Synthèse Économique Examen Janvier PDF

Summary

Ce document est un examen de synthèse d'économie de janvier. Il traite des différents courants économiques, des besoins des êtres humains, des choix économiques, des biens et services, et de la division de la production. Il présente également les concepts de l'économie linéaire et circulaire. Enfin, ce document aborde le chapitre 2 sur le PIB et la croissance économique.

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Synthèse économie examen janvier Chapitre 1 Les différents courants économique : 1. Les physiocrates 2. Les économistes classiques 3. Les matérialistes ou marxistes 4. Les interventionnistes 5. Les monétaristes ou nouveaux économistes Les besoins des êtres humains :...

Synthèse économie examen janvier Chapitre 1 Les différents courants économique : 1. Les physiocrates 2. Les économistes classiques 3. Les matérialistes ou marxistes 4. Les interventionnistes 5. Les monétaristes ou nouveaux économistes Les besoins des êtres humains : Les besoins des êtres humains sont à la fois illimité mais aussi tout le temps en évolution. Besoins primaires : se nourrir, se vêtir Besoin de confort : matelas, logement Besoins culturelles : l’information, l’éducation Les choix économiques : Le problème de l’économie est de savoir comment satisfaire un maximum de besoins qui sont illimité sachant que les ressources sont limités. Jusqu’à une époque pas très lointaine on visait plus la quantité mais maintenant la question de la qualité rentre en compte aussi. Il faut utiliser de la manière la plus efficace les ressources qui sont limité. Bien et service : Pour satisfaire leurs besoins, les êtres humains ont recours à des biens et des services. En effet, un bien ou un service est quelque chose qui permet de répondre à un besoin. Matériels : ce sont les biens Immatériels : ce sont les services Consommation : permettant de satisfaire immédiatement un besoin Production : servant à une nouvelle production Economiques : résultant de l’activité économiques et existant en quantité limité Libres : ne faisant pas l’objet d’une activité de production, existant en quantités illimitées et gratuits, comme par exemple l’air que nous respirons 1 Collectifs : pouvant être consommés par plusieurs individus à la fois sans qu’il y ait appropriation individuelle Individuels : que tout le monde peut posséder Facteurs de production : La production est possible uniquement en combinant différents éléments, appelés facteurs de production. Nature : ressources naturelles non transformées, matières premières Travail : la main d’œuvre, il donne lieu à la perception d’une rémunération en contrepartie de la prestation fournie (le prof qui donne son cours) Capital : facteur physique, le facteur capitale regroupe l’ensemble des biens réels utilisés pour produire. La division de production : Primaire : ressources naturelles qu’on ne transforme pas (agriculture, élevage) Secondaire : transformation des matières premières (électricité, construction) Tertiaire : le reste (banques, assurances) Economie linéaire et circulaire : Linéaire : on produit, on consomme, on jette Circulaire : l’économie circulaire est un modèle économique visant à utiliser moins de ressources, maximiser leur réutilisation et réduire les impacts environnementaux tout en améliorant le bien-être. Ses 3 principes clés sont : 1. Réduire l'utilisation de matériaux. 2. Optimiser la circulation des ressources (produits, composants, matériaux). 3. Limiter les impacts sur l’environnement (sol, air, eau, etc.). 2 Chapitre 2 Le but principal de l'économie est de répondre aux besoins des individus et des sociétés en utilisant de manière optimale les ressources disponibles. Le PIB : Le PIB représente la somme des Valeurs Ajoutées des biens et services produits dans un pays, sur une année. Il peut être calculer en fonction de la production, dépenses et du revenu Le but du PIB est de mesurer la performance économique d’un pays en terme de production de biens et de services sur une année. L’unité est le PPA (parité de pouvoir d’achat). Le PIB, c’est une façon de mesurer la richesse d’un pays, mais il n’est pas parfait. Voici pourquoi : Il ne dit rien sur le bonheur : Le PIB mesure combien un pays produit, mais il ne montre pas si les gens sont heureux ou satisfaits. Cela dépend de choses comme la culture, les besoins ou les préférences, qui varient beaucoup d’un endroit à l’autre. Le secteur non marchand : Pour calculer le PIB, on utilise les prix des choses vendues sur le marché. Mais certains services, comme ceux fournis par les écoles ou les hôpitaux publics, n’ont pas de prix. On estime alors leur contribution au PIB en regardant combien ils coûtent à produire. Le problème, c’est que ça ne reflète pas toujours la qualité du service offert. Les inégalités : Une idée pour rendre le PIB plus juste serait d’exclure les revenus des 1 % les plus riches (comme ceux qui gagnent plus d’un million de dollars par an aux États-Unis). Cela éviterait que les très grandes richesses faussent les comparaisons entre pays. En résumé, le PIB est utile pour voir combien un pays produit, mais il ne montre pas si tout le monde vit bien ou si les richesses sont bien réparties. La croissance : La croissance mesure la variation de PIB d’un pays d’une période à une autre. Elle désigne l'augmentation, au fil du temps, de la production de biens et services par habitant dans un pays. Elle traduit l'amélioration des performances économiques d'une société. L'objectif principal de la croissance est d'améliorer le niveau de vie des populations. 3 La valeur ajoutée : La valeur ajoutée est la richesse qu'une entreprise crée. C'est la différence entre la valeur des produits finis et la valeur des matières premières utilisées pour les fabriquer. La valeur ajoutée est un outil utile pour analyser la santé et la performance d'une entreprise. Elle permet d’évaluer sa capacité à générer de la richesse. Une fois calculée, l’entrepreneur peut améliorer la gestion de l’entreprise pour la rendre plus efficace et rentable. Valeur ajoutée basse : Une valeur ajoutée basse indique un déséquilibre entre les coûts de production et le prix de vente. Cela reflète souvent une faible activité, une rentabilité limitée et des dépenses élevées. Cela peut être causé par des moyens de production coûteux ou des tarifs fournisseurs trop élevés. Des ajustements sont nécessaires pour augmenter la valeur ajoutée. Valeur ajoutée haute : Au contraire, une valeur ajoutée élevée indique que l’entreprise est fructueuse. Pour s’en assurer, il faut calculer si ce montant permet de couvrir l'ensemble des dépenses essentielles : les salaires, les impôts ou encore les rémunérations des dirigeants La différence entre le PIB et le PNB : Le PIB c’est tout ce qui est fabriqué dans un pays, peu importe par qui (habitants ou étrangers). Par exemple, une usine étrangère en France est comptée dans le PIB français. Le PNB c’est tout ce que les habitants d’un pays produisent, même s’ils travaillent ou investissent à l’étranger. Par exemple, un Français qui possède une entreprise aux États-Unis est inclus dans le PNB français. Différence : PIB = Production à l’intérieur du pays. PNB = Production des habitants, où qu’ils soient. 4 La croissance économique : C’est quand un pays produit de plus en plus de biens et de services au fil du temps. C’est important, car cela peut améliorer la vie des gens en créant plus de richesses. Mais est-ce que cette croissance peut continuer pour toujours ? On n’a pas encore atteint de limite physique à la croissance, mais cela reste une grande question pour les économistes. Les moteurs de la croissance Au départ, on pensait que le travail (les gens qui travaillent) et le capital (les machines, les outils, etc.) expliquaient la croissance. Mais on a découvert que ce n’était pas suffisant. D’autres choses comptent beaucoup, comme : 1. Le progrès technique : Créer de nouvelles technologies ou améliorer celles qu’on a pour produire plus rapidement et mieux. 2. Le capital humain : Les connaissances et compétences des gens. Plus on apprend (école, formation), plus on devient productif. 3. Le capital public : Les infrastructures comme les routes, les écoles et les hôpitaux, construites par l’État, qui aident tout le monde. 4. Le capital physique : Les équipements d’une entreprise qui non seulement l’aident, mais profitent parfois aussi à d’autres entreprises grâce au partage des idées ou des outils. Les nouvelles théories disent que la croissance peut se maintenir toute seule. Par exemple, investir dans la recherche permet de trouver de nouvelles idées qui rendent tout plus efficace. Ou encore, apprendre des choses en travaillant aide à améliorer les méthodes de production. Le développement durable : Individuellement : Réduire les déchets, consommer local, privilégier les transports écologiques. Communautairement : Sensibiliser, organiser des actions locales (plantations, nettoyages), développer des infrastructures vertes. En entreprise : Adopter des énergies renouvelables, concevoir des produits durables, garantir des pratiques éthiques. Au niveau gouvernemental : Fixer des lois pour réduire la pollution, subventionner les initiatives écologiques, investir dans l’innovation. 5 La critique du développement durable : La décroissance critique le développement durable en affirmant que la "croissance verte" reste incompatible avec les limites planétaires. Elle souligne que : 1. Croissance vs Durabilité : Même verte, la croissance consomme toujours des ressources limitées et augmente l’empreinte écologique. 2. Progrès technique insuffisant : Les gains d’efficacité sont souvent annulés par l’effet rebond (plus de consommation). 3. Consommation de masse : Le développement durable encourage une consommation "plus verte", sans remettre en question le modèle consumériste. 4. Inégalités sociales : La croissance durable ne corrige pas les causes profondes des inégalités. La décroissance propose de réduire la production et la consommation, en misant sur la sobriété et un mode de vie plus simple. Chapitre 3 Ménage : Un ménage, c’est une ou plusieurs personnes qui vivent ensemble dans une maison ou un appartement. Administration publique : Ce sont les services ou organisations qui s’occupent de gérer le pays, la région ou la ville pour aider tout le monde. Par exemple, les écoles publiques, les hôpitaux, la police ou les mairies font partie des administrations publiques. Restos du Cœur : C’est une association qui aide les gens en difficulté en leur donnant de la nourriture, des vêtements ou d’autres choses essentielles. Elle fonctionne grâce à des dons et à des bénévoles. Institution : En économie, une institution est une organisation ou une règle qui joue un rôle dans la société. Par exemple, une banque, une école, ou même des lois qui organisent le fonctionnement de l’économie sont des institutions. Entreprise : Une entreprise, c’est une organisation qui produit des biens (comme des voitures) ou des services (comme un coiffeur) pour les vendre et gagner de l’argent. 6 Chapitre 4 Le marché : Il signifie la rencontre de deux forces opposées: la demande et l’offre qui aboutissent à la formation des prix. Les différents type de marchés : 1. Le marché selon la nature des produits Le marché des biens : concerne les produits matériels Exemple : ordinateurs, vêtements Le marché des services : prend en compte les produits immatériels Exemple : assurances, voyages 2. Le marché selon leur taille Marché de masse : se caractérise par des chiffres d’affaires très importants Exemple : les produits alimentaires qui ont un chiffre d’affaire dépassant 110 milliards Marché de niches : Une niche est de petite taille, a un potentiel de développement limité, cible une clientèle spécifique et exige des compétences pointues. Elle peut aboutir à un marché très rentable. 3. Le marché selon leur situation géographique un marché local pour lequel les acteurs sont géographiquement proches. On peut prendre comme exemple les marchés dans les villes qui mettent en contact les producteurs du terroir et les habitants de la ville. un marché régional qui concentre les acteurs d'une même région. Par exemple, le marché d'un quotidien régional : le Télégramme (quotidien breton), l'Alsace... un marché national qui élargit le jeu des acteurs au niveau du pays tout entier. Par exemple, le marché de certaines radios telles que RTL, France Info. un marché international dont les acteurs se situent dans des pays différents. Par exemple, les constructeurs automobiles français qui vendent leurs produits dans toute l'Europe. 7 4. Le marché selon les secteurs d’activités L'agriculture et l'agro-alimentaire Le secteur du luxe Les transports et la mobilité L'industrie du futur L'eau, l'économie maritime et les énergies L'art de vivre à la française : gastronomie, vin, mode, loisirs et tourisme Les industries culturelles et créatives : écoles d'excellence, art, design, festivals, musique électronique, jeux vidéo, films d'animation… La cybersécurité La santé La concurrence est qualifiée de parfaite si elle répond aux quatre hypothèses suivantes : l’atomicité du marché: acheteurs et vendeurs sont à ce point nombreux que nul ne peut exercer un pouvoir sur le marché. l’homogénéité des produits: les produits échangés sont identiques et substituables les uns aux autres (ils permettent de satisfaire un même besoin). la libre entrée sur le marché: il n’existe aucune entrave, aucune barrière à l’entrée de nouvelles entreprises. la transparence du marché: l’information des agents économiques est totale. Les limites de la concurrence pur et parfaite : Atomicité du marché : les entreprises et gouvernements influencent les acheteurs et les prix. Homogénéité du produit : produits identiques nécessitent mêmes méthodes, sans marques ni publicités. Fluidité du marché : barrières, protectionnisme et brevets limitent la libre concurrence. Mobilité des facteurs de production : déplacement du travail et du capital est lent et coûteux. Transparence du marché : informations souvent inaccessibles, payantes ou biaisées. Concurrence imparfaite : Cela signifie que les entreprises qui évoluent dans cet environnement peuvent choisir comment différencier leurs produits, les prix qu’ils vont proposer et les prochaines innovations qu’ils veulent réaliser. 8 Oligopole : Structure de marché relativement courante, un oligopole désigne un type de marché dans lequel la concurrence est limitée. Cette situation est due à l'existence de peu d'offreurs pour une multitude de demandeurs. Monopole : La concurrence est inexistante dans un monopole. En effet, une seule entreprise propose un type de produits ou de services sur un marché avec de nombreux acheteurs. Monopole public : L'État donne à une entreprise le droit exclusif de produire un bien ou un service. Monopole naturel : Des coûts élevés empêchent l'entrée d'autres entreprises sur le marché. Monopole technologique : Une entreprise domine le marché grâce à une innovation protégée par des brevets limités dans le temps. Demande : La demande est la quantité d’un bien que les acheteurs voudraient et sont capables d’acheter à des prix différents dans une période donnée. “Loi de la demande” Quand le prix d’un bien ↑, la quantité demandée ↓. Mon but acheter le moins cher possible. Offre : C'est la quantité offerte d’un bien et la quantité que les vendeurs sont prêts à vendre et capables de vendre à des prix différents. « Loi de l’offre » désigne la relation croissante entre la quantité offerte et le prix de vente. Quand le prix d’un bien ↑, la quantité offerte ↑. Mon but gagner le plus d’argent possible. Le prix d’équilibre : Le prix d'équilibre est le prix auquel la quantité demandée par les consommateurs est égale à la quantité offerte par les producteurs. 9 10 11 12 Chapitre 5 La bourse : C’est le lieu où acheteurs et vendeurs de matières premières, produits agricoles, valeurs mobilières (actions, obligations...), devises, définissent un prix d’échange pour chaque produit. Lorsque l’offre est supérieure à la demande, les prix baissent et, inversement, lorsque la demande est supérieure à l’offre, les prix montent. Ce qu’on achète en bourse : Actions : Parts d’entreprises. Tu peux gagner avec des dividendes ou en revendant plus cher. Obligations : Prêts à des entreprises ou États, avec des intérêts réguliers. Fonds (ETF, SICAV) : Portefeuilles diversifiés pour limiter les risques. Matières premières : Or, pétrole, etc., pour diversifier tes investissements. Cryptomonnaies : Actifs numériques comme le Bitcoin, mais très volatiles. Différence entre actions et obligations : Actions : Tu achètes une part d’entreprise, donc tu deviens propriétaire. Tu gagnes avec les dividendes ou en revendant plus cher. Plus risqué, car tu perds si l’entreprise va mal. Obligations : Tu prêtes de l’argent à une entreprise ou un État, donc tu es créancier. Tu gagnes des intérêts réguliers. Moins risqué, mais gains souvent plus faibles. Chapitre 6 L’inflation : L’inflation est une augmentation durable et générale des prix des biens et services. Elle a trois caractéristiques : Générale : Ce n’est pas juste une hausse de quelques prix, mais de l’ensemble. Durable : Elle dure dans le temps, pas juste quelques semaines (par exemple, une hausse saisonnière). Auto-entretenue : Une hausse de prix en provoque d’autres (exemple : prix des matières premières qui augmente les prix finaux). 13 Les différents types d’inflations : Stabilité des prix : Inflation < 2 %. Inflation rampante : Hausse modérée, entre 3 % et 4 %. Inflation ouverte : Hausse significative, entre 5 % et 10 %. Inflation galopante : Hausse très forte, > 10 %. Hyperinflation : Hausse extrême, > 100 %, signe d’une économie en crise. Les causes de l’inflation : Inflation par la demande : Elle survient quand la demande dépasse l’offre (consommation, investissement, exportations), ce qui fait monter les prix. Inflation par l’offre : Due à une insuffisance de l’offre (mauvaises récoltes, monopoles, faible productivité) face à une demande stable ou croissante. Inflation par les coûts : Provoquée par la hausse des coûts de production (salaires, matières premières). Les entreprises augmentent leurs prix pour maintenir leurs profits. Inflation pouvoir d’achat : L'inflation rend les choses plus chères, donc ton argent perd de sa valeur réelle. Pour maintenir le pouvoir d'achat, les revenus (salaires, pensions) doivent augmenter au même rythme que l'inflation. L’indice des prix : L’indice normal : Un indice normal est un nombre utilisé pour suivre l'évolution d'une variable (comme les prix, les salaires, ou la production) par rapport à une valeur de référence. La valeur de référence est fixée à 100, ce qui permet de mesurer facilement les changements. 14 Chapitre 7 La monnaie : La monnaie peut se définir comme un bien d’échange généralement accepté au sein d’une communauté de paiement. Les trois fonctions de la monnaie : Unité de compte Pour comparer plusieurs biens, il faut un étalon commun, une mesure qui établit un système de prix. Moyen de paiement La monnaie facilite les échanges en remplaçant le troc. Acceptée par tous, elle sépare la vente d’un bien de l’achat d’un autre. Réserve de valeur Entre deux transactions, la monnaie sert de réserve de valeur, permettant l’épargne sur une durée variable. Inflation de la monnaie : Grâce aux crédits, les ménages achètent des biens, générant du chiffre d'affaires pour les entreprises, qui paient ensuite des salaires. Lors du remboursement des crédits, la monnaie est retirée de la circulation. Une augmentation excessive de crédits double la quantité de monnaie, faisant monter les prix : c’est l’inflation. Si les salaires ne suivent pas, le pouvoir d'achat diminue, freinant la consommation et l'activité économique. À l’inverse, une pénurie de monnaie entraîne une déflation, où les prix baissent. Les ménages reportent leurs achats, réduisant la demande et affectant les entreprises, ce qui ralentit encore l'économie. La banque centrale régule la monnaie en circulation pour éviter ces déséquilibres. Un taux d’inflation annuel entre 2% et 4% est généralement considéré comme idéal. La masse monétaire : Les pièces et billets (monnaie fiduciaire) représentent une petite part de la monnaie en circulation, la majorité étant constituée de dépôts bancaires (monnaie scripturale). La somme de ces moyens de paiement forme la masse monétaire. Un excès de monnaie entraîne sa dépréciation. Par exemple, si 10 biens sont produits et 2.000 euros circulent, chaque bien vaut 200 euros. Si la monnaie atteint 4.000 euros, chaque bien vaudra 400 euros, réduisant ainsi la valeur de l’argent. 15 Les formes de monnaies : Monnaie fiduciaire Les pièces sont de la monnaie d’appoint, et les billets, émis par la banque centrale, constituent la monnaie fiduciaire. Monnaie scripturale La monnaie scripturale repose sur des écritures de compte (crédit ou débit) et circule via des outils comme les cartes bancaires, virements, ou cryptomonnaies. Les types de banques : Les banques commerciales remplissent plusieurs activités, dont les principales consistent à : 1) collecter les dépôts des agents économiques 2) prêter les dépôts collectés (octroi de crédits) 3) créer de la monnaie scripturale. Une banque centrale n’est pas une banque commerciale. Les particuliers et entreprises ne peuvent y ouvrir de compte ni y emprunter. Sa mission est de réguler l’offre de monnaie dans l’économie. Chapitre 8 Le marché du travail : Le marché du travail regroupe les offres des travailleurs et les demandes des entreprises. Il existe plusieurs marchés spécifiques (comptables, électriciens, etc.). Toute économie vise à l’optimiser et à réduire le chômage. La population active et inactive : La population active comprend les actifs ayant un emploi et les personnes disponibles à la recherche d’un emploi rémunéré. La population inactive comprend les enfants et les étudiants dans les établissements scolaires, les retraités, … 16 Les causes du chômage : 17

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