L'expérience de l'art et le sensible

<p>La satisfaction liée à l'agréable est non réfléchie. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle est considérée comme désintéressée et libre. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>La satisfaction désintéressée transcende les conditions personnelles. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Il résout leur opposition en considérant l'autonomie du sujet. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>L'absence d'un concept de beauté empêche une démonstration rationnelle. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Il devient l'arbitre final du jugement esthétique. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Le goût esthétique implique une réflexion et un jugement personnels. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Les NOÊTA sont basés sur le raisonnement, tandis que les AISTHÈTA sont basés sur les sens. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Une connaissance intuitive ayant une valeur poétique distincte. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Clarté distincte et clarté confuse. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>La beauté et la vérité sont perçues comme égales et subjectives. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle est toujours influencée par notre goût personnel. (D)</p> Signup and view all the answers

Le sentiment, le goût et l'imitation sont les clés de la beauté dans les arts. Notre perception est guidée par le ressenti et le jugement esthétique.

La sensibilité est une "intelligence confuse" qui nous permet de connaître le monde sensible, avec une clarté différente de la raison. Elle est intuitive, vive et propre au monde sensible.

La clarté confuse est un mode de connaissance basé sur les sens, donnant une perception intuitive et vive du monde.

La vérité et la beauté ne sont pas intrinsèques aux objets, mais plutôt l'interprétation subjective que nous en faisons.

La sensibilité est reconnue comme une forme de connaissance égale à la vérité logique, mais notre perception est toujours subjective.

Ce qui plaît au sujet sans dépendre d'un concept ou d'une réflexion, se limitant à la seule sensation.

Ce qu'on estime juste, approuve, se référant à un principe ou un concept.

Ce qui plaît de manière désintéressée, c'est-à-dire sans que le sujet poursuive un intérêt particulier. C'est le plaisir lié à la contemplation d'un objet en lui-même.

Le jugement du beau ne dépend pas de concepts ou de connaissances, mais se base sur le sentiment de plaisir ou de déplaisir éprouvé face à un objet.

Bien que subjectif, le jugement esthétique se veut universel. C'est-à-dire que même si chaque individu ressent le beau différemment, le jugement de goût prétend à une validité générale.

Le jugement esthétique est à la fois personnel et universel. Il est fondé sur le sentiment et aspire à une validité partageable.

Une capacité partagée à comprendre et à communiquer le sentiment de beauté, bien que non démontrable.

L'appréciation de l'art est subjective, dépendant du sujet et de son expérience individuelle.

L'individu exerce son jugement de goût pour distinguer ce qui constitue l'art et le beau.

La beauté n'est plus une caractéristique de l'objet, mais une expérience individuelle et communicable.