Summary

This document appears to be lecture notes on the psychology of learning, covering topics such as Structuralism, Functionalism and the work of key figures like Wundt and James. It also details fundamental concepts like the law of effect and learning theory. The document potentially introduces some core concepts of psychology.

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PSYCHOLOGIE DE L’APPRENTISSAGE LES ASPECTS CONCRETS DU CONDITIONNEMENT CLASSIQUE WUNDT PHILOSOPHE, PHYSIOLOGISTE ALLEMAND (1832- 1920) - Ouvre le premier laboratoire de psychologie expérimentale. - Il est responsable, avec Edward Titchener, pour la création de l'éc...

PSYCHOLOGIE DE L’APPRENTISSAGE LES ASPECTS CONCRETS DU CONDITIONNEMENT CLASSIQUE WUNDT PHILOSOPHE, PHYSIOLOGISTE ALLEMAND (1832- 1920) - Ouvre le premier laboratoire de psychologie expérimentale. - Il est responsable, avec Edward Titchener, pour la création de l'école Différenciation entre structuraliste et fonctionnalisme structuraliste en aujourd’hui n’est plus aussi different, mais a cette époque il psychologie. existait une grande distinction. Structuralisme veux étudier l’esprit finit, dans sa forme parfaite (l’adulte). LE STRUCTURALISME Comprendre comment leur esprit fonctionne. Aujourd’hui comprend que comment adulte fonctionne depend de son apprentissage petit. C’est un système avec des composantes - Le structuralisme cherche à analyser l'esprit des adultes (la somme totale de l'expérience de la naissance à la présente) en termes de ses composantes définissables les plus petits et ensuite de trouver comment ces composants s'assemblent pour former des expériences plus complexes. Wundt demande a ses patients de décrire ce qu’ils ont dans la tete, ce qu’ils pensent, utilise l’introspection. - Pour ce faire, les structuralistes utilisent l'introspection empirique, l'auto-rapport des sensations, des sentiments, des émotions, etc. WILLIAM JAMES PHYSIOLOGISTE AMÉRICAIN (1842-1910) Équivalent de Wundt pour le fonctionnalisme Va essentiellement réfléchir/définir la psychologie, qu’est-ce que ca veut dire d’étudier l’être humain (étudier l’émotion, motivation, perception, conscience, etc) Premier professeur de qu’est-ce qu’elle doit utiliser, qu’est-ce que fait l’être humain. psychologie aux États-Unis Ouvrage classique : « Principes de psychologie » Fun fact : il na jamais fais d’expérience de psychologie, publier d’article expérimentale de recherche, il a juste enseigner ça et les autres ont expérimenté. Il propose d’étudier comment les mécanismes mentaux permettent l’adaptation à l’environnement. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/c ommons/9/9c/William_James_b1842c.jpg Père de l’école fonctionnaliste. LE FONCTIONNALISME ⚫ Selon le fonctionnalisme, l’esprit, tout comme la machine, est l’ensemble des relations de cause et d’effet des états mentaux internes. (Après vu comme stimulus, stimuli, etc) ⚫ Pour les fonctionnalistes, la psychologie doit étudier comment le comportement (et les processus de pensée) permet l’adaptation de l’individu.Est un modèle te d’adaptation comportementale et de survie, comportement qui peuvent être modifier par des mécanisme Ne veulent pas faire d’introspection, font de LE FONCTIONNALISME l’observation direct, ne veulent pas mesurer les processus de penser (chose qui deviendra leur ennemi au long terme) ⚫ Peu importe le modèle spécifique d'un chercheur particulier, la théorie fonctionnaliste comporte toujours trois types de spécifications (variables) : Observer les causes externe – les spécifications d’entrées, les spécifications qui stipulent le genre de choses qui causent les états mentaux chez les personnes ; VariableStimulus, concomitante ce qui rentre dans le systeme Modele encore utiliser aujourd’hui en psychologie – les spécifications des états internes qui décrivent les interactions causales des états mentaux ; Variable intermédiaire, celle qu’on suppose de ce qui se passe dans la tête. Ce qui n’est pas observable, ce qui se passe a l’intérieure – les spécifications de sorties qui disent quels genres d’action ou de comportements sont causés par les états mentaux. Réaction du sujet face au stimulus GRANVILLE STANLEY HALL Démarre la partie recherche empirique, et de la professionnalisation (département). (1844-1924) Va dire que ne px comprendre la machine adulte sans comprendre l’enfance d’abord, la réponse est dans le développement autant dans apprentissage que dans la structure. Philosophe de formation, Hall se joint au mouvement psychologique après avoir fait sa thèse avec James. Il étudia avec Wundt et rencontra Freud. Il fonde le 1er laboratoire de psychologie expérimentale aux EU et la revue American Journal of Psychology. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b4/G._Sta nley_Hall.jpg Spécialiste de l’enfance. JOHN DEWEY (1859-1952) ⚫ Il a enseigné à l'Université de Chicago, où il dirigeait le département de philosophie, psychologie et éducation. Il y a fondé l’école expérimentale, dite "école laboratoire de Chicago". ⚫ Dewey considère l'esprit humain comme un instrument qui continue d'évoluer et qui permet à l'homme de s'adapter à son milieu. ⚫ Dewey est également l'initiateur https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/ef/John_Dew ey_cph.3a51565.jpg de la pédagogie du projet : En psycho tendance a reporter « learning by doing » car cherche "learning by doing" (apprendre par maîtrisée et doctorat. Versus les science infirmière qui doivent l'action). Le cours est l’antithèse de ce que Dewey affirmait. On ne fait pas grand appliquer cette philosophie chose mis-à-part prendre des notes et écouter. HERMANN EBBINGHAUS PHILOSOPHE ALLEMAND (1850-1909) ⚫ Déterminé à étudier de façon expérimentale la capacité mentale ⚫ Étude de l’apprentissage et de l’oubli ⚫ Découvre des lois fondamentales de la mémorisation https://i.pinimg.com/236x/a e/f6/58/aef658bbad6c63808 55a5d32f3f81035--ara- psychology.jpg http://la-memoire.e-monsite.com/medias/images/courbes-apprentissages-1.gif EDWARD THORNDIKE (1874-1949) http://adulteducationcontributors.pbworks.com/f/1339548320/Edward_Th Convaincu que ce qu’il va proposer s’applique également a l’être humain. orndike.jpg ⚫ Développe une « boite d’évasion » pour tester l’apprentissage chez le chat (après avoir abandonné le poulet). ⚫ Tâche instrumentale: résolution du « puzzle » - la fuite (l’effet désiré) Idée encore utiliser. Pour pouvoir sortir le chat ne px faire un comportement standardisé de chat, trouve run mécanisme qu’un chat ne ferait pas naturellement. Boîte fait de façon à qu’il puisse voir ce qui se passe a l’intérieur, mesurée du temps et voir ce que fait le chat. Observer son comportement car ultimement c’est ce qu’il recherche. http://study.com/cimages/multimages/16/Thorndike_Puzzle_Box.jpg LES OBSERVATIONS DE Une fois qu’il soit sortie il va probablement isoler des endroit ou rien qui ne lui arrangeait se passait, THORNDIKE par essaie/erreur/elimiantion il trouve la solution et plus on le remet dans la boite moins il prend de temps à ouvrir la porte. —> Revient a l’argument de la selection naturelle, fait ce qui nous mène a nos fin. Premier essai Essai suivant – tendance à agir: - tendance à agir : ➔ renifler ➔ renifler moins ➔ miauler ➔ miauler moins ➔ gratter le coin ➔ gratter le coin ➔ se laver moins ➔ actionner la ➔ se laver moins http://www.vetopsy.fr/therapies/apprentissage/images/apprentissage- porte temps-essai.gif ➔ actionner la porte ➔ récompense (sortir) ➔ récompense Éviter de projeter une idée humaine sur la pensée de l’animal « oh ce levier (sortir) est ce qui va me permettre de sortir » Non, il est sorite et c’est tout ce qui compte dans l’observation. Sûrement par accident. LA LOI DE L’EFFET L’accident suffit pour faire comprendre une réponse agréable La sérendipidité un heureux hasard ⚫ Ainsi, le comportement serait contrôlé par ses conséquences : – Si un comportement est suivi d'un événement agréable, il tend à être répété Celes punition qui fait augmenter les réponses sont les recompense, vient arrêter la réponse – Si un comportement est suivi d'un événement désagréable, il tend à ne pas être répété http://3.bp.blogspot.com/- DHEf_AKPVqY/WPlW7r9dTII/AAAAAAAAByw/2ZoCwA2fxfwvL7V7ZJ mrXWtXFYv6Im W9wCK4B/s1600/nintchdbpict000306921569.jpg AUTRES LOIS DE THORNDIKE Loi de la pratique (ou de l'exercice) Plus on répète, plus la connexion est forte Loi de l’intensité des stimuli Toutes autres choses égales par ailleurs, un apprentissage impliquant un stimulus plus intense sera plus fort qu’un apprentissage impliquant un stimulus moins intense Ex. Appuie sur un bouton et sort des pièces de 5centimes a chaque vois Vs. des 5$ a chaque fois le second mène à vouloir encore plus appuyer sur le bouton Chapitre 5 — Opérant learning : Reinforcement 5-1 Beginnings This section introduces the history and basic principles of operant conditioning, a form of learning where behavior is modified by its consequences. It contrasts operant conditioning with classical conditioning, emphasizing the role of voluntary behavior and consequences. E.L. Thorndike: The chapter highlights Thorndike’s “Law of Effect,” which states that behaviors followed by satisfying consequences are more likely to recur, while those followed by discomfort are less likely to recur. His puzzle box experiments with cats helped lay the groundwork for operant conditioning. B.F. Skinner: Known as the “Darwin of Behavioral Science,” Skinner expanded on Thorndike’s work, developing the concept of the “operant” and focusing on reinforcement and punishment as key factors in shaping behavior. 5-2 Types of Operant Learning Positive Reinforcement: Involves presenting a stimulus (reinforcer) following a behavior, increasing the likelihood of that behavior occurring again. For example, giving a treat to a dog for sitting increases the probability of the dog sitting in the future. Negative Reinforcement: Involves the removal of an aversive stimulus after a behavior, which also increases the likelihood of the behavior. For example, turning off a loud alarm when a button is pressed encourages pressing the button to avoid the noise. Reinforcers: Primary Reinforcers: Naturally reinforcing stimuli, such as food or water, which satisfy basic biological needs. Secondary Reinforcers: Stimuli that gain reinforcing power through association with primary reinforcers, such as money or praise. Natural and Contrived Reinforcers: Natural reinforcers are naturally occurring outcomes of behavior, while contrived reinforcers are intentionally arranged to modify behavior. Comparison to Pavlovian Learning: The section discusses the differences and similarities between operant and classical conditioning, highlighting that operant conditioning is based on consequences, while classical conditioning involves stimulus associations. 5-3 Variables Affecting Operant Learning Contingency: The relationship between behavior and its consequence. A stronger contingency, where the behaviour reliably leads to reinforcement, enhances learning. Contiguity: The time interval between the behavior and its reinforcement. Shorter delays usually lead to more effective learning. 5-6 Theories of Avoidance Reinforcer Characteristics: The nature of the reinforcer (e.g., its size, intensity, or novelty) can influence the Two-Process Theory: This theory combines elements effectiveness of operant conditioning. More potent reinforcers tend to produce stronger behaviors. of both classical and operant conditioning. It suggests that avoidance behavior is learned through classical Behaviour Characteristics: Certain behaviors are more easily conditioned due to their natural characteristics. conditioning (associating a stimulus with an aversive For example, behaviors that are naturally closer to the desired outcome can be reinforced more quickly. event) and maintained through negative reinforcement Motivating Operations: Conditions that alter the effectiveness of a reinforcer (e.g., deprivation or satiation). (removal of the aversive stimulus). For instance, food is a more powerful reinforcer when an organism is hungry. One-Process Theory: Proposes that avoidance is Other Variables: This includes factors such as the individual’s past experiences, age, and alternative sources maintained solely through operant conditioning, where of reinforcement that may influence the learning process. the reduction of the aversive stimulus directly reinforces the avoidance behavior. 5-4 Neuromechanics of Reinforcement This section discusses the brain mechanisms involved in reinforcement. Research on neural pathways, including the role 5-7 A Final Word of the dopaminergic system and areas like the nucleus accumbens, highlights how reinforcement affects brain activity. The chapter concludes by emphasizing the significance Dopamine and Reward: The release of dopamine in response to rewarding stimuli is linked to pleasure and motivation, of reinforcement in understanding complex behaviors reinforcing behaviors that produce positive outcomes. and its applications in various settings, such as education, therapy, and animal training. 5-5 Theories of Positive Reinforcement Hull’s Drive-Reduction Theory: Suggests that behaviors are reinforced because they reduce a biological drive (e.g., hunger or thirst). Relative Value Theory and the Premack Principle: This theory, proposed by David Premack, states that more probable behaviors can reinforce less probable behaviors. For example, if a child prefers playing outside over doing homework, playing can be used as a reward to reinforce the completion of homework. Response-Deprivation Theory: Extends the Premack Principle by proposing that restricting access to a behavior makes it a more effective reinforcer. When an individual is deprived of a behavior below its baseline level, it becomes more reinforcing. LA DÉCOUVERTE DE PAVLOV Ivan Patrovitch Pavlov (1849-1936) Prix Nobel en 1904 pour ses travaux sur la physiologie de la digestion Découverte accidentelle https://fivezol.files.wordpress.com/2008/10/ivan_pavlov.jpg (sérendipité) A la base voulait étudier le système digestif des chiens. Il découvre a la place que le chien peut être entrainer à saliver au son d’une cloche si celui-ci est constamment associer avec la presentation de nourriture L’EXPÉRIENCE PRÉVUE PAR PAVLOV Une fistule est implantée chirurgicalement pour collecter la salive lors de test. Période de récupération de plusieurs jours (l'assistant de Pavlov nourrit les chiens tous les jours) La veille de l'expérience, les https://static.independent.co.uk/s3fs- jours sont privés de nourriture. public/thumbnails/image/2016/02/24/14/Pavlov-Corbis.jpg Lorsque chien salive Pavlov depuis directement qu’il a été exposé a de la nourriture (il Le jour de l'expérience, un chien joue a son Sherlock Holmes a faire des deduction). à la fois est placé dans le harnais Sur papier l’expérience paraissait bien, mais dans la réalité il y a des choses qui bloque (chien qui salive même sans la nourriture) de soutien. Donc Pavlov a le reflex de ce dire « Non » il y a quelque chose qui déclenche la salivation mais quelle est la variable ? Il élimine tout ce qu’il px dans ces deduction sauf une seule De la nourriture va être choses : son assistant (celui qui nourrissait les chient et qui allait les chercher) —> Vient de découvrir le conditionnement classique. présentée mais... Découvre qu’on px faire saliver les chiens a un autre stimulus que la nourriture, sois le sureau blanc de l’assistant LES COMPOSANTES DU CONDITIONNEMENT Conditionnement ce produit lorsque dans le temps et l’espèce se trouve 2 choses : les aliments qui font quelque chose et un stimulus neutre qui n’est pas supposer provoquer de reactions. Un stimulus qui est inconditionnellement “important” est présenté (le SI, US en anglais) et https://topdogtips.com/wp-content/uploads/2016/03/How- Commercial-Dog-Food-Is-Made-Canned-Wet-Dog-Food.jpg déclenche une réponse inconditionnelle (RI, UR en anglais). Un autre stimulus qui n’est pas important est présenté (SN, NS en anglais) et ne déclenche pas de réponse. http://www.patrimoine- culturel.gouv.qc.ca/rpcq/document/rpcq _bien_175643_145453.JPG?id=145453 LES COMPOSANTES DU CONDITIONNEMENT La cloche (SN) et la nourriture (SI) sont présentées ensemble ou l’une après l’autre (une paire) plusieurs fois. Éventuellement, lorsque présentée seule, la cloche fait saliver. http://images.slideplayer.fr/11/3401119/slides/slide_17.jpg La cloche est maintenant un stimulus conditionné Conditionnement classique —> offre avantage compétitif où capable de prévoir a l’avance quand manger Permet a un organisme de prédire avant quelque chose qui l’intéresse (SC). But n’est pas de nous apprendre de nouvelles réponses Chaque chose qui donne un avantage sur ce qui s’en vient est énorme sur la survie. mais d’avoir une chose qui dis quoi faire avant les autres Humain comprend mtn la notion de causalité (ex.économie dis que ca car dans le passé ces passé ceci) Loi de la pratique, plus fais plusieurs fois, plus le phénomène est fort. PHASES DU CONDITIONNEMENT Chien arrête de saliver à la presence du sarreau blanc seul car ne présente pas de nourriture par la suite, donc Pavlov réalise CLASSIQUE que le conditionnement est temporaire = Extinction Condition pas présenter donc plus de réponse conditionnel. Les conditionnement ne sont pas permanent, a un moment peu disparaître si la condition n’est pas présenté Désensibilisation systématique ne fait pas disparaître le souvenir de la mémoire Disparition d’une réponse ne fait pas tout disparaître entièrement Le retour d’une réponse conditionné suite a une période d’extinction. https://classconnection.s3.amazonaws.com/710/flashcards/797710/png/screen_shot_2012-04-17_at_63328_am1334669637160.png PHASES DU CONDITIONNEMENT CLASSIQUE Acquisition – Avec chaque présentation en paire du SI et du SN/SC, la connexion entre les deux augmente. Extinction Process: Occurs when the CS is presented repeatedly without the US, leading to a decrease in the CR. Extinction demonstrates that Extinction learned behaviors can be weakened but not necessarily unlearned. – Avec chaque présentation du SC seul, la réponse RC diminue et ceci jusqu’à disparaître. Récupération spontanée – Une période sans présentation du SC entraîne un rebond de la réponse RC lors de la reprise des présentations de SC mais temporairement. Sur-conditionnement – Continuer les présentations en paire du SI et du SC après que la réponse RC est établie va créer une résistance à l’extinction. Sur-extinction – Continuer les présentations du SC seul après que la réponse RC ait disparu va empêcher ou diminuer la récupération spontanée. FACTEURS AFFECTANT LE CONDITIONNEMENT CLASSIQUE La relation temporelle entre le SI et le SC La nouveauté L’intensité Nombre d’Associations : En général, plus il y a d’associations SC-SI, plus le conditionnement est fort. Cependant, il existe un point de rendement décroissant où les associations supplémentaires ne renforcent plus significativement la réponse conditionnée. Dans certains cas, le conditionnement peut se produire très rapidement (même après une seule association), surtout si le SI est très intense ou si la situation est biologiquement significative (par exemple, l’aversion gustative en cas d’intoxication alimentaire). RELATION TEMPORELLE ENTRE SC ET SI Conditionnement ⚫ retardé/différé (standard) : le SC/CS commence avant et dure encore quand apparaît le SI/US (distinguer + ou - 5 sec.) The CS is presented before the US and overlaps with it. ⚫ Conditionnement de trace : le SC/CS commence et termine avant que le SI/US apparaisse The CS is presented and removed before the US appears, leaving a “trace” interval ⚫ Conditionnement simultané : le SC/CS et le SI/US apparaissent et cessent en même temps The CS and US are presented at the same time. ⚫ Conditionnement rétrograde : le SI/US apparaît et cesse avant que le SC/CS apparaisse The US is presented before the CS. http://slideplayer.com/slide/6521207/22/images/3/TIME+UCS+Trace+CS+Delay+CS+CS+CS.jpg RELATION TEMPORELLE ENTRE SC ET SI Conditionnement inclusif : l’un des deux stimuli, SC/CS ou SI/US, se produit durant l’autre stimuli : (1) le SI est inclus/présent durant le SC (le plus commun) ou (2) le SC est inclus/présent durant le SI Conditionnement temporel : dans ce cas, il n’y a pas de SC explicite et l’indice pour l’apparition du SI est l'intervalle répétitif de temps entre la fin de la RC et le prochain SI Nouveauté : Les stimuli nouveaux ou inconnus sont plus efficaces en tant que SC parce qu’ils n’ont pas LA NOUVEAUTÉ été associés à d’autres événements, ce qui rend plus facile la formation d’une nouvelle association. Le conditionnement s’établit plus rapidement si le SI et le SC sont nouveaux (ou, plus exactement, n’ont pas été récemment présentés au sujet). Lorsque les stimuli ne sont pas nouveaux, on parle d’inhibition latente pour le SC et d’effet de la pré-exposition pour le SI. Ceci est apparenté à l'habituation. Les deux mécanismes semblent impliquer une forme de réduction de l’attention. —> Catégorie de l’expérience préalable (Associée au blocage cours #3) Inhibition Latente : Si le SC a été présenté à plusieurs reprises sans le SI avant le conditionnement, il peut être plus long pour le sujet d’apprendre l’association SC-SI parce que le SC est devenu “familier” et attire moins d’attention L’INTENSITÉ Intensité : Les stimuli plus forts (par exemple, un bruit fort plutôt qu’un son doux) entraînent souvent un conditionnement plus rapide et plus robuste. L’intensité du SI est directement impliquée dans l'amplitude et la vitesse de développement d’un conditionnement. L'amplitude maximale d’un conditionnement est généralement (mais pas toujours) déterminée par l’intensité du SI. L’intensité du SC est aussi importante et est relié au caractère saillant du SC (et sa détection plus facile par le sujet). Mais cela n'affectera que la vitesse d'acquisition. CONDITIONNEMENT CLASSIQUE DE DEUXIÈME ORDRE ET PLUS SC1 + SI → RI devient SC1 → RC1 (conditionnement classique de premier ordre) SC1 + SC2 → RC1 devient SC2 → RC2 (conditionnement classique de deuxième ordre) Etc. Ceci semble confirmer la nature du conditionnement classique comme étant un apprentissage prédictif. https://s3-us-west-2.amazonaws.com/courses-images-archive-read-only/wp- content/uploads/sites/1164/2015/02/02064439/CNX_Psych_06_02_SecondO rdrn.jpg QU’EST CE QUE L’APPRENTISSAGE ALORS?  On peut donc proposer une première définition de l’apprentissage: Changement de comportement Résultant de l’expérience Relative durable Impliquant une association entre au moins deux stimuli HABITUATION Le phénomène d’habituation est une diminution graduelle et relativement brève de l’intensité ou de la fréquence d’apparition d’une réponse ou d’un comportement, par suite de la présentation répétée d’un stimulus spécifique. Distinct de la fatigue musculaire et de l’adaptation sensorielle par la spécificité du stimulus. Soumis à plusieurs des mêmes mécanismes que le conditionnement classique. SENSIBILISATION Un peu comme l’effet inverse de l’habituation – > augmentation temporaire de la réponse / réaction à un stimulus qui est répété. Ce n'est toutefois pas « l'inverse de l'habituation » car il s'agit plutôt d'une réaction « émotive » (apparentée à la frustration) plutôt qu'une forme primitive d'apprentissage. PSEUDO-CONDITIONNEMENT Enfin une augmentation de la force de la réponse conditionnée (lors de la présentation du SC) n’est pas toujours le résultat d’un conditionnement. C’est le cas du pseudo-conditionnement. Dans cette procédure, le SI est présenté seul plusieurs fois puis le SN est présenté seul. On observe alors une réaction.

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