Le dogme central de l'ADN

L'information génétique de l'ADN est transmise à l'ARN, puis traduite en protéines.

Molécule contenant l'information génétique.

Transfert de matériel génétique horizontal entre des cellules.

Expérience montrant que des bactéries mortes peuvent transmettre leur information génétique à d'autres bactéries.

Bactéries avec une capsule qui les protègent du système immunitaire.

Bactéries sans capsule, donc non pathogènes sans protection.

Expérience qui a prouvé que l'ADN était responsable du principe transformant, et non les protéines.

L'ADN est condensé dans le noyau cellulaire et se prépare à la division cellulaire.

Expérience utilisant des bactériophages radiomarqués pour prouver que l'ADN est le matériel génétique.

Virus qui infecte les bactéries, composé de protéines et d'ADN.

L'ADN du bactériophage est marqué au 32phosphore radioactif.

Les protéines du phage sont marquées au 35souffre radioactif.

Unité de base de l'ADN, composée d'une base azotée, d'un sucre (désoxyribose) et d'un groupe phosphate.

Sucre présent dans l'ADN, ne possédant pas de groupe hydroxyle (OH) en position 2'.

Bases azotées à double cycle (adénine et guanine).

Bases azotées à simple cycle (thymine et cytosine).

Liaison covalente entre deux nucléotides, entre un phosphate et deux sucres.

Liaison non covalente entre les bases azotées complémentaires.

Structure en forme de spirale formée par deux chaînes d'ADN antiparallèles. Les phosphates sont à l'extérieur, les bases à l'intérieur.

Les bases azotées de l'ADN s'apparient spécifiquement : Adénine (A) avec Thymine (T) et Guanine (G) avec Cytosine (C).

Liaisons faibles entre les bases azotées qui maintiennent les deux brins d'ADN ensemble.

Les deux brins d'ADN sont orientés dans des directions opposées, avec un brin 5' à 3' et l'autre 3' à 5'.

Structure de l'ADN formée par l'alternance des sucres (désoxyribose) et des phosphates.

Chaque brin d'ADN sert de modèle pour la synthèse d'un nouveau brin complémentaire.

Espaces entre les deux brins d'ADN qui permettent aux protéines de se lier à l'ADN.

La forme la plus stable de l'ADN, celle qui est le plus souvent observée dans les cellules.

Des structures d'ADN différentes de la forme canonique, comme la forme Z, la forme H et la forme G.

Une forme d'ADN avec un motif alternant de purines et de pyrimidines, lui donnant une structure en zigzag.

Une forme d'ADN qui se forme dans les régions riches en répétitions, avec une structure en forme de trèfle.

Une forme d'ADN qui se forme dans les régions riches en guanines, avec des liaisons hydrogène entre 4 guanines.

Déterminer l'ordre des nucléotides dans l'ensemble du génome humain.

Techniques permettant de séquencer rapidement et en grande quantité de l'ADN.

Identifier les gènes impliqués dans des maladies héréditaires et développer de nouveaux traitements.

Les bases azotées de l'ADN sont reliées par des liaisons hydrogènes, des liaisons non covalentes qui sont plus faibles que les liaisons covalentes.

La stabilité de l'ADN dépend du pourcentage de GC. Les paires GC ont 3 liaisons hydrogènes, tandis que les paires AT en ont 2.

La séparation des deux brins d'ADN, induite par la chaleur, qui déstabilise les liaisons hydrogènes et non covalentes.

Le processus de reformation de la double hélice d'ADN après la dénaturation, en refroidissant les deux brins séparés, ce qui permet aux liaisons hydrogènes de se reformer.

L'ADN dénaturé et renaturé retrouve ses paires initiales. Ce phénomène est utilisé en technologie.

Des protéines qui se lient à l'ADN en formant des liaisons hydrogènes (non covalentes) dans le grand sillon.

L'ADN génomique peut se présenter sous différentes structures, telles que le super-enroulement.

Les liaisons non covalentes sont des interactions faibles qui contribuent à la structure de l'ADN.