L'unité italienne et l'intervention française

La défaite de la Russie contre la France et la Grande-Bretagne a conduit au Congrès de Paris en 1856, qui a établi la paix entre la Russie et l'Empire ottoman.

La France a accepté de céder des territoires (la Savoie et Nice) à la France et de fournir un soutien militaire au Piémont en échange de son soutien à l'unification de l'Italie.

Le Comte Camillo Benso di Cavour, Premier ministre du Piémont, a envoyé 15 000 soldats pour combattre aux côtés des forces françaises pendant la guerre de Crimée afin de gagner l'appui de la France pour l'unification italienne.

La tentative d'assassinat d'Orsini contre Napoléon III à Paris en 1858 a conduit à une rencontre entre Cavour et Napoléon III à Plombières, où ils ont planifié une intervention franco-italienne en Italie.

L'intervention franco-italienne en Italie s'est déroulée pendant la campagne italienne de 1859. Les forces françaises ont rejoint les troupes italiennes après les batailles de Magenta et de Solférino.

La France déclare la guerre à la Prusse le 19 juillet 1870.

La fin de la guerre franco-prussienne, signée le 26 janvier 1871. Cette date également marque la fin du Second Empire français.

La France perd les régions d'Alsace et de Lorraine au profit de la Prusse suite au Traité de Francfort. Cette perte sera un facteur important de la rivalité entre la France et l'Allemagne.

La capitulation de Sedan marque la fin du Second Empire français et la victoire prussienne. Cela conduit également à la proclamation de la Troisième République française.

Suite au Traité de Francfort, la France est obligée de payer une indemnité de guerre importante à l'Allemagne. Ce paiement contribue à la montée en puissance économique et militaire de l'Allemagne.

Le principe de l'autodétermination, qui permet à chaque peuple (groupe) de se gouverner lui-même. Il est impossible de maintenir de force un peuple dans une nation où il ne se sent pas à sa place.

Identité partagée par les personnes d'une nation, mais distincte d'une entité souveraine.

L'empereur français Napoléon III. Il était un partisan de l'unification nationale et de la création d'États-nations.

Une approche des relations internationales qui utilise la négociation et le dialogue pour résoudre les conflits et maintenir la paix.

La guerre de Crimée (1853-1856) fut un conflit entre la Russie et une alliance d'États européens, dont la France, la Grande-Bretagne et l'Empire ottoman. Elle est considérée comme une démonstration du soutien de Napoléon III au principe de nationalité.

Unions douanières entre les États allemands, réduisant les tarifs et facilitant le commerce. Exemple d'intégration économique avant l'unification allemande.

Le désir d'unification des peuples partageant une culture, un langage et une histoire commune. Mot-clé pour comprendre l'unification italienne et allemande.

Un État où la population partage une identité nationale commune. C'est l'objectif du nationalisme.

Un mouvement politique et culturel qui visait à unifier les états italiens séparés sous un seul gouvernement.

Un conflit majeur entre la Prusse et l'Autriche en 1866 qui a conduit à la défaite de l'Autriche et à l'émergence de la Prusse comme puissance dominante en Allemagne.

Un groupe de soldats italiens dirigés par Giuseppe Garibaldi, connus pour leur uniforme rouge, qui ont joué un rôle majeur dans l'unification de l'Italie.

L'objectif de créer une Allemagne unifiée comprenant tous les États allemands, y compris l'Autriche.