Introduction aux médias d'information

Pendant la Première Guerre mondiale, le journal "La Libre Belgique" est né en réaction au journal collaborateur "La Belgique" créé par les Allemands occupants. Il visait à fournir des informations vérifiées et sourcées aux Belges, en opposition à la propagande allemande.

Certains journalistes de guerre de la Première Guerre mondiale étaient censurés, tandis que d'autres risquaient leur vie pour transmettre des informations véridiques du front.

Après la Première Guerre mondiale, l'émergence de la radio comme moyen d'information a poussé la presse écrite à se réinventer pour attirer les lecteurs.

Pendant la Première Guerre mondiale, les publications illustrées avec des photos et des illustrations ont commencé à émerger, introduisant une nouvelle approche du journalisme.

Les soldats de la Première Guerre mondiale ont souvent écrit leurs propres récits de bataille, qui ont parfois été publiés dans des journaux, offrant un aperçu authentique de leur expérience de guerre.

Les médias qui permettent une interaction bidirectionnelle entre l'émetteur et le récepteur.

L'idée que les médias ne sont pas seulement des outils pour diffuser du contenu, mais qu'ils influencent la société par leur forme même.

Des médias qui engagent intensément un seul sens, fournissant beaucoup d'informations détaillées et laissant peu de place à l'interprétation.

Ce sont des médias qui invitent à la participation active du récepteur et permettent une interprétation.

Un article d'opinion écrit par un journaliste, exprimant son avis sur un sujet d'actualité.

L'influence des médias sur l'opinion du public, pouvant mener à des distorsions ou à la diffusion de fausses informations.

L'évolution des médias vers une interaction accrue avec le public, en particulier via les réseaux sociaux.

L'idée que les médias, tels que la télévision, la radio et le cinéma, sont en train de se diversifier pour atteindre un public plus large.

Le fait de ne pas payer pour les informations en ligne a un impact négatif sur la qualité du journalisme. Sans revenus publicitaires, les médias traditionnels embauchent moins de journalistes, ce qui réduit la qualité, l'investigation et la vérification des informations.

Les infomédiaires sont des plateformes comme Google ou les réseaux sociaux qui agissent comme intermédiaires entre les producteurs de contenu et les consommateurs. Ils profitent de l'accès à l'information gratuite, nuisant aux médias traditionnels qui dépendent des revenus publicitaires.

Les médias traditionnels doivent s'adapter à la concurrence des infomédiaires et aux nouvelles habitudes de consommation. Cela implique de diversifier leurs formats et leurs plateformes, en utilisant Instagram, Facebook ou les podcasts.

Pour se démarquer, les médias traditionnels doivent prouver la valeur du journalisme de qualité. Cela implique de se spécialiser dans des domaines spécifiques et de proposer des investigations approfondies.

En plus d'offrir une information de qualité, les nouveaux médias se distinguent souvent par des modèles d'abonnement. Ils offrent ainsi un accès à une information vérifiée et exclusive en échange d'un paiement régulier.

L'avènement des médias numériques a transformé la manière dont nous consommons l'information, créant un écosystème médiatique plus dynamique et participatif.

Les formes de communication les plus anciennes incluent des méthodes rudimentaires comme les peintures rupestres, les tambours parlants et les signaux de fumée.

Les peintures rupestres, comme celles de Lascaux, étaient utilisées par les sociétés anciennes pour raconter des histoires, transmettre des connaissances et des rituels.

Les tambours parlants, utilisés par certaines tribus africaines, permettaient d'envoyer des messages sur de longues distances grâce à des rythmes spécifiques.

Les signaux de fumée, utilisés par les Amérindiens, étaient un moyen sophistiqué de communication avec des codes spécifiques à chaque tribu.

Les tablettes d'argile de la Mésopotamie, datant de 5000 ans, constituent l'une des premières formes d'écriture, utilisées pour enregistrer des transactions commerciales, des lois et des histoires.

L'écriture a permis à la communication de prendre une nouvelle dimension, permettant l'enregistrement d'informations et la transmission de connaissances à travers le temps.

Les médias numériques, tels que les sites web d'actualité, les réseaux sociaux, les blogs et les vlogs, ont transformé le paysage médiatique en permettant une information interactive, instantanée et omniprésente.

L'autorité religieuse ou civile examine un ouvrage pour vérifier qu'il ne contredit pas les dogmes ou les lois en vigueur.

Une obligation d'envoyer un exemplaire de chaque publication à l'administration, assurant ainsi la conservation de la création.

La transmission du savoir de l'église vers le monde laïque, marquant un changement important dans la diffusion de la connaissance.

Une publication périodique, souvent contenant des petites annonces, des nouvelles et des événements.

Une gazette qui contenait des informations pour alimenter les conversations de salon, marquant le début du journalisme d'information.

Un service qui mettait en relation des offres et des demandes d'emploi, l'ancêtre des agences d'intérim.

Un journal qui publiait des annonces publicitaires, à l'origine un feuillet qui a évolué en journal.

Le droit exclusif d'un individu ou d'une organisation à diffuser des informations politiques, accordé par le cardinal de Richelieu à Théophraste Renaudot.

Selon McLuhan, les médias froids exigent une participation active du public pour comprendre le message, tandis que les médias chauds fournissent une expérience plus immersive et moins exigeante.

Un concept de McLuhan décrivant comment les technologies de communication modernes ont transformé le monde en une communauté interconnectée, où les distances sont réduites et la communication est instantanée.

La radio FM est considérée comme un média chaud car elle offre un flux de contenu structuré et facile à comprendre, sans obligation d'interprétation visuelle.

Le streaming en haute définition sur des plateformes comme Netflix ou Disney+ est considéré comme un média chaud car il offre un contenu immersif et détaillé, réduisant le besoin d'imagination du spectateur.

Les médias chauds et froids ont encore un impact important sur la façon dont nous consommons l'information aujourd'hui, et la distinction reste pertinente dans le contexte des médias numériques.

Selon McLuhan, les médias chauds offrent une expérience immersive et détaillée, avec une haute résolution. Le public doit fournir peu d'effort pour comprendre le message.