Sociétés et Environnement : Équilibres Fragiles

La vulnérabilité d'une société face aux risques dépend de son exposition aux risques et de sa capacité à y faire face.

Certains territoires sont plus exposés que d'autres à des risques naturels (séismes, tsunamis, cyclones) ou technologiques (accidents industriels, pollution).

La pauvreté et les inégalités sociales augmentent la vulnérabilité d'une société face aux risques.

La qualité des infrastructures (bâtiments, systèmes d'alerte) influence la capacité d'une société à se protéger des risques.

La volonté et la capacité des dirigeants à mettre en place des projets d'aménagement efficaces contribuent à la réduction des risques.

Le niveau de développement d'une société est un facteur clé de sa vulnérabilité aux risques. Les pays en développement sont plus vulnérables aux conséquences humaines des catastrophes, tandis que les pays développés subissent davantage de dégâts matériels.

Ensemble des actions visant à empêcher une catastrophe ou à en minimiser les effets.

Éléments construits pour limiter les risques de catastrophes, comme les digues contre les inondations.

Règles qui définissent les standards de construction pour mieux résister aux catastrophes.

Documents qui identifient les zones à risques et régulent la construction pour limiter les dommages.

Utilisation de technologies pour détecter et suivre les catastrophes (sismographes, satellites).

Sensibilisation des populations aux dangers et aux actions à entreprendre en cas de catastrophe.

Outils de formation pour apprendre à réagir face à des situations d'urgence (tremblement de terre, etc.).

Le souvenir des catastrophes passées pour apprendre des erreurs et éviter de les répéter.

Ensemble de mesures prises pour réduire les conséquences négatives d'une catastrophe naturelle.

Capacité d'un système à s'adapter et à se remettre d'une catastrophe.

Sensibilité d'une communauté aux effets négatifs d'une catastrophe.

Modifications à long terme du climat terrestre, attribuées principalement aux activités humaines.

Gaz présents dans l'atmosphère qui absorbent le rayonnement infrarouge du soleil, contribuant au réchauffement climatique.

Événements naturels de grande ampleur ayant des conséquences négatives sur l'homme et l'environnement.

Augmentation de la fréquence, de l'intensité et de l'impact des catastrophes naturelles.

Cyclones les plus violents avec des vents de 210 à 250 km/h.

Événements météorologiques extrêmes comme les cyclones, les inondations et les sécheresses, qui sont de plus en plus fréquents et intenses en raison du changement climatique.

Un accord international signé en 2015 visant à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius d'ici 2100 par rapport aux niveaux préindustriels.

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, un organisme scientifique qui étudie les causes et les conséquences du changement climatique.

Les gaz qui piègent la chaleur dans l'atmosphère, comme le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O), qui contribuent au réchauffement climatique.

Un groupe de 20 pays les plus vulnérables au changement climatique, qui réclament davantage d'aide financière des pays développés pour s'adapter aux risques.

Conférence des Parties, une conférence annuelle des États de la planète pour fixer les objectifs climatiques mondiaux.

Un fonds créé pour aider les pays pauvres à faire face aux pertes et dommages causés par le changement climatique, comme les inondations, les sécheresses et les cyclones.

Le passage à un nouveau modèle économique et social de développement durable qui prend en compte les enjeux environnementaux, comme le changement climatique et la raréfaction des ressources.