Examen Clinique PDF
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This document provides an overview of clinical examinations, covering interview techniques, physical examination procedures, and specific areas like dermatology. It outlines key elements to collect during an interview and uses PQRSTU and AMPLE frameworks for symptom analysis. It also touches on legal aspects of nursing practice within a clinical setting.
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Les examens cliniques L’entrevue clinique: Apprentissages clés: 1. Décrire les différents modèles d'examen clinique applicable selon la raison de consultation du client. 2. Identifier tous les éléments importants à recueillir lors d'une entrevue. 3. Appliquer les outils mnémotechniques PQRSTU et AMP...
Les examens cliniques L’entrevue clinique: Apprentissages clés: 1. Décrire les différents modèles d'examen clinique applicable selon la raison de consultation du client. 2. Identifier tous les éléments importants à recueillir lors d'une entrevue. 3. Appliquer les outils mnémotechniques PQRSTU et AMPLE. 4. Utiliser les stratégies de communication appropriées selon la Personne 5. Situer l'examen clinique dans le cadre légal de la profession d'infirmière. Que signifie au juste faire un examen clinique? ● Examen clinique: Entrevue (questions) + examen physique ○ ∅ examen physique sans entrevue Le champ d’activité de l’infirmière: Loi des infirmières et infirmiers 1976 Exercice infirmier: Tout acte qui a pour objet d'identifier les besoins de santé des personnes, de continuer aux méthodes de dx, de prodiguer et controler les soins infirmiers que requièrent la promotion de la santé, la prévention de la maladie, le traitement, la réadaptation + prodiguer des soins selon une ordonnance ● depuis 2003 ● Article 36, activité réservée ● Évaluer la condition physique et mentale 2003: Évaluer l’état de santé d’une personne, à déterminer et assurer la réalisation du PSTI, prodiguer les soins et tx infirmiers/médicaux pour maintenir la santé, la rétablir et de prévenir la maladie et fournir les soins pallatifs IPS ou cliniciennes Les avantages: - sentiment de compétence (ST et leadership ) - Dépister les problèmes de santé pour faire de la prévention (voir ∆ subtiles, meilleure qualité des soins, bien référer les personnes) - Meilleure collaboration avec les autres professionnels de la santé Difficultés: Certaines manque de confiance, pas asser de formation, manque de soutien L’examen clinique: 1. Collecte de données: Entrevue (PQRSTU-AMPLE), Examen physique et Examens paracliniques 2. Analyse et interprétation des données 3. Planification des intervention (Revue des systèmes) 4. Intervention clinique 5. Évaluation des résultats Démarche clinique: 1. Démarche analytique: Collecte de données - Analyse et interprétation des données - Planification des interventions - Interventions cliniques - Évaluation des résultats. 2. Démarche intuitive: Collecte de donnée courte - Analyse sur un symptome collecte de donnée ciblée - Analyse et interprétation - Planification - Intervention Évaluations des résultats 3. Démarche hypothético-déductive: Collecte de donnée - 3 hypothèses sur un symptome - Collecte de données (questions ciblées + revue des systèmes) - Analyse - Planif (examens paraclinique + tx) Intervention - évaluation résultats. L’entrevue: Conditions préalables à l'examen: ● Intimité et confidentialité. ● ∅ interruptions. ● Environnement physique : température,lumière (voir bonne couleur), bruit, objet distrayant, distance entre vous et le client (hauteur), la disposition des chaises. ● Se présenter de manière respectueuse et amicale. ● Confort du client. ➀ Phase d'accueil ● le nom du client. ● Vérifier compréhension langue. ● ∅ jargon médical. ● ● ● ● ● Tenir compte de l’ intellecte + socioculturel Son histoire Comportement attentif Définir but de l’entrevue Définir notre rôle ② Phase intermédiaire: ● Utiliser un questionnement approprié: ○ Questions ouvertes +++ ○ Questions fermés : info spécifique ● Encouragement ○ Facilité mm mmm ○ Silence (le temps de parler + observer le non-verbal) ○ Reflet (focus sur un point, empathie) ○ Clarification ○ Confrontation ( parcimonie) ○ Interprétation ○ Explication ○ Résumé: points important ③ Phase finale: ● avez vous autre chose à dire + questions ● Récapitulatif ● Vérifier compréhension en résument ● Établi PT et discussion option À éviter: Fausse rassurance, conseil no fondé, autoritarisme, jargon, questions biaisés, parler trop, interrompre, pourquoi. L’histoire de santé: ● Date et heure ● Identification : nom, age, sexe, origine, etat matrimonial, occupation, arivee comment, avec qui, fiabilité (le client est-il capable de décrire ses symptômes ou il est confus)? ● Source de l'histoire: patient, famille, amis, dossier, consultant. ● Raison de la consultation: mots du client Analyse du symptôme (PQRSTU) 1. Provocation : a. Provoque b. Pallie c. Aggrave d. 1ère fois 2. Qualité : Comment décrivez-vous ce que vous ressentez? / Quantité (voir sévérité) 3. Région : a. endroit exact du problème. Pointer moi où vous avez mal b. Irradiation : est-ce que ca va ailleur 4. Sévérité a. (1-10) b. symptôme ↑ ou ↓ ou changement d’intensité 5. Signes et Symptômes associés :autres signes ou symptômes? 6. Temps: a. Début b. Constant ou intermittent? c. Durée du symptôme lorsqu'il apparaît? d. Fréquence d'apparition e. 1ère fois 7. Understand :Signification pour le client + comment ça l’affecte L'Histoire de santé (AMPLE) ALLERGIE (S) ● Médicaments /Alimentaires / Environnementales ● -Inclure la réaction du patient L'Histoire de santé (AMPLE) MÉDICATION: ● Médicaments prescrits ● Médicaments non prescrits ● Vitamines/suppléments/produits naturels Inclure le nom, la dose, la fréquence, la raison de son utilisation et le moment de la dernière dose. ● Tabac / Alcool / Drogues / Caféine Connaître le nom, la quantité, la fréquence et depuis combien de temps. ● Vaccination: Type et date. PASSÉ: ● Enfance: ● Adulte: ○ Médicaux: type & date ○ Chirurgicaux : type & date ○ Trauma : type & date ○ Familiaux: Lien, type, age. ○ Psychiatrique: Dx, date, tx, ○ Obstétriques: Nb grossesses/accouchement /gincomplètes ○ Gynécologique : Dx, date, tx) L’ALIMENTATION: ● Dernier repas (h & contenu) ● Tolérance ● Diète spéciale ÉLÉMENTS COMPLÉMENTAIRES ET COMPORTEMENTS DE SANTÉ ● Emploi / environnement de travail. ● Statut socio-économique. ● Education ● Situation familiale / interaction avec l'entourage / génogramme/écocarte. ● Estime de soi. ● Activités de la vie quotidienne. ● Exercice. ● Repos. ● Nutrition. ● Gestion du stress. ● Habitudes personnelles. ● Autres (état émotionnel, valeurs, croyances L’examen clinique tête et cou: Apprentissages-clés ● Considérer l’utilité des différentes techniques de l'examen physique et la signification des résultats obtenus ● Identifier les points de repère essentiels à l'examen physique de la sphère ORL et Ophtalmo ● Reconnaître les caractéristiques cliniques d'un problème de la sphère ORL et Ophtalmo ● Analyser tous les éléments importants recueillis lors de l'entrevue et de l'examen physique ● Identifier tous les éléments importants à recueillir lors d'une entrevue. ● Appliquer les outils mnémotechniques PQRSTU et AMPLE. ● Appliquer les concepts de base de l'examen physique de la sphère ORL et Ophtalmo ● Reproduire la démarche systématique de l'examen clinique la sphère ORL et Ophtalmo ● Intervenir auprès de la Personne en respectant ses valeurs ● Identifier les structures anatomiques de la sphère ORL et Ophtalmo ● Effectuer un examen physique selon les besoins de la Personne ● Utilisation d’un vocabulaire professionnel propre aux sciences biomédicales ● Utilisation d'un vocabulaire adapté à la Personne ● Détailler chaque étape du raisonnement clinique ayant conduit à l'identification d'un problème selon l'expérience de la santé de la personne Examen clinique : Dermatologie ● ● ● ● Réaliser une entrevue clinique visant l'évaluation d’un problème dermatologique auprès d’un client. Effectuer l’examen physique approprié d’un problème dermatologique. Reconnaître les aspects normaux et anormaux à partir des données recueillies sur la situation de santé du client. Communiquer efficacement les informations recueillies lors de l’évaluation de la situation de santé du client. Entrevue: 1. Données biographique 2. Provoqué: i. Infectieuse (ulcère, fongique) ii. Immunologie (Rx allergique) iii. Inflammatoire iv. Environnementale (Produit chimique toxique) b. Pallie: Crème/benadryl c. Aggrave: Cortison, alcool, eau, stress d. 1ère fois 3. Qualité 4. Région a. Irradiation b. 5. Sévérité a. ss 6. Temps a. Constant 7. Understanding AMPLE: - Allergie: Ex; allergie retardé stevens johnson - Médicaments - Antécédent → surtout trauma - Alimentation : dernier repas - Éléments complémentaires (stress/emploi/activité) Structure de la peau: Coupure derme: cicatrice Fonctions de la peau: 1. Protection 2. Excrétion 3. Absorption 4. Réception sensorielle 5. Réservoir sanguin 6. Régulation de la température 7. Synthèse vitamine D ❤️ Inspection : Savoir par 1. Site 2. Quantifier (nombre) 3. Type de lésions (primaires et secondaires) Couleur 4. Forme 5. Taille 6. Arrangement 7. Distribution Primaire: Lésion initiales Macule: Changement de coloration de la peau (épiderme) de d’un cm Tache: Changement de coloration de la peau (épiderme) de + d’un cm Papule: Élévation et changement de morphologie car à atteint le derme un peu (- d’un cm) Plaque: Élévation et changement de morphologie car à atteint le derme un peu (+ d’un cm) Plaque Ortiée/érythémateuse: Surélevé légèrement, boursouflée Vésicule: Lésion dermatologique remplit de liquide. (d’un cm) Bulle: Lésion dermatologique remplit de liquide. (+ d’un cm) Pustule: Lésion dermatologique remplit de liquide blanchâtre. Nodule: Lésion palpable solide et profond dans le derme Kyste: Accumulation de liquide très profond et comme il y a de la kératine, on retrouve un point noir (keratine oxydée) 1. Secondaire: Lésions transformées Squame: Flocons de peau sèche et morte à la surface Croûte: Amas de débris séreux, sanguin ou purulents séchés Érosion: Perte de substance limitée à l’épiderme Ulcère: Perte de substance atteignant le derme. Plaie: Perte tissulaire complète exposant les os, tendons ou muscles. Excoriation: Érosion induite par le grattage: Atrophie: Amincissement de la peau Lichénification: épaississement de l’épiderme souvent avec accentuation des lignes de la peau Fissure: perte verticale de l’épiderme ou du derme. Description Contour: Bien définis / Indistincts ou discrets / Actifs / Irréguliers / Bords surélevés par rapport au centre / Macérés Couleur: – Rouge (tissu de granulation) – Jaune (tissu fibrineux) – Noir (tissu nécrotique) Pigmentation: Hyperpigmentation / Hypopigmentation Lésions spéciales: Pétéchies : lésions violacées - de 4 mm. Ne pâlit pas à la pression. Purpura: lésions violacées + de 4 mm. Ne pâlit pas à la pression. Ecchymose: tache cutanée résultant d'un épanchement de sang. Télangiectasies: vaisseaux sanguins superficiels dilatés Comédons: accumulation de kératine et de sébum Sillons: Canal surélevé au niveau de l’épiderme superficiel (due à un acarien) Intertrigo: Lésion dans un plis Arrangement: Groupé: herpétiforme Linéaire En cible (d: 1 cm) Papule au centre et macule autour Annulaire (anneau complet): Centre + pale et contour foncé et bordure active Arciforme ( Anneau incomplet) : Zostériforme: Suit un dermatome; un nerf Autres: Naevus: Grain de beauté Kératose: grain de beauté surélevé avec vieillesse Carcinome: Cancer qui s’étend profondément mais moins mortel Mélanome: Cancer agressif Examen clinique dermatologique ABCDE du mélanome: Asymétrique Bordure irrégulière Couleur: multiples, non homogènes, brun pâle, foncé, noir, bleu, rouge, gris. Diamètre: > 6 mm. (attention, variable) Évolution. Site: thorax, bras, jambe, abdomen, dos, visage... Quantifier:1,2,3, multiples Types lésions ● Primaires:macule/tache, papule/plaque, vésicule/bulle, pustule, nodule, kyste ● Secondaires:squames, croûtes, érosions, ulcères, excoriation, atrophie, lichénification, fissure ● Spéciales: comédons, sillons, télangiectasie, intertrigo, pétéchies, purpura Couleur: blanc, violacé, rosé, rouge, brun, noire, jaune, hypo/hyperpigmenté Forme et contour: ovale, rond, régulière, irrégulière Bordure :bien défini, discret, actif, soulevé, macéré Taille: largeur, longueur, profondeur, s’étend d’un endroit à l’autre Arrangement: zostériforme, herpétiforme, linéaire, réticulé, annulaire, arctiforme, en cible Distibution :localisé, diffus (généralisé) Examen clinique : Système reproducteur: ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Considérer l’utilité des différentes techniques de l'examen physique et la signification des résultats obtenus Reconnaître les caractéristiques cliniques d'un problème du système reproducteur Analyser tous les éléments importants recueillis lors de l'entrevue et de l'examen physique Identifier tous les éléments importants à recueillir lors d'une entrevue. Appliquer les outils mnémotechniques PQRSTU et AMPLE. Appliquer les concepts de base de l'examen physique du système reproducteur Reproduire la démarche systématique de l'examen clinique du système reproducteur Intervenir auprès de la Personne en respectant ses valeurs Identifier les structures anatomiques du système reproducteur Effectuer un examen physique selon les besoins de la Personne Utilisation d’un vocabulaire professionnel propre aux sciences biomédicales Utilisation d'un vocabulaire adapté à la Personne Détailler chaque étape du raisonnement clinique ayant conduit à l'identification d'un problème selon l'expérience de la santé de la personne Système reproducteur masculin: Vésicule séminale: 60-70% volume du sperme (viabilité du sperme) Prostate: Sécrétion qui active les spermatozoïdes Glande de cowper: Sécrète un liquide alcalin pour neutraliser l’acidité du vagin Testicules: Sont sortie pour que la t°C soit plus basse pour que les spermatozoïdes vivent Urètre: Urine de la vessie jusqu’au méat urinaire Hernie inguinal: Palper puis demander au patient de tousser: Prostate; - Il faut qu'elle soit lisse - Elle a la grosseur d’une noix - Si nodule → investiguer Hypertrophie: lisse mais grosse Examen au niveau du rectum: Insérer un doigt dans l’anus, demander au patient de se pencher par l’avant ou de manière latéral Cancer de la prostate: 16-35 ans Auto examen des testicules: ● Après une douche chaude ● Debout devant un miroir et cherchez des signes d’enflure. ● Faites rouler un testicule entre votre pouce et vos doigts, pour détecter des bosses inhabituelles. ● Il est normal de sentir une structure molle qui a la forme d’une corde sur le dessus et à l’arrière de chaque testicule. Il s’agit de l’épididyme. ● Vérifiez la présence de toute zone douloureuse au toucher. Système reproducteur féminin : Examen gynécologique: Lame: - vagin/col/endocol cytobrosse: Spatule d’air Palpation bimanuel: - Les annexes sont rarement palpable sauf lorsque kystes Ganglions : si cancer, plus de chances qu’ils soient palpables Palpation des seins: 1. Inspection: volume = , apparence mamelon, intégrité de la peau, couleur bleu , voir si déformation quand leve les bras, se pencher tomber ou fixe 2. Palpation: main sous le sein, palper avec le plat, vérifier si masse, chercher les ganglions sur le prolongement axillaire a. Coucher: Puberté chez le garçon: •11,5-12 ans (normal entre 9-14 ans) – Augmentation du volume testiculaire (1er signe de puberté) – Augmentation de la taille du pénis – Pilosité pubienne – Pilosité axillaire en moyenne 12-18 mois après – Pilosité faciale – Poussée de croissance – Mue de la voix – Discrète gynécomastie (40-50% des cas) Orchidomètre de Prader G 1: < 2,5cm (<3ml) G 2: > 2,5cm, (4ml) amincissement du scrotum G 3: 3,0 à 3,5cm, (10ml) épaississement du pénis G 4: 3,5 à 4 cm, (16ml) G 5: > 4 cm, (25ml) taille adulte du pénis Normal si > 15ml Hypotrophique entre 15 et 6 ml Atrophique si < 6ml Développement précoce: • augmentation du volume testiculaire avant l’âge de 9 ans • S’accompagne de: – Accélération de la vitesse de croissance – Progression de la maturation osseuse Puberté chez la fille : • 10,5/11ans (normal entre 7-13 ans) ● ● ● Apparition des bourgeons mammaires (1er signe de puberté) (Thélarche) Pilosité pubienne (Pubarche) Pilosité axillaire en moyenne 12-18 mois après ● ● Poussée de croissance Menstruations vers l’âge de 12,7 ans ± 2,5 ans (Ménarche) Développement précoce: Apparition des bourgeons mammaires avant l’âge de: • 7 ans chez les Caucasiens • 6 ans chez les Noires • S’accompagne de: – Accélération de la vitesse de croissance – Progression de la maturation osseuse APP: APP 2: Benoit Bouchard-Bergeron (OMA) Questions de révision #2: 6. Quel est le risque d’utiliser des antibiotiques? (Pourquoi attendre avant d’administrer un antibiotique) 7. Pourquoi les bactéries développent une résistance aux antibiotiques ? 8. Quelle est la différence entre une infection virale, bactérienne et fongique? 9. Expliquer la différence entre la thermolyse et la thermogenèse 10. Quel est le site d’absorption des différents types de médicaments 1- Intraveineux 2- Intramusculaire 3-Sous-cutané 4-Oral 11. Qu’est-ce que l’albumine? 12. L’albumine peut-elle restreindre l’efficacité du médicament? 13. Quel type de médicament peut traverser la barrière hémato-encéphalique ? 14. Quel est le danger lorsqu’il y a de la compétition entre deux médicaments? 15. Quel est l’avantage de la recirculation entérohépatique? 16. Quels sont les chemins possibles d’excrétion? 17. Qu’est-ce que la concentration plasmatique et quand est-ce que son maximum est atteint? 18. Explique comment l’acétaminophène vient réduire la fièvre 19. Explique comment l’ibuprofène vient réduire l’inflammation 20. Pourquoi les enfants sont-ils plus susceptibles de développer une otite moyenne? 21.Quels caractéristiques les ganglions doivent-ils avoir pour être considérés normaux? 22. Pourquoi les ganglions gonflent lors d’infections? 6. Risque de résistance bactérienne. Les bactéries exposées aux antibiotiques peuvent évoluer et développer des mécanismes de résistances, leur permettant d’échapper à leur action. C’est la bactérie qui développe la résistance et non l’humain. Il faut attendre avant d’administrer un antibiotique, afin de vérifier qu’il s’agit bien d’une infection bactérienne et éviter qu’une résistance se développe. 7. Mécanisme Acétaminophène 8. Mécanisme Ibuprofen 6. Quel est le risque d’utiliser des antibiotiques? (Pourquoi attendre avant d’administrer un antibiotique) 6. Risque de résistance bactérienne. Les bactéries exposées aux antibiotiques peuvent évoluer et développer des mécanismes de résistances, leur permettant d’échapper à leur action. C’est la bactérie qui développe la résistance et non l’humain. Il faut attendre avant d’administrer un antibiotique, afin de vérifier qu’il s’agit bien d’une infection bactérienne et éviter qu’une résistance se développe. 8. Quelle est la différence entre une infection virale, bactérienne et fongique? 8.Infection virale: causée par un virus, utilise machinerie et énergie des cellules vivantes pour se reproduire. Infection bactérienne: causée par bactérie, se nourrissent d’organismes vivants ou morts et se multiplient dans cellules ou tissus. Infection fongique: causée par champignons, se nourrissent en absorbant des solutions de matières organiques de l'hôte. 9. Expliquer la différence entre la thermolyse et la thermogenèse 9. Thermogénèse: Activée lorsque la température d’un milieu s’abaisse ou lorsque la circulation sanguine diminue. Accroît ou maintien la température centrale. Thermolyse: Protège l’organisme contre températures trop élevées. Lorsque température centrale s’élève, centre hypothalamique thermogénèse inhibé, centre de thermolyse activé. 10. Quel est le site d’absorption des différents types de médicaments 1- Intraveineux 2- Intramusculaire 3-Sous-cutané 4-Oral 10. Intraveineux: instantané, déjà dans circulation sanguine Intramusculaire: absorbé par circulation sanguine à partir du site d’injection Sous-cutané: absorbé par circulation sanguine à partir du site d’injection Oral: muqueuses orales, estomac, intestin grêle, gros intestin ou colon (estomac, intestin grêle et gros intestin => réabsorption) 11. Qu’est-ce que l’albumine? 11.L’albumine est la principale protéine de transport dans le sang, elle transporte des substances de petite taille et demeure toujours dans le sang. 12. L’albumine peut-elle restreindre l’efficacité du médicament? 12. Oui, l’albumine peut réduire l’efficacité du médicament en restreignant sa distribution. En effet, les médicaments liés à l’albumine n’atteindront pas leur site d’action, de métabolisme ou d’excrétion, car l’albumine ne quitte pas la circulation sanguine. 13. Quel type de médicament peut traverser la barrière hémato-encéphalique ? 13. Les médicaments liposolubles (et médicaments ayant un système de transport) 14. Quel est le danger lorsqu’il y a de la compétition entre deux médicaments? 14. Lorsqu’il y a compétition, un médicament risque d’être métabolisé plus rapidement ou lentement que l’autre, ce qui mène à des risques d’accumulation, ce qui pourrait être toxique et dangereux. 15. Quel est l’avantage de la recirculation entérohépatique? 15. Le recyclage entérohépatique permet de garder un médicament plus longtemps dans l’organisme 16. Quels sont les chemins possibles d’excrétion? 16. Selles, urine, sueur, poumons (gaz expiré), lait maternel, bile. 17. Qu’est-ce que la concentration plasmatique et quand est-ce que son maximum est atteint? 17. La concentration plasmatique est la concentration d’un médicament ou hormone dans le sang. Son maximum est atteint lorsque la vitesse d’élimination=vitesse absorption 18. Explique comment l’acétaminophène vient réduire la fièvre 18. L’acétaminophène inhibe la synthèse des COX-2 dans le SNC, ce qui vient ensuite inhiber la synthèse de prostaglandines. L’inhibition des prostaglandines, fait redescendre la valeur de référence du thermostat hypothalamique à la normale, ce qui inhibe les mécanisme de thermogénèse, et ainsi la fièvre. 19. Explique comment l’ibuprofène vient réduire l’inflammation 19. L’ibuprofène inhibe la synthèse des COX-2 dans le SNP, ce qui vient ensuite inhiber la synthèse de prostaglandines. Les prostaglandines sont un des médiateurs chimiques qui déclenchent la réaction inflammatoire, leur inhibition, vient donc réduire directement les impacts de l’inflammation, tels la vasodilatation des artérioles et l’augmentation de la perméabilité des capillaires. 20. Pourquoi les enfants sont-ils plus susceptibles de développer une otite moyenne? 20. Chez les enfants, la trompe auditive est plus courte, droite et plus large que chez l’adulte, un agent pathogène a donc plus de facilité à s’y rendre et faire une lésion. 21.Quels caractéristiques les ganglions doivent-ils avoir pour être considérés normaux? 21. Les ganglions ne doivent pas être palpables, mais si ils le sont: Ils doivent être mobiles, non-douloureux, plus petits qu’un cm, consistant, symétriques 22. Pourquoi les ganglions gonflent lors d’infections? 22. Les ganglions filtrent la lymphe, donc en cas d’infection, la circulation lymphatique jusqu’à ceux-ci augmente, afin d’y filtrer les agents pathogènes, ce qui peut causer un gonflement de ceux-ci par l’accumulation de liquide. De plus, lors d’infection, les ganglions peuvent gonfler dû à la production accélérée de cellules immunitaires. ion #2: 9. Physiopathologie d’une otite moyenne aiguë 10. Mécanisme antibiotiques APP 3: Béatrice Bouchard-Bergeron Questions de révision #3: 1. Les phases de l’infection et préciser dans laquelle est actuellement Béatrice. a. Béatrice est dans la période d’état. b. Période d’incubation: Intervalle de temps compris entre l’infection initiale (introduction du microorganisme dans l’organisme) et la manifestation des premiers signes ou symptômes. i. Le porteur en incubation porte des agents pathogènes généralement transmissibles, mais il n’est pas encore malade. c. Période prodromique : intervalle de temps relativement court qui suit la période d’incubation de certaines maladies. i. caractérisée par la manifestation des premiers symptômes de la maladie, le plus souvent légers (malaise), mais quelquefois assez intenses, tels que des douleurs généralisées. d. Période d’état : la phase la plus aiguë de l’invasion microbienne ; l’organisme ne peut s’y opposer efficacement. Signes et des symptômes manifestes, qui atteignent leur intensité maximale. e. Période de déclin : les signes et les symptômes s’estompent. Cette phase apparaît souvent quelques heures après l’administration d’un traitement efficace. i. – de 24h, infections secondaires f. Période de convalescence : La personne reprend des forces et se rétablit. L’organisme retourne à l’état antérieur à la maladie : c’est de nouveau l’homéostasie. 2. Différencier la varicelle et les autres maladies infantiles Maladie Agent(s) pathogènes Mode de transmission Signes & symptômes Complication Varicelle Varicellovirus Voie aérienne + Contact direct / indirect -Vésicules pharynx-visage-bas du dos -Fièvre légère -Écoulements nasaux -Encéphalite -Pneumonie virale -Autres infections bactériennes -Syndrome de Reye -Mort Variole Orthopoxvirus Voie aérienne -Pustules parfois presque confluentes -Infection systémique touchant bcp d’organes internes - Rougeole Morbillivirus -Contact direct -Voie Aérienne -Fièvre -Toux -Infection oreille moyenne Rubéole Rubivirus Gouttelettes -Contact direct -Écoulement nasal -Mal de gorge -Myalgie -Conjonctivite -Photophobie -Tache de Koplik dans la bouche -Éruption cutanée maculaire -Pneumonie -Encéphalite -Éruption maculaire, formée de petites taches rouges -Fièvre légère accompagnée parfois de douleurs articulaires - Éruption non prurigineuse du visage puis du tronc et des membres, - Macules rouges ou rosées, espacées de peau saine, plus vives et plus denses sur les joues, plus clairsemées sur le tronc et les membres -Encéphalite -Mort -Avortement spontanée -Malformations foetales Scarlatine -Éruption généralisée prédominant au niveau de la face antérieure du tronc. -Pâleur du pourtour de la bouche et du nez si érythème du visage. Peau rouge et rêche; -éruption plus foncée au niveau des plis de flexion (signe de Pastia). -Amygdales rouges et exsudatives, pétéchies au niveau du palais, langue saburrale puis rouge framboise. Pied-main -bouche -Vésicules à contenu clair ou citrin cernées d'un liseré rouge ou maculo-papules situées au niveau des mains et des pieds, lésions maculo-papuleuses au niveau des fesses et sur le haut des cuisses, Parfois éléments papulo-vésiculeux au niveau du tronc et des membres, Chez la fille, présence possible de lésions vésiculeuses au niveau des régions inguinales et vulvo-périnéale, Lésions aphteuses au niveau des muqueuses buccales et sur les lèvres. 3. Physiopathologie de l’immunité humorale 4. Examen clinique et anticorps (résultat positif) Anticorps antirougeole (p. 78) : Les anticorps antirougeole sont des anticorps produits par le système immunitaire en réponse à l'infection par le virus de la rougeole. La détection de ces anticorps dans le sang peut indiquer si une personne a déjà été exposée à la rougeole ou a été vaccinée contre cette maladie. Les tests de détection des anticorps antirougeole sont couramment utilisés pour évaluer l'immunité et l'histoire d'exposition à la rougeole. Anticorps antirubéole (p. 79) : Les anticorps antirubéole sont des anticorps produits en réponse à l'infection par le virus de la rubéole. Comme pour les anticorps antirougeole, la détection d'anticorps antirubéole dans le sang peut indiquer si une personne a déjà eu la rubéole ou a été vaccinée contre elle. Les tests d'anticorps antirubéole sont couramment utilisés pour évaluer l'immunité et déterminer si une personne est protégée contre la rubéole. Anticorps anti-varicelle-zona : Les anticorps anti-varicelle-zona sont des anticorps produits en réponse à l'infection par le virus de la varicelle-zona, qui provoque la varicelle et le zona. Ces anticorps peuvent être détectés pour évaluer l'immunité ou l'infection passée par le virus de la varicelle ou le virus du zona. La présence d'anticorps anti-varicelle-zona peut indiquer si une personne a été exposée à l'un de ces virus, a eu la varicelle par le passé ou a été vaccinée contre la varicelle. Ces tests sérologiques sont couramment utilisés en médecine pour diagnostiquer et surveiller les infections virales, ainsi que pour vérifier l'efficacité de la vaccination. Les résultats de ces tests aident les professionnels de la santé à prendre des décisions éclairées concernant la vaccination et la protection contre ces maladies virales. 5. Physiopathologie de la fièvre 6. Quel sorte de vaccin pour la varicelle - Est généralement fabriqué à partir du virus vivant atténué 7. Quelle est la période de contagion de la varicelle Forte contagion 5 jours avant l’éruption cutané j’usqu’à lassèchement des vésicules et qu’il n’y a pas de nouvelles lésions actives 8. Pourquoi les boutons de varicelles grattent 9. Quels effets à la fièvre sur le zinc et le fer et qu’est-ce que ça cause 10. Quel est le mode de transmission de la varicelle a. aérienne + contact 11. Décrire “macule”, “papule”, “vésicule”, “pustule” et “croûte” 12. L'immunité suite à la varicelle est passive ou active a. active 13. À quoi sert une dose de rappel 14. Est-ce que la réponse de béatrice est primaire ou secondaire La mémoire immunitaire : Réaction immunitaire primaire : Première exposition - Phase de latence (3 à 6 jours) : Prolifération des quelques lymphocytes B spécifiques de cet antigène - Phase de croissance (vers le 10e jour) : La concentration plasmatique d’anticorps augmente et atteint une concentration maximale. - Phase de décroissance : La synthèse des anticorps commence à diminuer. Réaction immunitaire secondaire : Nouvelle exposition au même antigène - Plus rapide, plus intense et plus long que la réponse initiale - Quelques heures après la détection de « l’ancien ennemi » une nouvelle armée de plasmocytes se constitue - En 2-3 jours la concentration d’anticorps grimpe dans le sang La concentration d’anticorps dans le sang reste élevé pendant des semaines, voir des mois. APP 4: Coralie Côté Questions de révision #4: GnRH: gonolibérine Hypophyse: (adénohypophyse (lobe antérieur de l’hypophyse) FSH: Hormone folliculostimulante (stimule la croissance et la maturation des follicule) LH: Hormone lutéinisante, complète la maturation du follicule ovarien de facon à provoquer l’ovulation, responsable de la rupture du follicule ovarien (laisse échapper l’ovocyte) Ovaires: Gonades femelles: sécretent hormones sexuelles femelles (oestrogène et progestérones) Puberté: Quel est le fonctionnement du pap test: ● ● ● ● ● Le Test de Papanicolaou (Test Pap) détecte le cancer de l'utérus, du vagin et du col de l'utérus. Il implique un prélèvement de cellules du col de l'utérus. Les recommandations varient : Tous les ans pour les femmes ayant eu leur premier rapport sexuel ou âgées de 21 ans. Tous les deux à trois ans après 30 ans si les trois premiers tests sont normaux. Arrêt des tests après 70 ans, avec trois tests PAP normaux au cours des 10 dernières années. Les femmes ayant subi une hystérectomie totale pour des raisons non liées au cancer peuvent généralement cesser les tests. Examen microscopique de cellules exfoliées qui permet, grâce à une technique spéciale de coloration et de fixation, de détecter les cellules anormales. Les cellules les plus couramment étudiées sont prélevées directement de l’endocol et de l’exocol. Examen pelvien : - L'examen commence souvent par un examen pelvien, au cours duquel le médecin examine les organes génitaux externes, le vagin et la vulve. Préparation de l'instrument : - Le médecin utilise un spéculum, un instrument médical conçu pour maintenir les parois du vagin écartées, afin d'obtenir un meilleur accès au col de l'utérus. Prélèvement des cellules : - À l'aide d'un spatule d’air et d’une cytobrosse , le médecin prélève des cellules du col de l'utérus en les frottant doucement. Ces cellules sont ensuite placées sur une lame de verre pour être examinées au microscope. Quel est l’application de la pilule du lendemain Prendre dans les 72h après Efficace jusqu’à 5 jours après post-relation Pilules contraceptives d'urgence au lévonorgestrel uniquement : a. Empêchent ou retardent la libération d'un ovule de l'ovaire lorsqu'elles sont prises avant l'ovulation. b. Peuvent empêcher le sperme et l'ovule de se rencontrer en affectant la glaire cervicale ou la capacité du sperme à se lier à l'ovule. Quel est l’application de la pilule contraceptive combinée Quels sont les effets secondaires de la pilule contraceptive combinée et les expliquer. c. Thrombose i. L’estrogène et la progestérone augmentent les facteurs de coagulation→ + de chances de thromboses d. Hypertension: i. L’oc augmente les taux de l’angiotensine (vasoconstricteur potent) et de l'aldostérone (Hormone étant associée à la rétention d’eau et de sel) e. Saignement utérin anormal: Physiopathologie de l’acné Quels sont les traitements disponibles pour l’acné et comment agissent-ils? ● ● ● ● Amocycline → agit sur la bactérie P acnes Accutane → Réduit la taille des glandes sébacés et donc leur activité (- de sébum) peroxyde de benzol → Agit sur la bactérie P acnes Retinoids → agit sur le cell turnover Quels sont les traitements non-pharmaco de l’acnée: - Nettoyer les surface huileuse avec du savon doux - Éviter irritation et exfoliation douloureuse - extraction comédon Quel est l’effet de la pilule contraceptive sur l’acné Physiopathologie de la dysménorrhée Comment réduire la douleur associée à la dysménorrhée? f. Chaleur bas de l'abdomen → vasodilatation des artérioles utérines → ↓ de l’ischémie → ↓ de douleur g. Exercice → + circulation du sang → ↓ ischémie → ↓ douleur h. ibuprofène et aspirine → inhibent les COCX 1&2 → Inhibition de la production de Prostaglandine → ↓ vasoconstriction & de contraction du myomètre → ↓ de douleur APP 5: Charles Couture Questions de révision #5: Gonorrhée : Deuxième infection sexuellement transmissible la plus fréquente Agent causal - Le gonocoque, Neisseria gonorrhoeae, un diplocoque à Gram négatif. Transmission - Par contact sexuel, la pénétration des gonocoques dans l'organisme. Mécanisme d'infection - Fixation du microorganisme pathogène aux cellules épithéliales à l'aide de fimbries. - Les fimbries permettent une fixation rapide et une résistance au nettoyage naturel. - Invasion de l'espace entre les cellules prismatiques de l'épithélium de la muqueuse. - Déclenchement d'une inflammation. - L'arrivée de neutrophiles conduit à la formation de pus. Rôle des protéines Opa - Les protéines Opa jouent un rôle essentiel dans l'adhérence aux cellules bordant les voies urinaires et génitales. Différentes muqueuses pouvant être infectées - Bouche, pharynx, œil, urètre, rectum, col de l'utérus et organes génitaux externes des femmes. Signes et symptômes Chez l'homme - Sensation de brûlure lors de la miction. Écoulement de pus à l'ostium de l'urètre. Dysurie. Douleurs aux testicules. Complications chez l'homme - Urétrite. - Épididymite (inflammation de l'épididyme). - Infertilité. - Prostatite. - Rétrécissement de l'urètre. - Stérilité (causée par une orchite ou une épididymite). - Site initial d'infection souvent l'urètre chez l'homme Chez la femme - Souvent asymptomatique chez 70-80%. Infection limitée au col et au canal du col de l'utérus. Douleurs abdominales avec des complications. Douleurs pelviennes chroniques, notamment dans le cas de la maladie inflammatoire pelvienne. Infertilité tubaire. Risque de grossesse ectopique. Complications chez la femme - Infection systémique grave. - Infection à d'autres sites Gonorrhée du pharynx (ressemble souvent au mal de gorge classique). Gonorrhée du rectum (peut être douloureuse et s'accompagner d'un écoulement de pus). - Symptômes incluent douleur, démangeaisons, écoulement anal, saignements, et constipation. Maladie à déclaration obligatoire (MADO) Diagnostic - Le diagnostic de la gonorrhée est généralement réalisé par amplification des acides nucléiques (TAAN) à l'aide de la PCR (réaction de polymérase en chaîne) à partir de prélèvements d'urine ou d'autres sécrétions. La culture est également une méthode de diagnostic possible. Traitement et Prévention - Le traitement de choix consiste en l'administration d'une dose unique de céphalosporines, telles que la cefixime ou la ceftriaxone. - En cas d'infection gonococcique du pharynx, la ceftriaxone est la céphalosporine choisie. Elle est administrée par voie orale (PO). Il est également recommandé de prescrire en même temps une dose unique d'azithromycine par injection intramusculaire, car cela est efficace contre Chlamydia trachomatis. La co-infection par ce microorganisme est fréquente. - Les muqueuses des organes génitaux (urètre chez l'homme, col de l'utérus chez la femme), du rectum et de l'oropharynx sont particulièrement sensibles à l'infection par le gonocoque. Période d'incubation et complications - La période d'incubation de la gonorrhée dure de deux à huit jours. L'infection par le gonocoque provoque une réaction inflammatoire qui, si elle n'est pas traitée, entraîne la formation de tissus fibreux et d'adhérences. - Cette cicatrisation fibreuse peut causer de nombreuses complications chez les femmes, notamment une sténose (rétrécissement) et des anomalies tubaires qui favorisent la survenue d'une grossesse ectopique, de douleurs pelviennes chroniques et de l'infertilité. - pas d'immunité contre une réinfection, soulignant ainsi l'importance de la prévention et du dépistage régulier chez les personnes sexuellement actives. Prévention: - La prévention, y compris l'utilisation de préservatifs et le dépistage régulier, est cruciale pour réduire la prévalence de cette infection. Urétite non gonococcique - L'urétite non gonococcique est une inflammation de l'urètre qui n'est pas causée par Neisseria gonorrhoeae (le gonocoque). Bien que Chlamydia trachomatis soit l'agent pathogène le plus couramment associé à l'urétite non gonococcique, d'autres bactéries peuvent également être responsables de cette infection. Urétite à Chlamydia trachomatis (ITSS la plus fréquente) Agent pathogène - Chlamydia trachomatis est un parasite intracellulaire obligatoire, et les sérotypes D à K sont généralement impliqués. Pathogenèse - C. trachomatis cible les mêmes cellules épithéliales prismatiques que le gonocoque. Signes et symptômes - Les symptômes de l'urétite à Chlamydia trachomatis comprennent un écoulement liquide et une miction douloureuse. - Des infections à Chlamydia peuvent également entraîner des conjonctivites, des pharyngites, des rectites et des cervicites chez les femmes. - Les complications potentielles incluent une inflammation de l'épididyme (épididymite) chez les hommes et une inflammation des trompes utérines chez les femmes, susceptible de causer l'infertilité en raison de la formation de tissu cicatriciel. - risque accru de cancer du col de l'utérus associé à une infection chronique par Chlamydia. Diagnostic et Traitement - Le diagnostic est généralement réalisé par amplification des acides nucléiques (TAAN). Les échantillons d'urine peuvent être utilisés, mais la sensibilité est meilleure si le prélèvement est effectué par écouvillonnage. - Le traitement de l'urétite à Chlamydia trachomatis consiste en l'administration d'antibiotiques de la famille des macrolides, tels que l'azithromycine, ou des tétracyclines, comme la doxycycline. Période d'incubation - La période d'incubation de l'urétite à Chlamydia trachomatis est d'environ 1 à 3 semaines, et les symptômes peuvent être plus légers que ceux de la gonorrhée. Différenciation avec la gonorrhée - L'écoulement cervical ou urétral semble souvent moins purulent, plus aqueux et moins douloureux dans le cas d'une chlamydiose que dans celui d'une gonorrhée. Spermatogénèse : génération de spermatozoïde; se déroule dans les tubules séminifères; débute vers 14 ans (puberté); ce sont des cellules germinales qui élaborent les spermatozoïdes au cours d’une série de divisions cellulaires; spermatogonie(mitose)spermatocyte (méiose 1-2) spermatide(spermiogénè Physiologie: Section 1 : Scrotum Le scrotum est un sac de tissus lâches qui protège les testicules. Il se compose des éléments suivants : 1.1. Le fascia superficiel qui renferme le dartos. 1.2. Une couche de peau par-dessus. Fonctionnement du scrotum en réponse à la température : Par temps froid : Le scrotum se rétrécit et se plisse, ce qui réduit sa surface et augmente son épaisseur pour minimiser la perte de chaleur. Par temps chaud : Le scrotum se relâche, augmentant sa surface et réduisant son épaisseur pour favoriser la perte de chaleur. Section 2 : Testicules Les testicules sont les organes logés dans le scrotum. Ils contiennent des tubules contournés responsables de la production des spermatozoïdes. Section 3 : Conduits Les conduits qui transportent les spermatozoïdes sont les suivants : 3.1. Tubules séminifères contournés 3.2. Épididyme (lieu de maturation des spermatozoïdes et de stockage) 3.3. Canal déférent 3.4. Canal éjaculateur (après la vésicule séminale) 3.5. Canal urétral (lorsque le canal éjaculateur rejoint l'urètre à la prostate) Section 4 : Glandes Annexes Les glandes annexes sont essentielles à la composition du sperme. Elles comprennent : 4.1. Vésicule séminale : Sécrète un liquide jaunâtre contenant des substances telles que des protéines coagulantes et des prostaglandines, améliorant la motilité des spermatozoïdes et leur pouvoir fécondant. 4.2. Prostate : Assure l'éjaculation en contractant les muscles de la prostate, ce qui pousse la sécrétion dans l'urètre. La sécrétion est laiteuse, légèrement acide et contient du citrate (nutriment) ainsi que plusieurs enzymes, dont l'antigène prostatique spécifique (APS), qui joue un rôle dans l'activation des spermatozoïdes. 4.3. Glande de Cowper : Sécrète un mucus épais et translucide qui lubrifie le gland lors de l'excitation et neutralise l'acidité des résidus d'urine dans l'urètre avant l'éjaculation. Effet de la testostérone: - Développement de poils corporels Changement de la voix Peau : La peau devient plus épaisse et grasse, ce qui peut contribuer à l'apparition de l'acné. Croissance osseuse Développement musculaire Développement des organes génitaux : La testostérone stimule la formation des conduits, des glandes et des organes génitaux internes et externes, contribuant ainsi à leur développement. - Descente des testicules : La testostérone favorise la descente des testicules dans le scrotum. Spermatogenèse : La testostérone est essentielle à la spermatogenèse, le processus de formation des spermatozoïdes. Hormones Trajet des spermatozoïdes: Les spermatozoïdes sont transportés à partir des tubes séminifères dans les testicules, puis se déplacent comme suit : testicules ⟶ épididyme ⟶ canal déférent ⟶ urètre. Ensuite, l’urètre déplace les spermatozoïdes vers le bout du pénis, où ils peuvent être éjaculés hors du corps. Principes des Antibiotiques Toxicité Sélective : Les antibiotiques sont conçus pour être toxiques pour les bactéries tout en étant relativement sûrs pour les cellules humaines. Cela permet de cibler les agents pathogènes bactériens sans endommager gravement les cellules de l'hôte. Disruption de la Paroi Cellulaire Bactérienne : Certains antibiotiques agissent en fragilisant la paroi cellulaire des bactéries, provoquant ainsi la lyse bactérienne. Inhibition d'Enzymes Uniques aux Bactéries : Certains antibiotiques ciblent des enzymes spécifiques présentes uniquement chez les bactéries, perturbant ainsi leurs fonctions vitales. Disruption de la Synthèse des Protéines Bactériennes : Étant donné que les ribosomes bactériens diffèrent de ceux des cellules humaines, des antibiotiques peuvent cibler ces ribosomes bactériens et inhiber la synthèse des protéines bactériennes. Résistance aux Antibiotiques Mécanismes de Résistance des Microbes : Diminution de la Concentration du Médicament au Site d'Action : Les bactéries peuvent réduire la quantité d'antibiotique qui atteint leur cible en modifiant la perméabilité de leur membrane cellulaire. Modification de la Structure du Médicament (Molécules) : Les bactéries peuvent modifier la structure de l'antibiotique, ce qui rend le médicament moins efficace pour se lier à sa cible. Production de Molécules Antagonistes : Les bactéries résistantes peuvent produire des molécules qui neutralisent l'antibiotique. Inactivation du médicament : Les bactéries peuvent produire des enzymes qui dégradent l'antibiotique, le rendant ainsi inactif. Pourquoi les Antibiotiques Favorisent la Résistance : Compétition Microbienne : Les bactéries sécrètent des substances toxiques pour d'autres bactéries, ce qui crée une pression sélective en faveur des bactéries résistantes. Concurrence pour les Nutriments : Les bactéries d'une même communauté microbienne peuvent entrer en compétition pour les ressources, favorisant la croissance de celles qui sont résistantes à un antibiotique donné. Sélection Naturelle : L'utilisation fréquente d'antibiotiques peut favoriser la survie et la multiplication des bactéries résistantes, créant ainsi une population de plus en plus résistante. Pénicilline : - La pénicilline agit en fragilisant la membrane de la bactérie, ce qui provoque une absorption excessive d'eau et finalement la rupture de la bactérie. Elle est efficace contre les bactéries en phase de croissance et de division. Mécanisme d'action : 1. Inhibition des transpeptidases, qui sont cruciales pour la synthèse de la paroi cellulaire bactérienne. 2. Activation des autolysines, ce qui conduit à la destruction de la bactérie. Résistance: Peut être due à l'incapacité de la pénicilline à atteindre sa cible, à l'inactivation par des enzymes bactériennes ou à la production de protéines ayant une faible affinité pour la pénicilline. Efficace contre : Méningites, pneumonies, pharyngites, Traitement: → Gonorrhée Effets secondaires : Réactions allergiques. Interaction : Peut interagir avec des aminoglycosides. Céphalosporines : Les céphalosporines sont efficaces contre un large spectre de bactéries, ont une faible toxicité et agissent de manière similaire à la pénicilline en perturbant la synthèse de la paroi cellulaire bactérienne Traitement: ceftriaxone → Gonorrhée Mécanisme d'action : 1. Perturbation de la synthèse de la paroi cellulaire. 2. Activation des autolysines, ce qui entraîne des dommages à la paroi cellulaire et la mort cellulaire par lyse. Résistance : Peut résulter de la production de bêta-lactamase. Interaction : Peut interagir avec le probénécide, l'alcool et les anticoagulants. Les effets secondaires possibles des céphalosporines incluent des réactions allergiques et des problèmes de saignement. Génération des Céphalosporines : - - Les différentes générations de céphalosporines varient en efficacité contre les bactéries Gram-positives et Gram-négatives. Les céphalosporines de première génération sont plus efficaces contre les bactéries Gram-positives, tandis que les générations ultérieures ont une meilleure activité contre les bactéries Gram-négatives. La céftaroline est la seule céphalosporine de cinquième génération ayant une activité contre le Staphylocoque doré résistant à la méthicilline (MRSA). Les ribosomes bactériens, en particulier les ribosomes des bactéries, ont été une cible importante pour de nombreux antibiotiques. Les antibiotiques qui ciblent spécifiquement les ribosomes bactériens inhibent la synthèse des protéines bactériennes sans affecter significativement les ribosomes des cellules humaines ou animales, car ces ribosomes sont structuralement différents. Voici quelques exemples d'antibiotiques qui ciblent les ribosomes bactériens : Tétracyclines et Macrolides : - - Les tétracyclines, telles que la doxycycline, et les macrolides sont des antibiotiques qui inhibent la synthèse des protéines bactériennes. Ils suppriment la croissance et la réplication bactériennes sans nécessairement tuer les bactéries. Ils sont utilisés en deuxième intention pour les infections résistantes aux antibiotiques de première intention. Les tétracyclines: - sont à large spectre et agissent en inhibant la synthèse des protéines bactériennes de manière sélective. Résistance : Peut résulter de l'augmentation de l'inactivation du médicament, de la réduction de l'accès aux ribosomes et de la réduction de l'accumulation intracellulaire. Interaction : Peut interagir avec des suppléments de calcium/fer, produits laitiers, laxatifs contenant du magnésium. Les effets secondaires potentiels irritations gastro-intestinales, des effets sur les dents et les os, une superinfection, une hépatotoxicité et une toxicité rénale. Effets thérapeutiques : la chlamydia, la maladie de Lyme, l'acné et d'autres infections bactériennes. Tétracyclines : Les tétracyclines, telles que la doxycycline (mentionnée dans votre question précédente), sont des antibiotiques qui inhibent la synthèse des protéines en se liant à la sous-unité 30S des ribosomes bactériens. Cette liaison empêche le passage de l'ARN de transfert (ARNt) chargé d'acides aminés, bloquant ainsi la croissance de la chaîne peptidique. Les tétracyclines sont utilisées pour traiter un large éventail d'infections bactériennes. Les macrolides ● ● ● ● ● ● ● Antibiotiques à large spectre, bactériostatiques. Mécanisme d'action : Inhibent la synthèse des protéines bactériennes. Absorption réduite par la nourriture. Effets secondaires : Diarrhée, douleur abdominale, photosensibilité Interaction : Peut interagir avec des antiacides. Effets thérapeutiques : des infections respiratoires, telles que la pneumonie et la bronchite, ainsi que certaines infections de la peau. chlamydia ? Macrolides : Les macrolides, tels que l'érythromycine, la clarithromycine et l'azithromycine, sont des antibiotiques qui se lient à la sous-unité 50S des ribosomes bactériens. Cette liaison empêche le mouvement du ribosome le long de l'ARNm, inhibant ainsi la synthèse des protéines. Les macrolides sont couramment utilisés pour traiter des infections respiratoires et d'autres infections bactériennes. Syphilis Bactérie : Treponema pallidum Période incubation : Environs 3 semaines Transmission : À travers abrasions produites durant rapports sexuels ou lors contact avec lésion infectée et slm 1/3 des personnes transmettent la maladie Symptômes : Grippe et rougeur *64.2 Lewis Complications : - Inflammation chroniques des articulations - Problèmes vasculaires (atteinte vulvaire) - Affection du syst nerveux central (paralysie et maladie mentale) - Dommage irréversible os, foie, peau - Perte de vision - Sensibilité posturale des pieds/jambes - Mort naissance du bebe ou mort après accouchement Traitement : Pénicilline G benzathine (Bicillin L-A) Herpès Virus : Virus de l’herpès (VHS) Période incubation : *Une personne infectée par VHS le reste toute sa vie Transmission : Par muqueuses ou érosion cutanée. VHS va dans terminaisons nerveuses pour aller dans ganglions où il reste dormant. Réaction virale quand virus retourne au site initial. VHS 1 : Infection au-dessus de la taille (gencives, dermes, VRS et SNC) VHS 2 : Voies génitales et périnée Symptômes : - Brûlure/démangeaison/douleur au site, - Apparition de petites lésion vésiculeuses (liquide infectieux) - Céphalée, fièvre - Miction douloureuse (contact avec lésion) - Urétrite, cervicite, leucorrhée, Complications : - Présent sur doigt et lèvre - Affecte SNC= méningite ou atteinte des neurones moteurs inférieur - Infection oculaire Traitement : Acyclovir (Zovirax) ou Valacyclovir (Valtrex) ou Famiciclovir (Famir) → Inhibent réplication virale et ↘ durée symptômes Complications: ÉPIDIDYMITE: L'Épididymite est un processus inflammatoire aigu de l'épididyme. Causes: Gonorrhée, chlamydia, infections, traumatismes ou un reflux urinaire vers le canal déférent. Les symptômes: gonflement de l'épididyme, douleur et fièvre. Le traitement : se reposer, à élever le scrotum, à utiliser des compresses froides et à prendre des analgésiques pour soulager la douleur. Durée : Sensibilité ↘ 1 semaine, gonflement peut rester semaines/mois -> L'inflammation non traitée peut entraîner un processus cicatriciel dans l'épididyme. Les tissus cicatriciels peuvent obstruer les conduits de l'épididyme par lesquels les spermatozoïdes se déplacent lors de l'éjaculation. → Si les conduits de l'épididyme sont obstrués par des cicatrices, la sortie des spermatozoïdes lors de l'éjaculation peut être entravée. Cela peut réduire la quantité de spermatozoide dans le sperme → moins de chance de féconder ORCHITE: Orchite L'Orchite est une inflammation aiguë des testicules. Causes: infections bactériennes ou virales, Syphilis, oreillons, pneumonie, peut être effet secondaire épididymite/mononucléose, des traumatismes, etc. Signes et symptomes: Testicules douloureux, sensibles et gonflés Cette condition peut contribuer à l'infertilité. Les traitements: l'administration d'antibiotiques, d'analgésiques, ou le repos au lit avec le scrotum élevé et du repos sur de la glace pour réduire l'inflammation. (vacination ) Impact sur la fertilité : L'orchite peut potentiellement affecter la fertilité masculine. Les testicules sont les organes de production des spermatozoïdes, et l'inflammation due à l'orchite peut endommager les tissus testiculaires. Cela peut entraîner une réduction de la production de spermatozoïdes ou même une altération de leur qualité. Par conséquent, l'infertilité peut survenir si la production de spermatozoïdes est gravement affectée. Maladie inflammatoire pelvienne : salpingite (MIP) → Infection de cavité pelvienne pouvant affecter les trompes de Fallope Cause : Gonorrhée ou Chlamydia → cervicite ø traitée Symptômes : Douleur bas du ventre et écoulement vaginaux durant coït, fièvre, frisson Traitements : Combinaison d’antibiotique → Céfoxitine + Doxycycline (Vibramycin) Complications : Grossesses ectopiques, stérilité (formation cicatrice = obstruction partielle/complète des trompes de Fallope) Infertilité → ø Capable de concevoir après un an d’essai sans protection Femme : Obstruction/altération trompes de Fallope due à MIP Homme : Problème associés aux testicules Différence entre Gram-Positif & Gram-Négatif Gram-Positif : Les bactéries Gram-positives sont celles qui retiennent la coloration de Gram. Elles ont une paroi cellulaire relativement épaisse composée principalement de peptidoglycane (une substance qui renforce la structure de la paroi cellulaire). Les bactéries Gram-positives apparaissent de couleur violette ou bleue lorsque soumises à la coloration de Gram. Gram-Négatif : Les bactéries Gram-négatives sont celles qui ne retiennent pas la coloration de Gram. Elles ont une paroi cellulaire plus mince et complexe, composée de peptidoglycane et d'autres composants tels que des lipides. Les bactéries Gram-négatives apparaissent de couleur rose ou rouge lorsque soumises à la coloration de Gram. Tests de Dépistage - Test d'Amplification des Acides Nucléiques (TAAN) : Ces tests sont couramment utilisés pour dépister la gonorrhée et la chlamydiose. Ils peuvent être effectués sur une variété d'échantillons, tels que des prélèvements vaginaux, endocervicaux, urétraux, rectaux, oropharyngés et d'urine. Les TAAN, y compris la Ligase Chain Reaction (LCR). - - Cultures : Des échantillons de sécrétions provenant du vagin, de l'urètre, ou du col de l'utérus peuvent être mis en culture pour vérifier la présence de gonorrhée ou de chlamydiose. Il est également possible de prélever des échantillons dans le rectum et la gorge, en fonction des antécédents sexuels . Coloration de Gram : Utilisée pour la détection rapide de la gonorrhée. La présence de diplocoques intracellulaires Gram négatif justifie généralement un traitement. Cependant, cette méthode ne peut pas être très précise chez les femmes. Elle peut également servir comme alternative pour la recherche de Chlamydia. - Microscopie sur Fond Noir : Elle consiste en l'observation directe d'échantillons prélevés dans un chancre syphilitique pour confirmer le diagnostic de la syphilis. - Frottis : Il s'agit d'un examen microscopique direct d'un échantillon d'écoulement vaginal, effectué immédiatement après le prélèvement. Ce frottis permet de déterminer la présence ou l'absence d'organismes tels que Trichomonas, de bactéries, de globules rouges et de globules blancs, ainsi que de bourgeons ou d'hyphes de Candida. Il peut révéler d'autres indices ou causes d'inflammation ou d'infection. - Coloration de gram → culture de plaie → antibiogramme → taan -