Spé PCP : Ex et Illustrations de Tests Projectifs PDF

J. Mathieu Spé PCP : ex et illustrations de tests projectifs I. Test d’association de Jung A) Description du test Créer par Jung en 1904 (jeune médecin contemporain de Freud) = épreuve d’association de mots, considérer comme 1e test projectif...

J. Mathieu Spé PCP : ex et illustrations de tests projectifs I. Test d’association de Jung A) Description du test Créer par Jung en 1904 (jeune médecin contemporain de Freud) = épreuve d’association de mots, considérer comme 1e test projectif Test qui résulte de triple in uence : Psycho associationniste (expliquait vie mentale en parlant d’associations d’idées, régis par des lois) Psychanalyse (Freud avait fait émerger idée qu’il y avait distorsions du discours, lapsus…) Nosologie psychiatrique Jung va tirer de ces ruptures que di perturbations ds les asso vont constituer signes de thèmes inconscients, pensées latentes qui seraient présentes en attendant d’être conscientisés -> càd cette asso de mots a pr objectif de repérer moments où thématiques reviennent, ou des di cultés/ruptures re ètent con ictualité psychique du sujet B) Procédure du test Ce test = 4 listes de 100 mots (« inducteurs ») qu’on va prononcer devant sujet -> en réaction de cet inducteur, le sujet va devoir dire le + vite possible le 1e mot qui lui viens à l’esprit Examinateur va noter le mot donné par patient + tps qu’il a mis pr le dire (= tps de réaction) À n du test = contre-épreuve, càd relire mot inducteur au sujet et lui dire « redis moi ce que tu m’as dis », est ce que sujet est capable de redire le mm ? Interprétation va donc se baser sur 2 pts, autour du type caractérologique du sujet (quels lien entre inducteur et mot du patient ? Relation logique/grammaticale/phonétique entre les 2 ?) 1e pt = Jung va donner 2 types d’associations qui vont correspondre à 2 grds types psycho : - Perso dites extraverties = tournée vers mde ext, seront bcp + sur signi cations objectives et sur contenu concret du mot inducteur - Perso dites introverties = + sensibles au résonance subj du mot inducteur, seront + sur rép centrées sur leur mde à eux 2e pt = quels st pts de vulnérabilité et complexité du sujet ? : con ictualité psychique -> test d’asso est bon détecteur de con its (ex : un sujet supposé agressif qui contrôle pas impulsions agressives = pb qd inducteur est naturellement associé à chasse agressive -> ex : « cou » avec « tordre », ou qd inducteur déjà agressif sujet va mettre tps de latence à rép car ce mot va se retrouver à voir augmenter charge d’a ect du sujet qui va devoir se réguler donc + de tps de rép) Possibilité d’oubli du mot pdt contre-épreuve qui est révélateur II. Test de la Patte Noire (PN) A) Présentation test Test plutôt pr enfants (dès qu’il maitrise parole, jusqu’à 10-11ans) Test élaboré pdt ≈1959-1961, par Corman a n d’explo con ictualités profondes de l’âme infantile 3 ouvrages de réf pr ce test qui est encore assez pratique mm ajd => test de 17 planches (+ 2) 1 sur 8 ffi fi fl fl fl fl ff fi ff fl fl fi  J. Mathieu Corman va suivre constat suivant : enfants ont propension pr s’identi er aisément à des animaux => il va donc s’inspirer d’un test américain (Blacky) pr présenter histoire d’un seul animal et sa famille Patte noire est un petit dont caractéristique spé est d’avoir une patte noire 17 planches (+ 2 : 1 au déb pr présenter perso et 1 à la n) désignées par titre + n° pr aider clinicien à se repérer car on demande à enfant de choisir planche qu’il veut, ds ordre qu’il veut C’est matériel totalement guratif avec tracé noir sur fond blanc pr 15 planches, et 2 avec tracé blanc sur fond noir B) Procédure test Test de 60 à 90min en 5 étapes (1) Présentation du frontispice (= 1e planche qui illustre et présente famille) : enfant est invité à repérer patte noire, à préciser sexe et degré de parenté de tt les cochons présents sur cette 1e planche de présentation -> planche visible pdt tte passation (2) Choix des planches et récit des histoires : - Présentation de ttes les planches (sauf dern) ds ordre quelconque + on demande à l’enfant de choisir celles dont il souhaite raconter l’histoire et de mettre de côté celles qu’il veut pas - On lui fait étaler ttes les planches qu’il veux devant lui et on lui demande de nous raconter la/les histoire(s) - Va potentiellement créer l narratif entre chaque planches ou faire une histoire par planche - Planches rejetées restent tjr à dispo, il peut en reprendre - Qd enfant a ni, clinicien va lui demander « as-tu ni ? Veux-tu reprendre une planche ? » (3) Préf-identi cation : on met ttes les planches ds 1 seul paquet et on demande à enfant de faire 2 tas = « j’aime » ou « j’aime pas », puis enfant va étaler images qu’il aime devant lui et on va lui dire de les ranger par ordre de préf (+ justi cation/pk) + lui demander qui il aimerait être sur cette image -> puis mm chose avec planches les - aimés (4) Questions dirigées : sorte d’enquête où on reprend contenu des planches de l’enfant, si il a loupé qqc, … (5) Question de synthèse : - On demande qui est le + et - heureux et le + et - gentil ds tte cette histoire - Est ce qu’il y a des membres de la famille qui s’aiment + que d’autres - Qui est ce qu’il préfère ? - On lui demande que va devenir patte noire ds tt ça et qu’est ce que ce dernier peut penser de sa patte noire -> une fois qu’on a posé cette question c’est à ce moment là qu’on sort la dernière planche : « patte noire rencontre une fée qui lui autorise 3 souhaits, qu’est ce que patte noire demanderait ? » Conclu : on voit que dès déb on laisse bcp de liberté à l’enfant, mais clinicien doit pas être totalement mutique, il doit relancer l’enfant avec questions dynamisantes… (« raconte moi », « ah oui explique moi ») Comme consigne souple = permet à enfant de bien rentrer ds son mde On va pv observer contradictions chez enfant C) Descriptions planches NB : - Contenu manifeste = ce qui est objectivement visible 2 sur 8 fi fi fi fi fi fi fi fi  J. Mathieu - Contenu latent = contenu implicite, inconscient qui est sollicité Voir doc planches (Spe_PCP-Ex_tests_projectifs-Planches -> I. PN) Question potentielle à l’exam : il met une planche et nous demande contenu manifeste et latent Test de patte noire existe en version mouton noir (car pr certaines religions cochon est connoté négativement) III. Scéno-test A) Description test Créer par Gerdhild von Staabs en 1938 C’est boite de jeu fabriquée artisanalement (en bois) -> quasiment inchangé depuis création Test à objectif diag et thérapeutique, censé (au départ) mettre en scène protagoniste et entourage familial et que enfant reproduise sa réalité familiale, MAIS faut éviter suppositions trop rapide, peut y avoir liens mais faut faire attention (manière dont joue enfant est pas égal à 100% à ce qu’il vit, faut pas oublier inconscient c’est un entre-2) On propose boite à l’enfant et on demande d’orga librement (ds cadre dé nis et standardisé) et d’imaginer qqc/une scène… -> test interessant car pas besoin du langage Enfant va devoir faire preuve de fantaisie ds cadre rigide Epreuve de type « joue enfant, raconte moi qqc à travers ton jeu », c’est pas gé B) Matériel 16 marionnettes (8 adultes et 8 enfants, avec tailles et vêtements di ) : - 3 f d’âge moy : une en tenue de ville, une en tenue d’int et une avec tablier blanc - 1 f âgée - 3 h d’âge moy = un en tenue de ville, un en tenue d’int et un en tenue de médecin (stéréotype de l’époque) - 1 h âgé - 3 lles enfants - 3 garçons enfants - 1 bébé - 1 princesse Eléments de bois : certains rouges, bleus, jaunes, verts = couleurs et formes/tailles di Pièces guratives : 5 arbres (2 sapins, 2 pommiers et 1 peuplier), 3 par terre euris… Boites avec objets usuels : petit plateau rond, petite voiturette course avec capot ouvrable et roues mobiles, sceau à traire, lessiveuse, biberon, pot de chambre Animaux : oiseaux colorés, jars, poules, poussins, cochons, renards, singes… Mobilier : chaises, chaises longues, sièges WC, tapis… Accessoires : batte, bêche, tableau ardoise, nain, bonhomme de neige, ange, voiture de tourisme avec porte av ouvrable et roues mobiles… Train : 3 wagons détachables -> Enfant est pas obligé de jouer avec tt 3 sur 8 fi fi ff fi fi fl f J. Mathieu Schéma de boite de rangement : Boite est rigide, portative, fait 53cm x 40cm x 6cm, rangée tjr pareil et fermée avec couvercle (celui ci est profond de 2cm et qd on le retourne il devient l’esp de jeu, càd cadre où enfant doit jouer) C) Indication et passation Avantage du sténo-test = maitrise du langage pas obligatoire donc accessible pr enfants en bas âge, ou clinique patho (di cultés avec langage) ou clinique cult (non-francophone) Dimension psycho-motrice qui est un + par rapp aux autres épreuves projectives (le psycho- moteur est souvent là où le langage n’est pas, ex : violence) et dimension du jeu qui rend la thérapeutique di avec enfants (ont - de mal à s’engager dedans car jouent) Question de la présence d’un tiers, mieux si il est pas présent mm si faut pas que ce soit un frein -> faut pas que l’enfant soit en panique mais faut éviter relation triangulaire qd présence du tiers) Passation en 3 ou 4 séances d’observation de 30 à 45min, espacées d’une à 2 semaines selon âge (= passation en ≈1mois) -> porter attention à répétition ds cptm du patient, sa relation avec le jeu/matériel Faut table solide/dure, mais posture/position de l’enfant est libre (debout ou assis) et il faut faire en sort de lui octroyer cette possibilité -> faut installer limites ds installation (à l’intérieur du plateau) Ds vidéo on voit di manière de jouer selon les enfants (structuré, accumulation, challenge d’équilibre/verticalité) 4 sur 8 f ff ffi  J. Mathieu Passation = dépouillement en 3 étapes : Déroulement de l’épreuve = comment l’enfant s’est adapté à cette situation, comment se jouent les di situation, évol entre les séances… le tt de manière globale Analyse des procédés de jeu = 1) Procédés hors jeu avec matériel : on va essayer de dé nir façon de jouer de l’enfant ds sa session : retrait, pleurs, agitation, répétitions, stéréotypes 2) Procédés sensori-moteurs, càd contact avec matériel : prendre/lâcher, frôler, jeter, bousculer… 3) Procédés d’interactions avec clinicien : questions, appel à l’aide… 4) Procédé traduisant recours à réalité ext (RE) : scènes calquées sur réalité quotidienne, insistance sur précision du décor… 5) Procédés traduisant recours à évitement et inhibition (EI) : cptm exploratoire, évitement de certaines pièces (ex : tte pièces masculines) 6) Procédés qui renvoient à imaginaires et fantasmes (IF) : imitation de gestes, identi cation à une fonction, mis en scène de contes connus, dialogues entre perso… 7) Procédés d’objectivation et de contrôle (OC) : nommé chaque pièce, les décrire, les ranger, les aligner, qui vont faire et défaire pr refaire, vise à montrer contrôle de l’enfant sur objet -> On cote l'ensemble des procédés qui nous donnent un certains nbr d’élément sur manière de jouer de l’enfant Synthèse : - Analyse défensive : dégager articulation défensives (vers quoi va-t-il s’orienter), ex : redondances… - Analyse des problématiques = question de l’identité, de la position dépressive, des identi cations, du con it œdipien - Proposer hypothèses concernant fonctionnement psychique, en lien avec question à l’origine de la demande de passation IV. Test des contes A) Description du test Créer par J. Royer en 1975, 1978 Durée de passation : 1h à 1h30 (ou +) C’est série d’histoire à compléter = on donne déb et enfant doit continuer et on la conclue -> 24 histoire au total (ajd) qui st assez courtes : Trauma de la naissance : « le poussin » et « l’âge d’or » Stade oral : conte de « l’oisillon », « le coucou », « les chevreaux », « le petit chien Tom », « l’ourson pas pareil » et « la fourmi » Stade anal : « le poulain », « le trou », « la course » et « la terre et l’eau » Stade phallique œdipien : « le cadeau », « le sexe préféré », « les cerfs » et « les chatons curieux » Entourage de l’enfant : « le cirque », « les renards », « les métamorphoses », « les lions », « la colère » et « le petit loup » Motifs essentiels : « les rêves » et « l’histoire préféré » -> Contes st trouvables ds ouvrage de De Tychey (2010, Test des contes et cliniques infantiles) Consigne de passation (destiné aux jeunes enfant, ayant capacité de verbalisation) : - « Tu aimes les histoires n’est ce pas ? Eh bien Nous allons en inventer ensemble. C’est un jeu pr voir si tu as de l’imagination. Tu pourras Dre tt ce qui te passe par la tête par ce qu’ici il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises rép, il faut seulement montrer que tu as des idées » - Variantes pr ado : « je voudrais voir si tu as de l’imagination, nous allons faire comme si nous écrivions ensemble un livre pr de petits enfants » -> implicitement on lui fait comprendre qu’on sait qu’il est grd et qu’on ne s’entretient pas avec lui comme si il était enfant 5 sur 8 fi fi ff fl fi  J. Mathieu Faut éviter de le couper, et si il donne de lui mm justi cation pas besoin de lui demander -> aussi exibilité à avoir, adapter question en fonction de son discours B) Ex contes a) Le poussin Une maman Poule couvait ses œufs. Ils étaient bien au chaud sous ses plumes. Ds un œuf, il y avait un petit Poussin : 1) Est ce qu’il se trouvait bien ds son œuf ? Pk ? Voulait-il sortir ? Pk ? 2) A-t-il pu sortir facilement ? Sinon pk ? Qu’a-t-il vu, qu’a-t-il dit qd il est sorti ? 3) La maman Poule emmenait son poussin picorer ds la cour de la ferme qui était grde Que faisait le petit poussin : préférait-il courir ou rester sous l’aile de la maman poule ? Pk ? Que faisait la maman poule ? 4) Plus tard, qu’est devenu le petit poussin ? Comment cette histoire s’est terminée ? -> Possibilité d’évocation d’autres poussin (évocation de la fratrie) avec relation con ictuelle ou non -> Persécution du poussin, qualités anxiogènes -> Construction de l’avenir (optimiste vs pessimiste) b) L’oisillon Ds le feuillage d’un arbre, un père et une mère oiseaux avaient construit un nid pr leurs petits oisillons 1) Un jour, le père et la m re partirent un peu + loin du nid Pk taient-ils partis ? Que pensait le petit oisillon qui les avait vus partir ? 2) Pdt que les parents taient partis, voil qu'il se passe qqc Quoi ? Qu'arrive-t-il l’oisillon ? Que font, que pensent les autres oisillons ? 3) Voil que les parents reviennent Qui revient le 1e, le p re ou la m re ? Pk ? Que fait-il ? Et l’autre ? Que pensent-ils ? 4) Comment cette histoire se termine-t-elle ? c) La terre et l’eau 1) Un enfant joue avec de la terre et de l’eau Aime-t-il jouer à cela ? 2) Que fabrique-t-il avec la terre et l’eau ? Que fait-il de ce qu’il fabrique ? 3) Sa maman arrive et regarde ce qu’il fait Que dit-elle ? Que fait-elle ? 4) Si la maman demande à l’enfant de lui donner ce qu'il a fait Le donne-t-il ? Pk ? Qu'en fait la maman ? Que pense l’enfant ? Que fait-il ? 5) Et si la maman d fendait l'enfant de jouer ces jeux-l , Qu’arriverait-il ? 6 sur 8 é fl à é à è é è à è à à fi à fl  J. Mathieu Comment cette histoire se termine-t-elle ? -> Cette histoire questionne enfants sur l’interdit, les limites (stade anal) d) Le chaton curieux Il était une fois une mère chatte et un papa chat qui avaient des petits chatons. Pdt le jour, ils se promenaient tous ensemble, au soleil, ds le jardin. Mais le soir venu, la maman chatte ramenait ses petits chatons ds leur panier rempli de laine douce et leur disait : « dormez bien, soyez sages ! ». Et puis, avec le papa chat, elle allait encore un peu s'amuser et danser, au clair de lune 1) Les petits chatons taient-ils contents ? Pk ? 2) L'un d'eux tait tr s curieux Avait-il raison d' tre curieux ? Pk ? Qu'est-ce qu'il aurait voulu savoir ? 3) Une nuit, le petit chaton curieux entendit du bruit. Il se demandait bien ce que c’ tait Qu'est-ce qu'il a fait ? Qu'est-ce qu'il a vu ? 4) Le papa et la maman l'ont-ils vu? Qu'ont-ils fait? 5) Qd le petit chaton curieux fut recouch ds son panier, rempli de laine douce, que t-il ? 6) R va-t-il ? A quoi ? Comment se termine cette histoire ? -> Sur di érenciation de sexes, sa place ds triangulation familiale, scène primitive e) Les métamorphoses Un jour, une fée apparut à un enfant et lui dit. « Je te donne ma baguette magique. Avec un coup de baguette tu peux transformer ttes les pers que tu vois, en animaux ». L’enfant rentre à la maison 1) Il voit son papa et il le touche avec sa baguette. En quoi le papa va-t-il tre transform ? Pk l'a- t-il transform en cela ? L'enfant aimait-il cet animal ? 2) Ap, l'enfant voit sa maman. Il la touche avec sa baguette. En quoi la maman va-t-elle tre transform e ? Pk l'a-t-il transform e en cela ? L'enfant aimait-il cet animal ? 3) Ap, l'enfant voit sa grde soeur, son grd fr re, son petit fr re, sa petite soeur... (reprendre successivement la question selon la composition de la fratrie de l'enfant, mais sans nommer les noms r els des fr res et soeurs). Il le touche avec sa baguette. En quoi est-il transform ? Pk l'a-t-il transform en cela ? L'enfant aimait-il cet animal ? 4) Ap, il voit encore son ma tre (ou sa ma tresse d’ cole)… Il le (ou la) touche avec sa baguette. En quoi va-t-il (ou va-t-elle) tre transform (e)? Pk l'a-t-il transform (e) en cela? L'enfant aimait-il cet animal ? 5) Apr s, il voit encore quelqu'un qu'il connaissait bien ? Qui est-ce ? Il le touche aussi avec sa baguette En quoi va-t-il tre transform ? Pk l'a-t-il transform en cela ? L'enfant aimait-il cet animal 6) En n, l'enfant se touche lui-mm avec sa baguette. En quoi s'est-il transform ? Pk ? L'enfant aimait-il cet animal ? 7) Alors, mtn, que va-t-il arriver cette m nagerie ? Comment cela se termine-t-il ? -> On fait appel à tte la famille de l’enfant (sans les nommer), puis au reste de son entourage pour nir par lui mm -> Baguette magique = symbole de tte puissance sur son entourage, alors qu’habituellement la dominance est inversé -> possibilité d’observer vengeance ds certaines métamorphoses C) Analyse Etapes de l’analyse : Facture du protocole = comment se passe le test (récit clair ? Accroche du contenu latent ?) 7 sur 8 ê fi fi è é ff é é ê ê è è é é é î ê ê é à é î é é é è é é é è é é ê é fi é J. Mathieu Analyse quantitative = cotation de signes de normalité/pb (en fonction d’âge) + selon régrédient (se nit mal) ou progrédient (se nit bien) -> enfants joue bcp avec le régrédient mais le fait que ce soit systématique peut être problématique Analyse qualitative = on observe représentations des parents mais aussi représentations de soi, image du corps et identi cation de soi Synthèse = analyse des castration, pts de xation, rapp à œdipe (solution du complexe ?) V. Childhood Apperception Test (CAT) A) Description du test Créer par Bella en 1947 10 planches représentant animaux ds scènes humaines Avec enfants de 3ans (en fonction du langage) à 10-12ans Durée = 30min Passation : - Consignes : « que se passe-t-il ? », « raconte moi une histoire »… - On passe les planches ds l’ordre (≠ patte noire) - Epreuve des choix (enfant doit choisir planche préféré, non-préféré, représentant son père, puis sa mère) B) Description des planches Voir doc planches (Spe_PCP-Ex_tests_projectifs-Planches -> II. CAT) - Planches 1 à 4 = stades précoces du dvp (introjection de l’objet interne, relation de dualité avec UN parent) - Planches 5 et 6 = complexe œdipien (scène primitive, amorce de renoncement œdipien avec exclusion du couple parental et continuité des mises à l’épreuve des enveloppes psychiques) - Planches 7 à 10 = renoncement au projet œdipien (mise au travail de sublimation en lien avec émergence du Surmoi post œdipien, et rapp avec enveloppe psychique + stabilisées) 8 sur 8 fi fi fi fi