Ergonomie - Cours BSF1 & TIM1 PDF

Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...

Document Details

EthicalAspen

Uploaded by EthicalAspen

HELHa

2024

CLINQUART A- Sophie

Tags

ergonomics human anatomy biomechanics workplace safety

Summary

These notes cover ergonomics theory and prevention of musculoskeletal disorders (MSDs), with a focus on the application of ergonomic principles in healthcare settings. The document also details the evaluation methods for the related course(s) with an emphasis on the anatomical and physiological aspects.

Full Transcript

Ergonomie : Théorie Prévention des TMS : BSF1 (UE 13A) TIM1 (UE 07B) CLINQUART A- Sophie D’après le Power Point de DRAYE N. Éducateur Physique et JP Demaret, ,retravaillé par CLINQUA...

Ergonomie : Théorie Prévention des TMS : BSF1 (UE 13A) TIM1 (UE 07B) CLINQUART A- Sophie D’après le Power Point de DRAYE N. Éducateur Physique et JP Demaret, ,retravaillé par CLINQUART AS. en septembre 2024 Avant-propos… 1. Notes de cours Ce Power Point sera posté sur ConnectED & fait office de notes de cours Attention : Ces notes ne suffisent pas… La participation active aux séances 2. Contenu du cours Introduction à l’ergonomie Chapitre 1 : Quelques notions d’anatomie Chapitre 2 : Physiologie Chapitre 3 : Biomécanique Chapitre 4 : Facteurs de risques applicables au secteur hospitalier Chapitre 5 : Economie rachidienne 3. Objectifs du cours = un savoir = Importance de l’ergonomie dans notre pratique professionnelle Ce cours complète le cours de MANUTENTION pratique - Les notions anatomiques de l’articulation et spécifiquement le disque vertébral - La physiologie - La biomécanique - Les problèmes liés au non-respect de ces principes - Les facteurs de risques applicables aux secteurs hospitaliers - Les troubles musculosquelettiques (TMS) - Les mauvaises positions du corps (mouvements et statures) 4. Modalités de l’évaluation des UE 13A (BSF) & UE 07B (TIM1) L’évaluation est un examen écrit (QCM - Vrai/Faux - Textes à trous - Schémas) qui aura lieu : - Examen écrit (QCM/ Vrai-Faux/ Textes à trous/ Schéma) lors de la session de janvier 2025 si toutes les séances des cours pratiques de Manutention sont dispensées avant la session de janvier 2025 : Si pas de changement dans les horaires établis - Cet examen écrit du cours théorique (de 6h) vaut pour 25% de la cote de l’UE13A (BSF1) ou l’UE07B (TIM1) → Ce qui signifie que l’examen pratique de Manutention en salle de technique compte représente 75% de la cote globale de l’UE13A (BSF1) ou l’UE07B (TIM1) Séance 1 Introduction Introduction « Qu’est-ce que l’ergonomie ? » « Qu’est-ce que la manutention ? » « Est-ce que la manutention est de l’ergonomie ? » « Et… qu’est-ce que l’ergothérapie ? La manutention du patient est la manipulation et le déplacement du patient. L’ergothérapie est le traitement de rééducation et de réadaptation pour aider des personnes en situation de handicap à préserver leur autonomie. L’Ergonomie Origine du terme : - Ergon : travail - Nomos : loi L’ergonomie est : - L’adaptation du travail à l’homme - L’étude de la relation entre l’homme, le travail et le produit - L’étude de la recherche et de l’amélioration des Les objectifs de l’ergonomie Le travail : - Soit acceptable par l’organisme humain, physiquement et psychologiquement - N’entraîne aucune fatigue excessive - Ne soit pas insidieusement dégradant - Ne précipite pas le vieillissement moral de l’organisme - Permette à l’homme au travail de parcourir une vie professionnelle de quelques 10aines d’années sans poser de problème grave Les domaines de l’ergonomie sont : - L’ergonomie cognitive - L’ergonomie organisationnelle - L’ergonomie physique L’ergonomie cognitive est orientée vers l’adaptation des outils (machines, postes de travail), des interfaces homme-machine, des activités (régulation, anticipation, sécurité, fiabilité) en rapport au raisonnement des utilisateurs. Ex : L’ergonomie organisationnelle est dirigée vers la conception et la modification des organisations de travail, la gestion des collectifs de travail, la communication, la fiabilité et le développement des compétences. Ex : Mettre les bonnes personnes aux bons emplois L’ergonomie physique est centrée sur les caractéristiques physiques et biomécaniques de l’homme en lien avec : - son activité : gestuelle, posture de travail… - son environnement de travail : bruit, lumière, température… = Object de ce cours Obligations de l’employeur : - Éviter la manutention manuelle de charges par les travailleurs (Art.4) - Évaluer le travail (Art.5) - Réduire les risques - Aménager et adapter le poste de travail (Art.6) - Informer et former le travailleur - Organiser un examen médical régulier AR. Manutention manuelle de charges (12 août 1993) Cf. Annexe de l’UE : ConnectED L’ergonomie est une pratique multidisciplinaire préventive et corrective visant l’organisation globale du poste de travail (Ex : espace, outils, machines, horaires, méthodes de travail…) Chapitre 1 : Quelques notions d’anatonie Chapitre 1 L’articulation et ses différents éléments 1. Muscle : actionne ou stabilise l’articulation 2. Tendon : actionne l’os à 2 O O 5 partir du muscle ss 3. Gaine du tendon : 3 protège le tendon 4. Bourse séreuse : protège 4 6 la gaine O O 5. Ligament : stabilise ss l’articulation 6. Liquide synovial : lubrifie 1 8 l’articulation 7 7. Capsule articulaire : renforce l’articulation 8. Cartilage : protège l’os de l’articulation C1 C7 cervicales lordose D1 dorsales cyphose D12 lombaires lordose L1 sacrum cyphose L5 coccyx Disque L4-L5 Disque L5-S1 La colonne vertébrale au cours de l ’évolution La lordose lombaire est inutile à 4 pattes indispensable pour maintenir la station debout de façon économique La colonne vertébrale est composée de vertèbres, disques, ligaments, cartilage, muscles, est parcourue par la moelle épinière qui se divise en racines nerveuses, point de départ des nerfs Zoom sur deux vertèbres 6 1. La vertèbre 2. Le disque intervertébral 1 3. Les articulations 4 4 4 postérieures 3 2 7 4. Les ligaments 4 5. La moelle épinière 6. Les racines nerveuses 5 7. Les muscles Postérie Antérie ur ur Le segment vertébral : coupe transversale 1. La vertèbre 4 2. Le disque 6 intervertébral 7 a. Le noyau b. L’anneau 3 5 a 3. Les articulations 3 postérieures 7 b 4. Les ligaments 5. La moelle épinière 6 Le disque intervertébral Le disque intervertébral ▪ Le noyau (en orange) ▪ L’anneau (en blanc) Chapitre 2 : La physiologie Chapitre 2 La station debout : Position neutre des articulations vertébrales Pression sur le disque : 50 kg Répartition homogène des pressions sur le disque Repos ligamentaire Le rôle du disque intervertébral Amortissement Mobilité Les particularités du disque intervertébral Absence de cellules nerveuses Absence de vaisseaux sanguins Absence de cellules nerveuses ▪ Les rares cellules nerveuses du disque se trouvent sur la couche périphérique postérieure ▪ Le disque est, donc, peu sensible aux premières détériorations Absence de vaisseaux sanguins ▪ Le mécanisme de la nutrition du disque est semblable au fonctionnement d’une éponge : ses cellules attirent l’eau = Le mouvement nourrit le disque Les variations de pression créées par les changements de position permettent aux disques de se nourrir Chapitre 3 : La biomécanique Chapitre 3 Pressions approximatives sur Poids de la charge (en le dernier disque lombaire (ne tenant compte que du poids kg) de la charge et du poids de 0 10 15 25 50 l’ensemble tête-tronc) pour une personne de 75 kg Tronc vertical 50 110 140 200 350 et charge contre le tronc Tronc vertical 50 160 215 325 600 et charge bras mi-tendus Tronc vertical 50 210 290 375 850 et charge bras tendus Tronc penché à 250 335 375 460 675 45° (dos rond) Tronc penché à 300 435 503 635 975 90° (dos rond) En savoir plus sur les pressions Quelle est la pression sur le dernier disque lombaire (L5-S1) pour une personne pesant 75 kg ? ? Petit rappel : 1kg = 10N Petit rappel : 1kg = 10N Avec une charge de 15 kg en main → Comment évaluer la pression sur le dernier disque lombaire ? 15 50 cm Il faut tenir compte de l’effet « bras de levier » 50 cm Si les bras de leviers sont égaux Et pas de poids du corps (50 kg) → MAIS CE N’EST PAS LE CORPS HUMAIN !!!! MAIS par contre voici LE CORPS HUMAIN CE N’EST PAS LE CORPS HUMAIN !!!! Par contre voici LE CORPS HUMAIN Avec une charge de 15kg en main 50 ▪ La charge pèse 15 kg ▪ La charge est saisie à 50 cm de 15 50 cm la colonne lombaire ▪ Le sujet pèse 75kg et le poids du tronc est estimé à 50 kg La colonne vertébrale et le bras de levier lorsque l’homme est « droit » (= lordose lombaire) Poids La distance entre le disque et les du muscles varie suivant la courbure de tronc la colonne vertébrale : 5 cm en lordose Distance entre la charge et le disque Poids Force de la exercée charge Pressio par n les sur le muscles La surface d’appui constituée par le disque disque varie suivant la courbure de la colonne vertébrale : 15 cm² en lordose L’homme est « droit » (= lordose lombaire) Poids du Distance entre le tronc disque et les muscles 15kg Distance entre la charge et le disque Poids Force de la exercée charge 50 cm Pressio par n les sur le muscles disque Surface d’appui du disque 150 kg Homme « droit » a une charge de 15 kg en main 50k g 5 cm 50 cm 15k g 150kg 215k g En rajoutant le poids du tronc (50kg) → 15+150+50 Masse Totale = 215Kg = 2150N 15 cm² Homme « droit » a une charge de 15 kg en main 50k g 5 cm 50 cm 15k g 150kg La pression exercée sur le 215k disque est de 2150N sur g une surface de 0,0015m², soit 1 4300 000N/m² ou 14,3kg/cm² 15 cm² Homme penché en avant, dos rond sans charge 5 20 cm ▪ Le sujet pèse 75 kg et le poids 0 k du tronc est estimé à 50 kg g ▪ La distance entre le disque et les muscles se réduit à 4 cm ▪ La distance entre le disque et le centre de gravité du tronc = 20 cm La colonne vertébrale et le bras de levier lors que l’homme est penché en avant, dos rond La distance entre le disque et les Poids muscles varie suivant la courbure de du la colonne vertébrale : tronc 4 cm dos rond Distance entre la charge et le disque Poids Force de la exercée charge Pressio par n les sur le muscles La surface d’appui constituée par le disque disque varie suivant la courbure de la colonne vertébrale : 7,5 cm² dos rond Homme penché en avant, dos rond sans charge 50k 4 cm g = 20 cm poid s du Mass tron e c 7,5 cm² !!!! La surface d’appui est réduite ou en raison du pincement antérieur du disque 0,007 (7,5 cm² au lieu de 15 cm²) 5 m² Homme penché en avant, dos rond sans charge 50k 4 cm g = 20 cm poid s du Mass tron e c A X 0,2 m = Masse B X Masse 0,05 m 500N X 0,2 m = Masse B X 7,5 cm² 0,04 m ou 500N X 0,20 m = 2 500N X 0,04 0,007 5m m Masse B = 2 500N Penché en avant, dos rond sans charge 50k 4 cm = 0,4m g = 20cm = 0,2m poid Ma s du ss 2500 tron e N c tot ale 7,5 cm²? Masse totale = 3 000N ou 0,007 (500N + 2 500N) 5m Penché en avant, dos rond sans charge 50k 4 cm = 0,4m g = 20 cm = 0,2 m poid s du 2500 30 tron 00 N c N La pression exercée sur le 7,5c disque est de 3000N sur une m² ou 0,007 surface de 0,0075 cm², soit 5m 400 000N/kg² ou 40kg/cm² Penché en avant, dos rond sans charge 50k 4 cm = 0,4m g = 20 cm = 0,2 m poid s du 2500 30 tron 00 N c N La pression exercée sur le 7,5c disque est de 3000N sur une m² ou 0,007 surface de 0,0075 cm², soit 5m 400 000N/kg² ou 40kg/cm² Homme penché en avant, dos rond avec une charge de 15 Kg en main 4cm = 0,4m 50 20cm = 0,2m 2500 kg N 15k Masse 50cm = 0,5m g 2? Masse 1 = 2500N (dia 55) Masse 2 = ? 7,5 150N X 0,5m = Masse 2 X cm² 0,4m 150N X 0,5m = Masse 2 X 0,4m Homme penché en avant, dos rond avec une charge de 15 Kg en main 4cm = 0,4m 50 20cm = 0,2m 2500 kg N 15k 50cm = 0,5m 1875N g Masse totale ? 7,5 Masse Totale = 2500+1875 = cm² 5025N Homme penché en avant, dos rond avec une charge de 15 Kg en main 4 cm 20 cm 50 250kg 15k kg 187,5 50 cm 502,5 g kg kg La pression exercée sur le disque 7,5 est de 5025N sur une surface de cm² 0, 0075m², soit 67 000N/kg² ou 67kg/cm² Attention !!!! Il ne vous sera jamais demander, lors de l’examen écrit, de réaliser les différents calculs des diaporamas précédentes. Seules les notions et la signification des différences de résultats entre les différentes positions Chapitre 4 : Facteurs de risques applicables aux secteurs hospitaliers Chapitre 4 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 1. Le Manque d’activité physique Le mouvement nourrit le disque intervertébral Il faut des muscles puissants pour pouvoir soulever un objet important Une bonne souplesse des ischios jambiers est nécessaire pour garder son dos bien placé (bassin dos creux) Pourquoi bouger suffisamment ? Améliorer la condition physique – souplesse – force – endurance Diminuer le vécu du stress Protéger le système cardio- vasculaire Contrôler le poids corporel Diminuer le mal de dos Favoriser la nutrition du disque Bonne perception des 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 2. Les contraintes liées aux répétitions de certaines postures et les manutentions Avez-vous des questions sur la matière vue lors de cette séance de 2 Ergonomie : Théorie Prévention des TMS : BSF1 (UE 13A) TIM1 (UE 07B) CLINQUART A- Sophie D’après le Power Point de DRAYE N. Éducateur Physique et JP Demaret, ,retravaillé par CLINQUART AS. en septembre 2024 Petit rappel de la séance 1 Séance 2 Les objectifs de l’ergonomie Le travail : - Soit acceptable par l’organisme humain, physiquement et psychologiquement - N’entraîne aucune fatigue excessive - Ne soit pas insidieusement dégradant - Ne précipite pas le vieillissement moral de l’organisme - Permette à l’homme au travail de parcourir une vie professionnelle de quelques 10aines d’années sans poser de problème grave Les différentes définitions et objectif de l’ERGONOMIE Ses domaines : Ergonomie cognitive - Ergonomie organisationnelle - Ergonomie physique L’articulation et ses différents éléments 2 1. Muscle O O 5 ss 2. Tendon 3 3. Gaine du tendon 4. Bourse séreuse 4 6 5. Ligament O O 6. Liquide synovial ss 7. Capsule articulaire 1 8 8. Cartilage 7 C1 C7 cervicales lordose D1 dorsales cyphose D12 lombaires lordose L1 sacrum cyphose L5 coccyx Disque L4-L5 Disque L5-S1 Zoom sur deux vertèbres 6 1 4 4 4 3 2 7 4 5 Postérie Antérie ur ur Le segment vertébral : coupe transversale 4 6 7 3 5 a 3 7 b 6 Le rôle du disque intervertébral Amortissement Mobilité ▪ Absence de cellules nerveuses ▪ Absence de vaisseaux sanguins → Le mouvement nourrit le disque Pressions approximatives sur Poids de la charge (en le dernier disque lombaire (ne tenant compte que du poids kg) de la charge et du poids de 0 10 15 25 50 l’ensemble tête-tronc) pour une personne de 75 kg Tronc vertical 50 110 140 200 350 et charge contre le tronc Tronc vertical 50 160 215 325 600 et charge bras mi-tendus Tronc vertical 50 210 290 375 850 et charge bras tendus Tronc penché à 250 335 375 460 675 45° (dos rond) Tronc penché à 300 435 503 635 975 90° (dos rond) 1. Le manque d’activité physique = facteur de risque 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades Séance 2 Séance 2 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention = facteur de risque 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 2. Les contraintes liées aux répétitions de certaines postures et les manutentions La traction du patient à la nuque du soignant : un supplice pour la colonne cervicale Torsion Les postures dangereuses pour l’épaule Les postures dangereuses pour le coude Les postures dangereuses pour le poignet Facteurs de risque : quelques exemples = Ce qu’il ne faut pas faire 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 3. Le stress Charge importante de Compression ▪ Tension accrue du travail disque et Travail monotone musculaire risque de ▪ Contraintes douleur Pression du temps mécaniques chronique Manque d’autonomie Mauvais support social Insatisfaction au travail Horaires 1. Le manque d’activité physique 2. Le maintien et la répétition de certaines postures et manutention 3. Le stress 4. Les contraintes liées aux lieux de travail 5. Les caractéristiques personnelles 6. Les chutes et les glissades 4. Contraintes liées aux lieux de travail Qu'appelle-t-on troubles musculosquelettiques (TMS)? Un ensemble de troubles d’1 ou de plusieurs parties - des membres supérieurs (mains, poignets, coudes et épaules) - de la nuque - du dos Ils sont dus à l'accumulation de petites blessures répétées provoquées par des contraintes mécaniques Quels en sont les symptômes? Une gêne, un affaiblissement, une fatigue, une douleur persistante au niveau des articulations, des muscles, des tendons, des nerfs, avec ou sans manifestations physiques Qui peuvent entraîner une incapacité de travail. Bursites Lésion de la coiffe des rotateurs Epaule gelée Cervicalgie, dorsalgie, Ténosynovite du biceps lombalgie Syndrome de De Syndrome tensionnel Quervain (HTA) Syndrome du canal Syndrome du défilé carpien ou Canal de thoracique Guyon Syndrome de l’articulation acromio- claviculaire Epicondilite latérale Epicondilite médiale Syndrome compressif du nerf cubital Ténosynovites Cervicalgie : douleur(s) au niveau des vertèbres cervicales. Dorsalgie : douleur(s) au niveau des vertèbres dorsales. Lombalgie : douleur(s) au niveau des vertèbres lombaires. Syndrome tensionnel (HTA) : maladie qui s'exprime chez un patient par des chiffres tensionnels élevés au repos. Syndrome du défilé thoracique : un groupe de Syndrome de l’articulation acromio- claviculaire : La douleur est le principal symptôme d'une arthrose acromio-claviculaire. Elle est surtout présente en regard de l'articulation, sur le dessus de l'épaule, qui est parfois tuméfiée. Fréquemment, la douleur semble se diriger vers le muscle trapèze et le bras Epicondilite latérale « tennis elbow » = tendinite interne du coude : une affection douloureuse du coude. Il s'agit d'une inflammation qui survient près d'une petite saillie de l'os du bras (humérus), juste au-dessus de l'articulation du coude sur la face externe du bras. Epicondilite médiale « golf elbow » suite à des mouvements répétés de flexion et pronation du poignet, main en prise de force sur le club. La douleur est de type mécanique se localise au niveau de l’insertion épicondylienne de la masse des fléchisseurs-pronateurs, avec diminution de la force de serrage, par exemple pour serrer le club. L’épicondylite médiale provoque souvent une irradiation descendante jusque dans le poignet. Syndrome compressif du nerf cubital : une compression du nerf cubital (en jaune sur le schéma anatomique ci-contre) au niveau du coude. Cette compression provoque progressivement la perte de sensibilité des 2 derniers doigts de la main, auriculaire et moitié de l'annulaire. Ténosynovites : une tendinite associée à une inflammation de la gaine tendineuse. Bursites : une inflammation douloureuse d'une bourse séreuse (poche plate remplie de liquide, qui favorise le glissement de la peau, des muscles, des tendons et des ligaments contre les os). Le mouvement est douloureux et les bourses séreuses superficielles peuvent gonfler et être sensibles. Lésion de la coiffe des rotateurs : rupture partielle ou totale des tendons de muscles. Epaule gelée ou capsulite rétractile : un trouble courant qui provoque de la douleur, de la raideur et une perte d'amplitude normale de mouvement au niveau de l'épaule. Ténosynovite du bíceps : inflammation de la gaine qui protège le tendon du long biceps (la gaine synoviale) et dans laquelle circule un liquide appelé synovie. Ce liquide transparent et visqueux a pour but de lubrifier le tendon et Syndrome de De Quervain : une affection douloureuse des tendons à la base du pouce. C'est l'une des maladies inflammatoires de la gaine du tendon (ou ténosynovite) les plus courantes. Les tendons sont enfermés dans une gaine à l'intérieur de laquelle ils glissent. Syndrome du canal carpien : des engourdissements et des fourmillements dans les doigts, et par une perte de force musculaire dans le poignet et la main touchés. Les symptômes résultent de la compression du nerf médian au poignet. Attention !!!! Il ne vous sera jamais, à l’examen écrit, les définitions des différents troubles musculosquelettiques citées sur les diaporamas précédentes mais il est important de savoir en dire quelques mots… Causes possibles de douleurs 1. Articulations postérieures ▪ Déchirure du cartilage ▪ Arthrose 2. Ligaments vertébraux ▪ Distensions 1 ▪ Déchirures 2 4 3 3. Muscles paravertébraux 2 ▪ Fatigue musculaire ▪ Contracture 4. Disque intervertébral ▪ Vieillissement Lombalgie et lumbago ? Une personne qui déclare une douleur dans la zone lombaire est un lombalgique Lumbago : – La douleur est aiguë et intense, survenant brutalement – Les muscles vertébraux se contractent pour protéger le dos – Les mouvements sont souvent limités Lombalgie chronique : – Lorsque la douleur persiste au- delà de 3 mois Le vieillissement naturel du disque Sujet jeune Disque sain Sujet âgé Tassemen t discal (ou pincemen t) La radiographie d’un individu jeune ▪ Seul l’os est visible ▪ La hauteur du disque correspond à 1/3 du corps vertébral ▪ Présence d’un bombement central du disque Caractéristiques du vieillissement naturel du disque Perte de la capacité d’attraction en eau Diminution – de l’épaisseur du disque – de l’effet amortisseur du disque – de la souplesse de la colonne = tassement discal (ou pincement discal) L’évolution est lente et progressive et ne provoque pas nécessairement de douleur Arthrose et becs de perroquet Cette dégradation progressive et correspondant à l’usure du disque s’appelle l’arthrose Elle se caractérise notamment par une diminution de sa capacité à amortir les chocs En réaction, un bourrelet osseux se développe sur les bords de la vertèbre et est appelé becs de perroquet (ostéophytes) Tassement discal et becs de perroquet Becs de perroquet (ostéophyt es) Discarthr ose Tassement discal La radiographie d’un individu âgé ▪ Présence d’ostéophytes ▪ Présence d’un pincement discal ▪ Aplanissement des plateaux vertébraux Sujet Sujet B A Qui a mal au dos ? Concordance radiologie et douleur : inexistante Tassement discal et Disque sain becs de perroquet Douleur Pas de douleur Il est pratiquement impossible de discerner l’origine de la douleur sur une radio standard Concordance entre imagerie médicale et douleur 90% des sujets de plus de 50 ans présentent des disques intervertébraux pincés dans la région lombaire et ne souffrent pas de lombalgie 20% à 40% de la population sans lombalgie présentent des anomalies sur le scanner Concordance entre imagerie médicale et douleur La détérioration du disque - Quelles sont les stades de détérioration du disque ? - Sont-ils tous douloureux ? Hernie discale (stade 5) : douleur ? Ou Ou Pas de Douleur par la Douleur douleur distension ou déchirure : et/ou du ligament postérieur irradiation de la couche postérieure des fibres de l’anneau Évolution de la hernie discale A court terme (quelques jours) – Inflammation et irritation chimique possible des tissus A moyen terme (6 mois à 12 mois) – Le fragment sorti du disque intervertébral est résorbé dans 75% des cas (sans thérapie particulière) Guérison discale lente : car disque intervertébral sans vaisseaux sanguins (turn-over = 6 mois) Qu’est-ce que la sciatalgie ? La racine nerveuse du nerf sciatique peut être : – irritée chimiquement – comprimée mécaniquement par la hernie, l’inflammation ou un conflit avec une autre structure IRM Douleur au dos : attitude à observer Réduction temporaire de l’activité physique Si le repos au lit est indispensable, il convient de le limiter à 2 jours maximum Reprise précoce de l’activité physique Respect des principes de protection du dos Aménagement ergonomique du poste de travail et de son environnement Messages importants Une reprise rapide du travail n’a pas d’influence défavorable sur l’évolution ultérieure du mal de dos Le repos au lit est moins efficace qu’un placebo ou que la poursuite des activités habituelles (concernant la régression de la douleur, la rapidité de la récupération et la reprise du travail) La poursuite des activités habituelles aboutit à une récupération symptomatique équivalente sinon plus rapide et diminue la probabilité d’invalidité chronique Le cercle douloureux de la lombalgie Comment protéger ses articulations ? En adoptant de bons gestes En adaptant le travail En entretenant sa forme physique Chapitre 5 : Economie rachidienne (gestes et postures) Chapitre 5 Partir des gestes sportifs => gestes et postures Adopter des gestes et postures corrects Penser avant d’agir Réduire les distances Conserver les courbures naturelles de la colonne vertébrale lors de l’adoption des différentes positions du corps = maintenir la lordose lombaire Utiliser un appui antérieur Réduire les distances Être le plus près possible de la tâche à effectuer (Réduire le bras de levier entre le dernier disque intervertébral lombaire et le centre de gravité du tronc) Se mettre à hauteur Diminuer les distances horizontales : encadrer la charge Utiliser des appuis antérieurs Une position correcte pour encadrer la charge Charge légère Charge avec une poignée Les conseils complémentaires 1. Garder les bras allongés 2. Poser les pieds à plat 3. Souffler pendant l’effort 4. Placer les mains et les bras entre les jambes 5. Adapter la vitesse de soulèvement 6. Saisir la charge à pleines mains L’avantage d’adopter de bons gestes La pression sur le disque et la tension sur les ligaments est répartie 210kg 500kg 15k g 15k g Charge sans poignée Manutention en binôme Avez-vous des questions sur la matière vue lors de cette séance de 2 Ergonomie : Théorie Prévention des TMS : BSF1 (UE 13A) TIM1 (UE 07B) CLINQUART A- Sophie D’après le Power Point de DRAYE N. Éducateur Physique et JP Demaret, ,retravaillé par CLINQUART AS. en septembre 2024 Séance 3 Séance 3 Quelques applications En milieu professionnel Dans les loisirs, à la maison… 1 2 3 4 Matelas et sommier trop mou Matelas trop dur Matelas et sommier adapté Détendre le muscle psoas-iliaque Porter un enfant ▪ Sur la hanche (en alternant côté gauche et droit) ▪ Face au ventre DÉPLACEMENT DES CLIENTS PDSB APPROCHE GLOBALE DE LA SITUATION DE TRAVAIL = Cours de MANUTENTION BSF1 Position correcte 1. Se rapprocher (réduire les distances) 2. Maintenir les courbures naturelles de la colonne = lordose lombaire 3. Se mettre à hauteur / Plier les genoux/ Pieds à plat Manutention du patient Se rapprocher Maintenir les courbures naturelles du dos Se mettre à hauteur Les actions ergonomiques 1.Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 1. Le « Dimensionnement » du poste de travail A. La hauteur du plan de travail B. Les dimensions latérales C. L’accès à la tâche, à l’objet, à la personne D. La disposition des plans de travail E. Les systèmes d’atteinte A. La hauteur du plan de travail = L’adapter ▪ Éviter les postures penchées en avant ou étendues vers l’arrière ▪ En fonction de la taille des utilisateurs ▪ En fonction du type de travail effectué : ▪ Travail de précision ▪ Travail léger ▪ Travail lourd Précision Léger Lourd Hauteur des coudes ou plus Entre la haut hauteur des Hauteur de coudes et les hanches hanches Estrade B. Les dimensions latérales = Distance d’atteinte confortable des objets - Objets fréquemment utilisés : placés aux environs de la position semi-fléchie du bras (zone verte) - Objets peu utilisés : placés à la distance entre le poignet et l’épaule (zone rouge) C. L’accès à la tâche, à l’objet, à la personne H : 20 cm P : 15 cm Espace pour les pieds Faciliter le rapprochement avec le patient A. Dossiers et barrières faciles à manipuler B. Fauteuils à accoudoirs amovibles E. Les systèmes d’atteinte = Permettre d’adopter des postures confortables grâce à : Des allonges Un support Une compensation du poids de l’outil Une mécanisation Adapter les outils Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2.Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 7. La position assise 2. Le stockage des charges A. Utiliser une rehausse fixe B. Utiliser une rehausse variable C. Organiser le stockage dans les endroits de rangement et étagères A. Utiliser des rehausses de hauteur fixe Rehausser les hauteurs fixes Ex : La manne à linge sur roulettes Déposer des charges utilisées fréquemment sur une table et non sur le sol Parcs en hauteur B. Utiliser des rehausses de hauteur variable C. Optimiser les stockages Privilégier les systèmes de stockages mécanisés Pour le stockage manuel : – hauteur des objets stockés en fonction de leur poids de leur fréquence d’utilisation – faible profondeur des niveaux – accès facile Aucun stockage au sol Adapter la hauteur des stockages Charges lourdes Adapter la hauteur des stockages Charges fréquemment utilisées Charges fréquemment utilisées Éviter les tablettes trop profondes Adapter la hauteur des stockages Charges rarement utilisées Charges rarement utilisées Adapter la hauteur des stockages Charges rarement utilisées Charges fréquemment utilisées Charges lourdes Charges rarement utilisées Dans les armoires et étagères : éviter les tablettes trop Limiter le poids des objets soulevés Réduire le poids maximal de : ▪ 10% si rotation du tronc de 45° ▪ 20% si rotation de 90° ▪ 30% si rythme entre 1 à 2 fois par minute ▪ 50% si rythme 8 fois par minute ▪ 80% si rythme 12 fois par minute Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3.Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 7. La position assise 3. Le déplacement des charges = Faciliter le déplacement des charges A. La mécanisation de la tâche B. Le regroupement des objets (silos…) C. L’ide au levage des charges D. L’utilisation de chariots et engins de manutention adaptés Les différentes aides à la manutention du patient Le lit Le lève-personne Le drap de transfert La planche de transfert Le disque pivotant Le tapis anti-dérapant La sangle de rehaussement (haussière) La ceinture de marche Le lit électrique Le lève- personne Il sera très importance de vous familiariser avec l’appareil lors de la séance de manutention pratique Le lève-personne sur rail Le drap de transfert → Il permet le rehaussement ou la translation aisée du patient alité La planche de transfert → Elle permet le transfert aisé du patient du lit vers un autre lit, un brancard… Le disque pivotant → Il permet le transfert aisé d’un patient du lit vers le fauteuil, vers la chaise… Le tapis anti-dérapant pour fauteuil → Il évite au patient de glisser vers l’avant du fauteuil La sangle de redressement (haussière) → Elle facilite le redressement du patient à partir de la position assise La planche de transfert assis → Elle facilite le transfert assis d’un lit vers un fauteuil ou d’un siège à un autre À la vétusté du matériel !!! Utiliser des aides techniques www.prevent.be 219 Les aides techniques adaptés pour personnes âgées www.prevent.be 220 Les aides techniques adaptés pour personnes obèses (= patients bariatriques) Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4.La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 7. La position assise 4. La modification des caractéristiques de l’objet Revient à : Adapter – le poids : - conditionner en vrac avec mécanisation - réduire le poids unitaire – le volume : - de l’objet - du contenant Faciliter la prise de l’objet Assurer la stabilité de l’objet Limiter le poids des objets soulevés Poids limites recommandés (moins d’une fois par 5 minutes) : ▪ charge saisie à hauteur du bassin : ▪ Homme : 25 kg ▪ Femme : 15 kg ▪ charge saisie au sol : ▪ Homme : 10 kg ▪ Femme : 7 kg ▪ charge saisie en position assise : 4,5 Réduire le volume des objets et des caisses ▪ Dimensions maximales : ▪ Hauteur : 30 cm ▪ Longueur : 40 cm ▪ Largeur : 30 cm ▪ Préférer les caisses pourvues de poignées La présence des poignées Indispensables si plus de 4,5 kg Si plus de 18 kg : utilisables par 2 personnes Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5.L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 7. La position assise 5. L’accès au poste de travail Faciliter les transports verticaux Améliorer le rangement Adapter les surfaces de circulation Utiliser des aides pour faciliter l’accès à la tâche ou à l’objet Concevoir des surfaces de circulation adaptées Optimisation l’aménagement des chambres Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6.L’organisation du travail 7. La position assise 6. L’organisation du travail ▪ Permettre les moments de récupération ▪ Favoriser l’alternance des tâches et des positions ▪ Prévoir une formation régulière (nouvelles techniques, aide…) ▪ Favoriser l’autonomie du patient ▪ Utiliser des tenues adaptées aux tâches Demandez de l’aide ! Utiliser des tenues adaptées à la tâche Vêtements souples et ne limitant pas les mouvements (= uniforme infirmier) Chaussures antidérapantes avec soutien de la cheville (pas de talons trop hauts) Protéger aussi vos genoux ! Les actions ergonomiques 1. Le « dimensionnement » du poste de travail 2. Le stockage des charges 3. Le déplacement des charges 4. La modification des caractéristiques de l’objet 5. L’accès au poste de travail 6. L’organisation du travail 7.La position assise 7. La position assise Maintenir la courbure naturelle de la colonne vertébrale = Lordose lombaire Varier les positions → nourrissent les disques intervertébraux Pourquoi maintenir la lordose lombaire ? Pour répartir les pressions sur l’ensemble du segment vertébral – Éviter le pincement du disque à l’avant – Éviter la distension des ligaments postérieurs Pour diminuer la pression sur les disques intervertébraux Comment maintenir la lordose lombaire ? En agissant sur le « levier supérieur » 1. En inclinant le dossier vers l’arrière = ouvrir l’angle cuisses-tronc 2. En plaçant un support au niveau du creux lombaire 3. En contractant les muscles du dos Incliner Incliner le dossier Appui l’assise lombaire Comment maintenir la lordose lombaire ? En agissant sur le « levier inférieur » 1. En inclinant l’assise du siège = ouvrir l’angle cuisses- tronc & pivoter le bassin vers l’avant 2. En inclinant les cuisses vers l’avant 3. En plaçant un coussin triangulaire sur l’assise du siège 4. En agissant sur les deux leviers simultanément Coussin Contracter les Incliner les triangulaire muscles du cuisses dos Adapter le travail sur ordinateur En résumé : Protéger son dos Éviter ou diminuer : Améliorer ou ▪ Les positions pénibles augmenter : ▪ Les manutentions L’utilisation de bons ▪ Les chutes et glissades gestes ▪ Les positions statiques L’adaptation du poste de ▪ Les situations travail stressantes L’entretien de sa forme physique Avez-vous des questions sur l’ensemble de la matière vue lors de nos

Use Quizgecko on...
Browser
Browser