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Ce document est un plan de cours d'économie consommation. Il couvre des leçons sur la production de biens et services, les ménages, et le marché du travail. Le document est structuré en chapitres et leçons, ainsi que des travaux dirigés et des devoirs.

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Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation PLAN DU COURS ANNUEL Exposés n°1 : Panorama du cours (pédagogie inversée) TPVC 1 à réaliser en binôme avec un podcast/une carte mentale Chapitre 1: La production de biens et de services ◊Leço...

Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation PLAN DU COURS ANNUEL Exposés n°1 : Panorama du cours (pédagogie inversée) TPVC 1 à réaliser en binôme avec un podcast/une carte mentale Chapitre 1: La production de biens et de services ◊Leçon 1 : Le problème économique ◊Leçon 2 : Circuit économique : secteurs et acteurs ◊Leçon 3 : Formes alternatives de production/consommation TD1 : Outils statistiques DS1 de 1H : Calculs + Réaliser une synthèse DM 1 : Construire une synthèse orale sur le portrait social de la France en 2024 avec un focus spéci que individuel (5 min). Chapitre 2: Les ménages ◊Leçon 1 : Les revenus + TPVC 2 manuscrit à rendre individuellement ◊Leçon 2 : La consommation, l’épargne et le crédit ◊Leçon 3 : Les ménages accompagnés et protégés TD2 : Techniques rédactionnelles + TPVC3 : passage à l’oral en binôme DS2 de 2h : Questions de cours + Calculs + Analyse de documents Chapitre 3: Le marché du travail DM 2 : Se préparer à compléter le chapitre 3 TPVC4 : passage à l’oral individuellement DS3 de 3h : QROC + 3 exercices + 2 études de cas + 1 texte à trous DM3 : Outils de pilotage à travers 3 situations (à rendre avant le stage) 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 1 sur 55 fi Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation Chapitre 1: La production de biens et de services ◊Leçon 1 : Le problème économique A- La production : une réponse protéiforme aux ……….……. (P………… ou L……………..) 1. Pourquoi produire ? Comment produire ? Dans un sens courant, la production désigne la fabrication de biens ou la mise à disposition de services propres à satisfaire des …………. individuels ou collectifs. Les besoins sont au cœur même de l’activité économique puisque leur existence est la raison d’être de la production. Pour qu’un besoin soit satisfait, il faut acheter et/ou consommer des biens et des services. Un besoin devient « économique » lorsque pour le satisfaire, on doit effectuer un achat. On distingue deux grandes catégories de besoins : les besoins …………………….(ou physiologiques) indispensables à la survie : se loger, respirer, manger, se protéger du froid et de la chaleur, se vêtir ; les besoins …………………….(ou de civilisation), destinés à satisfaire un bien-être supplémentaire, des nécessités non vitales : ordinateur, équipement, culture, téléphone portable... Les besoins sont différents d’un individu à l’autre et évoluent dans le temps et l’espace. Ils sont illimités alors que les …………. : c’est la définition du …………. économique. En effet, ils sont de plus en plus nombreux au fur et à mesure qu’une société se développe et que nous avons accès à des technologies qui facilitent nos vies. Certains ne pourraient d’ailleurs même pas imaginer survivre sans connexion Internet, téléphones portables et jeux vidéo. La pyramide de Maslow hiérarchise les besoins par catégories. Elle met en avant le principe selon lequel un besoin de catégorie supérieure dans la hiérarchie ne saurait être assouvi si les besoins de catégories inférieures ne le sont pas eux-mêmes. Il existe également une autre classification : -les besoins……………., que l’individu consommateur peut satisfaire lui-même, en fonction de ses ressources, en achetant les biens et services associés (alimentation, vêtement) ; -les besoins ……………., exprimés par un ensemble d’individus, pour la satisfaction desquels la collectivité met gratuitement à disposition des services collectifs (santé, police). 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 2 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation Au sens de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), la production est l’activité économique socialement organisée, consistant à produire des biens et des services destinés à être écoulés sur le ……………. afin de satisfaire des besoins individuels ou collectifs. Ils sont obtenus par combinaison de……………. de……………. eux-mêmes achetés. Pour qu’il y ait production au sens économique, deux conditions doivent être réunies : l’activité économique doit être ……………. et ……………. l’activité économique doit créer des ……………. Ou des …………….. Cette définition exclut un certain nombre d’activités économiques. Le travail ……………. (ménage, bricolage), le ……………. et les activités de l’économie …………………….(travail au noir, trafic de drogue) ne sont pas comptabilisés dans la production au sens économique. La production est réalisée grâce à l’utilisation des facteurs de…………….que sont le facteur ……………. et le facteur…………….. Tous les deux sont achetés sur un marché à un certain prix. Le facteur ……………. : il ……………. l’…………….des activités économiques, manuelles et intellectuelles, organisées et coordonnées en vue de produire des biens et services. Le facteur ……………. est offert par les ……………. en échange d’une contrepartie financière comme le salaire. Le facteur ……………. : il ……………. l’ ……………. des moyens matériels (terrain, bâtiment, machines), ……………. (brevets, logiciels) et ……………., permettant à l’entreprise de fonctionner. Pour produire, l’organisation productive a donc recours à ces deux facteurs de production. Mais pas seulement : elle a également recours à des ressources ……………. comme l’eau, la terre, le vent. Elle a aussi recours à la technologie qui ……………. à l’ ……………. des connaissances issues de la recherche qui ont abouti au développement d’innovations technologiques permettant d’améliorer les processus de production. Nous pouvons dire que la production résulte de la ……………………. de travail, de capital, de technologie et de ressources naturelles. 2. La typologie des biens et des services La nature n’offre pas en abondance les biens et services qui doivent être produits pour satisfaire les besoins illimités des individus (alimentation, logement, santé, etc.). Les produits sont le résultat d’une production, et peuvent être distingués en deux catégories, selon leur nature : les biens et les services. Lorsque l’on parle de produits, on pense aussitôt aux objets physiques que l’on peut trouver dans un magasin. Ces objets physiques constituent ce qu’on appelle des biens. Il existe deux types de biens : les biens ……………. (ou …………….) : cela concerne les produits de la nature et non d’une activité humaine. Exemples : l’eau, l’air, la lumière du soleil. Ils sont en principe en quantité illimitée ; les biens ……………. (non …………….) : ils sont nés de l’activité humaine et transformés tout au long du processus de production. Exemples : paire de chaussures, ordinateur, lave-linge. Ils sont d’une grande variété. 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 3 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation La plupart des biens ne sont pas des biens libres. Ce sont des biens ……………., ce qui signifie que l’on ne peut se les procurer que par l’échange ou en les fabriquant, c’est-à-dire en transformant la nature par notre travail. On distingue traditionnellement trois groupes de biens : les biens ……………. : ils peuvent être utilisés sur une longue période. Exemples : téléviseur, ordinateur, véhicule ; les biens semi-……………. : ils peuvent s’utiliser sur une certaine période mais leur durée de vie est moyenne. Exemples : vêtement, stylo ; les biens non ……………. : ils ne servent qu’une seule fois car ils sont détruits à la première utilisation. Exemples : alimentation, énergie, allumette, produits ménagers. Aujourd’hui, l’économie circulaire consiste à produire des biens et des services de manière durable en limitant la consommation et le gaspillage des ressources et la production des déchets. Ce modèle met notamment l’accent sur de nouveaux modes de conception, production et consommation, le prolongement de la durée d’usage des produits, l’usage plutôt que la possession de bien, la réutilisation et le recyclage des composants. Les biens peuvent également être classés selon leur utilisation (même si la distinction est discutable): un bien de …………………. : il s’agit d’un produit qui est fabriqué en vue d’être vendu en l’état à son consommateur final (voiture, vêtement, réfrigérateur) ; un bien de …………………. : il sert à fournir un bien ou un service qui n’est pas consommé en l’état. Il est acquis en principe par une entreprise pour les nécessités de sa production. Il peut s’agir d’un bien intermédiaire qui sera transformé, ou d’un bien d’équipement (ou d’investissement) qui sert à cette transformation. À côté des biens, nous retrouvons des produits ………………. appelés services. Le service est une prestation. Il est donc immatériel. Le service est consommé en même temps qu’il est produit. Il ne peut pas être stocké, au contraire d’un bien. Exemples : coupe de cheveux chez le coiffeur, soin chez une esthéticienne, prendre un taxi, donner un cours de mathématiques, etc. Les services répondent à d’autres besoins que les biens. Exemple : Une entreprise qui vend des véhicules est une entreprise qui vend des biens. Mais cette même entreprise doit contacter une société d’assurance pour assurer son entrepôt, ce qui est un service. C’est une prestation qui n’est pas concrète, que l’on ne peut pas toucher. B- La production conduit à la création de la valeur ………… (m.……) et du ……..(m..………) 1. Typologie et mesure des productions La production ………………. : il s’agit de la création de biens ou services destinés à être vendus sur un s ………………. à un prix économiquement significatif, c’est-à-dire un prix supérieur à la moitié des coûts de production. Les coûts de production sont l’ensemble des dépenses nécessaires pour produire un bien ou un service. Elle est réalisée essentiellement par des s ………………. dont les ressources proviennent essentiellement de la vente de leur production. Exemples : l’achat d’un téléphone portable est un bien marchand ; se rendre chez le coiffeur est un service marchand. 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 4 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation La production ………………. : elle est fournie à titre gratuit ou quasi-gratuit (prix inférieur au coût de production) à ses utilisateurs. La production non marchande englobe les services délivrés par l’État ou les institutions à but non lucratif (exemples : associations caritatives, associations de consommateurs, les partis politiques...). En dépit de sa gratuité ou quasi-gratuité, la production non marchande a un …………… ; elle est le plus souvent financée par l’ ……………, les administrations de …………… …………… ou les collectivités territoriales (régions, départements, communes), dont les ressources proviennent des prélèvements …………… (impôts et cotisations sociales). On a tendance à dire que tous les biens matériels sont considérés comme marchands. Toutefois, si un bien est vendu à moins de 50 % de son coût, on considère alors qu’il s’agit d’un service rendu et non d’un bien vendu. Par exemple, une épicerie sociale et solidaire vend à un prix très faible des denrées alimentaires à des personnes à faibles revenus. On considère que ce que fournit l’épicerie sociale et solidaire est un service et non un bien. En l’espèce, il s’agit d’un service non marchand car il est fourni à titre quasi-gratuit. L’intervention des administrations publiques dans la production non marchande est indispensable car : -les administrations publiques fournissent des services collectifs tels que la défense, la police, non pris en charge par le secteur privé et qui sont également la traduction du « monopole de coercition légitime » Max …………… -ces administrations pallient les insuffisances du marché afin de corriger les inégalités, de satisfaire les besoins vitaux (santé, l’éducation, la protection sociale), et de garantir l’intérêt général. Les administrations publiques produisent et fournissent individuellement aux ménages des biens et des services qu’elles pourraient faire payer, mais qu’elles choisissent de ne pas faire payer pour des raisons de politique sociale. On peut citer comme exemple les services d’éducation et de santé qui sont fournis gratuitement ou à des prix économiquement non significatifs. On distingue généralement : Les biens publics purs : Ils sont caractérisés par la non-rivalité (la consommation par un agent n'empêche pas celle des autres) et la non-exclusion (impossibilité d'exclure un agent de l'utilisation). Exemples : la défense nationale, l'éclairage public. Les biens publics …………… : Ils ne répondent qu'à un seul des critères précédents. On y trouve : Les biens communs : non-…………… mais …………… (ex : ressources halieutiques) Les biens de club : non-…………… mais ……………(ex : autoroutes à péage) Les indicateurs microéconomiques de création de valeur varient selon le type d'organisation en France. Les entreprises……………utilisent plusieurs indicateurs financiers pour mesurer leur création de valeur : la valeur …………… est l'indicateur principal de création de valeur pour les entreprises. Elle correspond à la différence entre la …………… de l'entreprise (…………… : ……………x ……………) et les consommations intermédiaires. 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 5 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation Toutefois, voici une présentation détaillée des principaux soldes intermédiaires de gestion (SIG) qui sont calculés à partir du compte de résultat (film de l’année comptable). - La Marge commerciale s'applique aux entreprises commerciales. Elle se calcule ainsi : Marge commerciale = Ventes de marchandises - Coût d'achat des marchandises vendues Elle représente la différence entre le prix de vente et le prix d'achat des marchandises. - Production de l’exercice s’applique pour les entreprises industrielles et de services, Production de l'exercice = Production vendue + Production stockée + Production immobilisée - La valeur ajoutée (VA) mesure la richesse créée par l'entreprise : VA = Marge commerciale + Production de l'exercice - Consommations intermédiaires - Excédent brut d'exploitation (EBE) L'EBE représente la performance économique de l'entreprise : EBE = VA + Subventions d'exploitation - Impôts et taxes - Charges de personnel - Résultat d'exploitation (REX) mesure la rentabilité de l'activité principale : REX = EBE + Autres produits d'exploitation - Dotations aux amortissements et provisions - Résultat courant avant impôts (RCAI) intègre le résultat financier : RCAI = REX + Produits financiers - Charges financières - Résultat exceptionnel : prend en compte les opérations non récurrentes Résultat exceptionnel = Produits exceptionnels - Charges exceptionnelles - Résultat net : le bénéfice ou la perte finale de l'entreprise : Résultat net = RCAI + Résultat exceptionnel - Impôt sur les sociétés - Participation des salariés Ces SIG permettent d'analyser étape par étape la formation du résultat de l'entreprise, d'identifier les sources de rentabilité ou les problèmes éventuels, et de comparer les performances avec d'autres entreprises du secteur. Ils constituent un outil précieux pour le pilotage financier et la prise de décision stratégique. 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 6 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 7 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 8 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation Indicateurs de rentabilité Rentabilité économique : Résultat d'exploitation / Total actif économique Ce ratio mesure l'efficacité avec laquelle l'entreprise utilise ses actifs pour générer des bénéfices. Rentabilité financière : Résultat net / Capitaux propres Il évalue le rendement des capitaux investis par les actionnaires. Indicateur de profitabilité Résultat net / Chiffre d’affaires Ce ratio indique la part du chiffre d'affaires qui se transforme en bénéfice net Indicateur de structure financière Ratio d'autonomie financière : Capitaux propres / Total du bilan Il mesure le degré d'indépendance financière de l'entreprise vis-à-vis des créanciers. Ratio d’endettement : Total des dettes / Capitaux propres Ce ratio évalue le niveau de risque financier de l’entreprise. Ratio de liquidité générale : Actif circulant / Dettes à court terme Il mesure la capacité de l'entreprise à couvrir ses dettes à court terme avec ses actifs à court terme. Indicateurs de gestion du cycle d’exploitation Besoin en fonds de roulement (BFR) : (Stocks + Créances clients) - Dettes fournisseurs Le BFR représente le besoin de financement lié au décalage entre encaissements et décaissement. Délai de rotation des stocks: (Stock moyen / Coût des ventes) x 360 Ce ratio indique le nombre de jours nécessaires pour écouler les stocks. Délai de paiement clients : (Créances clients / Chiffre d'affaires TTC) x 360 Il mesure le délai moyen de règlement des clients. Délai de paiement fournisseurs : (Dettes fournisseurs / Achats TTC) x 360 Ce ratio évalue le délai moyen de paiement des fournisseurs 2024-2025 M. LAGOUBI - ESF1 Page 9 sur 55 Expertise et conseil technologiques en vie quotidienne en économie-consommation Indicateurs de trésorerie Trésorerie nette : Disponibilités + Valeurs mobilières de placement - Concours bancaires courants Elle représente les liquidités immédiatement disponibles pour l'entreprise. Capacité d'autofinancement (CAF) : Résultat net + Dotations aux amortissements et provisions - Reprises sur amortissements et provisions La CAF mesure la capacité de l'entreprise à générer des ressources financières internes. Ces indicateurs, construits à partir des données du bilan et du compte de résultat, permettent d'analyser la santé financière, la performance et la structure de l'entreprise sous différents angles. Ils sont essentiels pour le pilotage financier et la prise de décisions stratégiques. 2. Le PIB : un indicateur macroéconomique utile mais limité La valeur ajoutée désigne l’ensemble des richesses créées par les agents économiques au cours d’une période donnée. Cette notion ne doit pas être confondue avec celle du chiffre d’affaires. Ce dernier représente la somme de l’ensemble des ventes de l’entreprise. La valeur ajoutée permet de rémunérer l’ensemble des acteurs qui ont participé à la production de l’entreprise : les salariés à travers les salaires qui rémunèrent leur travail ; - l’ …………… à travers des impôts et des taxes pour rémunérer l’ensemble des services à la collectivité (retraite, chômage, maladie, ainsi que tous les services publics comme la voirie, l’éclairage, l’éducation, etc.) ; - Les …………… à travers les intérêts versés pour rémunérer les prêts qu’elles ont accordés ; - les …………………… à travers les dividendes pour rémunérer leurs apports en capital. Mesurer la valeur ajoutée de toutes les organisations productives résidant sur le territoire national depuis plus d’un an permet, en faisant la somme, de connaître la valeur de la production de la France, appelée par la Comptabilité Nationale « PIB » (Produit Intérieur Brut). Le calcul du PIB correspond à la somme des valeurs ajoutées à laquelle s’ajoute la taxe sur la valeur ajoutée (………………), mais aussi les taxes sur des produits particuliers comme les produits pétroliers, le tabac et l’alcool ou encore les produits importés (droit de ………………). En contrepartie de ces taxes, les ……………… reversées par l’État sont logiquement retranchées. Par conséquent, le PIB est un indicateur économique qui permet de mesurer la production économique intérieure réalisée par un pays. Une augmentation du PIB signifie qu’un pays connaît une croissance économique. À l’inverse, une diminution du PIB est une ……………… lorsque le taux de croissance du PIB

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