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Antipsychotiques

• Les antipsychotiques à action prolongée sont administrés par voie intramusculaire pour assurer l'observance du traitement.
• Les antipsychotiques bloquent les récepteurs de la dopamine.
• La clozapine est contre-indiquée chez les patients atteints de la maladie de Parkinson souffrant de psychose.
• La clozapine nécessite une surveillance de l'INR.
• Les antipsychotiques inhibent la sécrétion de prolactine.

Répaglinide et ciclosporine

• Un patient diabétique traité avec de la ciclosporine pour une greffe rénale se voit prescrire du répaglinide pour mieux contrôler sa glycémie.
• Le répaglinide est métabolisé par le cytochrome 3A4 et le cytochrome 2CB.
• La ciclosporine inhibe ces cytochromes.
• L'effet indésirable observé est lié à une interaction pharmacocinétique.
• L'effet indésirable observé doit être rapporté aux autorités de pharmacovigilance.
• L'effet indésirable observé est une hypoglycémie.

Antiémétiques de la famille des sétrons

• Les antiémétiques de la famille des sétrons sont surtout efficaces contre les vomissements aigus survenant dans les 24 heures suivant la chimiothérapie anticancéreuse.
• Les antiémétiques de la famille des sétrons sont des antagonistes des récepteurs dopaminergiques.
• Les antiémétiques de la famille des sétrons peuvent causer des maux de tête et de la constipation.

Bronchodilatateurs par voie pulmonaire

• Les bronchodilatateurs administrés par voie pulmonaire peuvent être des agonistes des récepteurs muscariniques.
• Les bronchodilatateurs administrés par voie pulmonaire peuvent être des corticostéroïdes.
• Les bronchodilatateurs administrés par voie pulmonaire peuvent être des agonistes des récepteurs bêta 2 adrénergiques.
• Les bronchodilatateurs administrés par voie pulmonaire sont généralement prescrits sur demande et ont une courte durée d'action.

Traitement de l'épilepsie

• Les patients épileptiques doivent faire l'objet d'une surveillance des idées et comportements suicidaires.
• Les patients épileptiques doivent faire l'objet d'une surveillance de la fonction hépatique.
• Les patients épileptiques doivent faire l'objet d'un contrôle de l'observance du traitement.
• Il faut cesser les médicaments liés à l'épilepsie avant le lendemain, si cela est nécessaire.

Voies d'administration systémiques

• La voie sublinguale est une des voies d'administration systémiques.
• La voie intraveineuse est une des voies d'administration systémiques.
• La voie transdermique est une des voies d'administration systémiques.

Perte d'efficacité de la Lévodopa

• La perte d'efficacité du traitement par la lévodopa peut se manifester par des troubles psychiques tels que le délire et la paranoïa.
• La perte d'efficacité du traitement par la lévodopa peut se manifester par des fluctuations motrices "on/off".
• La perte d'efficacité du traitement par la lévodopa peut se manifester par une akinésie de fin de dose.

Lévodopa

• La Lévodopa, un médicament, peut provoquer des nausées et des vomissements comme effet secondaire.
• La Lévodopa doit être administrée pendant les repas.
• La Lévodopa est toujours associée à un inhibiteur des catéchol-O-méthyltransférases (ICOMT).

Lopéramide

• Lopéramide diminue le péristaltisme et exerce un effet antisécrétoire intestinal.
• Lopéramide est un agoniste des récepteurs opioïdes μ.
• Lopéramide doit être arrêté dès les premiers signes de constipation.

Traitements du diabète

• La metformine diminue la résistance à l'insuline et l'absorption intestinale du glucose.
• Les glifozines (par exemple, la dapaglifozine) inhibent le SGLT2 (cotransporteur de sodium-glucose 2).
• Les gliptines (par exemple, la vildagliptine) inhibent la DPP4 (dipeptidylpeptidase 4).
• Les sulfamides (sulfonylurées) favorisent la libération d'insuline en se liant à un canal potassique ATP-dépendant.
• Le liraglutide est un agoniste du récepteur GLP-1 (Glucagon-like peptide-1).

Aspirine

• L'action antiplaquettaire de l'aspirine est de courte durée (quelques heures).
• L'aspirine a un effet antiplaquettaire en inhibant les cyclooxygénases plaquettaires.
• L'aspirine a une action anti-inflammatoire à une dose de 1000 mg par prise.
• L'aspirine peut provoquer une réaction allergique.

Inhibiteurs de la pompe à protons

• Les gélules d'inhibiteurs de la pompe à protons peuvent être ouvertes et leur contenu mélangé à des aliments mous.
• Les comprimés d'inhibiteurs de la pompe à protons ne doivent pas être écrasés pour faciliter l'administration.
• Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent provoquer des nausées et des vomissements transitoires.
• Les inhibiteurs de la pompe à protons ont des principes actifs tels que l'oméprazole, le pantoprazole et le rabéprazole.

Sujets âgés

• Chez les personnes âgées, les associations de substances actives appartenant aux mêmes classes thérapeutiques doivent être évitées.
• Chez les personnes âgées, la posologie du traitement doit être ajustée en fonction de la fonction hépatique.
• Chez les personnes âgées, une surveillance régulière des transaminases est nécessaire.
• Il est important de faire attention à la malnutrition chez les personnes âgées.

Anti-inflammatoires non stéroïdiens non sélectifs

• Les AINS non sélectifs inhibent les cyclooxygénases de type 1 et 2.
• Les AINS non sélectifs doivent être administrés en dehors des repas.
• Les AINS non sélectifs nécessitent une surveillance de la fonction rénale pour une utilisation à long terme.
• L'utilisation des AINS non sélectifs est déconseillée chez les patients traités par l'acétylsalicylate de lysine (Kardégic).

Médicaments antiépileptiques

• Les médicaments antiépileptiques sont utilisés pour prévenir les crises d'épilepsie ou en réduire la fréquence.
• La prise d'antiépileptiques doit être suivi attentivement, car l'oubli de doses peut avoir des conséquences importantes pour le patient.
• Les concentrations plasmatiques doivent être surveillées pour les antiépileptiques.
• La plupart des médicaments antiépileptiques sont tératogènes.
• Le phénobarbital, la phénytoïne et la carbamazépine sont des inducteurs enzymatiques.

Antiagrégants plaquettaires

• L'antagonisme du récepteur GPIIbIIIa (abciximab) entraîne un effet antiagrégant plaquettaire.
• L'inhibition de la thrombine (dabigatran) entraîne un effet antiagrégant plaquettaire.
• La liaison à l'antithrombine (fondaparinux) entraîne un effet antiagrégant plaquettaire.
• L'inhibition de la synthèse du thromboxane (aspirine) entraîne un effet antiagrégant plaquettaire.
• L'antagonisme du récepteur P2Y12 (ticagrélor) entraîne un effet antiagrégant plaquettaire.

Biomédicaments

• Les biomédicaments sont synthétisés chimiquement sous forme de petites molécules.
• Les biomédicaments ne sont pas des produits manufacturés.
• Les biomédicaments sont créés par manipulation génétique d'organismes vivants.
• Les biomédicaments nécessitent une autorisation de mise sur le marché.
• Les produits biologiques font partie du groupe des biothérapies.

Thérapies de substitution à la nicotine

• Les thérapies de substitution à la nicotine administrées par la voie buccale ne doivent pas être utilisées avec des patchs transdermiques.
• Les thérapies de substitution à la nicotine peuvent être prescrites par les infirmières dans le cadre d'un programme d'assurance-maladie.
• Plusieurs dispositifs transdermiques ne doivent pas être utilisés simultanément.
• Les thérapies de substitution à la nicotine peuvent être utilisées pour réduire la consommation de tabac en vue d'un arrêt.

Paracétamol

• La dose de paracétamol est de 2 grammes par dose toutes les 4 à 6 heures, sans dépasser 6 grammes par jour.
• Le paracétamol est contre-indiqué dans l'alcoolisme chronique.
• Le paracétamol possède des propriétés analgésiques et antipyrétiques.
• Le paracétamol peut provoquer une toxicité hépatique potentiellement mortelle en cas de surdosage.

Antidépresseurs

• Les antidépresseurs comprennent les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine.
• Les antidépresseurs ne doivent pas être associés aux benzodiazépines pour éviter d'aggraver l'état dépressif du patient.
• Les antidépresseurs ont un délai d'action d'environ 1 à 4 semaines.

Anti-inflammatoires stéroïdiens

• La glycémie doit être surveillée lors d'un traitement de plus de 10 jours avec un anti-inflammatoire stéroïdien.
• La pression artérielle doit être surveillée lors d'un traitement de plus de 10 jours avec un anti-inflammatoire stéroïdien.
• La survenue d'œdèmes doit être surveillée lors d'un traitement de plus de 10 jours avec un anti-inflammatoire stéroïdien.
• Un régime pauvre en graisses et en glucides rapides doit être adopté lors d'un traitement de plus de 10 jours avec un anti-inflammatoire stéroïdien.

Carbonate de lithium

• Le carbonate de lithium nécessite une surveillance de la TSH.
• Le carbonate de lithium nécessite une surveillance régulière de la lithémie.
• Le carbonate de lithium est indiqué dans le traitement des troubles bipolaires.

Les laxatifs

• Les laxatifs osmotiques, comme le macrogol, doivent être évités chez les personnes âgées.
• Les laxatifs peuvent provoquer des ballonnements, des gaz et des douleurs abdominales.
• Les laxatifs peuvent être administrés par voie orale ou rectale.

Les statines

• Les statines inhibent la HMG CoA réductase.
• Les statines entraînent une diminution du cholestérol LDL principalement.

Absorption du principe actif

• L'étape d'absorption d'un principe actif est quantifiée par la biodisponibilité.
• L'étape d'absorption d'un principe actif dépend de la présence ou non d'un effet de premier passage.
• L'étape d'absorption d'un principe actif correspond au passage du principe actif du sang vers les tissus.

Ropinirole et pramipexole

• Le ropinirole et le pramipexole peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
• Le ropinirole et le pramipexole sont administrés par voie sous-cutanée à l'aide d'un stylo pour l'auto-injection ou à l'aide d'une pompe.
• Le ropinirole et le pramipexole sont des agonistes de la dopamine.
• Le ropinirole et le pramipexole peuvent provoquer un œdème des membres inférieurs.

Liaison d'un ligand

• Un ligand qui se lie à un récepteur et l'active est un agoniste.

Analgésiques de palier 2 et 3

• La buprénorphine ne doit pas être administrée aux patients déjà traités par la morphine.
• Les antalgiques de palier 2 et 3 peuvent entraîner une dépression respiratoire mortelle en cas de surdosage.
• Les antalgiques de palier 2 et 3 comprennent les opioïdes.
• Les antalgiques de palier 2 et 3 peuvent entraîner une tolérance et une dépendance en cas d'utilisation chronique.

Carbamazine et hypertension

• Un patient traité pour une épilepsie par la carbamazépine développe une hypertension artérielle.
• L'hypertension artérielle peut être due à une inobservance du patient.
• L'hypertension artérielle peut être due à une interaction pharmacodynamique.
• L'hypertension artérielle peut être due à une interaction pharmacocinétique.

IMAO-B

• Les médicaments de la famille des IMAO-B sont des soins indiqués dans le traitement de la maladie de Parkinson.
• La rasagiline et la sélégiline font partie de la famille des IMAO-B.
• Inhibent la dégradation de la noradrénaline dans les neurones.

Tramadol

• La prescription du tramadol est limitée à 3 mois.
• Le tramadol a une dose maximale de 400 mg par jour.

Benzodiazépines

• Les benzodiazépines possèdent des propriétés anxiolytiques et hypnotiques.
• Les benzodiazépines peuvent provoquer des chutes chez les personnes âgées.
• L'arrêt brutal des benzodiazépines peut entraîner un syndrome de sevrage.

Antalgiques de palier 3

• La poudre d'opium appartient aux antalgiques de palier 3.
• L'oxycodone appartient aux antalgiques de palier 3.
• Le fentanyl appartient aux antalgiques de palier 3.
• L'hydromorphone appartient aux antalgiques de palier 3.

Corticostéroïdes

• Les corticostéroïdes peuvent être utilisés dans des maladies auto-immunes.
• Les corticostéroïdes peuvent être utilisés dans le traitement de l'asthme et de la BPCO.
• Les corticostéroïdes peuvent être utilisés dans le traitement symptomatique de la rhinite allergique.

Thrombopénie induite par l'héparine de type II

• La thrombopénie induite par l'héparine de type II est causée par des anticorps contre le facteur 4 plaquettaire.
• La thrombopénie induite par l'héparine de type II entraîne des thromboses.
• La thrombopénie induite par l'héparine de type II nécessite l'arrêt immédiat de l'héparine.
• La thrombopénie induite par l'héparine de type II est plus fréquente avec les héparines non fractionnées.
• La thrombopénie induite par l'héparine de type II est une complication grave.

Principe actif antagoniste

• Un principe actif antagoniste peut être entier ou partiel.
• Un principe actif antagoniste se fixe sur un récepteur.

Ciclosporine et simvastatine

• Un patient traité par ciclosporine pour une greffe rénale se voit prescrire de la simvastatine en raison d'une athérosclérose carotide.
• La simvastatine est métabolisée par le cytochrome 3A4, mais la ciclosporine inhibe le cytochrome 3A4.
• La myalgie diffuse survenant quelques jours après le début du traitement par la simvastatine, ainsi qu'une augmentation des concentrations plasmatiques de CPK, sont probablement dues à une interaction médicamenteuse pharmacocinétique.

Thésaurus de l'ANSM

• Les thésaurus ANSM sur les interactions médicamenteuses doivent contenir le mécanisme d'action de l'interaction.
• Les thésaurus ANSM sur les interactions médicamenteuses doivent contenir les recommandations pratiques pour guider le prescripteur.
• Les thésaurus ANSM sur les interactions médicamenteuses doivent contenir la nature du risque.

Hypocholestérolémiants

• La plupart des statines ont démontré un bénéfice dans la réduction du risque cardiovasculaire.
• La cholestyramine peut entraîner une carence en vitamines liposolubles.
• L'ézétimibe inhibe le transporteur de stérols dans l'intestin.
• Les fibrates accroissent le risque de lithiase biliaire.