Anatomie: Spécialité Médecine

Anatomie Spécialité Médecine

• La sensibilité extéroceptive discriminative synapse dans la moelle épinière avant de monter dans le tronc cérébral.
• La racine dorsale émerge de la moelle épinière au niveau du sillon latéral dorsal.
• La somatotopie des fibres nerveuses sensitives est corticale.
• Le tractus paléospinothalamique relaie des informations au tronc cérébral.
• Les noyaux graciles et cunéiformes se trouvent sur la face postérieure de la moelle épinière.
• La sensibilité de la pulpe du doigt est représentée au niveau du gyrus pariétal ascendant.
• Le deuxième neurone de la sensibilité extéroceptive discriminative est le lemnisque médian.
• La sensibilité proprioceptive consciente possède des propriétés neurophysiologiques différentes de la sensibilité extéroceptive discriminative.
• La sensibilité empruntant le tractus spino-cérébelleux dorsal reste homolatérale et uniquement présente au niveau de la moelle épinière thoracique.
• Le syndrome d'hémi-moelle entraîne une atteinte controlatérale à la sensibilité extéroceptive thermoalgique.
• Le neurone thalamo-cortical de la proprioception inconsciente n'est pas le dernier neurone de cette sensibilité.
• Le cervelet intervient dans le tonus antigravitationnel.
• Les leptoméninges jouent un rôle dans le maintien et la fixation du système nerveux central (SNC).
• L'arachnoïde se situe sous la dure-mère ostéopériostée.
• La pie-mère est dissociable du SNC au niveau des sinus veineux.
• Le feuillet ostéopériosté de la dure-mère a une organisation différente en intracrânien et en intrarachidien contrairement au feuillet encéphalique.
• Les ligaments dentelés peuvent se retrouver en intracrânien pour aider au maintien de la partie initiale des nerfs crâniens.
• Le volume moyen de liquide céphalo-rachidien (LCS) est situé entre 125 et 150 mL chez une personne de taille moyenne.
• Une hypoglycorachie suggère un possible diabète.
• Le LCS contient des cellules.

Neuroanatomie

• Il existe trois types de motricité.
• La motricité réflexe peut se définir comme étant l'étirement d'un muscle en réaction à sa propre contraction.
• Il existe trois types de fibres au sein d'un muscle strié : intra fusoriales, neuromusculaires et extra fusoriales.
• La boucle gamma n'est pas responsable du mouvement.
• La boucle alpha n'implique pas les fibres extra fusoriales.
• En cas d'atteinte du premier neurone de la motricité volontaire, il y a une disparition de la modulation du réflexe myotatique.
• Les motoneurones alpha ne s'auto-modulent pas.
• Le réflexe d'étirement nécessite plus d'une synapse.
• La motricité réflexe est inconsciente.
• La motricité réflexe est une réponse des muscles qui ne doivent pas être au repos, ou excitable.
• La motricité automatique n'est pas une petite composante du mouvement.
• Le cervelet joue un rôle important dans la motricité automatique.
• Le paléocérébellum est n'est pas le cervelet le plus ancien et n'est pas présent chez les reptiles.
• L'archéocérébellum ne recouvre pas le paléocérébellum et néocérébellum.
• Le néocérébellum agit comme un métronome dans la motricité automatique.
• Le centres récepteurs de l'archéocérébellum sont l'uvula et le flocculus.
• Le centre intégrateur de l'archéocérébellum est le noyau fastigial.
• Les afférences de l'archéocérébellum proviennent du vestibule.
• Le 9ème nerf crânien, dans sa composante vestibulaire, informe le noyau vestibulaire.
• Le tractus longitudinal médian unit les noyaux des nerfs oculomoteurs et n'est pas une voie efférente de l'archéocérébellum.
• Les centres récepteurs du paléocérébellum sont la lingula, le centralis, le culmen, l'uvula et le lobe quadrilatère supérieur, ainsi que les tonsilles cérébelleuses.
• Les centres intégrateurs et effecteurs du paléocérébellum sont les noyaux interpositums.
• La plus grande afférence du paléocérébellum n'est pas la proprioception consciente.
• Le tractus tegmental ventral n'unit pas les corps striés, le thalamus et certains noyaux gris du tronc cérébral.
• L'ivresse affecte le paléocérébellum.
• Les voies de la motricité volontaire ne sont pas des voies à trois neurones.
• Le premier motoneurone de la motricité volontaire se situe dans le gyrus précentral et non préfrontal.
• Le tractus cortico-nucléaire est responsable de la motricité volontaire du cou et du tronc.
• Le tractus cortico-nucléaire fait synapse avec les noyaux des nerfs crâniens.
• le tractus cortico-nucléaire décusse au fur et à mesure qu'il fait synapse au niveau du tronc cérébral.
• Seulement 10 à 15% des fibres du tractus cortico-spinal décussent au niveau de la moelle allongée.
• Le tractus cortico-spinal ne chemine pas au niveau des pédoncules cérébelleux.
• Le tractus cortico-spinal s'étale au niveau du pont du tronc cérébral.
• La capsule interne est située en dedans du noyau lenticulaire et en dehors du thalamus et du noyau caudé.
• L'artère choroïdienne antérieure participe à la vascularisation de la capsule interne.

Thorax

• En L5, on ne retrouve pas l'ombilic.
• La limite supérieure du thorax est le diaphragme.
• La limite supérieure du thorax est bien la face supérieure de la première côte.
• La coupole diaphragmatique droite n'est pas plus basse du fait de la présence du foie.
• L'angle de Louis est convexe en avant.
• La vertèbre lombaire la plus antérieure est L3, elle n'est pas biconcave.
• TH6 est biconvexe.
• Après K7, les prochaines côtes sont flottantes
• Les dernières côtes sont parallèles à l'horizontale.
• Le sternum s'étend de TH1 à TH10.
• L'intercostal interne a la même orientation que l'intercostal intime.
• Les intercostaux sont des muscles longs car ils longent l'ensemble de l'arc costal.
• Le nerf intercostal est un nerf sensitif, il explique les douleurs intercostales.
• L'artère intercostale est l'élément le plus crânial de l'espace intercostal.
• Le nerf intercostal est situé sous l'artère adjacente.
• Le psoas et l'iliaque ont une insertion proximale commune.
• Le nerf pudendal ne passe pas entre les deux faisceaux du psoas.
• Le carré des lombes n'est pas innervé par le nerf fémoral.
• Le grand droit de l'abdomen n'est pas le meilleur fléchisseur du rachis lombaire.
• Ce muscle (grand droit de l'abdomen) est tendu du 5ème cartilage chondro-costal à la symphyse pubienne.
• La faux inguinale correspond au tendon conjoint et au rapport latéral du canal inguinal.
• L'orifice profond est plus latéral que l'orifice superficiel.
• Les hommes peuvent être concernés par une hernie à travers le canal péritonéo-vaginal.
• L'orifice profond du canal inguinal est délimité en haut par de petite fibres de Henle.
• L'orifice superficiel du canal inguinal est délimité en haut par des petites fibres de Nicaise.
• Le diaphragme est un muscle strié.
• C'est un muscle multigastrique, au même titre que le grand droit de l'abdomen.
• Le cœur repose sur la miroir de Van Helmont, une structure musculaire.
• Cette structure possède une foliole antérieure plus petite que les autres.
• Le nerf phrénique a pour racine C4
• Le ligament arqué médian s'étend de K12 à L1
• Le ligament arqué médial s'étend du corps de L2 jusqu'au processus transverse de L1.
• Le ligament arqué médial présente un pilier droit en regard de L3-L4, et un pilier gauche en regard de L2-L3.
• Les arcades de Sénac se trouvent au-dessus du muscle transverse de l'abdomen
• La bandelette semi circulaire supérieure va de la foliole gauche à la foliole droite du centre tendineux du diaphragme.
• Autour du diaphragme, les muscles lisses avec des fibres antérieures sont orientés dans un plan horizontal.
• Le diaphragme est oblique vers le bas et l'arrière.
• L'orifice œsophagien s'insère sur le ligament arqué médian.
• Dans l'orifice le plus proximal du trigone lombo-costal passe le nerf grand splanchnique.
• En expiration complète, la coupole diaphragmatique droite se situera au niveau du 5ª espace inter-costal.
• L'orifice supérieur du thorax ne fait pas 10 cm dans le plan antéro-postérieur.
• Les rebords costaux se trouvent en L2-L3.
• La bronche souche gauche est plus horizontale que la bronche souche droite.
• Il en existe 2 nerfs phréniques.
• Le médiastin est la portion médiane du thorax, entre les deux plèvres pulmonaires.
• Le nerf vague émerge de la boîte crânienne par le foramen magnum.
• Le nerf laryngé inférieur droit remonte sous l'arc aortique.
• Les vaisseaux péricardiaco-phréniques participent à la vascularisation de la face inférieure du diaphragme.
• Les vaisseaux péricardiaco-phréniques sont des branches du système artériel sous-clavier.
• Il existe une unique veine pulmonaire gauche.
• La bronche principale gauche se trouve en-dessous de l'artère pulmonaire gauche
• La plèvre du hile pulmonaire est appelée ligament triangulaire.
• Le tronc pulmonaire se divise en 2 branches au-dessus de l'arc aortique.
• L'artère pulmonaire gauche est plus longue que l'artère pulmonaire droite.
• L'œsophage a initialement une position antérieure à la trachée.
• La veine hémi-azygos accessoire draine les 3 ou 4 espaces inter-costaux inférieurs.
• La limite inférieure du quadrilatère de Bourgery est l'arc aortique.
• L'artère subclavière gauche passe au-dessus de K1.
• Le défilé interscalénique est une pince verticale qui peut comprimer l'artère subclavière.
• A droite, la racine médiale de la veine azygos peut venir de la veine rénale droite.

Rétropéritoine

• La symphyse pubienne est orientée vers le bas et l'avant.
• Tout ce qui se trouve sous la ligne arquée appartient au pelvis.
• Une limite postérieure de l'espace rétropéritonéal latéral est formée par le muscle carré des lombes.
• Contre la face antérieure des reins, on retrouve du péritoine viscéral.
• Le pancréas est un organe rétro-péritonéal.
• Des artères cœlomiques partent de l'aorte abdominale à destination des organes de l'espace rétropéritonéal.
• Le fascia de Toldt recouvre le pancréas.
• La rate se trouve sur le versant gauche de l'abdomen.
• Au cours de la morphogenèse, un phénomène de rotation des éléments cœlomiques entraîne un accolement des différents feuillets péritonéaux entre eux.
• L'ouverture du petit bassin regarde vers l'avant.
• Le nerf ilio-hypogastrique est purement sensitif.
• Le nerf ilio-inguinal traverse le psoas et longe le bord des vaisseaux iliaques communs et externes avant de se diviser en 2 branches.
• Le nerf cutané latéral de la cuisse est formé des racines L1-L2.
• Une des branches du nerf génito-fémoral traverse l'anneau inguinal profond en suivant le ligament rond chez l'homme.
• La racine L2 participe à la formation de 4 nerfs du plexus lombal.

Physiologie spécialité médecine

• L'ATP est constituée d'un ribose, d'une adénine et de trois groupements phosphates (α, β et γ).
• Les ATPases sont indispensables à l'hydrolyse de l'ATP.
• La combustion est un phénomène d'oxydo-réduction.
• La combustion libère de l'énergie.
• La théorie glucostatique suppose que le glucose inhibe le centre de la faim.
• Le contexte physique comme la température ou le décor influence la prise alimentaire.
• La grégarité est un facteur environnemental qui influence la prise alimentaire
• Le sommeil constitue une influence extérieure à la prise alimentaire
• La représentation du corps bien portant varie selon la culture parentale et sociétale
• La relation parent-enfant influence la prise alimentaire.
• Les mécanismes de distribution des métabolites dans l'organisme diffèrent selon les métabolites.
• Le cerveau ne stocke pas de glucose.
• En cas d'apport insuffisant en graisse, le mécanisme de lipogenèse s'enclenche.
• On assimile 130 g/j de lipides.
• Chaque jour, on assimile 0,8 g/kg de masse corporelle.
• A la membrane apicale de la cellule épithéliale, un transporteur sodium-dépendant permet de faire passer le glucose et le galactose en intracellulaire.
• La glycolyse anaérobie produit 6 ATP par carbone du glucose.
• La glycolyse aboutit à la production d'Acétyl-CoA.
• Les équivalents réducteurs provenant notamment du cycle de Krebs entrent dans la chaîne respiratoire pour produire de l'ATP.
• La chaîne respiratoire permet la consommation d'eau oxydation.
• Étapes de l'absorption des graisses : Émulsion lipidique, gouttelettes lipidiques, micelles, chylomicrons, HDL, et LDL.
• Les acides aminés peuvent traverser la cellule par phénomène de transcytose.
• On observe un cotransport de petits peptides et de sodium à la fois au niveau apical et basal de la cellule.
• Les protéases situées dans l'estomac et l'intestin permettent d'hydrolyser les protéines en acides aminés ou petits peptides.
• L'hélice de Lynen permet la production d'un Acétyl-CoA et enlève 2 atomes de carbone à l'acide gras.
• Pour le catabolisme des graisses, le cycle de Krebs peut utiliser uniquement les AG issu de la B-oxydation.
• Afin de faire face à une diète glucidique, les muscles squelettiques peuvent dégrader leurs protéines de structure afin de fournir au foie des acides aminés pour alimenter une fonction.
• La voie des corps cétoniques n'utilise pas de lipides et des acides aminés.
• La néoglucogenèse peut se faire à partir des lipides et des acides aminés.
• Les AA peuvent retourner dans le cycle de Krebs pour alimenter la voie des corps cétoniques.
• Au niveau du foie, des réactions de transamination et de désamination des acides aminés peuvent permettre de produire du pyruvate.
• Les déchets du métabolisme cellulaire ne sont pas produits qu'à une certaine température.
• La température de l'être humain est constamment maintenue par des systèmes de régulation.
• Les poïkilothermes ont une température variable mais régulée.
• Les crocodiles sont ectothermes.
• L'être est une espèce dont la température centrale dépend du milieu ambiant.
• Les thermorécepteurs au froid sont situés plus en profondeur que les thermorécepteurs au chaud.
• L'hypothalamus postérieur est sensible au froid.
• Les thermorécepteurs périphériques sont de neurones hypothalamiques.
• Les thermorécepteurs centraux ne se retrouvent pas de façon diffuse dans tout l'organisme.
• Les thermorécepteurs périphériques n'ont pas d'organisation histologique particulière.
• Les canaux ioniques thermo-TRP sont cationiques.
• Les canaux ioniques thermo-TRP effectuent la transduction du signal thermique en signal électrique.
• Les canaux ioniques thermo-TRP sont formés de 6 segments transmembranaires (STM).
• Les canaux ioniques thermo-TRP ne se retrouvent pas uniquement au niveau des terminaisons dendritiques libres.
• Il existe plusieurs catégories de thermorécepteurs.
• Les fibres C sont sensibles au froid.
• La sensibilité au froid est véhiculée à 1 m/s.
• Plus la zone concernée est grande, plus on perçoit la variation de température.
• Les récepteurs toniques s'adaptent très peu
• La densité de thermorécepteurs reste au niveau du tronc est de 1 par cm au carré.

Hypothalamus

• L'hypothalamus est situé en dessous de l'hypophyse.
• L'hypothalamus peut influer sur le comportement, grâce au cortex frontal notamment.
• L'hypophyse, via l'intermédiaire de la voie nerveuse, contrôle des glandes endocrines comme la thyroïde.
• Le système limbique se projette avec des voies nerveuses sur l'hypothalamus.
• La formation réticulée du tronc cérébral est une efférence Hypothalamique.
• Le noyau ventromédial joue un rôle dans la satiété.
• Les corps mamillaires ne sont pas impliqués dans la régulation de l'appétit.
• Le noyau postérieur de l'hypothalamus est impliqué dans la régulation du froid.
• Le noyau suprachiasmatique impacte l'horloge biologique, le rythme circadien et l'initiation de la prise alimentaire.
• Le noyau arqué régule la prise alimentaire et la lactation parmi d'autres.
• Le contrôle hypothalamique de la post hypophyse utilise un système spécifique, le système porte hypothalamo-hypophysaire.
• Les neurones hypothalamiques du lobe postérieur de l'hypophyse relarguent l'ADH et l'ocytocine dans la circulation générale.(système porte hypothalamo-hypophysaire)
• Les neurones hypothalamiques de l'adénohypophyse se projettent directement dans le lobe antérieur de l'hypophyse.
• Le fonctionnement du système porte hypothalamo-hypophysaire implique des récepteurs qui vont déclencher ou inhiber la sécrétion d'hormones dans la circulation générale.
• La post hypophyse est composée principalement d'axones.

Histologie - Embryologie spécialité médecine

Développement

• La progestation a lieu pendant la durée unicellulaire au blastocyste et le déplacement de l'embryon.
• La nidation débute au 8ème jour et se termine vers le 14ème jour.
• L'éclosion permet le passage de la zone pellucide pour permettre l'implantation.
• On voit la formation de la lécithocèle et du cytotropheblaste.
• Concernant la gastrulation, elle se déroule de J15 à J22 et permet la formation de 3 feuillets : ectoderme, mésoderme, et endoderme.
• On assiste aussi a l'apparition de la ligne primitive.
• De J23 à J28 permet la mise en place de l'étape de délimitation embryonnaire, avec notamment la fermeture du tube neurale au niveau cérébral et caudal ou encore au niveau du tube digestif.
• Enfin, l'organogenèse a lieu jusqu'à la fin de la grossesse et même pendant la première année de vie et permet la formation des organes.

Formation du tube nerveux

• Les neuropores antérieurs et postérieurs ne se ferment pas simultanément.
• La membrane pharyngienne est antérieure.
• Le canal chordal est composé de mésoderme.
• Les cellules ne migrent pas et s'enfouissent pas par le blasto pore du nœud de Hensen.
• L'aire neurale induite par le canal chordal ne concerne pas tout l'embryon.
• L'appareil circulatoire et l'appareil digestif se met en place lors de la morphogenèse primaire.
• La cavité amniotique de l'embryon est au contact de l'épiblaste.
• La membrane cloacale est en lien avec le futur territoire digestif et vesico-urinaire.
• Le canal chordal ne disparaît pas entièrement à J18.
• A J18, le mésoblaste latéral est une lame de tissu conjoctif qui entoure le canal.
• A J21, avec la formation des bandelettes ganglionnaires, le tube nerveux est arrondi.
• A J21, avec la formation des bandelettes ganglionnaires, le tube nerveux est arrondi.
• Les lames alaires du tube nerveux sont obédience sensitive.
• Les lames fondamentales se réunissent pour former le toit du tube nerveux.
• Le manteau est le territoire le plus proche du canal de l'épendyme du tube nerveux.
• On distingue deux parties dans le tube nerveux; une composée de cellules nerveuse et de dendrites et une deuxième composée de fibres nerveuses amyélinisées et d'une densité plus faible de corps cellulaires/
• L'étape de division reste dans la matrice du tube nerveux.
• Les piliers de Corti ne proviennent pas d'une division tangentielle.
• Les cellules gliales sont des cellules de soutien du tissu nerveux, et subissent la même division que celle des autres composantes.
• Les piliers de Corti migrent pas à la surface des cellule gliale.
• L'anencéphalie, l'hydrocéphalie et le spina bifida sont des anomalies du tube nerveux au niveau caudal.

Appareil génital masculin

• Il est formé d'un épithélium stéréocilié.
• Il en existe 1 seul au total chez un individu.
• Son épithélium est pseudo-stratifié, présent des cils vibratiles à son pôle apical.
• Il permet d'assurer la nutrition et l'acquisition de la mobilité des spermatozoïdes.
• Sa lumière est irrégulière.
• La glande interstitielle ne joue pas un rôle central dans la spermatogenèse (ce sont les cellules de Sertoli).
• Il y a des léiomyocytes pas dans la parois.
• Les tubes séminifères sont coupés transversalement.
• Le rete testis est situé dans le testicule.
• La spermiogenèse est une étape de spermatogenèse et dure 23 jours.
• Un neurite amyélinique peut être protégé par une cellule de schwann.
• La cellule de Schwann protège les neurites du système cerveau périphérique.
• La myéline est composé d'un enroulement de membrane plasmique de la cellule de Schwann
• La fente formée par la gaine de myéline c'est le noeud de Ranvier.
• Il existe un mésaxone interne et toujours un mésaxon externe.

Appareil urinaire

• L'appareil juxtaglomérulaire est bien l'ensemble de cellules permettant contrôle de filtration.
• Les podocytes s'apposent sur la face du revêtement du capillaire glomérulaire.
• Il existe une communication chimique entre TCP et pas appareil juxtaglomérulaire.
• Le tube contournée distal est situé au niveau du cortex.
• La branche grêle de anse de Henle qui possède des cellules cubiques.
• L'épithélium de la vessie doit pas maintenir un volume constant.
• La paroi de la vessie bien capable de supporter à pH élevées.
• Épithélium de la vessie pas polymorphe et pseudo-stratifié.
• Les fibres des lisses de la vessie sont disposées dans tout les directions .
• Les en raquettes pas une forment un empilement sur la face apicale.