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Français Pro amme : Gramma e : Thèmes de li érat e : P s nage et lecte : une relati int dépendante Les mythes, c tes et légendes : t te et représentati tistique I. Les P s nages Le petit chap r ge, le petit P cet, Hansel et Gretel, b cle d’ , le petit prince, la belle et la bête. Présentati du c te le petit chap r ge p s nage imp tant le l p. C te de Ch les PERAULT Définiti d’ap ogue : Oeuvre : Psychanalyse des c tes de fées de Bruno BETTELHEIM Tr v les m alités des c tes du chap r ge, du chat bo é, cendrill et pea d’ânes. 16/09/24 Le L p de Le Petit Chap R ge — Ch les P ault — Le l p est un p s nage de c fiance, d x H cule Le Chat Bo é T — P s nage (dieu n dique de l’h ne ) Le l p représente la pe Les Tr s Petits Coch s — Le L p représente la pe Séance 1 — Le p s nage : du divin à l’humain I. L’antiquité Au plus l n que l’ rem te dans la li érat e, re ve des ê es d t rac te les hist res. Ép ée d’H ait de l’Odyssée « Rac te m , Muse, l’h me a mille t rs… » Il s’agit du héros Ulysse. Dans l’Iliade, il n s rac te l’hist re d’Achille, de Jas , Hect , P is, ect… N s av s aussi chez V gil dans l’Énéide « Je chante les mes et l’h me qui le premi qui a la ville de Tr es ». Le p s nage est un élément inc t rnable dans la li érat e, ses c actéristiques et ses f cti s se s t ansf mées en f cti du c t te de l’époque dans laquelle il est né. La période de l’Antiquité est m qué p l’imp tance des die. Ces die régissent la vie des H mes. Il s’agit d’hist re, de héros (= demi dieu en ec) ce s t des ê es fabule d’ascendance divine s s l’Antiquité et qui se c actérise p sa f ce , s c rage, sa noblesse On appelle ép ée les récits qui rac tent les pl ts que les héros acc plissent âce à le s qualités a dina es ( emple : Achille — invincible sauf au tal , Ulysse — ruse.) Le héros n’est pas nécessa ement d’ascendance divine mais ils v t acc pl le destin que les die t prévu p r e , les die v t int ven p r les aid les nu e. Myth ogie : C’est un récit généralement imagina e ansmis p aditi me ant en scène des ê es représentant symb iquement philos hiques, métaphysiques sociales. P r les ecques, le « mythos » ≠ « logos » c’est à d e le disc rs rati nel peut s’ pos à la p e qui dém e. Le mythe rac te une hist re sa ée qui plique le m de ( emple : c ment est venu la vie s t e). C’est s vent un récit de éati , la éati du m de. tr ex yr ou er er ou tr op er ou gr er or ol tr or on ol er oi er ou or on on er gr oi on on ir on tt om cr ir er on or er op tt ol on on ir ux ex ex on ou on on er tr on ou ux on ur on ur on op ar cr er on or oi on on on on on on on ou ux ou cr ex on ou oi er om ou on on om ex on on on ou tt er ou ex ar ir on on ur er ur ex ou er ou err oi ir oi on on ur ou ir tr er on om on tt tr ou on ou on tt ex ur om ou ou or ar tt ar or ux ar tr on or tr ar ux ar on om ur om ou on on er on oi oi ar on on ou ou tt on ou gr op or ux on ux on er ar on on ur on ux ou ur oi on on ar tr err ol ou ar ir ir er on gr ir ar ou on ou tr on  En li érat e, appelle le mythe li éra e une réé it e ( emple : Fèdre é it p Plat , réé it p Racine et C neille), va p pétué une hist re et l’envisag s s un au e p nt de vue. Étym ogiquement, le mot « Légende » signifie ce qui d t ê e lu. — récit à c actère m veille , des faits hist iques amplifiés p l’imaginati p ula e de l’époque, Désigne le récit de vie d’un saint lu au m ent des matines, récit d’office de l’église. Exemple d’ép ée (rech che) : Gilgamesh, Ulysse, Achille, Théog ie (Hésiode) éati du m de chrétien et juif, t te f date. Enquête s le mythe de l’Atlantide, le mythe du déluge II. Le M en-Age : Le héros cheval esque Le héros médiévale g de du héros, le c actère cepti nel h s du c mun, chevali c rage vaillant qui se distingue p ses pl ts, chans de geste (latin : gesta) « chose acc pli, pl t ». L’hist re prime d’ab d et ensuite déc vre le héros, p emple la chans de R and fin du XIème siècle (épique) Ch lemagne en gu e rac te la ahis de Franc Ganel. Poème de 4002 v s rép tis en 291 laisses ansmises et diffusées en chant p les bad rs, vères, et légendele s. Le r an (r anes en latin) c rt s, du XIIème siècle chantés et rac tés p les bad rs. On l’utilise p r p l de ce qui est é it. Les langues r anes v t ê e utilisées à l’é it p r rac t les faits les pl ts des chevali s, des héros ce qui va d n le r an c rt s. Il suit les avent es de chevali c rt s, v tue c sa e sa vie à le s dames. Genre qui s’est dével pé au XIème siècle, va s’intéress à ce qu’il se passe à la c r à l’am r. L’ancelot le chevali à la ch e es, Yvain chevali li , l’ancevin, la chans de geste et le chevali de R and, P ceval 23/09/24 S hocle (rech che bio aphique approf die). 5eme siècle av JC, dramat ge ecque, il est l’aute de 123 pièces et seul 8 s t c nus.Ses pièces me ent en scène des héros c té à des problèmes m a. Cycle de Labdacides, les A ides, Ch ch p r Eschyle (6ème siècle av JC) et E ipide Rev r vidéo Y Tube Antig e et oedipe rec i la m ale de la fin. Fig e lib té individuelle l des h mes c science. M ale Oedipe : On ne peut pas échapp à s destin. M ale de la vidéo d’Antig e : La m ale de *Antig e* réside dans le c flit en e les l s divines et les l s humaines, ainsi que le dilemme en e le dev r familial et l'aut ité p itique. Antig e ch sit d'h s ère mal é l'int dicti de Cré , s lignant la pri ité de la justice divine s les l s des h mes. La agédie m e que l'in ansigeance et le respect rigide des principes peuvent men à la s f ance et à la des ucti , tant p r l'individu que p r la société. L’ gueil et le refus de c pr is peuvent men à la agédie et à la s f ance. Bio aphie S hocle : S hocle (497/496 - 406/405 av. J.-C.) est l'un des plus ands dramat ges de la Grèce antique, c nu p r ses agédies qui pl ent des thèmes c me le destin, la justice et la resp sabilité humaine. Né à C e, près d'Athènes, dans une famille prospère, il se distingue dès sa jeunesse p s intérêt p r les ts. Sa c ière théâ ale débute en 468 av. J.-C., et il est s t t célèbre p r des œuvres c me *Œdipe R *, *Antig e* et *Élec e*. Ces pièces me ent en scène des p s nages c tés à des dilemmes m a et des f ces supérie es qu'ils ne peuvent évit. S hocle inn e en in oduisant un sième acte s scène, enrichissant ainsi les dialogues et p me ant une plus ande c pl ité dramatique. Il améli e également la s uct e du chœ , équilibrant mie l’acti et la musique. Ses pièces se c actérisent p une pl ati prof de de la c diti humaine, où les héros, mal é le p v r le v tu, s t s vent c tés à un destin inéluctable. L'influence de S hocle s la agédie ecque est immense. S avail insp e des générati s de dramat ges, et il est étudié p des philos hes c me Aristote, qui c sidère *Œdipe R * c me la agédie p faite. Sa m t à 90 ans m que la fin d'une époque, mais ses œuvres c tinuent d'ê e j ées et adm ées p r le univ salité et le capacité à t ch les spectate s mod nes.S hocle (497/496 - 406/405 av. J.-C.) est l'un des plus ands dramat ges de la Grèce antique, c nu p r ses agédies qui pl ent des thèmes c me le destin, la justice et la resp sabilité humaine. Né à C e, près d'Athènes, dans une famille prospère, il se distingue dès sa jeunesse p s on tr tr gr on on ar op op op or ur ou or or er tr gr oi om gr ou tr er on ol tt oy ol er ar ou er er tr ur ur on ou on om ur ur ur on ar ou ar ar er ou er om on on ov op er op ou tt ex ex tr ar er on op ou ou er ou ex ou or on er ar cr tr oi er ar gr op ur on on on on ex tr on fr on ar op on