Gestion des Organisations PDF

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Summary

This document provides an introduction to the study of organizational management, covering its importance, characteristics, and functioning. It presents different perspectives and definitions for understanding organizations, exploring the concept of organizations and discussing their key characteristics.

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Introduction L’objet de l’introduction est de présenter l’intérêt d’étudier la gestion des organisations. I. De l’importance de la gestion Pourquoi s’y intéresser ? La gestion ouvre sur trois perspectives principales :  L’art du management des phénomènes complexes : en particulier, elle perme...

Introduction L’objet de l’introduction est de présenter l’intérêt d’étudier la gestion des organisations. I. De l’importance de la gestion Pourquoi s’y intéresser ? La gestion ouvre sur trois perspectives principales :  L’art du management des phénomènes complexes : en particulier, elle permet de traiter le dilemme « tradition vs innovation »  L’anticipation du changement  L’analyse du champ des possibles L’objet d’études de l’organisation est « l’organisation » :  Elle permet d’étudier toute forme d’organisation et pas seulement la forme juridique de l’entreprise.  On s’intéresse donc à toute forme productive de biens et de services, qui peuvent être marchands ou non marchands. Ce cours vise donc à donner des clefs pour comprendre le fonctionnement des différentes structures dans lesquelles vous serez amenés à évoluer, principalement l’entreprise, mais pas seulement (services publics, associations…). II. Qu’est-ce qu’une organisation ? 1. Quelques définitions Le point de départ consiste à s’interroger sur la nature d’une organisation. Les définitions sont multiples et proviennent de différents courants de pensée. Nous pouvons citer, par exemple :  Scott (1987) propose de caractériser une organisation selon trois critères : une collectivité qui partage un intérêt commun à survivre, une collectivité poursuivant des buts spécifiques grâce à une structure formalisée, une conciliation d’intérêts variables qui poursuivent un but commun grâce à la négociation.  Robbins (1987) définit l’organisation comme une entité de coordination aux frontières identifiables et poursuivant de manière durable des objectifs partagés par les participants.  Katz et Kahn (1966) considèrent l’organisation comme une entité repérable pouvant accéder à des ressources reposant dans son univers extérieur, possédant une finalité et fonctionnant sur un principe d’échange.  Crozier (1963), dans une vision plus sociologique considère l’organisation comme une réponse au problème de l’action collective qui se pose dès qu’un projet ou une activité ne peut être mené par l’exercice des capacités d’un seul individu.  Desreumaux (1998) définit l’organisation comme étant « tout à la fois une entité créée pour conduire une action collective (un hôpital, une association, un parti politique), son agencement (définition des tâches, répartition) et les processus pour produire à la fois l’entité et son agencement ». 5  Mintzberg (1979) considère l’organisation comme un ensemble relativement stable d’acteurs tournés vers des objectifs généraux communs et qui, en vue de leur réalisation, recourent à la division du travail et à de modalités de coordination et de contrôle. Plus généralement l’organisation désigne la façon dont une institution se structure par l’action de ses dirigeants, par l’influence de l’environnement ou ses règles de comportement. 2. Caractéristiques principales L’organisation se caractérise donc par quatre caractéristiques principales :  Une vocation : utilité économique, sociale ou politique. L’organisation se donne des objectifs à atteindre  Des frontières : limites financières (propriété), d’autorité (commandement, gouvernance), géographique (territoire)  Un patrimoine : matériel et immatériel  Un degré d’ouverture vers l’extérieur : se projeter dans un espace plus grand que celui déjà conquis. En effet, l’organisation est un système ouvert (Figure 1). Elle doit avoir des frontières poreuses sachant que le degré d’ouverture est différent pour chacune d’entre elles. Eléments fournis par Ce qu’accomplit Eléments consommés l’environnement l’organisation par l’environnement INTRANTS EXTRANTS Main-d’œuvre Ressources financières Produits finis Matières premières Processus de Biens ou services Technologie transformation Information Rétroaction du consommateur Figure 1 : L’organisation comme système ouvert 3. Fonctionnement de l’organisation : le dépassement d’un idéaltype Les caractéristiques que nous venons d’aborder tendent à s’affaiblir :  Frontières : développement du travail en réseau, des partenariats, innovation ouverte, les frontières sont désormais modulables 6  Patrimoine : questions de la protection de la propriété industrielle, du stockage et de l’échange de connaissance. Le savoir se vend mais ne se transfère par facilement car il est notamment ancré dans les individus.  Ouverture sur l’environnement : filialisation  Vocation : l’évolution des échanges internes et avec les partenaires peut faire évoluer les vocations et les objectifs. En effet, l’organisation est un phénomène complexe et non naturel, c’est une construction humaine. Elle nécessite en permanence de prendre des décisions et de fixer des objectifs. Cette caractéristique entraîne des conflits entre les parties prenantes (Cyert et March, 1963)1. De même, son développement n’est pas mécanique et des différences existent entre les organisations : les mêmes facteurs de production n’aboutissent pas aux mêmes résultats (Leibenstein, 1966)2. Les modes de contrôle sont également diversifiés : marché, actionnaires, dirigeants de PME, société civile… II. À quoi sert la gestion ? Le mot « Gestion » provient du latin gestion – action de gérer – et désigne les processus d’administration des organisations. Les sciences de gestions se sont développées dans les années 1950, principalement pour traiter des questions de management. Elles ont pour objectif de générer et d’améliorer la connaissance des relations qui sous-tendent les processus productifs. Pour cela, elles cherchent à définir des principes de mise en œuvre des ressources et de management de l’action collective :  Économies de moyens, équilibre financier  Satisfaction des clients, des adhérents, des membres…  Mobilisation des acteurs, des salariés, des bénévoles (besoin de répartir les tâches, de coordonner les individus)  Gestion des ressources et du temps Elles cherchent également à définir les différentes méthodes de conduite des processus productifs. Les processus productifs se caractérisent, en effet, par trois traits dominants :  Des contraintes technologiques et économiques qui imposent des raisonnements rationnels, voire déterministes (les savoirs permettent de construire le projet),  Une dimension humaine qui fait naître des phénomènes de pouvoir et des conflits d’autorité,  Une dépendance vis-à-vis de l’environnement qui contraint à prévoir face à l’incertain. La gestion se définit par rapport à un triptyque objectif/moyens/résultats. Elle consiste à maîtriser des problèmes résultant des arbitrages entre les objectifs, la mise en ouvre des moyens et le contrôle des résultats. La performance, quant à elle, correspond aux concepts de cohérence (moyens adaptés aux objectifs), d’efficacité (résultats conformes aux objectifs) et d’efficience (résultats à la hauteur des moyens utilisés) (Figure 2). 1 Voir la théorie behavioriste de la firme. 2 Voir le concept d’inefficacité X. Il permet de caractériser la différence entre le comportement théorique le plus efficace et le comportement réel de l’entreprise. 7 OBJECTIFS ORGANISATION MOYENS RESULTATS Efficience Figure 2 : Définition de la gestion La gestion consiste à prévoir (anticiper, définir le positionnement concurrentiel, analyser l’environnement), décider, agir (répartir et coordonner le travail, agir sur le marché) et contrôler. 1. Qui sont les gestionnaires ? Il existe trois grands types de gestionnaires au sein des organisations :  Les cadres dirigeants : qui définissent la stratégie et instaurent les règles (les objectifs)  Les cadres intermédiaires : qui traduisent les objectifs et mettent en œuvre les plans d’action (les moyens)  Les agents de maîtrise et les chefs d’équipe : qui veillent à la réalisation des objectifs 2. L’entreprise : un type d’organisation particulier L’entreprise est une cellule de production gérée selon une logique économique (cf. Taylor et l’OST) :  Elle vise à minimiser ses coûts.  Elle recherche un équilibre des coûts par les recettes.  Elle vise à dégager un surplus maximum de recettes. Cependant, il faut noter que cette rationalité économique – qui considère que les individus ont pour but de maximiser leurs recettes – est limitée car les individus qui composent l’entreprise ne perçoivent pas toutes les contraintes auxquelles ils sont soumis (Cyert et March, 1963). De plus, chaque entreprise fixe ses propres contraintes (nombre de salariés, choix de localisation…). 8 Il ne faut également pas oublier que l’entreprise, c’est également un groupe d’hommes et de femmes. Ces individus ont des exigences et des sensibilités différentes :  Les salariés recherchent un salaire, un statut et la sécurité de l’emploi.  Les actionnaires, bailleurs de fonds recherchent des dividendes et des plus-values.  Les prêteurs perçoivent leurs intérêts et remboursements.  La société civile attend de la solidarité, de la participation, de la précaution mais aussi de la responsabilité sociale.  Les clients attendent des produits adaptés et à un prix compétitif. De même, ces personnes sont animées par des motivations diverses qui ne sont pas seulement liées à la rémunération3. Maslow (1943) a proposé une hiérarchie des besoins en cherchant à trouver une explication aux motivations des individus considérant que derrière chaque motivation il est possible de trouver l’accomplissement d’un besoin. Ces besoins sont hiérarchisés certains étant présents en permanence, d’autres étant plus ponctuels. Au sein de l’entreprise, les individus se regroupent donc en coalitions liées par des engagements réciproques afin de trouver des compromis et atteindre leurs objectifs. Le but de la gestion est de mettre en cohérence les exigences insatiables des acteurs, au moins pour un temps donné. Figure 3 : La pyramide de Maslow a. La diversité des entreprises Le concept d’entreprise recouvre des réalités socio-économiques différentes selon leur forme juridique, leur secteur d’activité ou encore leur taille. L’entreprise est considérée comme une entité juridiquement autonome qui a pour objet de produire des biens ou des services. Deux grands types de statuts juridiques existent (Tableau 1). 3 Voir notamment les travaux d’Elton Mayo sur les conséquences des tâches répétitives du taylorisme sur les travailleurs. 9 Tableau 1 : Les deux grandes formes juridiques des entreprises L’entreprise individuelle La société  Immatriculation auprès de la CCI ou La société est une personne juridiquement de la Chambre des métiers et de différente des associés : une personne l’Artisanat morale. Elle doit donc posséder :  Engagement financier limité  Une dénomination sociale  Responsabilité totale et indéfinie sur le  Un siège social patrimoine personnel  Un capital social (pour faire face à  L’entrepreneur prend seul les ses besoins) décisions  Des administrateurs qui la représentent également auprès des tiers  Des statuts Les entreprises peuvent également être classées selon leur secteur d’activité :  Le secteur primaire : extraction des matières premières  Le secteur secondaire : transformation de la matière première en produit manufacturé  Le secteur tertiaire : commercialisation d’un produit manufacturé Elles peuvent enfin être classées selon leur taille4 :  Micro-entreprise ou TPE : moins de 10 personnes  Petites et moyennes entreprises (PME) : moins de 250 personnes  Entreprises de taille intermédiaire (ETI) : entre 250 et 4999 personnes  Grandes entreprises (GE) : plus de 5000 personnes b. Les grands enjeux actuels Les enjeux principaux que les entreprises doivent gérer à notre époque sont de deux ordres : les questions de responsabilité sociale et d’innovation technologique. En ce qui concerne les questions de RSE, les parties prenantes5 sont de plus en plus demandeuses d’une prise en compte des préoccupations sociales et environnementales dans leurs activités. Elle consiste donc à intégrer les objectifs du développement durable dans la stratégie pour adopter des actions prenant en compte l’économie, l’environnement et le social. Le deuxième enjeu concerne les activités d’innovation comme vecteur :  De création de nouveaux marchés  De réponse à de nouveaux besoins  De compétitivité  De réduction des inégalités  Et enfin de résistance aux changements de l’environnement organisationnel. 4 Décret n° 2008-1354 du 18 décembre 2008 relatif aux critères permettant de déterminer la catégorie d’appartenance d’une entreprise pour les besoins de l’analyse statistique et économique. 5 Une partie prenante est un acteur qui est impacté par les activités de l’entreprise, qu’il soit internes (dirigeants, salariés, actionnaires, syndicats) ou externes (fournisseurs, clients, banques, États, ONG…). 10 Cet enjeu est de plus en plus associé aux questions d’innovation collaborative (innovation ouverte) afin :  De pallier le manque de ressources,  Partager les risques,  Améliorer la créativité. 3. Quelle est la place des sciences de gestion ? Si la gestion est ancienne, les sciences de gestion sont jeunes et coïncident avec l’apparition de nouvelles sciences comme notamment :  La Cybernétique et la théorie des systèmes (Wiener).  L’étude des signaux et du traitement de l’information (Shannon et Weaver) : Question de la circulation de l’information. Est-ce que l’information est reçue comme le voudrait l’émetteur ?  Les processus de décision opérationnelle : Comment celui qui doit prendre une décision va la construire, sur quelles bases et sur quels critères ? L’individu ne possède que des éléments limités de l’information (Simon, 1947). De même, l’information n’aura pas la même valeur selon sa provenance (quelqu’un de confiance ou information publique…).  Sciences de l’artificiel : elles s’inscrivent dans les sciences de la cognition, c’est-à-dire l’étude de la manière dont on traite l’information, on prend des décisions… Les sciences de gestion ont également profité d’un renouvellement épistémologique qui s’est produit à cette époque. Ce dernier se caractérise principalement par trois aspects :  Le premier concerne le passage de l’analyse cartésienne au paradigme de la rationalité ouverte. Le 20e siècle a vu se développer le paradigme de la rationalité ouverte. On s’intéresse désormais à une multiplicité de méthodes de réflexions, de nouvelles hypothèses…  Ouverture au champ des raisonnements intentionnels, reproductibles. L’intention joue dans le mode de prise de décision…  Passage de l’expérimentation à l’observation d’objets construits et non naturels. Les sciences de gestion se différencient et s’autonomisent des sciences économiques. En particulier 2 points de divergence ressortent :  Le comportement de l’entrepreneur ne peut être expliqué par la micro-économie : - manager versus actionnaire - salarié versus sous-traitant  Les acteurs de l’entreprise ont des intérêts divergents : - gestion des rapports de force - corporate governance Salariés ont le désir d’obtenir des conditions de rémunération et de vie les plus intéressantes mais ils veulent aussi conserver leur poste. 4. La théorie des organisations Dans la théorie des organisations, l’entreprise est principalement étudiée à travers le prisme du modèle industriel. Le modèle industriel dominant est celui développé par Taylor caractérisé par :  le travail à la chaîne et « sa compensation » : le salaire au rendement. De plus Taylor invente des contrats à durée indéterminée. Auparavant, l’ouvrier était payé à la tâche 11 ou à la journée. Ce type de contrat constitue une compensation importante de la charge de travail découlant du travail à la chaîne.  Un objectif de minimisation des coûts. Ce modèle a notamment été conforté par le développement de la théorie X6 (McGregor, 1960) qui considère que l’individu moyen possède une aversion pour le travail impliquant donc un besoin de contrôle et de contrainte. L’individu cherchant la sécurité avant tout, il fuit alors les responsabilités confortant les dirigeants dans leurs convictions. Des alternatives au modèle taylorien ont été développées. En particulier, Henri Fayol va développer une réflexion sur l’entreprise en la considérant non pas exclusivement comme un lieu de production mais comme un lieu de gestion et de prévision ou le chef d’entreprise a un rôle fondamental à jouer. Cette vision doit influencer la manière dont la firme est organisée (niveaux hiérarchiques, outils de gestion…) Les travaux de Max Weber suggèrent également que les responsabilités et les règles doivent structurer l’organisation (organisation bureaucratique), fondée sur une séparation entre le poste et l’individu qui l’occupe. La réflexion sur les modèles industriels n’est pas figée. Elle consiste aujourd’hui à s’interroger sur l’enrichissement des tâches, la motivation des individus et la régulation des antagonismes de groupes. La théorie X évolue vers la théorie Y qui considère que si l’on donne des responsabilités à l’individu, il sera intéressé à l’endosser si elle n’est pas accompagnée de sanction. On considère donc que le comportement des individus est plus complexe qu’on ne le pensait mais également plus intéressant pour l’entreprise. La gestion des ressources humaines est donc au cœur de la productivité de l’entreprise. La réflexion sur les facteurs de motivation (cf. Maslow) permet d’améliorer cette productivité. En effet, il s’agit de mettre les motivations des individus au service des objectifs de l’entreprise. Des compensations peuvent être proposées aux insatisfactions et modifier le comportement de l’individu (Tableau 2). Tableau 2 : Facteurs d’insatisfaction et de satisfaction dans l’entreprise Facteurs d’insatisfaction Facteurs de satisfaction Fatigue Rémunération Monotonie Intérêt pour le travail Discipline Responsabilités Contraintes Considération Risques physiques Épanouissement Incertitudes d’avenir Promotions De même, l’accent est mis sur la régulation des antagonismes de groupe au sein de l’entreprise avec l’apparition de procédures de dialogue (cercles de qualité, direction participative par objectif…). On passe donc d’un management autoritaire à un management politique. En effet, nous pouvons représenter la relation entre les motivations de l’individu et son implication dans l’entreprise de la manière suivante (Figure 4). 6 La théorie Y considère quant à elle que les efforts physiques et mentaux sont naturels. Ainsi l’association de l’individu avec les objectifs de l’entreprise permettra d’en tirer le meilleur. 12 INDIVIDUS Besoins Satisfactions Niveau et qualité de vie MOTIVATIONS Comportements dans l’entreprise Adhésion au projet, investissement personnel, créativité ENGAGEMENT DES CAPACITES Figure 4 : Liens entre motivations de l’individu et comportement dans l’entreprise 5. La théorie des systèmes dans les sciences de gestion Les sciences de gestion se caractérisent également par une réflexion en termes de système. Un système est un ensemble d’éléments qui possèdent entre eux des relations définies et visant à accomplir le même objectif. Un système est délimité par des frontières et fait partie d’un environnement avec lequel il interagit. S’inscrire dans une démarche systémique revient donc à adopter une vision globale d’un phénomène. La théorie des systèmes intervient à plusieurs niveaux :  L’organisation du travail : il faut gérer les interactions entre les systèmes techniques et les systèmes sociaux…  Théorie de la décision : on peut utiliser des algorithmes et des systèmes de contrôles. Lorsqu’elles ne sont pas programmables, les systèmes d’information et d’aide à la décision aident à traiter l’information nécessaire.  Le management de la firme : il s’agit ici de gérer le système de production et le système de pilotage, c’est-à-dire les interactions entre les décideurs et ceux qui produisent notamment en lien avec les interactions avec l’environnement. Conclusion Les sciences de gestions sont jeunes, elles restent dans une perspective observatrice et réflexive qui intègre en permanence les différentes évolutions des pratiques sociales. Elles se différencient des sciences économiques par des outils d’analyse différents, même si elles mobilisent des concepts communs. 13

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