La Vitre Cassée de Frédéric Bastiat

Study Notes

Frédéric Bastiat critique l'interventionnisme économique en s'attaquant à l'idée que la destruction de richesse peut stimuler l'économie.
Il utilise la parabole de la vitre cassée pour démontrer que la réparation d'un dommage ne crée pas de richesse, mais représente un transfert de ressources.
Bastiat met en évidence l'importance des effets indirects (ce que l'on ne voit pas) dans l'analyse économique.
Il souligne que l'argent dépensé pour la réparation de la vitre aurait pu être utilisé pour acquérir d'autres biens et services, générant ainsi une production supplémentaire.
La pensée de Bastiat met en lumière le principe libéral selon lequel les ressources sont limitées et doivent être utilisées de manière productive.
Bastiat critique les politiques interventionnistes qui encouragent les dépenses publiques pour stimuler artificiellement l'économie au détriment de l'allocation libre des ressources.

Murray Rothbard développe une critique radicale de l'État, le qualifiant d'entité coercitive et parasitaire.
Il oppose l'État et la production ou l'échange volontaire, qui sont des aspects fondamentaux du libéralisme économique.
Rothbard argumente que l'État confisque les ressources des individus pour son propre maintien au lieu de les produire.
Il distingue le moyen économique (travail, production, échange volontaire) du moyen politique (coercition) d'acquisition de richesse.
Pour Rothbard, le moyen économique est naturel et harmonieux, tandis que le moyen politique est artificiel et déstabilise l'ordre économique.
L'État, selon Rothbard, freine la liberté économique et dévoie les principes libéraux en utilisant la force et l'interventionnisme.