Biologie Cellulaire: Quiz sur les Cellules

Les bactéries courantes et les archées.

Les champignons, les plantes et les animaux.

La taille d'une cellule procaryote varie entre 0,1 et 10 micromètres.

La taille d'une cellule eucaryote varie entre 10 et 100 micromètres.

Les procaryotes ont des ribosomes de type 70 S, qui sont plus petits que ceux des eucaryotes.

Les eucaryotes ont des ribosomes de type 80 S et des organites comme les mitochondries.

Les procaryotes n'ont pas de noyau, tandis que les eucaryotes en ont un.

Les procaryotes sont des organismes unicellulaires, tandis que les eucaryotes peuvent être unicellulaires ou pluricellulaires.

Une fusion entre la protéine étudiée et une protéine fluorescente, permettant de suivre le déplacement de la protéine d'intérêt.

Une méthode permettant d'introduire l'ADN recombinant dans les cellules en les exposant à un choc électrique qui rend la membrane cellulaire temporairement perméable.

Une technique d'introduction d'ADN recombinant dans les cellules en l'encapsulant dans un liposome, qui fusionne avec la membrane cellulaire et libère l'ADN à l'intérieur.

Une méthode qui utilise une micropipette pour injecter l'ADN recombinant directement dans les cellules.

La zone qui sépare le milieu intracellulaire du milieu extracellulaire, contrôlant les échanges entre la cellule et son environnement.

La partie interne de la membrane plasmique, composée de protéines et de lipides, qui contrôle le passage des molécules et des ions.

La partie externe de la membrane plasmique, composée de protéines et de lipides, en contact avec le milieu extracellulaire.

Un microscope qui utilise un faisceau d'électrons pour observer les structures cellulaires en coupe mince.

Ce sont des structures au sein des chloroplastes où la photosynthèse a lieu. Ils sont constitués de sacs et de vésicules empilés.

Ce sont des groupes de plusieurs centaines de molécules de chlorophylles contenus dans un thylakoïde. Ils capturent la lumière du soleil pour la photosynthèse.

L'énergie lumineuse utilisée par la photosynthèse est capturée par les pigments assimilateurs, comme la chlorophylle, qui se trouvent dans les chloroplastes des cellules végétales.

La photosynthèse est le processus par lequel les plantes, les algues et certains bactéries utilisent l'énergie lumineuse du soleil pour convertir le dioxyde de carbone et l'eau en sucre (glucose) et en oxygène.

Ce sont des organismes capables de synthétiser leur propre nourriture à partir de substances minérales. Les plantes en sont un exemple.

Les phospholipides sont des molécules amphipathiques, signifiant qu'elles possèdent une tête hydrophile (attiré par l'eau) et une queue hydrophobe (repoussée par l'eau). Cette structure leur permet de s'organiser en bicouche, avec les têtes hydrophiles exposées à l'eau et les queues hydrophobes à l'intérieur de la membrane.

Dans la membrane plasmique des cellules animales, le cholestérol joue un rôle important en contrôlant la fluidité de la membrane. Il s'insère entre les phospholipides, empêchant une trop grande fluidité à haute température et une trop grande rigidité à basse température.

Les glycolipides sont des lipides liés à des glucides, situés sur la face extracellulaire de la membrane plasmique. Ils contribuent au glycocalyx et jouent un rôle important dans la reconnaissance cellulaire.

La fluidité de la membrane est assurée par le mouvement des lipides, qui peuvent diffuser latéralement, tourner sur eux-mêmes et même basculer d'un côté à l'autre de la bicouche (flip-flop), bien que ce dernier mouvement soit moins fréquent.

L'asymétrie de la membrane plasmique se traduit par une composition différente en lipides entre les deux feuillets. Par exemple, les glycolipides se trouvent uniquement sur le feuillet externe de la membrane, alors que les phospholipides sont présents sur les deux faces.

La membrane plasmique agit comme une barrière imperméable aux molécules hydrosolubles, ce qui limite le passage de substances polaires. Cependant, des mécanismes de transport spécifiques permettent le passage de certaines molécules.

Le glycocalyx est une couche externe de la membrane plasmique, composée de glucides liés à des lipides (glycolipides) ou à des protéines (glycoprotéines).

Le glycocalyx joue un rôle important dans l'adhésion entre les cellules, la reconnaissance cellulaire, la protection cellulaire et la régulation de la division cellulaire.

Les peroxysomes sont des organites cellulaires qui jouent un rôle crucial dans la détoxication cellulaire. Ils contiennent des enzymes, notamment la catalase, qui décomposent les substances toxiques comme le peroxyde d'hydrogène (H2O2).

Les peroxysomes sont des organites qui se multiplient par un processus de croissance et de division. Ils n'ont pas leur propre ADN et importent les protéines nécessaires à partir du cytoplasme.

Les peroxysomes jouent un rôle majeur dans le métabolisme des lipides, notamment dans la dégradation des acides gras à longue chaîne.

Le cytosquelette est un réseau complexe de filaments protéiques qui s'étend dans tout le cytoplasme des cellules eucaryotes. Il a pour fonction de maintenir la forme de la cellule, de faciliter le mouvement et le transport, et de participer à la division cellulaire.

Le cytosquelette est composé de trois types de filaments protéiques distincts : les microfilaments d'actine, les microtubules et les filaments intermédiaires.

Les microfilaments, composés d'actine, sont des filaments fins qui jouent un rôle important dans la contraction musculaire, le mouvement cellulaire et la division cellulaire.

Les microtubules sont des filaments tubulaires qui sont impliqués dans le transport intracellulaire, la division cellulaire et la formation des cils et des flagelles.

Les filaments intermédiaires, plus résistants que les microtubules et les microfilaments, fournissent un soutien structural à la cellule et contribuent à la formation des jonctions cellulaires.

Le réticulum endoplasmique (RE) est un réseau complexe de membranes internes interconnectées qui s'étend dans tout le cytoplasme des cellules eucaryotes. Il joue un rôle crucial dans la synthèse, le pliage et le transport des protéines, ainsi que dans la production des lipides et des stéroïdes.

L'appareil de Golgi, également appelé dictyosome, est un organite cellulaire composé de sacs aplatis liés à la membrane appelés citernes, empilés les uns sur les autres. Il joue un rôle essentiel dans la modification, l'emballage et le tri des protéines et des lipides synthétisés dans le RE avant leur transport vers leurs destinations finales.

La face cis de l'appareil de Golgi est le côté qui est le plus proche du RE. C'est à ce niveau que les vésicules de transition, bourgeonnant du RE, arrivent et fusionnent pour libérer leur contenu.

La face trans de l'appareil de Golgi est le côté opposé à la face cis. C'est à ce niveau que les molécules traitées dans l'appareil de Golgi sont triées et empaquetées dans des vésicules de sécrétion ou des lysosomes.

L'appareil de Golgi participe activement à la maturation des protéines et à la formation des vésicules de sécrétion.

La composition chimique des membranes de l'appareil de Golgi est enrichie en phospholipides et comprend moins de protéines que le RE. De plus, on y retrouve une grande variété d'enzymes, notamment les glycosyltransférases.

Les glycosyltransférases sont des enzymes présentes dans l'appareil de Golgi qui ajoutent des sucres aux protéines et aux lipides. Ces modifications sont essentielles pour le bon pliage et le transport des molécules.

L'appareil de Golgi est très développé dans les cellules spécialisées dans la sécrétion, comme les cellules calciformes de l'épithélium intestinal. Cela reflète sa fonction importante dans la production et le transport des substances sécrétées.