Analyse des marchés financiers PDF

Summary

This document is an introduction and chapter 1 of a course on financial markets. It covers topics such as types of financial markets, their roles, and actors, modes of financing businesses, financial risk, and more. The material is well-organized and presents a comprehensive introduction to the field of finance.

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Analyse des marchés financiers Introduc on : Chap 1: Présenta on des marchés financiers. Les types de marchés financiers, leurs rôles et leurs acteurs; Les instruments financiers Chap 2: Les modes de financement des entreprises. La finance directe et indirecte; Le capital inves ssement; Le crowdfundi...

Analyse des marchés financiers Introduc on : Chap 1: Présenta on des marchés financiers. Les types de marchés financiers, leurs rôles et leurs acteurs; Les instruments financiers Chap 2: Les modes de financement des entreprises. La finance directe et indirecte; Le capital inves ssement; Le crowdfunding; L’introduc on en Bourse; Chap 3: Le risque en finance. Les risques financiers ; la couverture des risques Chap 4: Paradis Fiscaux et finance offshore : quels enjeux pour les économistes ? (Cours assuré par le professeur invité F. Jovanovic) Chap 5: Les marchés boursiers. La structure du marché européen; Les carnets d’ordre et cota on; L’analyse technique Chap 6: Les krachs boursiers. L’efficience des marchés; Les crises (krach des tulipes, la grande dépression de 1929, la crise financière de 2008). Chapitre 1 : présenta on des marchés financiers Objec f : présenter l’essen el des marchés financiers - Typologie des marchés financiers - Les différents instruments - Les principaux acteurs Quizz :. Qu’est-ce qu’un marché financier ? A quoi sert-il ?. Quels instruments financiers connaissez-vous ?. Qu’est-ce qu’un marché de gré à gré ou OTC (over the Counter) ?. Qu’est-ce que le capital-inves ssement ? Le financement par cipa f ? Introduc on : Elément de défini on Qu’est-ce qu’une marché financier ? Marché sur lequel sont négociés les instruments financiers. ce marché est souvent dématérialisé. Marché : lieu de confronta on de l’offre et de la demande des instruments financiers. Un marché financier est un marché sur lequel des personnes, des sociétés privées et des ins tu ons publiques peuvent négocier des tres financiers, ma ères premières et autres ac fs, à des prix qui reflètent l’offre et la demande. (Wikipédia) Ensemble d’agents sur les marchés : les entreprises, les banques, les par culiers, l’Etat (à besoin de se financer), des ges onnaires. Marché des ac ons, des obliga ons, monétaires. Pour l’AMF : lieu physique ou virtuel, où les acteurs du marché (acteurs, vendeurs) se rencontrent pour négocier des produits financiers. il permet de financer l’économie, tout en perme ant aux inves sseurs de placer leur épargne. I- La typologie des marchés financiers Les marchés financier se sont développer avec la modernisa on de nos économies, lorsque l’on est passé des marchés de troc à des économies monétaires. Les marchés financiers regroupent plusieurs sous-ensemble - Marché du financement à CT (marché interbancaire, marché des tres de créance négociable (TCN)) - Marché de financement à LT (marché des ac ons, des obliga ons) o Les ac ons c’est pour les entreprises (généralement les grosses) o Les obliga ons c’est pour les entreprises privés, publiques et l’Etat - Marchés des produits dérivés (couverture) : achat des assurances pour se prévenir d’éventuelles risques - Marché des changes : échange de devises - Marché des ma ères premières Marché interbancaire : marché réservé aux banques commerciales et aux organismes financiers. permet de financier les besoins de trésorerie des uns par les excédents de trésorerie des autres. Permet d’ajuster la trésorerie entre les banques. Permet aussi à la banque centrale de réguler la liquidité bancaire, de manière indirecte (pilotage par les taux directeurs). 3 types de taux directeurs - Taux de prêt marginal : taux pour les banques s’ende ent auprès d’elle - Taux de refinancement - Taux qui rémunère la trésorerie des banques laissé à la BC Marché des TCN ( tres de créance négociable) : Marché accessible à l’ensemble des agents économiques (par culiers et entreprises) Permet des échanges sur le CT (au plus 1 an) et moyen terme (jusqu’à 5 ans) Marché financiers à LT (marché de capitaux à LT) Marchés cons tués des : - Marchés des ac ons (bourse) : transac ons sur les ac ons des entreprise - Marchés obligataires : transac on sur les obliga ons des Etats et des entreprises Marché des dérivés : Marché où s’échangent les instruments financiers dérivés d’un ac f sous-jacent tel qu’une ac on ou obliga on. Certain produits dérivés sont très complexes. Marché des changes (FOREX – FOR Reign Exchange) Plus grand marché au monde en terme de transac on (environ 6590 milliard $), représentaient 19 fois le PIB mondial (environ 349 milliards $). Marché décentralisé, c'est à dire, non ra aché à une place financière. Marché réglementés : Lieu unique (EX : EURONEXT), aujourd'hui virtuel. Les acteurs sont soumis à une réglementa on unique et connue. Une standardisa on des instruments financier échangés (on ne choisis pas la durée). Chambre de compensa on assure les échanges (pas de rela on directe entre acheteurs et vendeurs). Diffusion des prix et liquidité parfois très importante =tous le monde connais le prix. Marchés de gré à gré ou OTC =marché non réglementé Mul plicité des lieux. Les acteurs sont soumis à des réglementa ons différentes selon les situa ons, les instruments négociés, les entreprises concernés =sur mesure. Les échanges sont directs entre acheteurs et vendeurs. Non diffusion des prix et liquidité restreinte (voir quasi-nulle). Marché au comptant (Spot) : Dénouement rapide des transac ons (achat/ventes) =pas de différé de paiement. Marché à terme : Dénouement différé des opéra ons (contrat à terme, contrat d’op ons) : engagement à vendre ou acheter un ac f à un prix et à une échéance donnée. Composés de future contrats standardisés et échangés sur un marché organisé (présence d’une chambre de compensa on). Fordward : contrat et échangés sur un marché de gré à gré. Ces contrats à terme sont symétrique = les deux par es sont engagés, l’obliga on, l’un à payer l’autre à livrer. II- Les instruments financiers Les instruments monétaires (marché TCN) Les tres de créances négociables apparaissent au milieu des années 80 en France. Pour plusieurs raisons - Préparer l’unifica on du marché financier européen - Assurer la liquidité des ac fs à CT => faciliter d’échanger des ac fs. - Perme re aux agents à excédent structurel de liquidité de placer facilement leurs fonds à des taux proches de ceux du marché interbancaire. - Favoriser des procédures d’arbitrage sur les taux d'intérêts et sur les échéances des prêts et des emprunts. Risques : - Pour la poli que monétaire : les TCN peuvent être émis par des agents non financiers entrainant la hausse de la vitesse de la circula on de la monnaie (augmenter l’infla on).=hors contrôle de la banque centrale - Pour les banques : les grandes entreprises se financeraient plus via TCN, l’offre de crédit est de plus en plus tournée vers les PME (plus risquées). - Pour les marchés de LT : les fluctua ons des marchés de CT auraient des impacts non encore connus - Pour les taux d'intérêts : l’hétérogénéité des produits rend difficile une véritable hiérarchisa on des rémunéra ons. - Pour les souscripteurs qui supportent le risque d’illiquidité/ d’insolvabilité des éme eurs. 3 types d’éme eurs Les billets de trésorerie (BT) : Apparu en France en 1986, conçu sous le modèle de « commercial Paper américain » Emis par des agents non financiers pour du financement de CT (BFR) et souscrites par d’autres organismes non financiers (les banques en sont détentrices de façon provisoires, intermédiaires). Peuvent être garan s par les établissements de crédit ou les entreprises d’inves ssement (d’une ligne de crédit de subs tu on à MT). Peuvent être notés par les agences de nota on. Source de désintermédia on bancaire car émis par de grandes entreprises, préférence pour les BT que pour les crédits bancaires de CT = moins onéreux que les crédit bancaires. Les cer ficats de dépôts (CD) : Dépôt à terme cessibles à tout moment, émis en con nu par les établissements de crédit et la caisse de dépôts et de consigna ons (CDC). Peuvent être racheter par les éme eurs avant l’échéance. Ont une rémunéra on plus faible que les billets de trésorerie (BT) car les banques doivent cons tuer des réserves obligatoires sur le CD (dont charges supplémentaire). Les banques ont un cout plus faible que si elles éme aient des BT. La banque collecte les dépôts des épargnants, elle peut prendre ce e argent pour financer un crédit. Mais elle peut inves r dans des projets risqués et peut devenir insolvable. Donc la BCE, oblige de placer une par e de chaque dépôt en réserve obligatoire =charge. Les bon a MT négociables (BMTN) Crée en 1992, les bons sont émis pour une durée de 1 à 7 ans. Emis par des agents financiers ou non, pour des financement à MT. Fait également l’objet d’une nota on. Similaire à une obliga on de LT avec plus de souplesse. Car émission en con nu sur une période déterminée, mais pas de cota on, donc le cours ne peut pas fluctué au cours des évènements. Les TCN émis par l’Etat - Les bons du trésor à taux fixe (BTF) sur le CT - Les bons du trésor à taux d'intérêt annualisé (BTAN) sur le MT - Les OAT (obliga ons assimilables du trésor) sur le LT Les TCN publics : Adapter le financement du trésor au décloisonnement et l’élargissement des marchés financiers français. Contribuer à la mise en place d’une poli que monétaire fondée sur le maniement des taux d'intérêt et le contrôle de la liquidité bancaire Instaurer un véritable marché de tres publics, afin d’établir une passerelle entre les taux d’échéances différentes, avec des bons (sortes d’obliga on de CT) et de véritables obliga ons de LT. Les BTF : Gérer la trésorerie de l’Etat à CT (différence entre entrées fiscales et sor e de fonds pour les dépenses publiques). Emis tous les lundis avec une échéance d’un an. Ils sont à intérêts précomptés : les intérêts sont fic vement versés au moment de la souscrip on. Le soumissionnaire règle montant du capital diminué des intérêts qui lui reviennent. Les BTAN : Emis tous les 3ème jeudis du mois à taux fixe pour une durée de 2 ou 5 ans. Leur adjudica on se fait en prix, au pied du coupon (sans prendre en compte l’intérêt), en pourcentage de la valeur nominale avec 2 décimales. Les obliga ons : Titre de créance pouvant être coté, représenta f d’un prêt à LT (plus de 5 ans). Les obliga ons diffèrent selon l’éme eur et le contrat signé : obliga on d’entreprise ou d’Etat, obliga on à taux fixe ou variable (OATi obliga on assimilable du trésor indexé), obliga on conver ble en ac ons (OCA), obliga on de capitalisa on (OAT de capitalisa on). On dé ens de la de e pour aider une entreprise à se financer, on ne dé ens pas de capital de ce e entreprise. Une obliga on est un contrat entre deux par es, elle présente les caractéris ques suivantes Sa valeur : 3 types de valeurs existent - La valeur nominal ou faciale : valeur de l’obliga on sur laquelle sont calculés les intérêts. Elle est librement fixées par l’éme eur. - Les valeurs d’émission : valeur payée par le souscripteur. Si valeur émission =valeur nominal émission au pair. Si valeur émission < valeur nominal ou mission « en dessous du pair » (prime d’émission, différence entre la valeur faciale et la valeur nominal) - La valeur de remboursement : prix versé par l’éme eur au détenteur de l’obliga on à l’échéance. Si valeur remboursement =valeur nominale, remboursement « au pair ». si valeur de remboursement > valeur nominal, remboursement au-dessus du pair (prime de remboursement) Sa rémunéra on : est cons tuée par le coupon annule (intérêt) versé indépendamment des résultats de l’éme eur. Elle dépend de facteurs exogènes (taux proposés par les autres éme eurs, tendance des an cipa ons sur les taux longs, taux de rendements sur le marché secondaire)=> cout d’opportunité. Un facteur endogène (son niveau de risque). Il existe aussi des obliga ons zéro coupons. Le taux d'intérêt peut être soit fixe soit variable. Plusieurs déf de taux d'intérêt existent : - Le taux d'intérêt réel : différence entre taux nominal et infla on - Le taux de rendement réel : rapport entre montant de l’intérêt et prix de l’obliga on - Le taux actuariel : taux effec f de l’obliga on pour l’épargnant ou cout du financement pour l’emprunteur. Plan d’amor ssement du capital : rémunéra on et date d’échéance. Il existe trois modes d’amor ssement. - Remboursement in fine : seuls les intérêts sont versés durant toute la période. Le capital est remboursé en èrement à l’échéance. Les intérêts sont tjrs la même somme - Amor ssement constant : chaque année l’éme eur rembourse le même nombre d’obliga ons (montant de capital) et paie les intérêts sur les obliga ons existantes en début de période. Les intérêts sont dégressif plus on rembourse de capital. - L’amor ssement par annuités constantes : chaque année l’éme eur rembourse le même montant d’annuité (capital + intérêt). Les intérêts sont calculés sur les obliga ons existantes en début de période. Il existe plusieurs obliga ons offrant des couvertures contre : - Les hausses des prix : o Obliga ons indexés sur l’infla on (varia on des intérêts ou des valeurs de remboursement en fonc on des indices qui peut être le CAC40) o Obliga on composées : obliga ons classiques auxquelles sont a achés un tre indépendant, donnant des droits d’acquisi on sur des valeurs mobilières déjà existante (bon d’op on BO) ou a éme re (bon de souscrip on). Plusieurs combinaison possibles : OBSO (droit de souscrire à un certain prix, pendant une période fixée, une obliga on qui sera émise), OBSA (droit de souscrire à, selon une parité, à un certain prix pendant une période fixée, une ac on qui sera créée par l’éme eur), c’est une op on par une obliga on. - La varia on des taux d'intérêts : o Obliga on à fenêtre :le remboursement se fait à la demande de l’éme eur ou de l’obligataire, soit à tout moment, soit à des périodes déterminées dans le contrat d’émission. Ainsi en an cipant une baisse des taux, l’éme eur peut rembourser tout en par e des obliga ons existantes, afin d’éme re de nouvelles à faible taux. o Obliga ons spéciales à coupons à réinves r (OSCAR) : choix entre coupons en espèces ou coupons en obliga ons de même caractéris ques que celle dont elles sont issues, les intérêts sont réinves s dans d’autres obliga ons de même nature. Protège l’obligataire contre la baisse des taux si les taux sur ses obliga ons sont supérieurs à ceux proposés sur le marché. Les ac ons : Titre de propriété sur une part des capitaux propres d’une entreprise et donne 3 types de droit - Droit de vote : 1 ac on= 1 droit de vote (principe d’égalité). Possibilité d’ac on à droit de vote double ou sans droit de vote - Droit pécuniaire aux dividendes : une ac on libérée donne droit à dividende (rémunéra on en fonc on des profits et de la poli que de distribu on de l’entreprise). On dis ngue le premier dividende (fixé dans les statuts à un % de la valeur ne e de l’ac on) et le superdividende (décidé chaque année en AG). En générale, une entreprise ne distribue pas les dividendes tous les ans, mais plus tous les deux ans. - Le droit au remboursement : lors de la dissolu on de la société, l’ac onnaire perçoit l’argent qui reste après le remboursement des de es. Les caractéris ques - Leur valeur nominale : frac on du capital et montant de l’apport. Ne doit pas être confondue avec la valeur effec ve (rapport de la valeur totale de l’entreprise et du nombre d’ac ons) - Leur prime d’émission : différence entre prix d’émission des nouvelles ac ons (ne peut être inférieur à la valeur nominale et supérieur à la valeur boursière de l’entreprise) et leur valeur nominale - Le droit privilégié de souscrip on (DPS) : compensa on de la perte financière supportée par les anciens ac onnaires qui ne veulent pas acquérir les nouvelles ac ons au prix d’émission. Dédommagement suite à la dilu on du capital. Les parts ou ac ons des OPC (organisme de placement collec f) - En té avec ou sans personnalité juridique - Collecte de capitaux publics - Inves ssement dans des valeurs mobilières - SICAV (l’épargnant est ac onnaire) et FCP (l’épargnant est associé) Les instruments financiers dérivés : Produits dérivé : police d’assurance reposant sur le principe de fixa ons d’un prix à terme, fixe ou op onnel, et dont la pluralité est d’être négocié sur un marché financier, qu’il soit de gré à gré ou réglementé. Couverture contre des risques financiers. Les op ons : Instruments financier qui donne à son détenteur le droit mais pas l’obliga on d’acheter (op on d’achat ou call) ou de vendre (op on de vente ou put) un ac f sous-jacent à un certain prix (prix d’exercice) et ce à une date déterminée (op on dite européenne) ou pendant une période convenue (op on dite américaine). Contrat asymétrique : droit pour l’acheteur et obliga on pour le vendeur. En effet, si le détenteur d’une op on décide de procéder à la transac on, le vendeur de l’op on à l’obliga on de réaliser la dite transac on. III- Les acteurs sur les marchés financiers 3 types d’acteurs : - Les autorités de contrôle : l’autorité des marchés financiers (AMF) et l’entreprise de marché - Les membres des marchés : négociateurs ou intermédiaires financiers, la chambre de compensa on et les introducteurs -teneur de marché (ITM) - Les offreurs et demandeurs de capitaux Les entreprises de marché - Principaux acteurs des marchés financiers - Sociétés commerciales : pouvoir d’assurer le fonc onnement d’un marché réglementé - Euronext qui permet de faire fonc onner le marché. Recueille les différents ordres. Euronext : ges on des marchés de la bourse de Paris. Il assure : - La ges on des systèmes informa ques de cota on - L’enregistrement des négocia ons entre les membres de la bourse - La ges on de l’adhésion des membres (intermédiaires financiers) - L’admission et la radia on des valeurs - La diffusion des informa ons boursières (cours, volume,…) - Le calcul et la diffusion de l’évolu on des indices (ex : CAC40) - La promo on du marché auprès des éme eurs ou des inves sseurs. L’autorité des marchés financiers (AMF) Créée par la loi n°2003-706 de sécurité financière du 1er aout 2003 Fusion de la commission des opéra ons de Bourse (COB), du conseil des marchés financiers (CMF) et du conseil de la discipline de la ges on financière (CDGF) Renforcer l’efficacité et la visibilité de la régula on de la place financière française Missions : - Veiller à la protec on de l’épargne inves e dans les instruments financiers et tout autre placement donnant lieu à appel public à l’épargne - Veiller à l’informa on des inves sseurs - Veiller au bon fonc onnement des marchés d’instruments financiers. Les négociateurs ou intermédiaires financiers - Deux rôles dis ncts o Collecte et transmission des ordres o Exécu on ou négocia on des ordres - Intermédiaire ne peut jouer les deux rôles en même temps - Le premier est assuré par les banques et établissements de crédit - Le deuxième est assuré par des entreprises d’inves ssement La chambre de compensa on (Clear net) - La chambre est acheteuse des tres pour les vendeurs et vendeuse des tres pour les acheteurs : interposi on entre acheteurs et vendeurs - Les interlocuteurs de la chambre de compensa on sont les entreprises d’inves ssements Les interlocuteurs -ITM ou lis ng sponsors Ils ont pour fonc on d’aider l’entreprise dans le processus d’introduc on de ses tres et de garan r la tenue du marché. Affichage en permanence d’un prix de vente et d’un prix d’achat. Les inves sseurs - Inves sseurs privé (=pe ts porteurs) o Obliga on de passer des ordres par un intermédiaires financier o Être tulaire d’un compte tres - Inves sseurs ins tu onnels (gros inves sseurs) o Ins tu ons agissant pour le compte d’un ensemble d’inves sseurs privés =opéra ons pour ajuster les portefeuilles au marché o Ins tu ons publiques gérant sa trésorerie o Gros échange pouvant déséquilibrer le marché Les OPC (organisme de placement collec f) Font par es des inves sseurs ins tu onnels. Ce sont des en tés avec (SICAV) ou sans (FCP) personnalité juridique. Il collecte les capitaux publics auprès des pe ts porteurs et réalise des inves ssement dans les valeurs mobilières. Les SICAV ont été crée en en 1954 et les FCP en 1969. Différence entre SICAV et FCP Juridique Les SICAV sont des sociétés anonymes (épargnant et ac onnaire) alors que les FCP sont des copropriétés sans personnalité morale (épargnant et associé). La SICAV administre ou délègue la ges on de son portefeuille à un prestataire de service d’inves ssement. la FCP délègue obligatoirement sa ges on. Financier La SICAV : capital minimum de 8 millions €, pas de rachat d’achat si capital inférieur à 4 millions € = moins risqués Les FCP : capital minimum 380 000€ , pas de rachat de parts si capital inférieur à 160 000€ = plus risqué. Informa f SICAV : renseignements plus détaillés, calcul assez fréquent (tous les jours pour un portefeuille supérieur à 80 millions) de la valeur de l’ac on (valeur liquida ve). FCP: renseignements moins détaillés, calcul moins fréquent de la valeur de chaque part (valeur liquida ve)

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