales et des publications scientifiques.

Des robots compagnons dotés d'une intelligence artificielle qui interagissent avec les personnes, notamment les personnes âgées ou fragiles.

L'IA peut prédire l'émergence d'épidémies en analysant les données et les patterns d'infection, permettant une réaction anticipée.

Le principisme est une théorie éthique qui définit quatre principes fondamentaux pour guider les actions morales. Ces principes sont l'autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice.

L'autonomie est le principe qui reconnaît le droit de chaque individu à prendre ses propres décisions, à agir en fonction de sa volonté et à être libre dans ses choix.

La bienfaisance est le principe qui oblige à agir dans l'intérêt du bien-être des autres. Il s'agit de faire ce qui est bon pour les autres.

La non-malfaisance est le principe qui interdit de faire du mal aux autres. Il s'agit d'éviter tout acte qui pourrait nuire à autrui.

La justice est le principe qui garantit l'équité et la juste distribution des biens et des services. Il s'agit de traiter les gens de manière équitable et impartiale.

La morale est un ensemble de valeurs et de règles qui guident le comportement des individus au sein d'une société. Elle vise à définir ce qui est bien et ce qui est mal, et à proposer des normes de conduite.

L'éthique est un code individuel destiné à permettre la survie de la société, tandis que la morale est un code de la société destiné à permettre la survie de l'individu.

Le Comité Consultatif National d’Éthique est une institution française créée en 1983 qui analyse les enjeux éthiques liés aux progrès scientifiques, notamment dans le domaine de la santé et de la société.

C'est un organisme qui réfléchit aux questions éthiques liées aux sciences et technologies numériques.

L'analyse éthique comprend l'examen des aspects juridiques et médiatiques de la situation.

Il s'agit de trouver des solutions et des recommandations pour gérer les dilemmes éthiques liés au numérique.

Avant de prendre une décision, il est essentiel de hiérarchiser les valeurs et les principes éthiques.

Avant de prendre une décision, il est important de comprendre les avantages et les risques liés à la situation.

L'éthique en lien avec le numérique soulève des questions importantes pour la société.

Le dilemme éthique consiste à identifier la meilleure action à prendre dans une situation complexe.