Attachement et Développement de l'Enfant

Manque de stratégie cohérente pour gérer le stress chez certains enfants.

Permet à l'enfant d'accepter la séparation avec sa figure d'attachement et d'explorer le monde.

L'attachement de l'enfance influence les relations sociales, affectives et amoureuses à l'adolescence.

Désir d'indépendance physique et psychique chez les adolescents.

L'attachement passé influence l'image de soi, l'intérêt des autres et peut générer anxiété face à la perte d'autonomie.

Recherche de figures d'attachement stables pour maintenir la sécurité et le bien-être.

Madame Théraz avait 5 ans au décès de sa mère.

Pose beaucoup de questions, demande la signification de mots abstraits ou nouveaux.

Système motivationnel qui pousse l'enfant à rechercher la proximité de l'adulte, notamment en cas de danger, quel que soit la qualité de la réponse de l'adulte.

Type d'attachement (environ 20% des cas) où l'enfant montre une indifférence aux séparations, avec peu ou pas de recherche de rapprochement avec le parent lors de la détresse. Peut cacher un stress important.

Type d'attachement (environ 10% des cas) où l'enfant recherche fortement la proximité du parent, mais avec un comportement agité et inquiet. Peut limiter l'exploration.

Système qui motive l'enfant à rechercher la proximité d'un adulte en cas de danger.

Expérience montrant l'importance d'un attachement affectif pour le développement d'un enfant (manque d'attachement=mortalité).

La figure d'attachement (parent) qui fournit un sentiment de sécurité et de réconfort à l'enfant.

Différentes manières pour l'enfant de s'attacher à ses parents, influençant son développement.

Stade de développement cognitif de 2 à 6-7 ans, caractérisé par l'émergence du langage et de la symbolisation, et une pensée intuitive liée aux perceptions immédiates.

Caractéristique de la période préopératoire, l'enfant a du mal à se mettre à la place des autres, perçoit le monde de son propre point de vue.

Stade de développement psychosocial (3 à 6 ans) où l'enfant se différencie des autres et construit son identité en s'opposant.

Période de développement psychosexuel (4 à 7 ans) marquée par le complexe d'Œdipe, le désir de posséder le parent du sexe opposé et la résolution de ce conflit.

Le complexe d'Œdipe est le point central de la structure familiale et sociale. Il est une phase importante du développement psychique, marquant le passage de l'autoérotisme à l'orientation vers des objets extérieurs et l'acceptation des restrictions sociales, dont le tabou de l'inceste.

Acquisition de capacités d'expression verbale et de représentation mentale des idées et concepts sous forme symbolique.

Capacités de compréhension des concepts moins reliés aux expériences et perceptions immédiates, comme la quantité, l'espace et le temps.

Croire que tous les objets sont vivants et possèdent des intentions et des capacités similaires à celles des êtres humains.

L'attirance pour un parent implique un renoncement à l'autre, créant un sentiment de regret.

La perte symbolique du pénis, associée à une diminution du pouvoir et de l'autosuffisance.

La menace de castration, provenant de l'autorité parentale, empêche l'enfant de réaliser son désir.

L'enfant internalise les interdits parentaux, ce qui conduit au développement du Surmoi et de l'Idéal du Moi.

La limitation de la relation à l'autre, résultant de la différence des sexes et de l'angoisse de castration.

Il introduit la prohibition de l'inceste, qui structure les relations familiales et les règles sociales.

Le désir de la fille pour un attribut masculin, lié à une blessure narcissique due à la différence des sexes.

Une attirance pour le parent du même sexe et une rivalité avec le parent du sexe opposé.

L'enfant passe d'une sexualité infantile à une sexualité génitale, relationnelle et plus complexe.

Le garçon ne change pas d'objet d'amour (la mère), tandis que la fille doit le faire. L'angoisse de castration termine le complexe chez le garçon, mais l'initie chez la fille.

L'enfant passe de l'objectif de “posséder” à celui de “ressembler” à un modèle parental.

Selon Freud, les identifications féminines sont plus ancrées que les identifications masculines, car la fille doit changer d'objet d'amour.

L'acceptation de la différence des sexes permet le développement du deuil et de la symbolisation adulte.

Il joue un rôle crucial dans le développement de la personnalité en favorisant l'identification, l'intériorisation des interdits et la sexualité génitale.

Le processus de résolution du complexe d'Œdipe, qui est plus rapide chez le garçon que chez la fille.

Attirance pour le parent du sexe opposé.

Attirance pour le parent du même sexe.

Un amour doublement entravé, à la fois par l'intérieur (le choix d'un parent implique un renoncement à l'autre) et par l'extérieur (la menace de castration associée aux désirs interdits).

Peur d'être puni pour ses désirs interdits envers le parent du sexe opposé, notamment par la perte du pénis.

Une période de forte conflictualité psychique inconsciente, avec des manifestations comme l'angoisse, les phobies et la dépression, des réactions qui contribuent à la construction de la personnalité.

La naissance prématurée peut influencer la qualité de l'attachement en créant une tension et une peur chez les parents due à l'état de santé du bébé. Cette situation peut aussi les faire douter de leurs compétences parentales.

La naissance d'un enfant prématuré rend difficile le renoncement à l'image idéale de l'enfant parfait imaginée pendant la grossesse, ce qui peut affecter l'investissement affectif des parents.

Certains parents peuvent renoncer à l'investissement affectif dans l'enfant tant que sa survie n'est pas assurée, craignant de s'attacher trop fort à l'enfant, ce qui renforce l'angoisse de la perte.