PSE-1049 Dépendances Cours 1 2024 PDF

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RoomyCombinatorics

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Université du Québec à Trois-Rivières

2024

Myriam Beaulieu, Mélissa Côté, Natacha Brunelle, Valérie Piché, Annie Gendron, Pascale Alarie-Vézina, Mylène Lecours

Tags

addiction substance use disorders psychological theories social and emotional health

Summary

This document is a course outline for a course on addictions. It introduces basic concepts related to substance use, various theoretical models of addiction, diagnostic criteria (DSM-V), and historical context. The course is part of a psychoeducation and social work program of UQTR.

Full Transcript

PSE-1049 Dépendances Cours 1 – 10 septembre2024 Contenu élaboré par Myriam Beaulieu, Mélissa Côté, Natacha Brunelle, Valérie Piché, Annie Gendron et Pascale Alarie-Vézina. Adapté et présenté par : Mylène Lecours, chargée de cours....

PSE-1049 Dépendances Cours 1 – 10 septembre2024 Contenu élaboré par Myriam Beaulieu, Mélissa Côté, Natacha Brunelle, Valérie Piché, Annie Gendron et Pascale Alarie-Vézina. Adapté et présenté par : Mylène Lecours, chargée de cours. Département de psychoéducation et travail social. Plan du cours 1 Présentation du plan de cours Introduction : ○ Notions de base en dépendance, diagnostic TUS et vignettes cliniques ○ Mise en contexte historique Début théorie sur les conceptions de la dépendance : ○ Modèle de maladie chronique du cerveau et critiques ○ Modèle biopsychosocial ○ Vision en continuum de l’usage Faisons connaissance… Parcours académique et professionnel Communications: ○ Mylè[email protected] ○ Utilisation du courriel UQTR ○ Délai de réponse 24-48h Composition du groupe ○ Programme? Année? ○ Expérience en intervention? En dépendance? Quelle est votre conception de la dépendance? Vos « a priori » par rapport à la dépendance? Pourquoi avez-vous choisi ce cours? Plan de cours Objectif général du cours: Vise à développer chez l’étudiant une connaissance de base critique sur le phénomène des dépendances et sa compréhension en prenant appui sur les dimensions biopsychosociales qui y sont associées. Objectifs spécifiques a. Connaître les principales substances psychoactives (SPA). b. Connaître l’ampleur relative de la consommation et de surconsommation de SPA, des habitudes de jeux de hasard et d’argent (JHA) et d’utilisation des écrans, en termes de prévalence populationnelle mais aussi en termes de niveaux de sévérité d’usages, et ce, en fonction de l’âge et du sexe. c. Comprendre les différentes théories et facteurs explicatifs reliés aux dépendances. d. Comprendre les processus et les trajectoires de dépendances et de rétablissement de celles-ci. e. Comprendre les aspects légaux touchant les SPA. f. Comprendre les liens qui existent entre les dépendances d’une part, et entre celles-ci et certains problèmes associés (ex. la délinquance et les problèmes de santé mentale) d’autre part. Contenu, calendrier & évaluations Contenu prévu au calendrier sujet à changement (dates vs thèmes). Examen 1 (intra) – 08 octobre 2024 – 30% Examen 2 (intra) – 19 novembre 2024 – 30% Examen 3 (final) – 17 décembre 2024 – 40% Stratégies pédagogiques et fonctionnement Cours magistraux Vidéos/Invités Lectures dirigées Zoom Caméras ouvertes + nom bien identifié Pas d’enregistrements. Au besoin : rencontre (contacter par courriel). Vos attentes, besoins? Introduction Notions de base/Glossaire Substance psychoactive (SPA) Toute substance qui, en exerçant un effet sur le système nerveux central, peut affecter l’humeur ou le comportement. Black-out Perte momentanée de mémoire après avoir consommé une drogue. Souvent présent avec l’alcool ou le GHB (drogue du viol). Badtrip Épisode désagréable survenant après la prise de substances psychoactives. Caractérisé par un état de malaise général, anxiété, instabilité de l’humeur, panique et délires paranoïdes. Craving En français on utilise parfois « forte envie de consommer ». Fait référence à une envie impérieuse et irrésistible de consommer un produit, dans une grande intensité et impulsivité. Surdose, overdose Prise intentionnelle ou accidentelle d’un produit quelconque en quantité supérieure à la dose limite supportable pour l’organisme Provoque divers symptômes pouvant aller jusqu’à la mort. Ben Amar, 2015 Notions de base/Glossaire Tolérance Résulte du phénomène de neuroadaptation (adaptation physiologique suite à une prise en quantité élevée ET régulière d’une substance psychoactive). *sera abordé plus précisément + tard Augmentation des quantités nécessaires pour ressentir le même effet OU la quantité habituellement consommée ne procure plus les mêmes sensations. Sevrage Ensemble de symptômes physiques et psychologiques désagréables lorsqu’il y a diminution brusque ou un arrêt de la consommation. Souvent un effet contraire à l’effet principal (ex. humeur dépressive en sevrage de cocaïne). Durée du sevrage dépend du temps que l’organisme prend pour se rééquilibrer (neuroadaptation). Certains produits doivent être arrêtés graduellement (pour limiter sx désagréables/dangereux) DEUX phases: Phase aiguë: liée à la dépendance physique. C’est l’étape de désintoxication (durée de qq jours à qq semaines). Peut nécessiter un encadrement médical. Phase subaiguë: liée à la dépendance psychologique. L’attraction du produit et les cravings disparaissent en quelques mois ou quelques années. Acier, 2012; Ben Amar, 2015 Trouble d’utilisation d’une substance (TUS) - Critères diagnostiques (DSM- V) - Vignettes cliniques Critères diagnostiques du TUS Mode d’usage problématique qui conduit à une altération du fonctionnement/ une souffrance cliniquement significative. Présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois: 1. Perte de contrôle sur les quantités et le temps; 2. Désir persistant ou efforts infructueux pour diminuer ou cesser; 3. Beaucoup de temps consacré à l’obtention de la substance ou à sa consommation; 4. Désir impérieux de consommer, « craving »; 5. Incapacité de remplir des obligations importantes (travail, école, à la maison); APA, 2013 Critères diagnostiques du TUS 6. Persistance d’usage malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux; 7. Activités (sociales, loisirs, occupationnelles) réduites au profit de la consommation; 8. Consommation récurrente dans des situations où physiquement dangereux; 9. Persistance d’usage malgré la présence de problèmes physiques ou mentaux; 10. Tolérance; 11. Symptômes de sevrage. APA, 2013 Critères diagnostiques du TUS Trois degrés de dépendance différents: Trouble léger (2 à 3 Trouble modéré (4 à 5 Trouble sévère manifestations) manifestations) (6 et +). APA, 2013 Vignette clinique #1 Mario consomme de la cocaïne une fois par semaine, le samedi (avec ses coéquipiers après une partie de hockey) et ce depuis 6 mois. Depuis la première fois, il sniffe toujours environ un demi-quart dans sa soirée. Il n’a jamais expérimenté de conséquences négatives physiques ou sociales de cette consommation. Il ne se considère pas toxicomane et n’a jamais fait de demande de traitement. Il travaille à temps plein et a une vie de couple heureuse. Vignette clinique #2 François est un célibataire de 25 ans. Il occupe un emploi à temps plein dans une imprimerie. Il consomme de la cocaïne depuis 5 ans. Au début, il voulait en consommer seulement les samedis soirs et arrêter quand il trouverait un emploi stable. Mais il en consomme quotidiennement depuis 1 an et il doit régulièrement augmenter ses doses pour retrouver un effet. Il s’injecte depuis environ 6 mois. Il s’absente régulièrement du travail et ses employeurs lui ont donné un ultimatum. Il ne visite presque plus sa famille et ne joue plus au hockey, ses deux activités préférées... En fait, il passe de plus en plus de son temps intoxiqué ou à la recherche de cocaïne. Il a commencé à vendre du pot et des amphétamines pour être capable de s’acheter plus de cocaïne. Il ressent un manque intense s’il passe une journée sans consommer et il devient très fatigué dans ces moments-là. Il a tenté de cesser sa consommation deux fois depuis un an, mais il n’est pas capable considérant qu’il se sent terriblement mal physiquement. Mise en contexte historique et conceptions de la dépendance Image: New-York tribune,18 décembre 1917 Mise en contexte historique ✴16-18ème siècle Usage des drogues exotiques s’introduit dans les sociétés occidentales. Amérique du Nord: introduction de l’alcool dans les communautés autochtones. par les colonisateurs. Échangé dans les postes de traite. Pas d’encadrement légal de la consommation de substances psychotropes. Introduction de l’opium en Amérique du Nord via la colonisation (vendu comme médicament). ✴19 ième siècle Pas ou peu d’encadrement légal. Démocratisation et extension de l’usage des drogues (révolution industrielle → + de circulation des produits et diminution des prix). Naissance du mouvement de tempérance au Canada (fin du siècle). Première dépendance identifiée: alcool (1849: le suédois Magnus Huss décrit le concept d’alcoolisme chronique). Toxicomanie: terme introduit vers 1880. (Nourrisson,2017;Coalitioncanadiennedespolitiquessurlesdrogues,2023) Mise en contexte historique ✴20ième siècle Début du siècle : Marqué par un durcissement des lois et la prohibition. Le toxicomane est vu comme un délinquant. Premières conventions internationales. ❖ Vers 1950 Émergence du modèle de santé publique. Premiers défenseurs de ce modèle au Canada (C.-B.): Earnest Winch et Dr. Lawrence Ranta (plaident pour la distribution d’héroïne légale aux personnes qui en sont dépendantes). ❖ Vers 1960 Essor du modèle de la maladie Elvin Mortin Jellinek décrit l’alcoolisme comme maladie progressive et incontrôlable ❖ Années 70-80 Plusieurs chercheurs publient des travaux qui remettent en question le modèle de maladie : Peele, Marlatt, Sobell & Sobell, etc. - Dépendance = résulte de plusieurs expériences - Rétablissement naturel - Prévention cognitivo-comportementale de la rechute - Consommation contrôlée - Etc. (Coalition canadienne des politiques sur les drogues, 2023; Donovan et al., 2012; George et al., 2012; Jellinek, 1960; Marlatt et al.,1973; Nadeau, 1983; Nourrisson, 2017; Peele, 1977, 1979; Peele e Peele (1982); image de https://larelance.net/on-en-jase/les-dependances/le-cycle-de-lassuetude/ Mise en contexte historique ✴ 20ième siècle (suite) Années 90, étude du cerveau à l’aide de l’imagerie médicale; o Plusieurs avancées dans notre compréhension de l’initiation et du maintien du TUS o Usage répété de SPA modifie certaines structures du cerveau ↓ TUS = maladie chronique du cerveau (Carter et al., 2009; Roman, 2013) Le modèle de maladie chronique du cerveau en bref Plus nuancé dans la conception des facteurs qui influencent l’initiation, mais facteurs qui expliquent le maintien sont uniquement bioneurologiques : Usage transforme structures du cerveau Ces modifications créent inaptitude permanente à contrôler les comportements de consommation ▪ Observation du circuit neurologique impliqué dans le phénomène de craving Tirée de Volkow, 2015, p.4 (Kauer et Malenka, 2007; Leshner, 2001;MacKillop, 2019; McKay, 2009b; McLellan et al., 2000; NIDA, 2018; Volkow et al., 2010; Volkow, Koob et McLellan, 2016). Critiques du modèle de maladie chronique du TUS 1. Une conception monolithique du TUS 2. La notion d’incontrôlabilité 3. La notion d’irrévocabilité 27 1. Une conception monolithique du TUS Absence de gradation dans la sévérité du problème : problème chronique pour tous ceux qui ont un TUS. Absence de nuance : la plupart des études ont été menées auprès de populations cliniques ○ Non représentatives de l’ensemble des personnes présentant un TUS ○ Population hétérogène (profils transitoire et chronique) (Brochu, Patenaude, Landry et Bertrand, 2014; Chauvet et al., 2015; Heyman, 2009; Kelly, Bergman, Hoeppner, Vilsaint et White, 2017a; Müller et al., 2020; Stinson et al., 2006) 28 1. Une conception monolithique du TUS (suite) Biais de Berkson: étude sous la lunette des cas les plus sévères Portrait déformé des manifestations et des conséquences du TUS Si on considère la prise en compte des études non cliniques : portrait qui ne cadre pas avec la conceptualisation chronique Taux de rémission élevés et rechute faibles Rémission sans traitement Courbe développementale (15-24 ans) (Heyman, 2009; Seeley, Farmer, Kosty et Gau, 2019; Kairouz, Boyer, Nadeau, Perreault et Fiset-Laniel, 2008;McQuaid et al., 2017;Robins, Davis et Goodwin, 1974) 29 1. Une conception monolithique du TUS (suite) Le TUS n’est pas un phénomène homogène sur le plan de la sévérité et des manifestations. Incorrect d’appliquer les conclusions d’études menées auprès d’une minorité à une majorité pour qui le TUS n’a pas la même ampleur. Pour plusieurs chercheurs, la notion de chronicité s’appliquerait uniquement : à ceux présentant un profil plus sévère. (Acier, Nadeau et Landry, 2008; Fleury et al., 2016; Hall et al., 2015; Kairouz et al., 2008; Kelly et al., 2017b, McKay, 2013; McQuaid et al., 2017; White et McClellan, 2008; Wiens et Walker, 2015) 30 2. La notion d’incontrôlabilité Tirée de Koob et Le Moal., 2006, p.38 31 2. La notion d’incontrôlabilité Usage prolongé entraine des modifications dans plusieurs structures du cerveau; Plusieurs mécanismes et neurotransmetteurs impliqués; Parmi eux, la dopamine est le neurotransmetteur le plus étudié (dopamine = plaisir). Circuit récompense : association entre l’usage et la sensation de plaisir. Neuro-adaptation : diminution de la quantité de dopamine libérée suite à l’usage prolongé Hyper activation du circuit recherche de SPA : la personne va porter davantage attention aux stimuli reliés à la consommation. Création d’un cercle vicieux et phénomène de craving. (Koob et Le Moal, 2006; Nutt et Nestor, 2018). 32 2. La notion d’incontrôlabilité En résumé, les modifications dans les différentes structures entrainent une incapacité à contrôler ses comportements de consommation. À propos des personnes présentant un TUS, le NIDA mentionne que : « leur cerveau a été altéré par les drogues au point où leur libre arbitre a été «détourné» et leur désir de consommer est hors de leur contrôle » [traduction libre] (NIDA, 2013) 2. La notion d’incontrôlabilité 33 Sauf que … la plupart des études sur lesquelles s’appuient le NIDA ont été réalisées en laboratoire, dont plusieurs auprès d’animaux à l’aide d’une méthodologie d’auto-administration Et où les chercheurs contrôlent l’exposition et l’accès à la substance. Donc, validité écologique affectée : Pas représentatif de la réalité sur le plan psychologique et environnemental; Les conclusions de ces études ne permettent pas d’inclure des facteurs naturellement présents dans le contexte d’un individu présentant un TUS. Tirée de Carmack et al., 2019 (Ahmed, 2012; Burgess et al., 2006; Field et Kersbergen, 2 34 2. La notion d’incontrôlabilité Le fait de se concentrer uniquement sur les facteurs d’ordre neurobiologique conduit à : une « sursimplification » des capacités de décision humaine. Les causes et le maintien du TUS sont complexes et reposent sur l’interaction d’un ensemble de facteurs. Le concept du libre arbitre n’est pas dichotomique : Concept dynamique dans la vie d’une personne présentant un TUS; Consommation contrôlée possible après un problème de dépendance; Importance de facteurs psychologiques dans les mécanismes menant à des changements de comportements. (Dawson, Goldstein et Grant, 2007; George et al., 2012; Heyman, 2017; Mann, Schäfer, Längle, Ackermann et Croissant, 2005; Miller, 1996; Snoek, 2017; Vaillant, 2003; Young, 2017) 35 3. La notion d’irrévocabilité Selon ce modèle, la perte de contrôle de la consommation est un phénomène irrévocable. « Alcoolique un jour, alcoolique toujours ; est un simple fait avec lequel on doit vivre » [traduction libre](AA, 2017, p.9) Le TUS peut être traité, mais pas guéri. Relève des similitudes entre les maladies physiques chroniques et le TUS : Étiologie similaire (environnement/biologique); Détérioration en l’absence de traitement; Taux de rechute similaire suite à un traitement; Faible taux de rémission. (Douaihy et Driscoll, 2018; Humphreys et McLellan, 2010; McLellan et al., 2000; O'Brien et McLellan, 1996; White et McClell 3. La notion d’irrévocabilité Pour les tenants du modèle de maladie chronique du cerveau, le TUS est une : «relapsing brain disease» (maladie récurrente) ; Les modifications neurologiques qui en sont la cause demeurent présentes malgré les périodes d’abstinence. The Journal of Neuroscience, 21(23):9414-9418. 2001 (Campanella et al., 2020; Carter et al., 2009; Leshner, 1997; NIAAA, 2020; NIDA, 2018;Volkow, Fowler, Wang, Baler et Telang, 2009; Volkow et al., 2001). 3. La notion d’irrévocabilité Oui, il existe certaines similitudes entre les maladies physiques chroniques et la proportion de personnes touchées plus sévèrement par le TUS, MAIS, le terme chronique n’est pas adéquat puisqu’il renvoie à l’aspect incurable d’une maladie. ✓ Il est possible de se rétablir d’un TUS même si le parcours s’échelonne sur plusieurs années! Le rétablissement n’est pas linéaire : Une mesure d’abstinence dichotomique réalisée peu après un traitement ne permet pas de prendre en compte le changement. Une rechute après le traitement ≠ échec du traitement. (Dictionary of Health Education, 2010; Kougiali, Fasulo, Needs et Van Laar, 2017; Maisto et al 2018). Critique du modèle de maladie chronique du TUS: en conclusion Les avancées dans le domaine neurologique ont permis d’améliorer notre compréhension de plusieurs phénomènes impliqués dans le développement et le maintien du TUS, Notamment la taille du défi qu’est l’arrêt/diminution de la consommation. Mais ces découvertes ne doivent pas mener à une sursimplification de phénomènes complexes : Donne l’image d’un automate qui obéit à des commandes neurobiologiques; Nuit au sentiment d’autoefficacité. 38 (Burnette et al., 2019; Carreno et Pérez-Escobar, 2019; Heather et al., 2018; Peele, 2016; Snoek, 2017; Wiens et Walker, 2015). Biologique Facteurs de Facteurs génétiques risque Modifications psychologiques Conception neurologiques résultant de Bio-psycho-sociale de la dépendance l’usage de SPA Problèmes de santé Différences individuelles mentale dans les réactions Impulsivité physiologiques aux Difficulté de régulation substances émotionnelle Etc. Etc. Facteurs de risque sociaux Faible soutien social Expériences familiales traumatiques Pression des pairs Etc. Approche développementale CAMH, 2021 Vision en continuum de l’usage SPA, JHA et internet Vision en continuum de l’usage SPA, JHA et internet Distribution dans la population Dépendance TUS Usage à risque incluant l’abus Usage récréatif Acier (2016) Pour la semaine prochaine… Visionner la capsule de l’Association des intervenants en dépendance du Québec (AIDQ) sur les raisons de la consommation de drogues : https://www.youtube.com/watch?v=WLGStZYkur4 Visionner le court métrage de Andreas Hykade, Nuggets : https://www.youtube.com/watch?v=OH0prpRN2nE

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