Neurologie et AVC Ischémique

Zone entourant la zone de nécrose qui contient des neurones qui ont survécu mais sont en danger de mort.

Perte soudaine de la fonction cérébrale due à une obstruction d'une artère cérébrale.

Caillot sanguin qui se forme dans une artère cérébrale et bloque la circulation sanguine.

Caillot sanguin qui se forme ailleurs dans le corps et migre vers le cerveau pour bloquer une artère cérébrale.

Petit AVC ischémique qui affecte une petite artère cérébrale.

Phénomène où une lésion dans une partie du cerveau affecte le fonctionnement d'autres régions cérébrales à distance.

Perte de fonction cérébrale due à une hémorragie dans le cerveau.

Dilatation anormale d'un vaisseau sanguin dans le cerveau, qui peut se rompre et provoquer une hémorragie.

Saignement dans le parenchyme cérébral, souvent causé par l'hypertension chez les personnes âgées et les malformations vasculaires chez les jeunes.

Petits anévrismes qui se forment dans les artères du cerveau, souvent à cause de l'hypertension.

Accumulation de sang dans le cerveau suite à une hémorragie cérébrale.

Symptômes incluant faiblesse musculaire d'un côté du corps, négligence d'un côté de l'espace, troubles du langage, et difficultés à réaliser des mouvements.

Accumulation de sang dans l'espace méningé sous-arachnoïdien, généralement causée par la rupture d'un anévrisme.

Anévrisme situé sur l'artère communicante antérieure.

Douleurs de tête soudaines et intenses, vomissements, et possible perte de connaissance.

Raideur de la nuque, douleurs de tête et vomissements.

Une maladie neurodégénérative caractérisée par une déficience progressive de la mémoire, du langage, de la pensée et du comportement.

Le diagnostic de la maladie d'Alzheimer repose principalement sur une évaluation neuropsychologique, bien que reste toujours probabiliste en raison de l'absence de signes neurologiques spécifiques dans les stades précoces.

Des troubles cognitifs et comportementaux précoces caractérisent la maladie de Pick, une démence fronto-temporale.

Une perte progressive du stock sémantique avec des déficits de langage et une agnosie visuelle sémantique caractérisent la démence sémantique.

La deuxième cause de démence chez les personnes âgées après la maladie d'Alzheimer.

Cette maladie neurodégénérative se manifeste généralement entre 55 et 65 ans, bien qu'elle puisse également apparaître avant 40 ans ou après 80 ans dans certains cas.

Les causes de la maladie de Parkinson restent mal comprises, mais impliquent une atteinte des neurones dopaminergiques dans le locus niger.

La démence, qui se manifeste tardivement dans la maladie de Parkinson, se caractérise généralement par des troubles cognitifs frontaux tels que des problèmes de mémoire et d'attention.

Les glioblastomes sont des tumeurs cérébrales très agressives et souvent mortelles. Elles peuvent parfois résulter de la transformation maligne d'un astrocytome.

Les oligodendrogliomes sont des tumeurs cérébrales redoutables qui conduisent généralement au décès du patient.

La méningite est une inflammation des méninges, les membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière.

L'encéphalite est une infection du cerveau, pouvant être associée à une méningite.

L'encéphalite herpétique est une forme d'encéphalite causée par le virus de l'herpès simplex. Elle se caractérise par une destruction des lobes temporaux du cerveau et peut entraîner des problèmes de mémoire et de langage.

L'encéphalite à prion, ou maladie de Creutzfeldt-Jakob, est une maladie dégénérative du cerveau causée par une protéine infectieuse appelée prion.

Le VIH, virus responsable du SIDA, peut attaquer le cerveau et causer des dommages.

Des crises d'épilepsie qui débutent dans une région spécifique du cerveau et affectent les fonctions liées à cette zone.

Les crises qui touchent le cortex préfrontal peuvent provoquer un état de confusion soudain et durable.

Les crises qui affectent le cortex pariétal peuvent provoquer des sensations corporelles anormales et des hallucinations visuelles.

Les crises qui affectent le cortex occipital peuvent provoquer des hallucinations visuelles simples ou complexes.

Les crises qui affectent le cortex temporal peuvent provoquer un sentiment de déjà-vu, des troubles du langage et des hallucinations olfactives.

Une tumeur cérébrale est une masse anormale qui exerce une pression sur les structures cérébrales environnantes, pouvant provoquer une hypertension intracrânienne.

Les méningiomes sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des méninges, les membranes qui entourent le cerveau.

Les gliomes sont un type de tumeur cérébrale qui se développe à partir des cellules gliales, qui soutiennent les neurones.

Les manifestations neuropsychologiques de la maladie d'Alzheimer comprennent souvent des troubles de l'humeur, comme une indifférence aux symptômes (anosodiaphorie), ainsi qu'un déficit intellectuel de type frontal chez les patients présentant des séquelles avancées de la maladie.

Le cortex cérébral génère normalement des activités électriques, régulées par les afférences sous-corticales via les noyaux du thalamus. Lors d'une crise d'épilepsie, une activité électrique anormale émerge d'un groupe de neurones.

Les crises épileptiques peuvent être généralisées, impliquant tout le cortex ; ou partielles, impliquant un groupe restreint de neurones et pouvant éventuellement se généraliser.

L'électroencéphalogramme (EEG) enregistre ces activités, les crises épileptiques se manifestant généralement par des séquences rythmiques de pointes ou de pointes-ondes sur l'EEG.

La prévalence de l'épilepsie en Belgique est estimée à 60 à 70 000 personnes, soit environ une sur 150 à 200.

Les crises peuvent être déclenchées par différents facteurs tels que les traumatismes, les toxiques, les perturbations des cycles veille-sommeil, les lésions cérébrales, les facteurs génétiques ou les malformations cérébrales.

Les crises épileptiques peuvent être généralisées ou partielles, avec des manifestations variées en fonction de leur origine.

Les crises généralisées Grand-Mal impliquent une perte de conscience brutale, des phases toniques et des secousses myocloniques. À cette séquence, qui dure plusieurs minutes, succède un coma plus ou moins prolongé avec respiration bruyante.