Quiz sur les notes d'étude générales

Phénomène où l'on cesse d'avoir peur d'un stimulus après plusieurs expositions sans conséquence négative.

Processus de renforcement d'un souvenir pour le maintenir en mémoire. Il est essentiel pour le maintien de la mémoire.

Apprentissage associatif où un stimulus neutre devient associé à une réponse émotionnelle suite à une expérience.

Structure cérébrale impliquée dans la gestion des émotions, particulièrement de la peur et la survie.

Approche thérapeutique qui vise à modifier les comportements inadaptés par l'apprentissage.

Ce sont des neurones qui utilisent la dopamine comme neurotransmetteur et jouent un rôle clé dans l'apprentissage et la récompense.

Une zone du cerveau où les neurones dopaminergiques sont localisés et enregistrés pour étudier leur activité.

Au début de l'apprentissage, les neurones dopaminergiques s'activent après l'obtention d'une récompense pour renforcer le comportement.

Une fois l'apprentissage acquis, les neurones dopaminergiques ne s'activent plus à la récompense, mais au signal prédictif de la récompense.

Un signal qui annonce une récompense imminente, et qui active les neurones dopaminergiques lorsque celui-ci est prédictible.

Renforcement de comportements favorables à la survie par les neurones dopaminergiques.

Une suite de signaux prédictifs qui déplace l'activation dopaminergique de celui qui arrive en fin de chaîne.

L'absence quasi-totale d'activité des neurones dopaminergiques en absence de récompense ou de signal prédictif.

Actions motrices qui se produisent sans effort conscient ou stimulation externe. Elles peuvent être rythmiques, comme la respiration, ou non rythmiques, comme certains mouvements oculaires.

Respiration, éternuements, hoquet, bâillement, mastication, déglutition, vomissements, expressions faciales émotionnelles, mouvements oculaires involontaires.

Certaines activités automatiques nécessitent un apprentissage ou la maturation du système nerveux, comme la posture debout et la marche.

Les activités volontaires sont des actions conscientes et intentionnelles, tandis que les activités automatiques se produisent sans effort conscient.

La locomotion peut être déclenchée ou arrêtée volontairement, mais entre ces deux moments, la marche est automatique.

Mouvements intentionnels qui résultent d'un choix délibéré. Ils sont auto-organisés, c'est-à-dire qu'ils ne nécessitent pas de stimulation externe.

Les activités volontaires sont issues d'activités cérébrales cognitives, impliquant une intention, une idée abstraite et la définition d'objectifs comportementaux.

Difficulté à traduire des intentions en actions, malgré l'absence de problème moteur sous-jacent.

Désir conscient de réaliser une action, un objectif.

Forces internes qui propulsent l'action, rendant l'intention réelle.

L'information provenant des sens, qui contribue à la planification et l'exécution de l'action.

Actions contrôlées consciemment, intentionnelles et flexibles.

Actions lancées par une décision interne, sans besoin de stimuli externes.

Structures cérébrales impliquées dans la planification et l'initiation du mouvement.

Structure cérébrale impliquée dans la coordination et la précision des mouvements.

Processus par lequel les mouvements volontaires deviennent plus précis et automatiques.

Le processus mental qui prépare le corps à effectuer une action. Il implique l'identification du stimulus, la sélection d'une réponse et la programmation du mouvement.

La première étape du traitement de l'information, où les stimuli sont perçus et traités par le cortex pariétal.

Les étapes du traitement de l'information qui impliquent la prise de décision et le traitement cognitif, principalement gérées par le cortex préfrontal.

La dernière étape du traitement de l'information, où les commandes motrices sont envoyées aux muscles pour exécuter le mouvement, principalement contrôlées par le cortex frontal.

Le cerveau ne traite pas les informations de manière purement séquentielle. Des études montrent que les régions du cerveau responsables de la perception et du mouvement interagissent de manière complexe.

Les régions du cerveau ne travaillent pas en silos, mais forment des réseaux interconnectés pour un traitement efficace de l'information.

De nombreux neurones sont impliqués dans la prise de décision, allant au-delà de la simple perception et de l'activation des muscles.

Les processus perceptifs et moteurs ne sont pas indépendants, mais interagissent en permanence.

Groupes de motoneurones situés dans le tronc cérébral qui contrôlent les mouvements des muscles de la tête et du visage.

Nerfs qui transmettent les commandes du tronc cérébral aux muscles de la tête et du visage.

Disposition méthodique des motoneurones de la moelle épinière qui reflète la distribution des muscles qu'ils innervent.

Ensemble des muscles contrôlés par les motoneurones d'un même noyau moteur dans la moelle épinière.

Zone de la moelle épinière contenant les corps cellulaires des neurones.

Partie de la substance grise de la moelle épinière impliquée dans le traitement des informations sensorielles.

Partie de la substance grise de la moelle épinière impliquée dans le contrôle moteur.