Anxiété et Biais Attentionnels

La rapidité à laquelle le système cognitif traite l'information.

La capacité du système cognitif à maintenir son fonctionnement optimal en présence de distractions ou de stimuli non pertinents.

L'intensité avec laquelle une personne est attentive.

L'état de préparation du système cognitif à répondre à un stimulus.

La capacité du système cognitif à rester concentré sur une tâche pendant une période prolongée.

Le lien entre la perception d'un stimulus et la réaction comportementale.

L'influence des tendances cognitives sur la façon dont nous accordons notre attention.

Le système cognitif est conçu pour optimiser son fonctionnement en fonction des situations.

La capacité à diriger et à concentrer son attention sur des stimuli spécifiques tout en ignorant les distractions.

La capacité à diriger son attention sur un stimulus spécifique tout en ignorant d'autres stimuli pertinents.

Des modèles théoriques qui cherchent à expliquer comment le contrôle attentionnel et la préférence attentionnelle fonctionnent.

La manière dont les individus rapportent leur propre expérience attentionnelle.

La manière dont le comportement observable reflète les processus attentionnels.

Une théorie qui explique comment les émotions influencent les processus cognitifs, y compris l'attention.

Une réduction de l'anxiété observée lorsque l'attention est dirigée vers des stimuli positifs.

L'attention est dirigée vers des indices émotionnels positifs.

Tendance à être excessivement préoccupé par des pensées ou des émotions négatives.

Sensibilité accrue aux stimuli émotionnels et sensoriels.

Difficulté à contrôler ses pensées et ses actions.

Prédisposition à l'anxiété, même en l'absence de menace immédiate.

Tendance à porter plus d'attention aux stimuli qui pourraient être perçus comme menaçant, même si le danger est faible.

Une situation expérimentale où les participants sont confrontés à des stimuli incohérents ou contradictoires.

L'impact d'un biais sur une étape précise du traitement de l'information.

L'effet d'un biais sur la façon dont nous réagissons à un stimulus.

L'anxiété-état est le niveau d'anxiété qu'une personne ressent à un moment donné.

Le biais attentionnel en situation d'anxiété est la tendance à porter son attention disproportionnellement sur les menaces potentielles.

Les mécanismes envers la menace sont des réponses cognitives et comportementales automatiques qui visent à se protéger des dangers.

Un traitement cognitif plus rapide lorsqu'une personne est attentive à l'emplacement spatial où l'information est présentée.

Le biais attentionnel peut influencer l'interprétation de l'information, en fonction de ce à quoi on est attentif.

Une tâche où les participants doivent détecter la présence ou l'absence d'un stimulus spécifique dans un champ visuel.

L'attention peut être facilitée vers un emplacement spatial où l'attention a déjà été allouée, rendant la détection plus facile.

Une hypothèse selon laquelle l'effet du biais attentionnel est amplifié lorsque l'attention est déjà focalisée sur le même emplacement.

Un effet en cascade du biais attentionnel, où l'attention influence l'interprétation de l'information, qui peut ensuite influencer d'autres étapes du traitement cognitif.

L'attention peut influencer le temps de réaction à un stimulus, le rendant plus rapide lorsque l'attention est focalisée sur l'emplacement du stimulus.

L'attention peut influencer la façon dont le cerveau traite l'information, affectant ainsi le traitement final.

Un biais attentionnel où les individus sont plus susceptibles de porter attention aux stimuli négatifs ou menaçants, plutôt qu'aux stimuli positifs.

Un biais attentionnel qui survient lorsque notre attention est déjà fortement attirée par un stimulus particulier, ce qui rend difficile l'orientation de l'attention vers d'autres stimuli, même s'ils sont importants.

Un biais attentionnel qui se produit lorsque l'interprétation d'un stimulus est influencée par nos états émotionnels ou nos expériences passées, ce qui peut biaiser notre perception de la réalité.

Ce processus commence par un signal externe, comme un bruit soudain, et déclenche une réponse émotionnelle telle que la peur. Cette réponse déclenche ensuite une série de pensées et d'actions qui peuvent être biaisées par l'état émotionnel de l'individu.

La capacité à maintenir son attention sur une tâche pendant une période prolongée, même en présence de distractions.

Un modèle de traitement de l'information où les souvenirs négatifs ou négatifs sont traités plus facilement que les souvenirs positifs.

Un modèle de traitement de l'information où les souvenirs sont fortement influencés par les états émotionnels actuels de l'individu.