Dogme Central et Génome (4)

Le processus par lequel l'information génétique d'un organisme est exprimée. L'ADN est d'abord transcrit en ARN, puis l'ARN est traduit en protéine.

L'ensemble complet de l'information génétique d'un organisme.

Le support physique de l'information génétique, une molécule.

Une molécule intermédiaire dans le processus de traduction de l'information génétique.

Les molécules effectrices qui exécutent les tâches nécessaires à la survie de l'organisme et aux fonctions cellulaires.

Structure qui contient et organise l'information génétique (ADN) dans les cellules eucaryotes.

Les deux brins d'ADN s'organisent dans une structure où les directions des brins sont opposées.

Le nombre de structures contenant l'ADN dans une cellule d'un organisme.

Représentation microscopique organisée des chromosomes d'une cellule, classés par taille et position du centromère.

La taille physique du génome augmente généralement avec la complexité biologique de l'organisme.

Le nombre de nucléotides n'est pas toujours proportionnel à la complexité de l'organisme, il y a de nombreuses exceptions.

Rétrovirus (ARN+) avec un nombre limité de gènes mais capable de se multiplier.

La taille du génome et le nombre de gènes ne sont pas proportionnels.

L'organisation de l'information génétique contenue dans le génome. Elle est organisées sous les formes d'unité gène.

Les extrémités des chromosomes, composées de courtes séquences nucléotidiques répétées.

Le point d'attache des filaments du fuseau mitotique, permettant la séparation des chromosomes lors de la division cellulaire.

Des segments d'ADN répétés à plusieurs reprises dans le génome, sans fonction évidente. Ils représentent environ 50% du génome humain.

Des fragments d'ADN contenant l'information génétique utilisée pour synthétiser des protéines.

Des segments d'ADN non codants, situés entre les exons, et qui ne sont pas utilisés pour la synthèse des protéines.

Le fait que les gènes ne sont pas des séquences continues d'ADN, mais sont découpés en exons et introns.

Seulement 1,5% du génome humain est composé d'exons, les parties codantes des gènes.

La taille des introns peut varier d'un gène à l'autre et entre les espèces.

Le nombre total de gènes fonctionnels présents dans le génome d'un organisme.

Des gènes partagés par différentes espèces, souvent associés à des fonctions de base nécessaires à la vie.

Un mécanisme qui permet de produire différentes protéines à partir d'un seul gène en combinant différemment les exons.

Des gènes spécifiques à une espèce, qui contribuent à son caractère distinctif.

Des gènes similaires présents dans différentes espèces, issus d'un ancêtre commun et ayant divergé au cours de l'évolution

Des gènes similaires présents dans un même génome, résultant d'une duplication génique suivie d'une divergence.

Des mutations qui se produisent au sein d'un gène, modifiant sa séquence nucléotidique

Gènes résultant du mélange d'exons provenant de deux ou plusieurs gènes ancestraux. Ils sont formés par recombinaison homologue inégale ou transposition.

Processus qui implique l'échange de matériel génétique entre deux chromosomes homologues, mais avec des points d'échange non alignés. Cela peut conduire à la création de gènes mosaïques.

Le déplacement d'un élément génétique d'un endroit à un autre du génome. Cela peut inclure la transposition d'exons pour créer des gènes mosaïques.

Structure composée d'ADN enroulé autour de protéines appelées histones. C'est la forme sous laquelle l'ADN est stocké dans le noyau des cellules eucaryotes.

L'unité fondamentale de la chromatine. Il est constitué d'un segment d'ADN enroulé autour de huit protéines histones.

Gènes qui partagent une similarité de séquence nucléotidique, que ce soit paralogues ou orthologues.

Un événement où une partie du génome est copié, créant un duplicata d'un gène.

Un gène qui a perdu sa fonction originale en accumulant des mutations.

Groupes de gènes liés par une origine commune, résultant d'événements de duplication successifs.