Info Mer - French Navy Past Paper PDF

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naval warfare military forces sea power military science

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This document provides information about the French Navy, including its structure, personnel, and equipment. It details numerous topics, such as the composition of navy teams, bases, different types of ships, and details regarding naval warfare. The document covers aspects of naval operations in a variety of situations.

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Info mer 1- l’armée de mer a été crée le 16 octobre 1958 2- la marine national a reçu ses premiers éléments navigants en 1959 3-les effectifs de la marine tunisienne sont de 5000 hommes ; 4-l’ Etat majeur de l’armée de mer est composé de 08 bureaux : 5- l’état majeur de l’armée de mer est souten...

Info mer 1- l’armée de mer a été crée le 16 octobre 1958 2- la marine national a reçu ses premiers éléments navigants en 1959 3-les effectifs de la marine tunisienne sont de 5000 hommes ; 4-l’ Etat majeur de l’armée de mer est composé de 08 bureaux : 5- l’état majeur de l’armée de mer est soutenu par la compagnie du quartier général 6- la CQG est l’abréviation de la compagnie de quartier général 7- le littoral national est divisé en trios regions Maritimes: - COMAR Bizerte : couvre tuniso algerie – phare de cabon - COMAR klibea : phare de cap bon – ras kapoudia - COMAR sfaxe : phare de capoudia – frontiere tuniso lybien 8- ’armée de mer est composée de 05 divisions opérationnelles : - 10° ; 11° ; 12° Divisions d’intervention et Appui DIA - 21° Division assistance er servitude DAS - 51° Régiment fusilier maritime RFM 9- les divisions opérationnelles sont des unités administratives autonomes formant corps de l’armée de mer constituer de forces navales ; maritimes et terrestre 10- l’armée de mer est composée de 07 divisions techniques : 11- les divisions techniques de l’armée de mer sont : -DCRN ; DAN ; DEN ; DAT ; Dappro ; DGM ; DDL 12- l’armée de mer comprend: - 03 bases Principales : - 05 bases Secondaires : 13- les bases principales de l’armée de mer sont : - Bizerte - klibea - Sfaxe 14- les bases secondaire de l’armée de mer sont : - Tunis ; - Goulette ; - Salloume ; - Menzel bourguiba ; - Baie de carrière 15- Les écoles et les centres de formation de l’armée de mer sont en nombre de 06 : 16- l’armée de mer comprend 03 services spécialisés : - SPHB : service phare et balisage - SHO : service hydrographie – océanographie - SNSC : service nationale de surveillance coutière 17- le CIN et l’académie navale comprennent chacun : - organe de direction - des groupements d’instruction - une unité de soutien 18- le centre d’instruction navale comprend 4 groupements d’instructions : - brevet élémentaire BE ou BS1 - brevet d’aptitude technique BAT ou BS2 - brevet supérieur BS ou BS3 - langues 19- l’organe de direction de l’académie navale comprend - une direction des études - une division administrative et financière 20- les divisions d’instruction de l’académie navale sont : - une division PONT - une division machine 21- Les activités de l’armée de mer peuvent classées en 04 groupes : - Entrainement au combat - Formation des élèves off – sous off - Service public - Surveillance coutière 22- la missions principale de l’armée de mer est : (défense et opérationnel) - intervention - protection -surveillance 23- la mission secondaire de l’armée de mer est : - économique - service publique 24- KHAIREDDINE est un Navire de recherche et de formation 25- SALAMMBO est un Navire Hydrographique et Océanographique 26- les missions de service public: - liaisons avec les îles - Sauvetage - signalisation maritime - Hydrographie - Anti-pollution 27- Les principales fonctions du combat en mer sont au nombre de 04 : - la mobilité et le mouvement - la perception et la vigilance - la communication et la concertation - la frappe et l’auto défense 28- le combat de mer en mer est une guerre de mouvement sans occupation de terrain 29- les missions des navires de surface - Tenir la mer - Attaquer et se défendre - Agir isolément ou en coopération 30- les qualités principales de la mobilité des navires de surface sont: - la vitesse - la manœuvrabilité - l’endurance 31- les armes de combat anti surface et anti aérien d’un navire de surface sont : -les canons - les missiles 32- les missiles anti surface est un missile à vol rasant qui évoluent entre 3 et 7 m 33- le calibre des canons de moyens calibres varie entre 130 et 76 mm 34- la portée des canons de moyens calibres varie de 10 Km à 15 km 35- le calibre des canons de petit calibre varie de 35 à 20 mm 36- la portée des canons de petit calibre varie de 3 Km à 4 km 37- les missiles sont des armes guidées avec précision 38- tout missile est en quelque sorte un petit sans pilot 39- Les Domaines de lutte sont : LAA, LASM, LSF 40- la LSF est la lutte de surface 41- la LAA est la lutte anti aérienne 42- la LASM est la lutte anti sous marin 43- la lutte de surface consiste à s’opposer à l’action de bâtiments de surfaces quelle que soit leur taille et leurs armes 44- la lutte de surface consiste à empêcher les unités ennemies de parvenir à leur position de tir 45- la lutte de surface nécessite de toute façon la plus grande coordination possible entre les unités 46- le combat de surface est de nature offensif et défensif 47- la menace de surface se présente sous trois formes : - les bâtiments de combat - les vedettes - les missiles Surf- Surf 48-l’ immunité d’un bâtiment ou navire de guerre est complète, seulement dans les eaux territoriales de l’état dont il arbore le pavillon 49- le nombre de bâtiment de la marine est 20 50- le tonnage des vedettes rapides compris 200 et 400 Tx 51- la longueur des vedettes rapides compris 30 et 50 m 52- la vitesse des vedettes rapides supérieure à 30 nd 53- les armes des vedettes peuvent atteindre les portées de 40 Nq 54- dans le combat contre vedettes rapides, la distance à laquelle les vedettes rapides peuvent effectuer des opérations est limitée par : - l’endurance des bâtiments - l’état de la mer 55- la mesure de protection du GROS est de déployer les escorteurs sur l’avant et dans l’axe de la menace 56 - Les différentes formes d’affrontassions SLF sont : -vedettes entre elles -force aero- naval et des vedettes 57- l’affrontement entre une force aéronavale et des vedettes s’appelle lutte anti surface 58- l’affrontement entre une force vedettes et des vedettes s’appelle lutte anti surface 59- les caractéristiques de l’affrontement : - brutalité et surprise - le nombre de coups à tirer est limité - l’identification de l’ennemi est une difficulté 60- la menace missile étant la menace la plus craindre actuellement sur grands bâtiment : 61- La menace de surface peut mettre en œuvre des armes à distancede : - 20 Nq sans relais extérieur - 100 Nq avec relais extérieurs 62- les moyes de la menace de surface sont : - les moyens d’information - les moyens d’action 63-les moyens d’action de la menace sont : - Les navires - Les vedettes - Les moyens d’auto défense - Missiles 64- les moyens en LSF sont : - les moyens d’information - les moyens d’action 65- les moyens d’information en LSF (les même pour la menace) sont : - Le radar - la vue - le laser - la GE - l’infrarouge - les transmissions 66- les moyens d’actions en LSF sont : - L’artillerie spécialisée - L’artillerie classique - les missiles anti missile - La GE - Les aéronefs embarqués 67- dans la lutte de surface, les moyens d’action efficaces sont : - les missiles - les aéronefs embarqués 68- l’instrument classique de détection lointaine d’une force navale à la mer est le radar 69- le moyen de combat élémentaire est : - aéronef -patmar 70- les missiles embarqués à bord des PLM sont les missiles Surface-Surface 71- le problème le plus difficile à résoudre pour l’aéronef assaillant est l’identification des objectifs 72- la conduite des opérations en LSF laisse la plus grande place à la - initiative - imagination 73- la lutte de surface est d’autant plus difficile qu’elle se situe prés de cote. 74- L’action des raids s’appuient sur la : - surprise - brutalité 75- la surprise est obtenue par - Vitesse - Discrétion 76- l’action de la brutalité tient à la puissance des armes mise en œuvre 77- les principes de la mise en œuvre des forces dans le combat de la mer se basent sur : - la discrétion - la ruse - la surprise - la concentration des forces - la sureté 78- les tactiques de la force navale dans le domaine de lutte de surface: - la délégation dans le commandement - la discrétion - la ruse - La surprise - concentration des forces pour garantir une puissance de feu suffisante - la sûreté 79- les tactiques navale en guerre reposent sur - la position - la formation à adapter 80- les modes d’actions de la lutte de surface sont : - acquérir une connaissance de la situation - interdire à l’ennemie d’acquérir des informations sur le dispositif ami - éventuellement détruire les porteurs d’armes menaçants 81- l’établissement et la tenue de la situation dans le domaine lutte de surface s’effectue par : - les bâtiments de surface - les aéronefs 82- le HAG est l’abréviation d’Hélicoptère Attaquer Groupe 83- la coopération en lutte de surface est indispensable entre : - les aéronefs - les bâtiments de surface 84- les types d’avion de soutient à la force navale sont : - les avions de sureté - l’aéronef d’assaut à la mer 85- les avions de sureté apporte leur soutien à la force navale en la faisant bénéficier de ses capacités d’Info ; GE ; capacités d’action armes 86- les capacités des aéronefs de sureté varient suivant les types d’avion 87- la capacité d’action d’un aéronef basé à terre est de 12 à 18 heures 88- la capacité d’action d’un avion embarqué est de 4 à 5 heures 89- la c la capacité d’action d’un hélicoptère est de 2 à 3heures 90- les taches des avions de sureté sont : - surveillance et recherche - investigation - la classification - la tenue de contact - la destruction 91- un STRIKE ou RAID est un assaut à la mer est conduit par un groupe d’avion 92- un STRIKE comprend - des avions d’assaut - des avions de GE -des avions de supériorité aérienne 93-il existe deux types de coopération en lutte de surface, avec l’aéronef: - soutient direct - opération de zone 94- dans le soutien direct en lutte de surface, l’aéronef travaille sous le contrôle tactique de la force navale 95- dans l’opération de zone en lutte de surface l’aéronef travaille indépendant 96-les critères de classifications en lutte de surface portent sur : - information optique - cinématique - électronique - engagement des armes 97- les règles de comportement à adopter, devant une piste classée sont : - Cinématique - Electronique - action 98- les responsabilités de l’OTC sont : - définir et diffuser le type de menace - designer les aéronefs de soutien du SAG 99- Les responsabilités du commandant de SAG sont : - l’organisation et l’emploi tactique du groupe - contrôle tactique des aéronefs désignés - régime électronique - la coordination locale de la lutte anti aérienne - rendre compte à l’OTC du déroulement de l’action 100- la mise en œuvre de l’ensemble des moyens du bâtiment de guerre se fait au poste de combat 101- le processus de rencontre est la succession des actions et décision qui constitue l’engagement est : - détection initiale ; investigation ; classification - pistage et tenue de contact ; attaque et destruction 102- pour une force navale la menace aérienne est essentiellement constitué de : - missile antinavires - aéronefs d’assaut et leur armement 103- la lute antiaérienne est un moyen d’assurer la liberté d’action des forces aéronavales à la Mer 104- la lutte anti aérienne est un moyen de garantir un niveau de protection antiaérienne suffisant à une force à la mer 105- la lutte anti aérienne est dirigée par délégation par un officier spécialement désigné par le commandement de la force 106- la raison d’être de la lutte antiaérienne : - son organisation - ses procédures - ses moyens 107- La lutte anti-aérienne à la mer a pour objet de se protéger : - des aéronefs - des missiles 108- la tactique de la LAA consiste à intercepter et attaquer les avions assaillants le plus loin possible des bâtiments précieux 111- un bâtiment précieux est un bateau à protéger 112- en lutte antiaérienne le problème le plus difficile à résoudre pour un assaillant est la détermination des éléments de tir 113- Les caractéristiques de la menace aérienne sont : - Rapidité et durée limitée de l’action - possibilité de saturation numérique - Potentiel hautement destructif - initiative de l’ennemi - Prolifération des missiles anti navires 114- les types de menaces aériennes pour une force navale sont: - menace de sureté - menace attaque 115-les formes de la menace de sureté sont : - satellite - aéronef de sureté - hélicoptère de sureté - drones 116- la menace de sureté se manifeste en temps de paix et en temps de crise107- les menace d’attaque est composé de : - Les missiles - Les aéronefs - L’artillerie - Les roquettes air surface - Les bombes 117- un missile est un engin propulsé, guidé et possède une forte capacité destructive 118- un obus est engin non propulsé, non guidé, faible capacité destructrice 119- une roquette est engin propulsé, non guidé, bonne capacité destructrice 120- une bombe est un engin non propulsé, pouvant être guidé, bonne capacité destructrice 121- les bombes représentent la charge utile la plus élevée de toutes les armes anti surface 122- les phases élémentaires du tir d’un missile, lors de la mise en œuvre sont : - détection de la cible -désignation d’objectif -tir du missile -vol du missile 123- les types d’avion les plus menaçants pour une force navale sont : - les aéronefs d’assaut - les aéronefs de suretés 124- Les caractéristiques de la menace aérienne d’attaque sont : - quasi permanente - soudaineté et fugace - étendue diverse - l’efficacité des armes (missiles) 125- les actions aériennes offensives sont chargée de : - Etablir la situation tactique - Relayer ou guider une attaque 126- les aéronefs menaçants sont : - les bombardiers - les avions d’assaut - les aéronefs de guerre électronique 127- les aéronefs menaçants tirent entre 50 et 200 Nq de la force : 128- les avions d’assaut sont généralement besoin d’étre guidés 129- l’efficacité de l’action en LAA passe par : - l’utilisation au bon moment du moyen adapté - la coordination dans l’emploi des moyens 130- les phases principales du traitement d’une menace sont : - la détection - la décision - l’engagement 131- en LAA la mise en œuvre comprend 3 phases : - phase initiale - phase intermédiaire - phase finale 132- la phase intermédiaire comprend une seule étape qui est l’affectation 133- la phase initiale en LAA, lors de la mise en œuvre comprend 6 étapes qui sont : -détection – initialisation – poursuite – corrélation – classification – identification – évaluation der la menace 134-Les étapes de la phase finale En LAA , lors de la mise en œuvre d’un systéme d’arme sont : - désignation des objectifs - accrochage - poursuite - engagement et destruction 135- le délai de réaction = délai d’affectation + délai d’acquisition 136- le délai d’affectation est le délia entre l’apparition du premier plot et la DO 137- le délai de la liberté caractérise le temps d’occupation de la conduite de tir 138- le délai de libération = délai d’acquisition + délai avant feu + délai de mise en feu + temps de vol 139- En LAA , lors de la mise en œuvre d’un système d’arme , la phase finale consiste l’acte agressif d’une séquence d’engagement 140-En LAA , lors de la mise en œuvre d’un système d’arme, la phase finale comporte 4 étapes 141-En LAA, lors de la mise en œuvre d’un système d’arme, l’acte de commandement qui consiste à ordonner l’engagement de la piste est la phase intermédiaire 142- Les moyens de lutte anti-aérienne sont: -l’aviation de chasse embarquée - les missiles surface-air, - l’artillerie anti-aérienne - les contre-mesures électroniques actives. - les intercepteurs - les aéronefs de guet aérien 143- les intercepteurs sont capable d’intervenir au plus loin pour : - mener une action offensive -réaléser l’indispensable identification 144- les caractéristiques des intercepteurs de jour ou nuit claire sont : - plafond 25000 pieds - autonomie 50 mn à 50 Nq 145- les caractéristiques des intercepteurs tout temps sont : - plafond 50000 pieds - autonomie 1h 30 mn à 2 h00 146- la lutte antiaérienne est à la charge de l’OTC 147- les acteurs principaux dans la mise en œuvre de la politique de la LAA sont : - OTC - CWC - AAWC - FTC-A - AC - AREC - ACU - les commandants de bâtiments 148- l’OTC qui élabore la doctrine générale 149-Le CWC chargé de la défense de la force 150- AAWC commandant de LAA (sous ordre : SAAWC ; LAAWC) 151 le FTC-A est l’abréviation de force track coordinator air 152- le FTC-A est chargé de la diffusion de la situation air 153- l’AREC est l’abréviation Air ressource élément coordinator 154- l’AREC est chargé de la coordination des moyens aériens 155- l’AC est chargé de : - coordonner les mouvements des aéronefs - d’assurer le contrôle de la circulation aérienne amie 156- Pour les aéronefs, l’OTC peut donner les états d’alertes suivants : - alerte en vol - alerte sur le point (nombre, type, délai de décollage) 157- la lutte antiaérienne à bord couvre deux aspects : - la participation à la défense de la force - l’auto défense 158- l’OQO est le 2éme échelon de commandement dans la mission de la mise en œuvre des capteurs et armes des bâtiments. 159-l’OLAA est le 3éme échelon de commandement dans la mission de la mise en œuvre des capteurs et armes des bâtiments. 160- les avions AEW sont : air borne early warning 161-AEW assure : - La veille - La conduite des interceptions 162- les situations de veille en LAA sont : - veille normale - veille renforcée - paré à manœuvre 164-les caractéristiques de la LAA sont : - soudaineté -Fugacité 165- la LAA nécessite une préparation et une organisation très poussées 166- en LAA un bâtiments « piquet » est placé à 80-130 Nq 167- un piquet est mise en place pour augmenter la portée des mesures de LAA 168- un WATCHDOG est un piquet dont la mission principale est LAA 169- parmi les missions de WATCHDOG est de contrôler les CAP 170- les facteurs déterminants des postes des CAP sont: - l’altitude - la distance par rapport à la force 171- le HICAP au dessus de 25000 pieds 172- le MEDUIM CAP entre 5000 et 25000 pieds 173- le LOW CAP entre 500 et 5000 pieds 174- le CAP ELOIGNEE entre 40 et 60 Nq de la force 175- les domaines d’emploi des moyens de lutte anti aérienne sont: - l’identification de la menace - l’interception menace - La destruction des vecteurs ou missiles attaquants 176- l’objectif de la coordination de la LAA est: - La sécurité des moyens amis - Tracement des adversaires 177- le principe de la LAA est de donner le plus grand préavis possible 178-Les moyens employés pour lutter contre les S/M - Bâtiment de surface, - hélicoptère, - le sous marins - l’avion 179-pour lutte anti sous marins les hélicoptère sont armé de : - torpilles - grenades 180- Les problèmes à résoudre en LASM sont au nombre de quatre -La détection du but sous marin -La classification du contact -L’attaque et la destruction du sous-marin ennemi - le pistage 181- quand le sous-marin est en surface ou en navigation périscopique, il assimile à un bâtiment de surface 182- quand il est sous l’eau, le S/M ne peut être détecté que par sonar (pas les autres moyens) 183- Les sonar utilise les ondes acoustiques, qui se propagent dans l’eau de manière complexe variable 185-la propagation des ondes acoustiques dépend la bathymétrie : - la température : (diminue jusqu’a150m puis reste Cte) - la pression : (augmente avec l’immersion) - la salinité (varie d’une zone à une autre) 186-avant de chercher à détecte un S/M il faut : - étudier la bathymétrie - Déduire les trajets possibles des ondes - Identifier les zones insonifiées les zones sourdes 188- les zones insonifiées ; les sous marins peuvent être détecté 189- les zones sourdes ; n’a pas de détection du S/M 190-les sous marins en générale disposent de coques solides 191- la charge nécessaire pour détruire les coques d’un sous marin est de 50 kg au contact 192- une charge de plusieurs centaines de kg est nécessaire pour détruire les coques d’un sous marin à 15metres 193- la détection de sous marins est obtenu que par : - hydrophones -sonar et bouées actifs - sonar passif - MAD 194- l’hydrophone signifie l’écoute de bruit 195 – Les types de sonars sont : - sonar de coque du bâtiment de surface - sonar remorqué du bâtiment de surface - flute remorqué du bâtiment de surface - sonar trempé par hélicoptères 196- la portée d’un sonar MF ou BF est de l’ordre de 6 à 20000 m 197- la portée d’un sonar ETBF est de l’ordre de 50 0 150 km 198-Les armes pour la lutte contre le S/M sont pour toutes les unités: - torpilles, - grenades, - mortiers, - roquettes, - missiles porteurs de torpilles, - mines 199- aujourd’hui, les lances roquettes anti sous marines ont des portées de 2000 et 5000 m 200- le processus habituel de rencontre en lutte ASM: - Détection -Identification (classification des contacts) -Pistage -Attaque (le cas échéant) 201- Le domaine de lutte S/M exige : - Une bonne cordinat° entre les différents acteurs - Une bonne connaissance de l’environnement marin - Une parfaite maîtrise des équipements utilisés 202-On appelle écran : des navires ASM patrouillant chacun dans un secteur sur l’avant de la force ces secteur avancent avec le mouvement de la force 203- les acteurs de la lutte anti sou marine sont : - bâtiments de surface - avion - hélicoptères - éventuellement 204- les acteurs de coordination de la lutte anti sou marine sont : - bâtiments de surface - avion - hélicoptères - éventuellement 205- les missions de lutte anti sous-marin sont des opérations - défensives - offensives 206- les premières armes anti-sou marines de navires de surface était les grenades 207-la porté des lances roquette anti s/m varie de 2à5km 208- la torpille est une arme sous-marine 209- la porté de la torpille est de 2 à 3km 210- la marine possède 02 systèmes de traitement de l’information qui sont : - SENIT - NTDS 211- SENIT est l’abréviation du système d’exploitation naval des informations tactiques 212- NTDS est l’abréviation du système naval tac tical data system 213- les types de s/marin existent si en écarte les (SNLE) : - SMD : propulsion diesel électrique - SNA : S/M nucléaire d’attaque 214- le SNLE est l’abréviation du sous marins lanceurs d’engins 215- SNA : S/M nucléaire d’attaque peut atteindre des immersions jusqu'à (400m) 216- la vitesse du SNA varie entre 30 et 40 nds 217- sous marin classique SMD dispose d’une autonomie en mer de un mois 218- les types de sous-marins - SNLE - S/M d’attaque (SNA ;SMD) 219- les différents types du S/M d’attaque sont : *côtiers de 300 à 500T *océanique de 4000 à 5000T *océanique classique 800 à 2000T propulsion Diesel électrique 220-les caractéristiques des sous-marins de classe SNLE sont : - constitue la composante océanique nucléaire stratégique - Gros tonnage 10000T>en plongée 221- la qualité principale d’un sous marins est la discrétion 222- S/M classique recharge périodiquement leurs batteries. 223- les moyens de frappe des S/M d’attaque sont : *torpille : l’arme principale du sous marins *missile : l’arme la plus redoutable 224- Le porte avion et un navire : - Aérodrome mobile - Base flottante 225--l’arme principale des portes avions est l’Aéronef 226- les groupes aérien embarques sont : - Avion de surete - Aéronef de lutte anti-sous marine - Avion de reconnaissance - Avion de chasse embarque : - Avion d’assaut : 227- les avions d’assaut sont conçus pour l’attaque des navires et objectif terrestre 228- les différents types des avions d’assaut : -hélicoptère d’assaut : -hélicoptère de sauvetage -avion de transport et de ravitaillement en vol 229- le sonar plongé est utilisé par les bâtiments de surface 230- les opérations de recherche et de harcèlement en LASM sont des opérations de surété 231- L’opération amphibie est une opération conduite à partir de la mer, exécutée sur une côte tenue par l’adversaire 232- l’opération amphibie proprement dite commence lorsque les troupes embarquent à bord des bâtiments 233- L’objectif de OA : est la constitution d’une « tête de plage » puis la consolidat° pour en faire ensuite « tête de pont » 234- La tête de pont doit comporter : -Un port accessible aux transports maritimes -Un ou plusieurs aérodromes 235- Une OA a pour finalité : La conquête des points vitaux ou d’infrastructures 236- Une OA n’a pas pour finalité la destruction de l’ennemi 237- Les forces de chacune des armées participant à l’opération d’action extérieure (amphibie) sont commandées par le PCIAT 238-la décision d’effectuer une opération amphibie relève d’un échelon élevé du commandement interarmées 239- l’opération amphibie est nécessite : - une parfaite coopération interarmées et de gros moyens de combat et de logistique - une planification et un enchainement bien préparés 240- au cours de l’opération amphibie, le commandement maritime doit tenir compte dans le choix de la plage, des données d’ordre : - météorologiques - hydrographiques 241- l’opération amphibie vise à réalise dans des bonnes conditions : - l’acheminement de tout ou une partie des forces terrestres par voie maritime - le transfert de la force terrestre de la mer vers la terre ou inversement 242- les forces maritimes assurent au cours d’une opération amphibie 05 missions 243- les missions de l’opération amphibie sont : - sureté, protection des forces maritimes - prise de contrôle de la tète de plage - débarquement du 1er échelon - soutien logistique - acheminement du 2eme échelon 244- les missions de sureté et de protection des forces maritimes : - le libre transit des forces entre une base et la zone des opérations amphibies - la protection des bâtiments et engins amphibies - la sureté des opérations de débarquement 245- les taches de la sureté sont : - taches de surveillance et de renseignement - taches de protection anti-sous marine, anti surface et anti aérienne pendant les transuts et les opérations de débarquement - coordinations de l’activité dans l’espace aérien - tache de protection anti-aérienne des forces à terre dans la zone d’opérations amphibies - reconnaissance de nettoyage des chenaux d’accès 246- la mission de prise de contrôle de tête de plage ne peut être exécutée face à un adversaire bien implanté et muni d’armes lourdes 247- Prise de contrôle de tête de plage : à pour objet d’assurer la sûreté du débarquement du 1er échelon de la force terrestre 248- la mission de prise de contrôle de tête de plage implique les taches suivantes : - mise en place d’éléments spécialisés - neutralisation, ou interdiction d’accès à la tête de plage - tenus des points clés de la tête plage 249- la mise en place d’éléments spécialisés s’effectue par : - raid nautique - héliportage - parachutage - une combinaison de ces trois moyens 250-le Débarquement : actions conduites par des moyens militaires terrestre venant de la mer en vue d’intervenir sur terre 251- Débarquement du 1er échelon: a pour but de mettre à terre, puis de permettre la progression du 1er échelon de la force terrestre dans la tête de pont 252- le débarquement du 1er échelon implique les taches sont : - héliportage de l’infanterie chargée de prendre le contrôle des points clefs de la tête de pont - débarquement sur la plage par les bâtiments de débarquement - fourniture d’appui - mise en œuvre d’hélicoptère de combat 253- au cours des phases de transit, débarquement et rembarquement, le commandant de la force maritime (CTF) assure le commandement tactique de l’ensemble des moyens participant à l’opération amphibie 254- la mission du soutien logistique est assurée par la force maritime auprès des forces terrestre pendant la phase de mise à terre du premier échelon 255- Acheminement du 2eme échelon est mission est assurée avec le concours des bâtiments de la flotte auxiliaire occasionnelle 256- la mission acheminement du 2éme échelon consiste à débarquer dans le port (ou dans la rade) contrôlé par les troupes du 1er échelon, les moyens nécessaires à la poursuite de l’opération combinée 257- la mission d’acheminement du 2éme échelon comporte les taches suivantes : - protection des bâtiments de la FAO pendant le transit et dans la ZOA - nettoyage des chenaux d’accès au port - appui éventuel des forces débarquées - organisation et conduite de débarquement 258- après la mise à terre du 2éme échelon, le soutient logistique peut être assuré par cargo ou citerne déchargement 259- pendant les phases de préparation de la mission de la force terrestre Le COMTACTER est le conseiller et l’adjoint du commandant de la force maritime, 260- Le COMTACTER définit la composition et les déplacements éventuels des différents PC des forces terrestre, 261- les types des opérations pour la conduite d’une opération amphibies sont : - Les opérations préalables, - les opérations préliminaires - les opérations spéciales 262- les opérations préalables, préliminaires, spéciales sont des opérations qui se déroulent avant le jour de débarquement 263- une des caractéristiques des opérations préalables, préliminaires, spéciales doit être la discrétion à fin de préserver l’effet de surprise pour l’OA, 264- Les opérations préalables : réalisées en territoire adverse, bien avant le jour J, 265- Les opérations préalables sont subordonnées au COMTHEATRE, 266- Les opérations préalables comprennent des missions de recherche du renseignement 267-Les opérations préliminaires : réalisées entre J-2 et J, 268- l’opération qui est liée directement a l’exécution de l’OA, est l’opération préliminaire 269- les opérations préliminaires, sont subordonnées aux (CTF, COMTACTER), 270- le but des opérations préliminaires est : - fournir au CTF les renseignements - préparer la zone de débarquement sur terre et en mer 271- les opérations préliminaires comprennent : -des missions de recherche de rens immédiat -des missions de vérification et de nettoyage -des missions éventuelles de sabotage et de destruction d’objectif ponctuels 272- Les opérations spéciales : couvrent toutes les opérations non conventionnelles 273- Les opérations spéciales sont subordonnées au PCIAT ou aux (CTF, COMTACTER) 274- la mission d’une OA consiste à : - Embarquer des forces - Les acheminer en sûreté vers le lieu de l’action - Les débarquer dans les meilleurs conditions possibles - Les soutenir jusqu’au moment ou la tête de pont est assurée 275- les différentes phases d’une OA sont - la préparation - l’embarquement - répétition - le transit - l’approche - l’assaut ; la phase la plus délicate. - consolidation 276 - L’OA est considérée terminée si les conditions suivantes sont vérifiées +La tête de pont est effectivement organisée et sécurisée +Les forces d’appui tactique de 3eme échelon sont débarquées +Les unités aériennes sont en mesure d’appuyer les unités à terre +Mise à terre d’un poste de commandement +Le cdt des forces terrestre déclare avoir pris le commandement 277- la porté des sonars de coque est inf 1000 m 278- les progrès récents et à venir de l’artillerie de marine portent sur : - les fusées de proximité - les projectiles autopropulsés - les projectiles guidés 279- l’artillerie reste l’are de l’arrosage

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