Principes de Macroéconomie, 2e édition

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Cette présentation PowerPoint détaille les principes de macroéconomie, en se concentrant sur les politiques monétaire et budgétaire, et leurs effets sur la demande agrégée. L'ouvrage aborde les fluctuations économiques à court terme et les impacts des politiques économiques.

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2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. Partie 6 : Les fluctuations économiques à court terme 15 Les impacts des politiques monétaire et budgétaire sur la demande agrégée 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 2...

2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. Partie 6 : Les fluctuations économiques à court terme 15 Les impacts des politiques monétaire et budgétaire sur la demande agrégée 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 2 Introduction 15 Nous allons nous pencher sur les effets des politiques monétaire et budgétaire sur la courbe de demande agrégée et, par le fait même, sur les fluctuations économiques à court terme. Les effets de ces politiques dépendent du degré d’ouverture de l’économie en matière de commerce et de mouvements de capitaux. Au-delà des politiques budgétaire et monétaire, de multiples facteurs influent sur la demande agrégée : en particulier, le niveau désiré des dépenses des ménages et des entreprises. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 3 La politique monétaire et la demande agrégée La courbe de demande agrégée correspond à la quantité demandée de biens et de services dans l’économie, pour tous les niveaux de prix. Cette courbe a une pente négative pour trois raisons : L’effet d’encaisses réelles. L’effet du taux d’intérêt. L’effet de substitution internationale. Ces trois effets se conjuguent pour accroître la quantité demandée de biens et de services en cas de baisse des prix et, à l’inverse, pour la faire diminuer en cas de hausse des prix. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 4 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) Afin de comprendre les effets des politiques macroéconomiques sur la demande agrégée, nous devons revenir sur l’effet du taux d’intérêt. Cela nous conduit, en premier lieu, à aborder la théorie de la préférence pour la liquidité. Théorie de la préférence pour la liquidité : Théorie développée par John Maynard Keynes, selon laquelle le taux d’intérêt assure l’équilibre entre l’offre et la demande de monnaie. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 5 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) La théorie de la préférence pour la liquidité Pour étudier cette théorie, considérons que le taux d’inflation anticipé est constant. Abordons la théorie de la préférence pour la liquidité en examinant l’offre et la demande de monnaie ainsi que leur relation avec le taux d’intérêt. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 6 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) L’offre de monnaie Elle dépend de la Banque du Canada, qui peut modifier la masse monétaire de deux façons : Par des opérations d’open market. En modifiant son taux directeur. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 7 Figure 15.1 : L’offre de monnaie 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 8 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) La demande de monnaie Selon la théorie de la préférence pour la liquidité, le taux d’intérêt est un facteur important de la quantité de monnaie demandée. Plus le taux d’intérêt est élevé, plus le coût de renonciation de la détention de monnaie est important et plus la quantité demandée de monnaie est faible. Pour un taux d’intérêt donné, l’accroissement de la valeur des transactions en dollars provoque une hausse de la demande de monnaie. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 9 Figure 15.2 : La demande de monnaie 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 10 Figure 15.3 : Les déplacements de la demande de monnaie Les gens détiennent de la monnaie pour acheter des biens et des services. Si la valeur des transactions en dollars augmente, en raison d'une hausse du niveau des prix ou du PIB réel, les gens veulent détenir davantage de leurs actifs sous forme de monnaie. La demande de monnaie augmente alors pour tout niveau du taux d'intérêt, r1 passant de DM1 à DM2, la courbe de demande de monnaie se déplace vers la droite. Vice versa. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 11 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) L’équilibre du marché monétaire Le taux d’intérêt d’équilibre correspond au point où la demande et l’offre de monnaie se croisent. Si le taux d’intérêt est différent de ce niveau, les gens modifieront leur portefeuille d’actifs, ce qui équilibrera le taux d’intérêt. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 12 Figure 15.4 : L’équilibre du marché monétaire 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 13 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) La pente négative de la courbe de demande agrégée Le niveau des prix influe directement sur la quantité demandée de monnaie. Que l’effet le plus fort provienne du taux d’intérêt ou du taux de change, le résultat est le même : Une relation négative entre le niveau des prix et la quantité demandée de biens et de services, ce qu’illustre la pente négative de la courbe de demande du graphique b) de la figure 15.5. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 14 Figure 15.5 : Le marché monétaire et la pente de la courbe de demande agrégée a) Marché monétaire 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 15 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) Les variations de l’offre de monnaie La politique monétaire provoque un déplacement de la courbe de demande agrégée. Supposons que la Banque du Canada fasse augmenter l’offre de monnaie. La courbe d’offre de monnaie se déplace vers la droite. Comme la courbe de demande de monnaie n’a pas bougé, le taux d’intérêt diminue pour inciter les gens à détenir la masse monétaire supplémentaire injectée par la Banque du Canada. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 16 Figure 15.6 : Une injection monétaire dans une économie fermée a) Marché monétaire 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 17 Tableau 15.1 : Les effets d’une injection monétaire : un résumé 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 18 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) La politique monétaire en économie ouverte L’augmentation de l’offre de monnaie fait diminuer le taux d’intérêt canadien sous le taux mondial. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 19 Dans une économie fermée, toute injection monétaire va baisser le taux d'intérêt et stimule la production, comme on le voit dans le mouvement du point A au point B sur Figure 15.7 : Une injection monétaire les graphiques a) et b). Dans une petite économie ouverte, un taux d'intérêt inférieur r3, au taux mondial rm, est une situation qui ne peut durer. Les épargnants canadiens et dans une économie ouverte étrangers, repoussés par la faiblesse du taux d'intérêt canadien, vendent leurs actifs canadiens et achètent des actifs étrangers. Cela fait augmenter l'offre et diminuer la demande de dollars sur le marché des changes et fait baisser le taux de change a) Marché (régime de tauxmonétaire de change flottant). La dépréciation du dollar stimule à son tour les exportations nettes : la demande de biens et de services canadiens augmente encore plus, passant de DA2 à DA3 sur le graphique b). Puisque la production augmente de Y2 à Y3, la demande de monnaie augmente aussi. La courbe de demande de monnaie se déplace donc de DM2 à DM3, tandis que le taux d'intérêt canadien passe de r3 à rm sur le graphique a).a)L'économie fini par se trouver en C sur les Marché monétaire b)deux graphiques. Courbe DA Le taux intérêt rejoint donc le niveau mondial, tandis que la production croît davantage que dans une économie fermée. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 20 Tableau 15.1 : Les effets d’une injection monétaire : un résumé (suite) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 21 La politique monétaire et la demande agrégée (suite) Un régime de change fixe Régime de change fixe : Situation dans laquelle la banque centrale empêche le taux de change de fluctuer en entreprenant des opérations sur le marché des changes. La Banque du Canada ne peut simultanément choisir le niveau de l’offre de monnaie et la valeur du dollar. En choisissant de faire varier la masse monétaire, elle doit accepter que le taux de change fluctue. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 22 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée Le gouvernement peut influer sur l’économie non seulement grâce à sa politique monétaire, mais également par le biais de sa politique budgétaire. Politique budgétaire : Politique relative au niveau général des dépenses publiques et des impôts. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 23 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) Les variations des dépenses publiques Deux effets macroéconomiques engendrent une variation de la demande agrégée qui est différente de la variation des dépenses publiques : L’effet multiplicateur. L’effet d’éviction. Effet multiplicateur : Augmentation supplémentaire de la demande agrégée qui se produit lorsqu’une politique budgétaire expansionniste provoque une hausse des revenus et, donc, des dépenses de consommation. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 24 Figure 15.8 : L’effet multiplicateur 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 25 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) La mathématique du multiplicateur des dépenses publiques Le paramètre essentiel de cette formule est la propension marginale à consommer (PmC), soit la fraction du revenu additionnel des ménages consacrée à la consommation plutôt qu’à l’épargne. Si la propension marginale est égale à 0,75 $, les travailleurs et les entrepreneurs de la construction, lorsqu’ils reçoivent cinq milliards de dollars de contrats gouvernementaux, vont augmenter leur consommation de 0,75 $ × 5 milliards, soit 3,75 milliards de dollars. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 26 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) La mathématique du multiplicateur des dépenses publiques (suite) Variations des dépenses publiques = 5 milliards de dollars Première augmentation de la consommation = PmC × 5 milliards de dollars Deuxième augmentation de la consommation = PmC 2 × 5 milliards de dollars Troisième augmentation de la consommation = PmC 3 × 5 milliards de dollars Effet total sur la demande = (1 + PmC + PmC 2 + PmC 3 + …) × 5 milliards de dollars 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 27 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) La mathématique du multiplicateur des dépenses publiques (suite) Pour calculer les retombées totales sur la demande, il suffit d’additionner tous les effets. Multiplicateur = 1 + PmC + PmC2 + PmC3 + … Multiplicateur = 1/(1 – PmC) Si la PmC = 0,75 $, le multiplicateur = 1/(1 – 0,75 $) = 4 Multiplicateur dans une économie ouverte = 1/(1 – PmC + PmI) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 28 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) D’autres applications de l’effet multiplicateur L’effet multiplicateur ne se limite pas aux dépenses gouvernementales, mais s’applique à tout événement modifiant les dépenses de chacune des composantes du PIB : consommation, investissements, dépenses publiques ou exportations nettes. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 29 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) L’effet d’éviction Effet d’éviction sur les investissements : Réduction de la demande agrégée qui se produit lorsqu’une politique budgétaire expansionniste fait monter le taux d’intérêt et cause une réduction des dépenses d’investissement. Un accroissement des dépenses publiques de cinq milliards de dollars aura un effet sur la demande agrégée, qui sera supérieur ou inférieur à cinq milliards, selon que l’effet multiplicateur est plus important ou plus faible que l’effet d’éviction. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 30 Figure 15.9 : L’effet d’éviction sur l’investissement a) Courbe DA b) Marché monétaire 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 31 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) Un régime de change flottant Effet d’éviction sur les exportations nettes : Réduction de la demande agrégée qui se produit lorsque, dans une petite économie ouverte en régime de change flottant, une politique budgétaire expansionniste fait monter le taux de change, ce qui cause une réduction des exportations nettes. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 32 Tableau 15.2 : Les effets de la politique budgétaire : un résumé 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 33 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) Un régime de change fixe La banque centrale peut influer sur la valeur du dollar en achetant ou en vendant des devises étrangères, dans des opérations effectuées sur le marché des changes. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 34 Figure 15.11 : La politique budgétaire expansionniste en économie ouverte et en régime de change fixe a) Marché monétaire 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 35 Figure 15.11 : La politique budgétaire expansionniste en économie ouverte et en régime de change fixe (suite) b) Courbe de demande agrégée 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 36 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) La coordination des politiques budgétaire et monétaire Pour que les politiques budgétaire et monétaire aient des effets durables sur la demande agrégée, les élus des deux organes législatifs et la Banque du Canada doivent coordonner leurs actions. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 37 Tableau 15.2 : Les effets de la politique budgétaire : un résumé (suite) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 38 Tableau 15.2 : Les effets de la politique budgétaire : un résumé (suite) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 39 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) Les variations des taxes et des impôts Le niveau des taxes et des impôts constitue une autre mesure budgétaire qui s’additionne aux dépenses publiques. En effet, une réduction de l’impôt augmente le revenu disponible des ménages et stimule la consommation. La courbe de demande agrégée se déplace alors vers la droite. L’ampleur du déplacement dépend de l’effet multiplicateur et de l’effet d’éviction. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 40 Les effets de la politique budgétaire sur la demande agrégée (suite) Les variations des taxes et des impôts (suite) Dans une petite économie ouverte, les effets à long terme d’une variation des impôts, sur la courbe de demande agrégée, dépendent de la décision de la banque centrale de laisser fluctuer ou non le taux de change. Si le taux de change est flottant, une variation des impôts n’aura aucun effet à long terme sur la position de la courbe de demande agrégée. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 41 Les politiques de stabilisation Les arguments pour les politiques de stabilisation Les politiques budgétaire et monétaire ont un effet sur la position de la courbe de demande agrégée et, donc, sur la production, l’emploi et le revenu. Nous pouvons en déduire que ces instruments peuvent être utilisés pour annuler les conséquences négatives de chocs imprévus. Les arguments contre les politiques de stabilisation Il existe un décalage entre la mise en œuvre des politiques de stabilisation et leurs effets. Les prévisions économiques sont imprécises. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 42 Les politiques de stabilisation (suite) Les stabilisateurs automatiques Stabilisateurs automatiques : Modifications automatiques qui stimulent la demande agrégée lorsque l’économie est en récession, sans qu’aucune intervention délibérée soit nécessaire. Voici les plus importants stabilisateurs automatiques : Le système fiscal. Les transferts du gouvernement. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 43 Les politiques de stabilisation (suite) Le taux de change flexible en tant que stabilisateur économique Imaginons que les États-Unis, premier partenaire commercial du Canada, entrent en récession. Voici ce qui se passerait : Cela conduirait à une baisse des exportations nettes, de la demande agrégée et de la production au Canada. Les revenus au Canada baisseraient. Les ménages diminueraient leurs dépenses, ce qui réduirait la demande de monnaie. Le taux d’intérêt au Canada passerait alors sous le taux d’intérêt mondial. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 44 Les politiques de stabilisation (suite) Le taux de change flexible en tant que stabilisateur économique (suite) La vente d’actifs canadiens provoquerait une dépréciation du dollar canadien, ce qui relancerait les exportations. La courbe de demande agrégée reviendrait ainsi vers la droite, ce qui ferait monter le revenu des Canadiens et la demande de monnaie. Le taux d’intérêt canadien rejoindrait le taux d’intérêt mondial. Grâce à un taux de change flottant, il est possible d’isoler l’économie canadienne des effets d’une récession à l’étranger. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 45 Figure 15.12 : Les effets des politiques monétaire et budgétaire expansionnistes sur la courbe de demande agrégée a) Économie fermée 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 46 Conclusion Nous avons observer les effets à court terme des politiques monétaire et budgétaire sur la demande agrégée de biens et de services, la production et l’emploi à court terme. Si le Parlement décide de réduire les dépenses publiques pour équilibrer le budget, il devrait considérer à la fois les effets à long terme sur l’épargne et la croissance et les effets à court terme sur la demande agrégée et l’emploi. Lorsque la Banque du Canada réduit le taux de croissance de l’offre de monnaie, il lui faut tenir compte des effets à long terme sur l’inflation, ainsi que des effets à court terme sur la production. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 47 ANNEXE : Le taux de change nominal à court terme La valeur d’une devise est déterminée sur un marché, celui des changes. Deux groupes distincts d’agents font des transactions sur le marché des changes : Un premier groupe offre des dollars canadiens et demande, en échange, des devises étrangères. Le second groupe de personnes demande des dollars canadiens et offre, en échange, des devises étrangères. 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 48 Figure 15A.1 : Le taux de change d’équilibre 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 49 Figure 15A.2 : Une augmentation de la demande de dollars canadiens combinée à une diminution de l’offre de dollars canadiens 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 50 Figure 15A.3 : Une diminution de la demande de dollars canadiens combinée à une augmentation de l’offre de dollars canadiens 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 51 Figure 15A.4 : Une augmentation de la demande de dollars canadiens 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 52 Figure 15A.5 : Le régime de change fixe a) Taux de change supérieur au taux d’équilibre (dollar surévalué) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 53 Figure 15A.5 : Le régime de change fixe (suite) b) Taux de change inférieur au taux d’équilibre (dollar sous-évalué) 2 e édition Reproduction interdite © Groupe Modulo Inc. 54

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