La Conscience - Philosophie PDF
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This document explores the concept of consciousness, examining different perspectives and theories from philosophers like Platon and Descartes. It delves into the nature of knowledge, the role of introspection, and the potential limits of consciousness.
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La conscience Au sens courant et ordinaire, la conscience apparaît comme la connaissance, plus ou moins claire qu'à un sujet de ses pensées et de ses sentiments. La conscience est caractérisée par sa réflexivité par elle. L'homme homme sait qu'il pense où qu'il agit. Elle apparaît comme un mouvemen...
La conscience Au sens courant et ordinaire, la conscience apparaît comme la connaissance, plus ou moins claire qu'à un sujet de ses pensées et de ses sentiments. La conscience est caractérisée par sa réflexivité par elle. L'homme homme sait qu'il pense où qu'il agit. Elle apparaît comme un mouvement réflexif sur soi assuré par la pensée. Poser le problème de la conscience, c'est donc s'interroger sur la connaissance qui prétend donner à l'homme de lui lui-même, Son mode d'action et son avènement. Peut-on parler d'autonomie de la conscience si la conscience est un terme inventé par les latins ne trouve-t-on pas cependant dans la pensée grecque, réflexivité et introspection nécessaire pour parvenir à la connaissance ? Mais la conscience est-elle en elle-même une connaissance est-elle la première connaissance ou faut-il distinguer penser connaître et considérer que la conscience est plutôt ce qui rend possible la connaissance. Faut-il penser que la conscience est immédiate ou au contraire qu'elle exige la médiation du monde et d'autrui et dans ce cas ne faut-il pas parler d'un processus d'avènement de la conscience ? La conscience doit-elle alors se penser comme une sphère intérieure et autonome ou nife, faut-il pas au contraire, la considérer comme essentiellement liée au monde à la culture ou même au corps sans lesquels elle ne serait pas ? I\) connais-toi toi-même Platon, le Charmide Le mot conscience n'existe pas en grec, il vient du latin cum sientia. Cela On ne veut pas dire que les Grecs ne sont pas conscients puisque l'on retrouve le terme réflexivité et intériorité dans le Charmide Platon, prêt à Socrate. Connais-toi toi-même cependant elle ne provient pas de Socrate car elle était inscrite sur le fronton du temple de Delphes la connaissance de soi dont on parle. Socrate n'est pas du tout une connaissance d'ordre psychologique. Pour Socrate se connaître soi-même, c'est être capable d'évaluer son degré de savoir et d'ignorance afin de rendre possible la connaissance et la vertu on a donc bien l'idée d'une flexibilité de la pensée mais ce travail de l'homme sur lui-même, peut-être entravé par le corps, ce que peut montrer Platon dans Charmide en distinguant, le même et l'autre, le même. C'est tout ce qui est de même nature que l'âme et l'autre c'est tout ce qui est différent. L'homme doit faire l'effort de rentrer en lui-même pour échapper à l'influence de ce que Platon appelle l'autre, c'est-à-dire à l'influence de ce qui est sensible, car dans l'intériorité de la pensée se trouve pour l'homme, la possibilité d'avancer effectivement vers les intelligibles chez Platon, on trouve bien l'idée d'une réflexivité de la pensée et une intériorité de la pensée nécessaire. Cependant, il ne s'agit pas de penser le sujet en tant que tel car la pensée n'est réfléchie qu'au regard du but qu'elle doit donner pour tâche d'atteindre à savoir les intelligible, le problème de la connaissance de soi se repose donc si on pense sur la conscience d'un sujet, la conscience peut-elle vraiment apparaître comme la connaissance ? II\) conscient et connaissances 1\) la conscience et la première connaissance. Descartes, le discours de la méthode et les méditations métaphysique. Dans ces deux ouvrages des cartes donnent pour but de fonder la connaissance de telle sorte qu'elles soient aussi fiable qu'un raisonnement mathématique. Or, il s'aperçoit que ce qu'on lui a enseigné est incertain, parfois entaché d'erreur et relève de l'opinion et que d'autres part les sens peuvent nous tromper des cartes décide de faire table, rase de repartir à zéro. Je m'appliquerai sérieusement avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions, Descartes Pour cela, il élabore la méthode du doute radical. Celle-ci consiste à révoquer en doute, c'est-à-dire à considérer comme faux, tout ce qui ne fait pas l'objet d'une certitude claire et distincte des cartes, commencer à appliquer sa méthode mettant en doute les données des sens. Pour cela, il élabore l'hypothèse du rêve. Descartes constate en effet que les sens peuvent nous tromper, car si parfois ils disent vrai, ils peuvent parfois nous induire en erreur. L'hypothèse du rêve lui permet de remettre en doute la totalité des données des sens Ainsi, alors qui paraît sur je suis assis auprès du feu, vêtu d'une robe de chambre, ce papier entre les mains, rien ne me prouve que je suis en train de rêver car je peux quand je rêve éprouver des impressions quel que soit les données des sens. Il est donc possible de douter. Il faut donc considérer tout ce que nous percevons par l'essence comme faut, mais l'hypothèse du rêve et le doute qu'elle génère ne justifie pas ce qui concerne les réalités intellectuelles, car enfin soit que je veille, soit que je dorme deux et 3 juin ensemble ferons cinq. Descartes élabore donc une seconde hypothèse susceptible de remettre en doute des vérités intellectuelle comme les maths, ils abordent donc une nouvelle hypothèse qui devient métaphysique. Dieu devient donc un Dieu trompeur, car il pourrait truquer les évidences et pour pourrait faire que je me trompe à chaque fois que je fais l'addition de 2 + 3. Sa méthode, une fois appliquée Descartes à effectuer table, rage, il ne reste plus aucune certitude. Cependant, la radicalité du doute, prépare en fait la première certitude, première vérité, indubitable. 2\) cogito ergo sum Cogito \~\> je pense Ergo \~\> donc Sum \~\> je suis Descartes montre qu'après avoir tout remis en doute, il ne lui reste qu'en certitude que celle d'être en train de penser. Cette proposition résiste à cette supposition du rêve et d'un Dieu trompeur. En effet, même si je me trompe quand je crois sentir quelque chose ou que je pense quelque chose il reste à assurer que c'est moi qui pense , j'ai donc la certitude de penser des cartes va pouvoir en déduire la certitude d'exister je pense donc il est certain que je suis enfin il faut conclure et tenir compte que cette proposition je suis j'existe est nécessaire mais en vrai toutes les fois que je la prononce et le conçoit en mon esprit, cette proposition je pense, résiste au doute et s'affirme donc donc comme la première certitude indubitable, première au fondement de la connaissance, tu veux montrer Descartes Pourtant, est-ce que la conscience Peut s'affirmer comme une connaissance. ? 3\) conscience et connaissance du moi Avec le cogito, une connexion est établie entre la pensée et la conscience. D'où découle la nécessité de l'existence. Cependant, le cogito fait abstraction de tout continu et ne pose que la condition de la pensée, c'est-à-dire que ce n'est pas le contenu de ma pensée, et conscience, qui est affirmé par le cogito, mais seulement le fait que je pense et donc que j'existe. Le Cogite donne à l'homme sa première connaissance à savoir sa connaissance immédiate du mois comme suspens. On s'étend assurée par une simple, un simple retour de la pensée sur elle-même. Ce que l'homme sait de lui par la conscience ne concerne ni son histoire, ni sa psychologie, simplement le fait qu'il pense, mais alors comment penser les rapports du corps et de la conscience ? 4\) corps et conscience Selon des cartes, le corps et la conscience sont des substances différentes différentes que la conscience n'aurait pas besoin du corps pour exister pourtant des cartes considère que ces deux substances sont en union étroite, et une forme qu'une seule totalité même si le corps est l'esprit conscience sont des substances différentes. Il ne cesse d'agir l'un sur haut. La conscience agit sur le corps par le biais de la volonté et le corps agit sur la conscience par le guet des passions, passion, qui doit être pris en sens étymologique soit souffrir et subir la passion est définie par des cartes comme une action du corps sur sur l'esprit, la fin soif ou douleur sont des passions qui affecte l'esprit et la conscience. À partir de la Descartes distingue deux catégories de passion, des passions, bonnes passions dans lesquelles le corps agit sur la pension du bien du corps ou de sa conservation, enfin soi, les mauvaises passions, passion, sous lesquels, lesquelles le corps a servi l'esprit, et il faut donc lutter Contrelle par la raison et la volonté Selon des cartes, la conscience quasi immédiate de la pensée par elle-même et la première certitude, mais aussi la première connaissance par une pure intuition intellectuelle, c'est-à-dire en savoir rationnel immédiat. La confiance donne à l'homme la connaissance du mot comme substance de conscience, mais si on considère que l'homme ne peut avoir d'intuition as tu es Tuel, mais que des intuitions sensibles, n'est-ce pas tomber dans une illusion de la raison de croire que la conscience serait une connaissance du moi. Dans ce cas, elle est véritablement le statut de la conscience et le lien à l'entretien avec la connaissance. B\) la conscience rend possible la connaissance Kant, critique de la raison pure 1\) but de Kant et système de la connaissance Dans la critique de la raison pure qu'on ne répond à la question. Que puis-je savoir, c'est-à-dire qu'il cherche à évaluer les limites de la connaissance humaine. Selon compte deux facultés sont nécessaires au travail de la connaissance, la sensibilité, l'entendement, la sensibilité. C'est la faculté qui donne à l'homme l'objet à connaître son rôle consiste à percevoir, elle perçoit grâce à deux formes. A priori l'espace et le temps qui constituent le cadre du travail des sens. L'espace et le temps sont dit a priori car ce sont des structures de notre esprit que nous nous représentons à chaque fois que nous percevons quelque chose du fait, l'homme ne peut rien percevoir en dehors de l'espace et du temps la chose ainsi perçu par l'homme, dans l'espace et le temps s'appelle le phénomène c'est la chose à connaître. La sensibilité constitue donc à la fois la condition de possibilité de la connaissance puisqu'elle nous donne un objet à connaître et sa première limite, c'est-à-dire que l'homme ne peut connaître que des phénomènes, c'est-à-dire en même temps, qui ne connaîtra jamais les noumènes, c'est-à-dire les choses, telles qu'elles sont indépendamment de la façon de les percevoir, noumène choses en elle-même Mais cela ne signifie pas que l'homme doit renoncer à toutes ambitions de vérité. L'entendement et la faculté qui constituent la connaissance du phénomène. Il travaille grâce à des catégories a priori structure de notre esprit qui lui permet d'organiser le contenu de l'expérience, ce qui est perçu par la sensibilité, sous forme de loi scientifique, l'entendement construit sur le phénomène des concepts, des jugements de connaissances et des lois scientifiques qui constituent la connaissance du phénomène. Même la seule connaissance possible quand s'oppose donc à des cartes lorsqu'il affirme la conscience et la connaissance immédiate du moi car il n'y a pas connaissance immédiate puisque toute connaissance exige la perception d'un phénomène, puis d'un travail de l'entendement. 2\) le mois est une idée de la raison si l'assemble possibilité est entendement sur les facultés nécessaires au travail de la connaissance, l'indispose. Cependant d'une autre faculté, la raison, elle n'intervient pas dans le travail de connaissance. Elle tend à répondre à des questions auxquelles entendement ne répond pas. La raison, produit des santés supérieure qui donne à des idées telles que le mois le monde et Dieu, à partir de là quand établi une différence d\'entre pensées et connaître si l'on peut penser, Dieu et le moi, on ne peut pas pour autant prétendre les connaître car l'homme ne peut connaître que des phénomènes et que Dieu et le moi ne sont que des idées. Ainsi on peut les penser mais pas les connaître. Ces idées peuvent s'aérer mais elles peuvent aussi par le biais de paralogisme peut conduire à l'illusion de croix qu'elle peut faire l'objet d'une connaissance. Ce qui n'est pas le cas. Par conséquent, il faut dire avec quand que des cartes lorsqu'il affirme que la conscience donne la connaissance du mois tombe dans une illusion de la raison si la conscience ne peut s'affirmer être une connaissance du moi car le moi est une idée et non la connaissance d'un phénomène et que l'homme ne peut avoir une anti une intuition intellectuelle d'un phénomène, il faut se demander en quoi consiste la confiance et quel est son rôle ? 3\) Le statut du jeu, selon le jeu, c'est la conscience il est une représentation simple par elle-même, tout à fait vide de contenu, le jeune désigné une intuition, le fruit de la sensibilité, ni le un concept fruits de l'entendement. Il n'est qu'une représentation logique. La simple forme de la conscience. Le jeu est une représentation qui accompagne les pensées et qui ne les rend pas. Le jeu est une représentation qui apparaît toujours dans une pensée. Ce qui veut dire que le jeu ne peut être un terme vide de contenu. À partir de là qu'on distingue l'identité logique du sujet. Le jeu, la conscience de l'idée substantielle du mois. L'individu qui change dans le temps de l'idée du -1 synthèse produite par la raison identité de la conscience du mois même en différent temps n'est donc une condition formelle de mes pensées et de leur enchaînement et ne prouve pas du tout l'identité numérique de mon sujet, en qui, malgré l'identité logique du mois peut très bien se produire en changement, tel qu'il ne permet plus d'en conserver l'identité numérique, c'est le sujet substantiel, l'identité logique du moi soit de soi. Même si au cours de ma vie je change au point de ne plus être ce que j'étais la conscience ou le jeu, c'est-à-dire le sujet logique. Reste toujours le même et c'est grâce à lui que je peux penser. Le jeu où conscience est une représentation vide c'est la première représentation et par conséquent elle précède des possibles. Représentation par la sensibilité et l'entendement. Le jeu c'est là que c'est moi qui pense dans le temps. La conscience peut donc pas être une connaissance comme le penser descartes,, car c'est une logique vide, Qui accompagne les pensées et ses représentations les rend possible Il faut donc distinguer la conscience que je suis de la connaissance de ce que je suis selon Kant, la conscience où je ne donne pas à l'homme la connaissance de lui-même puisque qu'elle est une forme logique vide, et l'homme ne se connaît lui-même que comme phénomène, tel qu'il s'apparaît dans l'espace et le temps au courant de l'expérience pourquoi quand estime-t-il contre Descartes, que la conscience de soi n'est pas une connaissance si Descartes et Kant font un opposition sur la question de savoir si oui ou non, la confiance de soi est une connaissance. Il ne s'interroge pas sur l'émergence de la confiance, faut-il penser alors que la conscience est immédiate, tout contraire, qu'elle exige pour advenir à elle-même à la médiation de quelque chose d'extérieur à la pensée III\) la conscience, résume le résultat d'un processus dialectique, Hegel phénoménologie de l'esprit dialectique du maître de l'esclave Selon Hegel, la conscience n'est pas immédiate car elle exige la médiation du monde et surtout d'autrui parce que la conscience passe nécessairement par une reconnaissance mutuelle en cette dernière ne s'obtient que par un processus dialectique c'est-à-dire un processus en trois faces successives et nécessaire. L'affirmation, l'opposition et la réconciliation. Il explique dans la dialectique du maître et de l'esclave processus dialectique qui mène à la reconnaissance mutuelle et donc la conscience. Dans la première phase. La phase d'affirmation de conscience immédiate sont mise en présence. Elles sont dites immédiate parce qu'elles n'ont pas encore connu le processus les opposants au monde et à autrui. Elles se résume chacune à une identité de soi, or, ces deux consciences vont chacune éprouver le désir de reconnaissance. Le désir d'être reconnu par une autre. C'est ce désir qui enclenche le processus dialectique et conduit à la phase de position. La seconde phase de la dialectique, en phase d\'opposition, prend la forme d'une lutte à mort en toutes les deux consciences immédiates, chacune, lutte pour être reconnu par l'autre, comme conscience, libre, mais face aux risques de la mort. Les deux consciences ne réagissent pas de la même façon, l'une éprouve de la peur, la peur de mourir et parvient de se faire aux sentiments d'elle-même. Elle devient l'esclave tandis que l'autre, qui n'a pas peur de la mort, devient le maître à ce stade la reconnaissance mutuelle est impossible car si l'esclave reconnaît bien le maître comme homme et être libre, le maître n'a que faire de cette reconnaissance puisque lui ne reconnaît pas l'esclave mais l'esclave va devoir travailler pour le mettre et c'est son travail qui va permettre aux deux conscience de devenir effective, l'esclave de travail et transforme la nature pour la rendre conforme aux désirs du maître qui lui se contentent de jouir du travail, de son esclave, l'esclave laisse alors la trace de son esprit dans la nature aménagement de la nature. Il devient alors capable de se reconnaître lui-même comme esprit dans son œuvre, sa reconnaissance de l'esclave par lui-même n'est pas suffisant pour lui donner la confiance effective en effet n'est pas reconnu par une autre conscience mais elle va lui permettre d'exiger du mètre qui est devenu dépendant. À force de ne rien produire la reconnaissance. On arrive alors à la troisième troisième et dernière phase de la dialectique phase de réconciliation, c'est le stade de la reconnaissance mutuelle. Chacun reconnaît l'autre comme homme, c'est-à-dire comme être conscient et libre. IV\) limite de l'autonomie de la conscience 1\) la conscience et le corps Gusdorf traité de métaphysique ; Olivier Sacks l'homme qui prenait sa femme pour un chapeau Gusdorf, s'oppose à l'idée cartésiennes selon laquelle corps et conscience serait deux substances différentes selon lui. En effet, elle ne faut pas séparer l'esprit et la matière à dire au contraire qu'il forme une seule totalité l'exercice de la conscience. L'usage du corps est, il serait donc absurde de mettre au point, d'un côté, une science de la matière et de l'autre une pure spiritualité, car dans les deux cas, on rate là la spécificité de l'être personnel 2\) déterminisme social et culturel de la conscience. Piaget et Marx Bourdieu. On peut parler D'une sorte de déterminisme social et culturelle de la conscience. L'idée du déterminisme et l'idée que l'homme est le résultat d'un certain nombre de facteurs qui n'a pas choisi et qui le font être ce qu'il est premièrement parce que c'est advenir à la conscience l'enfant doit parvenir à se désigner par le pronom jeu, ce qui suppose, comme le montre Pia, l'apprentissage du long tout-petit. L'enfant se désigne à la troisième personne, et on considère qu'il ne se distingue pas véritablement des autres et des choses quand il se désigne par le pronom "je", alors l'apprentissage du langage n'est pas neutre, apprendre à parler, c'est toujours recevoir en même temps une éducation morale et politique. C'est aussi recevoir toute une culture en héritage, c'est à partir de Marx, ce qui émerge l'idée non plus d'une influence d'une culture sur la conscience, mais d'un véritable déterminisme socio-économique. Ce n'est pas la conscience qui fait la vie mais la vie qui fait la conscience cela signifie que ce sont les conditions de travail, les structures économiques et la classe sociale à laquelle on appartient qui qui déterminent la de l'individu, marque para de conscience de classe, un sociologue Bourdieu sur la base des travaux de marque développe l'idée de l'individu dans les moindres pensées des actions ne serait que le produit de sa socialisation et secondaire.