Rythmes biologiques et reproduction animale

False (B)

23h30 à 24h30

<p>rétinohypothalamique</p> Signup and view all the answers

<p>Âge = Peut affecter le rythme circadien en fonction des phases de la vie Cycle menstruel = Influence les variations hormonales et les rythmes associés Environnement = Inclut la lumière et la température, impactant les rythmes Travail de nuit = Perturbe le rythme biologique naturel en inversant le cycle veille-sommeil</p> Signup and view all the answers

<p>Augmentation des disponibilités alimentaires (C)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Modulateur de la sécrétion de GnRH</p> Signup and view all the answers

<p>rétiniennes</p> Signup and view all the answers

<p>Animaux de jours courts = Automne Animaux de jours longs = Printemps</p> Signup and view all the answers

<p>La durée du jour (A)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle modifie la sécrétion de GnRH.</p> Signup and view all the answers

<p>pinéale</p> Signup and view all the answers

<p>20 heures (D)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle est essentielle pour la régulation de LH et FSH.</p> Signup and view all the answers

<p>cardiovasculaire</p> Signup and view all the answers

<p>aminergiques = Réseaux neuronaux dans le tronc cérébral GABAergiques = Régulation hormonale dopaminergiques = Motricité serotoninergiques = Humeur</p> Signup and view all the answers

<p>Cortisol et prolactine (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Les réseaux neuronaux aminergiques et GABAergiques dans le tronc cérébral.</p> Signup and view all the answers

<p>Gérer le rythme circadien (D)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Jeffrey Hall, Michael Rosbash et Michael Young</p> Signup and view all the answers

<p>melanogaster</p> Signup and view all the answers

<p>period = PER timeless = TIM</p> Signup and view all the answers

<p>timeless (A)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Le corps continue à avoir un rythme régulier d'environ 24 heures.</p> Signup and view all the answers

<p>sommeil</p> Signup and view all the answers

Une structure endogène capable de mesurer le temps et de réguler les rythmes biologiques.

Des structures situées à la base de l'hypothalamus, composées de 10 000 neurones, qui fonctionnent comme l'horloge principale du corps.

Le processus de synchronisation des rythmes biologiques avec des signaux externes, comme la lumière et l'obscurité.

L'influence de la lumière sur les rythmes circadiens, qui est transmise au NSC par le trajet rétinohypothalamique.

La capacité des NSC, même isolés, à maintenir un rythme interne d'environ 24 heures.

Les rythmes ultradiens sont des rythmes biologiques qui se répètent plus d'une fois par jour. Ils sont indépendants de l'environnement et ont des périodes généralement brèves, inférieures à 20 heures.

Les rythmes ultradiens de hautes fréquences ont des périodes très courtes, allant de la fraction de seconde à quelques dizaines de secondes. Ils sont observés dans les activités cérébrales (électroencéphalogramme), cardiaques et respiratoires.

Les rythmes ultradiens de basses fréquences sont plus lents que ceux de hautes fréquences. Ils se retrouvent dans de nombreuses fonctions physiologiques, comme la circulation sanguine, l'excrétion, le métabolisme, la température corporelle, le sommeil et la sécrétion hormonale.

La sécrétion pulsatile est un type de libération hormonale qui se fait par vagues ou pulses, avec des intervalles réguliers. Elle est caractéristique de nombreuses hormones, en particulier les neurohormones.

Les rythmes pulsatiles hormonaux sont des cycles de libération hormonale qui se répètent environ toutes les heures. Cette pulsatilité est essentielle pour l'efficacité des hormones car elle optimise la sensibilité des récepteurs hormonaux.

Les mécanismes responsables des rythmes pulsatiles hormonaux ne sont pas encore entièrement connus, mais on sait que les réseaux neuronaux du tronc cérébral jouent un rôle important. Ces réseaux sont constitués de neurones aminergiques et GABAergiques qui contrôlent la libération des hormones.

Les rythmes ultradiens, en particulier la sécrétion pulsatile, sont essentiels pour le bon fonctionnement du système hormonal. Des études ont démontré que la suppression de la production pulsatile de GnRH peut perturber l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique.

Un gène découvert chez la drosophile qui est responsable du rythme circadien.

Le processus par lequel la protéine PER produite par le gène "period" bloque l'activité de ce même gène.

Une protéine codée par le gène "timeless" qui est essentielle au bon fonctionnement du rythme circadien.

Le processus par lequel les pacemakers circadiens sont influencés par des facteurs externes.

Des facteurs externes qui influencent les pacemakers circadiens, comme la lumière, la température et l'activité.

L'étude des mécanismes moléculaires qui régulent le rythme circadien.

Un état physiologique caractérisé par un rythme régulier d'environ 24 heures.

Des expériences menées en l'absence de signaux externes pour déterminer le rythme biologique interne.

Le contrôle endogène du rythme circadien par les gènes et leur interaction avec l'environnement.

Les animaux de jours courts se reproduisent à l'automne, lorsque la durée du jour diminue.

Les animaux de jours longs se reproduisent au printemps, lorsque la durée du jour augmente.

La glande pinéale est une petite glande située au centre du cerveau, qui joue un rôle dans la régulation des rythmes circadiens et la production de mélatonine.

La mélatonine est une hormone produite par la glande pinéale, dont la sécrétion est influencée par la durée d'éclairement (photopériode).

La mélatonine influence l'axe gonadotrope, c'est-à-dire les hormones responsables de la reproduction, en agissant sur les neurones à GnRH. Elle peut activer ou inhiber la production de GnRH selon la durée d'éclairement.

L'information photopériodique est perçue par la rétine, puis transmise par des voies nerveuses complexes jusqu'à la glande pinéale.

Les cellules ganglionnaires rétiniennes captent la lumière et transmettent l'information aux NSC, puis à la glande pinéale.

Le contrôle photopériodique des rythmes saisonniers de reproduction implique des processus tels que la perception de la lumière, la production de mélatonine et l'influence sur l'axe gonadotrope.

La sécrétion de mélatonine varie selon la saison, permettant aux animaux de s'adapter aux variations de la durée d'éclairement.