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Comprendre la place du social ad dans une stratégie webmarketing Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Démarrons cette formation sur les fondamentaux aux social ads par l'intérêt de la publicité sur les réseaux sociaux pour la stratégie webmarketing de l'...
Comprendre la place du social ad dans une stratégie webmarketing Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Démarrons cette formation sur les fondamentaux aux social ads par l'intérêt de la publicité sur les réseaux sociaux pour la stratégie webmarketing de l'annonceur. L'annonceur va chercher à nourrir le tunnel d'achat, celui-ci se découpe en plusieurs parties : une première étape de notoriété où l'annonceur fait connaître sa marque à son public cible, une étape de considération où l'annonceur va faire connaître ses produits et services ; bref sa valeur ajoutée auprès du même public, une phase de captation du trafic sur le site web et enfin une phase de conversion où la marque cherche à faire agir ses prospects sur son site web ou sur son application mobile. Les outils Google, à travers YouTube et le moteur de recherche Google permettent de bien répondre en haut et bas de tunnel. En haut de tunnel, vous pouvez retrouver YouTube, produit de Google qui permettra grâce à son format vidéo d'avoir un temps d'exposition long de la marque avec son audience et le moteur de recherche sera parfait pour le bas de tunnel, car ici l'annonceur pourra répondre aux requêtes des internautes. Les réseaux sociaux vont être complémentaires. Que ce soit Meta avec Facebook et Instagram, TikTok, Twitter ou Snapchat, ces réseaux sociaux, par les données qu'ils possèdent, par leur variété de formats, permettra aussi d'accompagner le consommateur tout au long de ce tunnel d'achat. Tout en haut du tunnel d'achat dans la phase de notoriété, nous pouvons trouver TikTok avec son format vidéo, Meta avec également des formats vidéo sur Facebook ou Instagram à travers des « reels » ou tout simplement des vidéos natives. Sur les phases considération et trafic, Snapchat ou Twitter sur des formats beaucoup plus s'engageants qui appellent au clic ; et tout en bas de tunnel, tous les réseaux sociaux peuvent être utiles parce qu'il permettront d'identifier les consommateurs qui sont passés par les sites Web ou les applications mobiles de la marque et ces réseaux sociaux inviteront ces consommateurs à revenir à nouveau dans les écosystèmes de la marque. Ces réseaux sociaux sont intéressants de par toute la data qu'ils proposent aux annonceurs. Ils proposent des données sociodémographiques qui sont très utilisées en média pour couvrir une cible telles que le sexe, l'âge, la localisation, des centres d'intérêt en fonction du comportement de ses utilisateurs sur les réseaux sociaux ; et puis tous ces réseaux sociaux sont utiles pour du « retargeting », c'est-à-dire lorsque la marque cherche à faire revenir les visiteurs de son site web ou son application mobile sur son site web à nouveau. L'avantage des réseaux sociaux réside dans leur capacité à adresser différents objectifs. C'est ce que nous avons vu dans l'infographie précédente. Différents formats co-existent : à la fois des formats image, carrousel, vidéo qui permet de trouver le format idéal en fonction du message à communiquer de la part de l'annonceur ; et enfin, qui permet de diffuser sur des emplacements différents grâce à la variété des réseaux qui sont proposés. Aborder les points communs entre les différents réseaux publicitaires Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Dans cette formation, nous allons aborder la publicité sur différents réseaux sociaux, sur Meta, Facebook et Instagram, sur TikTok, Snapchat, Twitter. Cependant, tous ces réseaux sociaux ont des points communs. Ces trois points communs sont liés aux audiences, aux formats et aux emplacements. Démarrons par les audiences. Quelle que soit la plateforme sociale sélectionnée, nous allons retrouver le même type d'audience ou quelque chose d'assez proche dans le fonctionnement.Notamment, l'annonceur pourra cibler ses propres sources de données, c'est-à-dire que grâce à la plateforme sociale, il pourra retoucher les visiteurs de son site web en fonction de leur parcours, par exemple les visiteurs qui ont démarré un panier, mais qui ne l'ont pas achevé. L'annonceur pourra sur ces plateformes sociales, charger des bases de données pour retoucher les contacts à l'intérieur de ces bases de données et retoucher les individus en fonction de leur comportement et de leur interaction sur le réseau social. Cela permettra pour des annonceurs de réaliser des campagnes de retargeting ou d'audience similaire. Nous irons un peu plus tard sur ce concept. Ensuite, chaque plateforme sociale a sa propre donnée. Il y aura de la donnée socio-démographique, des centres d'intérêt qui seront propres à la plateforme : sur LinkedIn par exemple, il y a de la donnée professionnelle, sur Tik Tok, c'est de la donnée basée sur les vidéos consultées, sur Facebook et Instagram, sur les pages likées et il sera possible de toucher les utilisateurs en fonction de ces comportements ou intentions d'achat décelées par la plateforme sociale. Autre point commun, ce sont les formats. Chaque plateforme sociale offre une variété de formats. Quoi qu'il en soit, il y a trois grands types de formats. Les formats vidéo, qui permettent à l'annonceur de s'exprimer plus longuement et de développer des messages plus sophistiqués ; des formats dits « à image unique » ou un format statique, qui permet d'aller plus droit au but et de proposer une action qu'on appellera « call to action » ou appel à l'action et puis des formats par un système de fiches, que l'on peut retrouver au format carrousel ou sur des formats Story. Ces fiches permettent de déployer plusieurs arguments, plusieurs bénéfices de l'offre du produit communiqué par l'annonceur. Troisième et différent point commun entre ces différents réseaux sociaux : l'emplacement. Chaque réseau social propose de faire de la publicité au sein de son réseau social et aussi au sein de son propre réseau, que l'on va appeler l'audience network. Par exemple, il existe le Facebook Audience Network. Eh bien, le Facebook Audience Network permet à ses éditeurs de recevoir de la publicité en provenance de Facebook Ads. Ainsi, l'annonceur, au-delà du réseau social Facebook, a à sa disposition ce réseaupour multiplier les opportunités de contact avec sa cible. Comprendre les paramètres de la publicité Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Quel que soit le réseau social, il sera évident de mettre en place les bonnes pratiques créatives.Démarrons par les paramètres de la publicité. Chaque réseau social propose ses propres formats et ses propres ratios. Il y aura des formats horizontaux ; ici, vous avez des exemples pour Facebook, FB ou Instagram, IG à l'écran ; des formats dits carrés, des formats verticaux, davantage adaptés aux mobiles. Comme nous le verrons plus tard, chaque réseau social propose ses propres formats et des pages d'aide sont présentes pour vous aider à construire vos créations en respectant ses propres ratios. Évidemment, la symbolique des couleurs va jouer un rôle important. Lors de la conception d'une publicité, le choix des couleurs doit être pensé au sein d'une stratégie au même titre que les messages. En effet, une couleur peut permettre d'attirer l'œil du lecteur, de faire connaître rapidement sa marque et de véhiculer des émotions. Ce sont des avantages primordiaux en publicité, quand se démarquer est un réel challenge. Pour créer vos publicités, différentes ressources de visuels libres de droit ou payants existent, telles que Noun Project, où vous pouvez retrouver des visuels et aussi des icônes, Pexels, Adobe Stock, Unsplash ou encore Pixabay. Découvrir les frameworks ToFu, MoFu et BoFu Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Démarrons ce chapitre : Bâtir une campagne sur les réseaux sociaux et optimiser les performances.Pour démarrer ce chapitre, voyons tout d'abord le framework ou le modèle ToFu, MoFu, BoFu. Ce modèle va reprendre les phases du tunnel d'achat. Le Fu va être pour Funnel : ToFu, Top of the Funnel,MoFu, Middle of the Funnel et BoFu pour Bottom of the Funnel. Comme vous le savez et comme vous avez pu le voir dans les précédentes vidéos, ce tunnel d'achat est constitué de différentes étapes par lequel passe le consommateur avant d'aboutir à la conversion. On peut reprendre ce schéma pour réaliser son plan de campagne sur les réseaux sociaux, quel que soit le réseau social. Tout en haut, à l'étape Top of the Funnel, nous allons avoir un trafic froid où le but va être de toucher une audience pour faire découvrir notre offre de produits ou de services à ce bassin d'audience. Puis, toutes les personnes qui ont interagi avec nous, avec la marque, sur l'étape ToFu, alors, ils passeront à l'étape MoFu, pour Middle of the Funnel et ici, il s'agira de retoucher les personnes qui ont interagi avec nousà la phase précédente, avec un message adapté. Évidemment, ce message incitera à passer à l'étape suivante : BoFu, Bottom of the Funnel, où là, il s'agira de convaincre ces personnes d'agir directement sur le site, de convertir soit par un achat, soit par un lead, un remplissage de formulaire. Alors, rentrons un petit peu plus loin dans chacune de ces étapes. À l'étape Top of the Funnel, le format que je préconiserais est plutôt un format vidéo, qui permet à l'audience de faire découvrir la marque sur un temps plus long. Cela permet de développer les arguments ou alors de faire passer une émotion. Les messages à véhiculer peuvent être l'agitation du problème que rencontre le consommateur, ou alors montrer comme quoi on résout ses painful points, ses points de friction, en français, ou alors mettre en lumière les bénéfices client, comment la marque résout le problème de son prospect. Dans la phase suivante, une fois que le consommateur a déjà interagi avec la phase ToFu, alors l'annonceur peut diffuser un message carrousel qui permettra dans ses différentes fiches de véhiculer un messagemettant en avant les bénéfices du produit, ses caractéristiques, mettre en avant des témoignages clients ou l'image que peut attendre le consommateur du bénéfice qu'il tire du produit. Et en dernière phase, en phase BoFu, Bottom of the Funnel, je recommande de plutôt mettre une image qui permet d'aller droit au but. Le message à véhiculer peut être un témoignage client pour crédibiliser le message et pousser à l'action, faire une démonstration du produit, un type de message que l'on a vu auparavant : l'unboxing, promouvoir une offre spéciale, faciliter le paiement en plusieurs fois et rassurer avec une gestion des retours efficace de la marque. Ces différents points seront les derniers éléments à mettre en avant auprès de la cible pour la pousser à la conversion. En termes d'audience, pour résumer, tout en haut du tunnel, nous allons retrouver une cible large ; toutes les personnes qui ont interagi en ToFuseront dans cette seconde phase MoFu et puis, en dernière phase, Bottom of the Funnel, nous chercherons à retoucher les visiteurs de notre site web pour les pousser à la conversion finale sur le site web. Comprendre la saturation des leviers Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Autre framework ou modèle pour bâtir un plan de campagne, le framework de saturation des leviers.La saturation des leviers est représenté sous forme graphique avec en ordonnée, le volume des venteset en abscisse, le CAC, le coût d'acquisition client. Nous allons distinguer deux parties : une partie acquisition et une partie notoriété. En démarrant ces actions web marketing, l'annonceur va d'abord choisir dans ce framework, les campagnes, les leviers qui lui permettent d'obtenir le meilleur volume de conversions au moindre coût. Il va se concentrer sur certains leviers web marketing qui lui permettront d'obtenir le meilleur coût par acquisition et un volume de conversions intéressant. Ici, l'annonceur va avoir le coût d'acquisition le plus bas pour un certain volume de conversions, encore une fois. Malheureusement, à un moment, au bout de quelque temps, ces campagnes, ces leviers vont saturer en termes de volume. Alors, il sera nécessaire de passer à d'autres leviers, à d'autres campagnes web marketing. C'est pour ça que l'on parle de saturation des leviers. Le premier niveau de levier ou de campagne saturé, alors l'annonceur passera à des campagnes, à des leviers avec un objectif de trafic. Cette fois-ci, le KPI, l'indicateur sera le coût par clic, le taux de rebond. Pareil, ici l'annonceur va connaître la même situation que précédemment, il va obtenir plus de volume de ventes,malgré une augmentation de son coût d'acquisition, et à un moment, ce même annonceur va saturer ces leviers. Alors, il sera temps d'aller sur des actions davantage liées à la notoriété. Ces actions permettront d'augmenter encore le volume des ventes, tout en dégradant encore le coût d'acquisition clients, mais l'annonceur sera, à la fin de l'histoire, au bout du bout. Il aura démarré par des campagnes très rentables pour peu de volume, puis ensuite il aura été chercher d'autres leviers, qui lui permettront d'obtenir plus de volume pour un coût d'acquisition plus élevé, et puis, à la fin du fin, eh bien, l'annonceur est obligé, entre guillemets, d'aller réaliser des actions de notoriété qui lui permettent d'aller chercher plus de ventes encore, pour un coût d'acquisition toujours dégradé. Dans cette dernière phase de notoriété, les indicateurs peuvent être le coût par vue, pour les formats vidéo,le coût par mille pour des formats display et l'indicateur principal sera le volume de cibles atteintes. Comprendre la saturation des leviers Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Autre framework ou modèle pour bâtir un plan de campagne, le framework de saturation des leviers.La saturation des leviers est représenté sous forme graphique avec en ordonnée, le volume des ventes et en abscisse, le CAC, le coût d'acquisition client. Nous allons distinguer deux parties : une partie acquisition et une partie notoriété. En démarrant ces actions web marketing, l'annonceur va d'abord choisir dans ce framework, les campagnes, les leviers qui lui permettent d'obtenir le meilleur volume de conversions au moindre coût. Il va se concentrer sur certains leviers web marketing qui lui permettront d'obtenir le meilleur coût par acquisition et un volume de conversions intéressant. Ici, l'annonceur va avoir le coût d'acquisition le plus bas pour un certain volume de conversions, encore une fois. Malheureusement, à un moment, au bout de quelque temps, ces campagnes, ces leviers vont saturer en termes de volume. Alors, il sera nécessaire de passer à d'autres leviers, à d'autres campagnes web marketing. C'est pour ça que l'on parle de saturation des leviers. Le premier niveau de levier ou de campagne saturé, alors l'annonceur passera à des campagnes, à des leviers avec un objectif de trafic. Cette fois-ci, le KPI, l'indicateur sera le coût par clic, le taux de rebond. Pareil, ici l'annonceur va connaître la même situation que précédemment, il va obtenir plus de volume de ventes,malgré une augmentation de son coût d'acquisition, et à un moment, ce même annonceur va saturer ces leviers. Alors, il sera temps d'aller sur des actions davantage liées à la notoriété. Ces actions permettront d'augmenter encore le volume des ventes, tout en dégradant encore le coût d'acquisition clients, mais l'annonceur sera, à la fin de l'histoire, au bout du bout. Il aura démarré par des campagnes très rentables pour peu de volume, puis ensuite il aura été chercher d'autres leviers, qui lui permettront d'obtenir plus de volume pour un coût d'acquisition plus élevé, et puis, à la fin du fin, eh bien, l'annonceur est obligé, entre guillemets, d'aller réaliser des actions de notoriété qui lui permettent d'aller chercher plus de ventes encore, pour un coût d'acquisition toujours dégradé. Dans cette dernière phase de notoriété, les indicateurs peuvent être le coût par vue, pour les formats vidéo,le coût par mille pour des formats display et l'indicateur principal sera le volume de cibles atteintes. Optimiser sa campagne à l'aide des indicateurs Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Le plan de campagne bâtit sur les réseaux sociaux. Il est important de poser les indicateurs qui permettront de valider le succès ou non des campagnes entreprises. Ces indicateurs peuvent être de différentes natures. Nous allons d'abord avoir tout en haut du tunnel des indicateurs de reach, c'est-à-dire la capacité des campagnes à toucher leur cible. Comme indicateurs, nous pouvons alors trouver la portée, combien de personnes ont été atteinte par notre campagne ? La fréquence, combien de fois nous avons dû répéter le message auprès de l'audience ? Les impressions, le nombre de fois où les messages ont été diffusé à l'écran de l'internaute ou sur la page qu'il consultait. Dans le cas de format vidéo, le nombre de vidéo vu. Et en terme d'indicateurs financiers, on peut observer le Coût par 1000, CPM ou le Coût par vues, CPV dans le cas de vidéo. Pour des objectifs d'engagement, premier indicateur en termes de volume, eh bien, tout simplement le nombre d'engagements, le nombre de likes, de commentaires, de partages, de clics. Le taux d'engagement qui me permet d'observerl'attractivité de mes messages. Sur 100 messages vu par la cible, combien de personnes s'engagent dans ces messages ? Et dernier élément, un ratio financier, quel est le coût par engagement ? Quel budget est dépensé pour obtenir un engagement ? Plus près du business, puisque cette fois-ci, on va parler de trafic sur le site web. Je vais observer dans ce type de campagne le volume de clics qui doit se traduire en visite sur mon site web. Le CTR ou taux de clics. qui va me permettre d'apprécier la performance de mes messages. Quand ma cible voit mon message, est-ce qu'elle agit sur ces messages ? Combien cela me coûte ? Quel est le CPC ? Quel est le coût par clic ? Et puis, comment réagit ma cible une fois qu'elle arrive sur mes pages d'atterrissage ? Quel est le taux de rebond ou d'engagement ? Quel est le temps passé sur mon site web une fois que l'internaute a cliqué sur mon message publicitaire ? Une fois sur le site, je vais pouvoir observer les indicateurs de conversion. Tout d'abord en terme de volume. Combien de conversion ai-je obtenu ? Combien d'achat ? Combien de mise au panier ? Combien de lead ? Quel a été le taux de conversion de ma campagne ? Sur 100 clics,combien de personnes ont été jusqu'au bout ou transformé sur mon site web ? Quel a été le coût ?Combien ai-je dû dépenser pour obtenir une acquisition ? Et enfin, après tous les indicateurs média,nous allons trouver les indicateurs business. Ma campagne publicitaire m'a permis de générer, quel volume de chiffre d'affaires ? pour quelle rentabilité, Return On Ad Spend ? Pour 1 € investit, combien ai-je générer de chiffre d'affaires par la plateforme ? En récapitulatif, vous retrouvez ici dans les encadrés bleu les différents types d'indicateurs et objectifs. Et en dessous, vous retrouvez les indicateurs possible que ce soit en valeur absolue, et valeur relative à travers des taux. Et en terme d'indicateurs financiers, que ce soit en coût par 1000, coût par clic ou coût par acquisition. Aborder les objectifs de la publicité dans Meta Selecting transcript lines in this section will navigate to timestamp in the video Abordons la publicité sur Meta Business, c'est-à-dire sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram Ads. Nous allons voir les différentes étapes une à une, de façon théorique, avant d'aller par la suite vers la prise en main de Meta Business. Premier élément qui devra être paramétré sur la plateforme, c'est l'objectif que l'on cherche à atteindre. Soit nous cherchons un objectif de notoriété de la marque, de trafic, c'est-à-dire utiliser la plateforme pour faire venir les visiteurs du réseau social à mon site web, soit un objectif d'interaction, où je cherche à interagir, engager la conversation avec les utilisateurs de la plateforme sociale, mais je reste dans la plateforme sociale, soit générer des prospects. Ici, je vais rediriger le trafic vers une page de formulaire qui reste à l'intérieur du réseau social ; je pourrai demander le nom, le prénom, l'adresse email du contact et les champs de formulaire seront déjà préremplis avec les informations enregistrées dans le réseau social. Je peux utiliser la plateforme sociale pour promouvoir mon application mobile et enfin, pour générer des ventes.