anatomie-physiologie-associer

Processus de régulation qui maintient l'environnement interne du corps dans un état stable.

Mécanisme qui régule la température corporelle.

Mécanisme de régulation où la réponse à une variation limite la variation initiale.

Régulation de la concentration de sucre (glucose) dans le sang.

Force du sang contre les parois des vaisseaux sanguins.

Substance lipidique essentielle à la vie, synthétisée par le foie et présente dans l'alimentation.

Aliments, eau, oxygène et une température corporelle stable.

Doit se maintenir entre 36.1 et 37.8°C pour les réactions physiologiques

Une concentration de sel (NaCl) supérieure à la normale dans le corps, pouvant atteindre 30%.

La soif est causée par la déshydratation cellulaire, c'est-à-dire lorsque le volume d'eau dans la cellule est inférieur à 40% de la masse corporelle, et par un déséquilibre d'isotonicité.

Une boisson ayant une concentration en sels minéraux similaire à celle du corps, permettant de rétablir l'isotonicité.

L'organisme possède trois compartiments principaux : intracellulaire, interstitiel et plasma (extracellulaire).

Le système lymphatique surveille l'organisme et rapporte le surplus de fluide aux capillaires sanguins afin de prévenir les œdèmes. Il défend également l'organisme contre les agents pathogènes.

Les deux systèmes travaillent ensemble pour maintenir l'équilibre hydrique en empêchant la formation d'œdèmes.

Les vaisseaux lymphatiques rejoignent la circulation sanguine à la base du cou, à l'intersection de trois veines.

La transpiration abondante et la consommation de sel sont les deux causes principales de la soif.

La lymphe se mélange au sang au niveau de la veine subclavière. Cette veine recueille la lymphe provenant des vaisseaux lymphatiques, qui drainent les organes lymphoïdes et le liquide interstitiel.

La lymphe est un liquide biologique composé de:

• Eau
• Protéines
• Lipides
• Électrolytes
• Globules blancs (principalement les lymphocytes)

Les organes lymphoïdes (thymus, moelle osseuse rouge, nœuds lymphatiques, tonsilles, rate, plaques de Peyer) produisent et stockent les lymphocytes, qui sont des cellules immunitaires responsables de la défense de l'organisme.

Le transport passif est un type de transport membranaire qui ne nécessite pas d'énergie cellulaire (ATP). Les substances se déplacent selon le gradient de concentration ou de pression.

Les échanges gazeux entre le sang et les poumons sont un exemple de diffusion. L'oxygène passe du poumon au sang, et le dioxyde de carbone du sang au poumon, en suivant le gradient de concentration.

Les molécules trop grosses ou peu solubles dans les graisses utilisent des protéines de transport pour traverser la membrane cellulaire. Ces protéines facilitent le passage des molécules selon le gradient de concentration.

L'absorption de l'eau par les racines des plantes est un exemple d'osmose. L'eau se déplace de la zone de haute concentration en eau vers la zone de faible concentration, à travers une membrane semi-perméable.

La filtration est le passage d'un liquide et de petites molécules à travers une membrane semi-perméable, du lieu de forte pression vers le lieu de faible pression.

Plus il y a de gaz carbonique dans le sang, plus le pH diminue.

L'alcalose respiratoire est causée par une élimination excessive de gaz carbonique, généralement due à une hyperventilation.

Un excès de CO2 dans le sang entraîne une diminution du pH, car il forme de l'acide carbonique.

Ce système tampon aide à maintenir le pH du sang stable en utilisant la réaction réversible entre le CO2, l'eau, l'acide carbonique, les ions hydrogène et les ions bicarbonate.

Les reins peuvent compenser les déséquilibres acido-basiques en ajustant la quantité d'ions bicarbonate dans le sang.

Une acidose respiratoire est caractérisée par une diminution du pH du sang, une augmentation de la PCO2 et une augmentation du HCO3-. Elle est généralement causée par une diminution de la ventilation pulmonaire.

Pour qu'un organisme fonctionne correctement, le pH du sang doit rester dans une fourchette étroite.

Les poumons et les reins travaillent ensemble pour réguler l'équilibre acido-basique du corps.

La capacité du système immunitaire à reconnaître et à combattre efficacement les agents pathogènes rencontrés précédemment, ce qui permet une réponse immunitaire plus rapide et plus forte lors d'une nouvelle exposition.

Deux types de cellules immunitaires qui jouent un rôle essentiel dans la défense contre les infections. Les lymphocytes B produisent des anticorps, tandis que les lymphocytes T détruisent les cellules infectées.

Une maladie caractérisée par une attaque du système immunitaire contre ses propres tissus sains, comme si le corps se confondait lui-même avec un ennemi.

Une réponse immunitaire excessive et inappropriée à une substance non dangereuse, comme le pollen ou les poils d'animaux, provoquant des réactions indésirables.

Un auto-antigène est une molécule présente à la surface des cellules du corps, qui est normalement reconnue comme « soi » par le système immunitaire. Mais dans une maladie auto-immune, le système immunitaire la confond avec un antigène étranger, et attaque les cellules qui l’expriment.

Première ligne de défense de l'organisme, elle n'est pas spécifique à un antigène particulier et est présente dès la naissance. Elle fonctionne par des processus naturels qui empêchent l'entrée et la prolifération des agents infectieux.

Première ligne de défense de l'immunité non spécifique, elle est composée de la peau et des muqueuses qui empêchent l'entrée des agents infectieux dans l'organisme.

Processus par lequel des cellules spécialisées, les phagocytes, engloutissent et détruisent les agents infectieux ou les débris cellulaires.

Réponse immunitaire non spécifique qui se produit suite à une blessure ou une infection. Elle implique la dilatation des vaisseaux sanguins, l'arrivée de cellules immunitaires et la libération de substances inflammatoires.

La peau, les muqueuses, les cils, les poils des cavités nasales, le mucus, le suc gastrique, l'acidité de la peau, l'acidité de la muqueuse vaginale, l'urine, les larmes et la salive

Enzyme présente dans les larmes et la salive qui détruit les membranes cellulaires des bactéries.

Si la première ligne de défense (barrière cutanéomuqueuse) est percée, la deuxième ligne de défense intervient pour amener à la guérison. Elle implique des cellules immunitaires, telles que les phagocytes, les cellules NK (Natural Killer), et des protéines inflammatoires.

Amener à la guérison lorsque la 1ère ligne de défense a été percée, en activant les mécanismes de réparation des tissus et en éliminant les agents infectieux.