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gender studies history feminism social science

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This document contains a collection of quiz questions covering the history of gender. The questions cover topics such as the history of gender roles, gender in the 19th century, and the concept of gender as a social construct.

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GENRE : TD 1 (16 septembre) : - XIXe s : les qualités attendues d’une femme : faiblesse, sensibilité, domaine de la nature, caractérisées par le domaine sexuel. - Théorie faite pour accentuer la domination masculine - Début de la photo instantanée (1885-1895), codes brisés sur l’...

GENRE : TD 1 (16 septembre) : - XIXe s : les qualités attendues d’une femme : faiblesse, sensibilité, domaine de la nature, caractérisées par le domaine sexuel. - Théorie faite pour accentuer la domination masculine - Début de la photo instantanée (1885-1895), codes brisés sur l’image de la brochure, la femme marche comme un homme (préssées, grands pas), milieu bourgeois - Photographe le plus célèbre du XIXe : Félix Nadar CM (18 septembre) : - Invention du timbre lettre (1848), permet de plus espacer les mots dans les lettres etc… - Apparition de tableaux montrant des hommes à terre, vulnérable, etc ce qui connote avec l’image victorieuse habituelle. - I - Une nouvelle écriture de l’histoire - a) Un outil d’analyse - Définition : Le genre peut s’entendre comme la construction sociale et culturelle des identités de sexe et des rapports entre les sexes (1869). - Michelle Perrot TD 2 (23 septembre) : - Le genre n’est pas une discipline mais un outil d’analyse et un concepte - Christine Delphy (Mouvement de l’égalitarisme) -) lancement de la revue “nouvelle question féministe” avec l’épisode du 26 août 1970 (égalité des droits) - Antoinette Fouque (Mouvement différentialiste) -) différence biologique entre les hommes et les femmes, capacité des femmes à être mère (porter l’enfant) - Mouvement de libération des femmes (MLF) est un mouvement féministe français autonome et non-mixte qui revendique la libre disposition du corps des femmes et remet en question la société patriarcale. - C’est quand on s’intéresse à l’histoire économique (mouvement des annales) quotidienne que l’on commence à entrevoir la question des femmes - Reprise analyse d’image : (Achille Dévéria, l’Ange gardien et la jeune fille, 1830) - Opposition entre côté domestiqué et sauvage - Contraste de couleur (Blanc : innocence / Noir : péché) - Détermination du milieu social avec les vêtements - Morale religieuse du XIXe, séparation des sexes, pas de tête à tête et contacte physique - 1830 : En plein dans le romantisme - La lumière est une lumière dite “religieuse” comme l’évoque l’ange gardien, écouter les conseils religieux pour prendre les décisions des jeunes femmes - Julia Margaret Cameron : “I Wait,” 1872 - La composition de l’image est axé sur le centre de l’image, sur la bouche - La France dans l’entre-deux-guerres (années folles) : - Spectaculaire regain économique, ainsi qu’un essor culturel - L'industrie française s’impose sur les marchés européens, contexte politique calme, Paris capital culturel. - Néanmoins nombre de morts considérable (1,4M morts) pendant la guerre (sur les 9 M de la WW1) - Démographie bousculé pour les jeunes adultes, les femmes sur certaines classes d'âges vont être beaucoup plus nombreuses - Loi de 1920 : Pénalisation de l’avortement (plus assez de jeune en France), la “loi scélérate” - Une imigration est donc autorisé (1911 : 2,7 % de la population 1931 : 7%) - Au début des années 1930, la France est devenu le premier pays d’immigration au monde devant les USA - Belges, italiens (belle époque), polonais (1920), portugais - Politiquement : la droite domine (bloc national : centre modéré, droite conservatrice et radicaux de droite) chambre bleu horizon - 1924 : le Cartel de gauche obtient une majorité (avec l’aide des communistes), Poincaré - Association pour le droit de vote des femmes en France - Bascule d’un pays rurale à un pays urbain (1931) pour la population - Paris : littérature surréaliste (Salvador Dali, Breton, Eluard) - Germaine Dulac (deuxième réalisatrice française) : filme surréaliste : “L'invitation au voyage” (1927) - Engouement pour le music-hall : Joséphine Baker, 1925 (charleston), absence de corset très présent au XIXe siècle - Vedettes musicals : Maurice Chevalier, Mistinguett, Fréhel - Sportives : Suzanne Lenglen + Les quatres mousquetaires (tennis) - Années 1930 - Jeudi noir, 4 octobre 1929 (USA), 1931 en France - Effondrement de la production françaises, chute des salaires, chômage - Arrivé des extrêmes (ligues d’extrêmes droites), 6 février 1934, les croix de feu - Victoire du front populaire (mai 1936) CM 2 (25 septembre) : - La différenciation des sexes : - Essai sur le corps et le genre en Occident (Thomas Laqueur) - I/ Théorie des humeurs et théorie du sexe unique (Antiquité - 17e) - A l’origine de la théorie du sexe unique, médecin de l’antiquité (qui sont aussi philosophe) - Traité des maladies des femmes (Hippocrate) : homme coté chaud/sec et femme humide/froid - Galien (médecin grec du IIe) : La surabondance du chaud rend l’homme supérieur à la femme - Il évoque aussi le fait que l’appareil génitale n’est pas un élément essentiel de la différenciation des sexes - Apparition de l’anatomie au XVIe (André Vésale : De humani corporis fabrica) - Conception du vagin comme un pennis et inversement - Dans la lignée de Vésale -) Vidus Vidius - Le mot “Ovaire” n’existe pas et on emploi le mot de testiclue féminn - Au XVI, il commence à avoir une minorité de médecin qui contredisent Vésale, car celui-ci contredirait Dieu sur la théorie du corps parfait - Début de la spécificité du corps féminin (utérus) - II/ Les nouvelles théories philosophico-médicales au 18e s. : la différenciation des sexes - Élaboration d’une certaine nature féminine (différente de celle des hommes), médecins des Lumières qui se détache de l’Église - Établissement d’une science médicale qui se base sur l’observation, les faits, l’anatomie, la physiologie - Charlotte Thiroux d’Arconville : Traductrice du Traité d’ostéologie d’Alexander Monro (1759) en ajoutant une trentaine de planches de squelettes (dont une représentation de squelette féminin (première) - Les Lumière se détache de la théorie du sexe unique et évoque plutôt une différencication sexuel - Buffon : Évoque la concordance des domaines physique et morale, dénonce le fait que l’anatomie soit incomplète depuis les travaux de Vésale - Rousseau : Pas question de citoyenneté, place dans l’espace publique pour les femmes (Émile ou de l’éducation) - Il ne croit pas néanmoins au péché originel des femmes, cependant il affirme que LA femme serait plus proche de la nature que L’Homme grâce à ses fonctions spécifiques, la femme serait le modèle primodiale de l’être humain. CEPANDANT, il affirme que l’état de nature est perdue et que la femme est un être factice auquel il faut apprendre sa vrai nature, celle d’être mère. - Roussel : Docteur en médecine de l’université de Montpellier, Systeme physique et moral de la femme (1775) - Dans son ouvrage il n’évoque pas le domaine philosophique, tout part du sexe, un tout homogène et distinct, l’ensemble du corps permet de différencier homme et femme. - Les médecin évoque le fait que les femmes disposent de plus de nerfs que les hommes et seraient donc plus nerveuse et que l’on ne pourrait pas leur confier des responsabilités - L’homme est associé au cheval et la femmes aux volatiles (autruche : réputé pour sa bêtise, péreuse et sa fécondité) - Désignation de maladie unique aux femme : nerveuse, histérie, faiblesse du corps des femmes - Son rôle dans la société n’est que d’être mère et on retrouve cela dans le code civil et dans l’organisation de toute la société du XIXe - Condorcet : Il va contre le courant majoritaire, il proteste contre la citoyenneté passive des femmes, droits égaux des hommes et femmes, égalité des sexes, de religion et de couleur de peau - III/ L’évolution du discours médical au 19e siècle - Les idées demeurent - Darwin, L’Origine des espèces (1859), évolution de la nature humaine mais l’idée de la différenciation des sexes ne disparaît pas - Paul Broca : Fonde la même année, la Société française d’anthropologie, évoque que le volume du crâne n’est pas lié à l'intelligence de la personne - Contredit la théorie de la supériorité de l'intelligence masculine - Malgré ce renouveau des théories scientifiques, le modèle du XVIIIe perdure avec la figure de Marie - En 1854 : dogme de l’Immaculée Conception, selon lequel Marie est née exempte du péché originel - Une pureté que l’on retrouve dans l’éducation des jeunes filles du XIXe - Contrefigure : Celle des amazones, armées, se batte, à cheval/ Femme fatale : Salomé fille d’Hérodiane (celle qui emprisone Jean Baptiste) TD 3 (30 septembre) : - Terme de genre (SINGULIER) en Histoire - Bloomer (Alice Bloomer) : Inspiré des vêtements des femmes turques, volonté de revendiquer le pantalon pour les femmes. - Fin du corset (1906) : Couturier Paul Poiret / Couturier Madeleine Vionnet - Accessoire grande bourgeoisie : petit sac, bijoux (collier de perle), l’ombrelle - Garçonne : chaussure basse, pantalon, veste, cigarette, cheveux courts, livre de Victore Marguerite, chapeau cloche, jupe plissée - Fedora : Chapeau des années folles, différentes couleurs (gris, noir) Fauvisme : Se place après l'impressionnisme, s’intéresse à la couleur, le terme de fauve est inventé en 1905, officiellement de 1905-1908, salon de peinture au grand palais (salle 7) d'automne 1905 - Les oeuvres des peintres André Derain & Henri Matisse extrêmement colorés, un critique utilise le mot “Fauve” de manière négative - La couleur prime sur le dessin, la représentation n’est pas au centre, une couleure vive et très pure, il faut produire un électrochoc chez le spectateur - Critiques très virulentes au début - La femme au chapeau, 1905 (Henri Matisse) - La couleur l’emporte sur toutes les autres notions d’une oeuvre - Bateaux dans le port de Collioure, 1905 (André Derain) - Des couleurs qui font contraste avec le paysage étudié - Néanmoins on reconnait le cadre de l’image ainsi que les formes - Van Dongen : Expose Torse, pas dans la salle 7 mais sera affilié au mouvement Fauvisme (visage dégradé rouge) - Kees Van Dongen : Français, d’origine hollandaise, Fernande Olivier, 1905 -) se rapproche encore une fois du fauvisme, le modèle est aussi l’un de Picasso - Modjesko, Soprano Singer (1908) : - Claude Mojesko : Native american né aux USA (1878) dans un milieu pauvre, débute dans des spectacles chantés, travesti en femme, artiste et chanteurs travesti dans les capitales européens vers 1898. Son spectacle intéresse beaucoup surtout à une époque où les identités de sexes et de genre sont très distinct. Prostitution pour arrondir les fins des mois, il se produit sous le nom de black patti, pattit créol (aussi noir) - Il se produit à Paris mais renforce des préjugés racistes et transphobie, arrestation en 1907 (relations avec des enfants) CM 3 : (2 octobre) - Citoyenn​​eté (1) - Levée en masse 1793 - Loi Jourdan (1798) : conscription - L’armée apprend aux hommes à devenir des hommes (bravour, don de sa vie) - L’école également participe de manière moindre à cette appréhension - I/ Les femmes et l’armée, l’armée et les femmes - 1) Ancien régime : - La guerre toujours perçue comme une affaire d’homme mais ce n’était pas un milieu exclusivement masculin - Antoine WATTEAU, La Halte, 1710-1711 : Les femmes suivent leurs hommes, présence de prostitués également - Camp volant (1710) - Cantinières et vivandières (plus que les autres femmes tolérées) - 2) La Révolution - Création de la garde nationale dès 1789 par les jacobins, une troupes populaire ouverte à toute les classes sociales - Elle est assez rapidement réduite à un groupe de milice contribuable (donc surtout la bourgeoisie) -) maintient de l’ordre interne - 1795 : constitution de l’an III : établissement d’un lien entre port de l’arme et citoyenneté - Pauline Léon : En 1792, elle présente une pétition pour l’instauration d’une garde nationale féminine - Société des citoyennes républicaine révolutionnaire - Théroigne de Méricourt : invite les citoyennes à s’organiser en corps d’armée - Milieu populaire, se vêt en amazone, 1793 -) Girondins, fini lynchées et internée à la salpêtrière - Service des femmes à l’armée commence à faire débat - Reine Chapuy (17 ans), Angélique Duchemin (caporal fourrier, première femme soldat à obtenir la légion d’honneur), Renée Bordereau (vétérante des guerres de Vendée) - 1793 : Décret de la convention qui exclut les femmes des armées (celle qui ne sont pas utile) - II/ Conscription et service militaire - 1) De la loi Jourdan à la loi de 1905 - Loi jourdan : service militaire obligatoire, tout les garçons entre 20-25 ans à s'inscrire sur le registre des communes (menace d’une deuxième coalition) - Loi de 1905 : égalités des jeunes gens devant le service militaire (contexte inter qui l’explique) - En 1905, les religieux ne peuvent plus faire qu’une année - 2) L’armée ou l’apprentissage de la virilité - Les hommes doivent être fort, résistant (fatigue & psychologiquement), douleur morale - Une identité forgé à la caserne dans un premier temps avant le champ de bataille - Modification de l’apparence physique (uniforme, - Virilité : Éléments culturel qui influence la masculinités, ils peuvent être évolutifs et diffère par à la société - Rituel du bizutage TD 4 (7 octobre) : - 1870 (guerre) : vision faible de la virilité (Les dernières cartouches) après la succession de défaite pendant la guerre franco-prussienne - Figure du soldat (qui passe de courageux à faible et blessé) - Adoucissement des aspects les plus violent de la guerre, représentation plus de la valeur au combat des soldats - 1914 : retour de la virilité et du patriotisme à l’approche de la guerre - Diff date publication & écriture (pour l’expo) - Ernest Meissonier (témoin du siège de Paris) - Alphonse de Neuville (membre de la garde nationale) - Edouard Detaille (famille de militaire) - Les trois peignent la vie militaire, bourgeois, ils ont tous quelque chose à voir à l’armée, peinture du détail (presque documentaire) - Ils prennent des notes sur le site militaire des événements qu’ils illustrent - Code d’honneur, ne jamais laisser un blessé derrière soit (sauf si condamné) - Loi de 6 juillet 1880 : Fête national le 14 juillet (Jules Grévy) + drapeau tricolor officiel du pays CM 4 (9 octobre) : - Citoyenneté (II) / Voter - I/ La place des femmes dans l’espace public au XVIIIe siècle - 1748 : Publication de L’esprit des loix de Montesquieu (place de la femme dans la société, nulpart les femmes ont le même degré de liberté que les hommes) - Leur condition varie selon le type de gouvernement, despote oriental (les femmes y sont extrêmement esclave), république (plus libres par les lois mais pour préserver les bonnes moeurs doivent demeurer dans les maisons) - Monarchie (dans l’espace publique, la cours, il possible aux femmes d’avoir du “pouvoir”) - Elles seraient coupable d’une certaine frivolité, immoralité, accusé de tenir des salons prestigieux (influence sur les grands penseurs) - Elles ont de l’influence et pas de pouvoir - Présence des femmes dans l’espace publique corrompent les moeurs - Aristocratie masculine (parures, maquillage) seront associés aux femmes, contre portrait bourgeoi se voyant beaucoup plus masculin (couleurs sobres, peu de bijoux, pas de perruque, ni de maquillage) - Prendre les armes pour prendre la bastille (moyen d’être reconnue) - 1884 : Loi Naquet (divorce) et 1792 - 1795 : bannissement des tribunes de l’assemblée, interdiction de se regrouper à plus de 5, interdiction aussi d’assister à des réunion politique - XIXe siècle : vain combat pour le vote des femmes - 1848 : suffrage universel (masculin), 20 juillet interdiction de tout débat publique aux femmes - Nga’i ming la blo bsang bkra shis zer qyi yod (on souffle, on souffre) TD 5 (14 octobre) : - Jeanne Derouin (première femme qui se présente à une élection même si elle n’a pas le droit) - Hubertine Auclert (une féministe avangardiste) = suffragiste - Conscience politique forte dès son enfance (père républicain), bonne éducation, elle va au couvant après la disparition de ses parents (envisage de devenir soeur) - 21 ans, elle réclame sa part d’héritage (possible depuis la révolution) - Assiste à la proclamation de la république en 1870 - Léon Richer et Maria Deraismes = association pour le droit des femmes en 1870, rejoint cette association (quitte après un désaccord avec Léon Richer en 1878) - 1877 : demande à la presse de publier son plaidoyer en faveur du droit de vote des femmes - Maria Deraismes : Ligue française pour le droit des femmes (en faveur du droit de vote des femmes) - Tournant politique de son propos (“les femmes doivent voter”), la majorité des féministes ne se consacrent pas à l’obtention du droit de vote (car elles pensent que cela soit possible) - Utilise l’utilisation du non payement des impôts pour évoquer son droit de vote “Je ne vote pas, je ne paie pas” - Une activiste transgressive (méthode des suffragettes anglaises) -) Emmeline Pankhurst - Renverse une urne (moyen de mettre en avant ses revendications) - Candidate aux élections législative de 1910 - Salaire d'appoint (femme ouvrière payée moitié moins) - Elle n’est pas entendu mais son action est discutée, reconnaissance à l’étranger CM 5 (16 octobre) : - PARTIEL (6 JANVIER) - Hubertine Auclert (journal “citoyenne”) - Marguerite Durand, 1897 : intervient dans le débat politique coté dreyfusard, La Fronde, journal uniquement constitué d’une équipe féminine. - Participe aux combats principaux du féminisme et du droit de vote pour les femmes (se présente elle aussi à une élection) - Cécile Brunschvicg : Secrétaire UFSF (union française pour le suffrage des femmes) - Quelques hommes politique vont soutenir la cause, souvent des radicaux qui vont à l’encontre de leur mouvement politique (vote cléricale des femmes) - Les syndicalistes sont eux très conservateurs, accuse les ouvrières de tirés les salaires vers le bas, le mouvement féministe serait bourgeois - PDV socialiste ambiguë, SFIO accepte que les femmes milite avec eux, 1906 congrès de Limoges Madeleine Pelletier arrive à faire valider une motion en faveur du droit de vote des femmes - Avant la WW1, premier projet de loi abordé, néanmoins c’est un échec car les partisans du suffrage féminin reste minoritaire. - Plébiscite dans la presse (500 000 bulletins) - 2000-3000 manifestants à Paris autour de la statue de Condorcet - 1919 : le Pape accepte le principe du vote féminin - Catholicisme, protestantisme, éducation - 95 % catholique 2-3% protestants, 2-3% juifs - DDHC article 10, laicité - Loi de 1905 (neutralité de l’État) - Au XIXe siècle, beaucoup de réflexion sur le modèle éducatif (valeurs) des filles - Les garçons ont le droit à beaucoup plus de liberté, tolérance d’une éducation sexuel - Préservation du capital essentiel des femmes (virginité) notamment pour le mariage - Si la femme tombe enceinte avant le mariage, elle sera coupable dans tous les cas (nécéssite de la protection par les mères) - Les jeunes hommes cible alors les femmes des classes inférieur et les femme mairées - La figure du confesseur comme conseiller de bonne conscience, rôle important dans le mariage - Également celle de la mère, les filles reste sous la tutelle maternelle jusqu’au mariage, évoque ce qu’il faut faire et pas faire - Tuyau de vertu : pantalon associé à la jeunesse portée par les filles et les garçons - Comtesse Claire de Rémusat, Essai sur l’éducation des femmes, 1824 - Albertin Necker de Saussure, L’éducation progressive 1828, protesant plutôt dans la mixité dans l’éducation aussi bien pour les garçons et les filles - Elle évoque la nécessité pour les enfant à penser par eux même et s’impliquer dans leur propre éducation (autorité parental qui doit progressivement s'effacer) - Marie d’Agoult, Souvenirs, 1837 : Fait référence au consentement que le confesseur arrache aux jeune filles sous leur responsabilité - Tocqueville évoque le fait que le libre arbitre est le facteur de supériorité des américaines - Une autonomie et une responsabilisation pas acceptable pour les pédagogue catholique du XIXe siècle - Balzac : parle de “Viol légale” pour décrire la première nuit du mariage - On recherche du coté des filles l’innocence (le fait qu’elle ne connaisse rien de leur corp et celle du corp masculin) - Cérémonie de la rosière : obtention d’une dote par la mairie pour les femmes les plus vertueuse - Statue d'impureté pour les catholique envers les femmes qui perdent leur virginité avant le mariage - Du côté protestant, c’est le jeune homme, possibilité d’obtenir une compensation en cas de viol ou de promesses non tenue du jeune homme - Chez la catholique on sépare longtemps les garçons et les filles, mixité éducative chez les protestants TD 6 (21 oct) : - Différents pdv (homme et femme) - Question sur la sexualité côté homme : - Faire ressentir du plaisir et de l'excitation à sa partenaire pendant l’acte, mari prévenant (permet la nuance dans le caractère) dans la lettre 1 - Lettre 3, le mari n’est pas très prévenant, il évoque que sa femme se dérobe pour ne pas avoir des relations sexuels (hypothèse de la douleur de la maternité, en tous cas l’accouchement, ou le fait qu’elle ne le porte plus dans son corp) - Abbé Viollet : Directeur de conscience (pas officiellement mais occupe la fonction), fils de dreyfusard catholique, républicain - Plus ouvert sur les questions de sexualités, les lettres sont écrits par des catholiques pratiquant, homme et femme - Classe sociale : dépend des lettres (haute classe populaire pour la lettre 3/ bourgeoisie lettre 1) - Loi scélérates (1920) - L’abbé Viollet fait parti des personnes chargées par l’Église pour répondres aux questions taboue vis à vis de la sexualité et ce qui est permit par la religion catholique CM 6 (23 octobre) : - Sexualité pré nuptial pour les femmes 0. - Mariage de raison (majoritaire en France) : Unions matrimoniale passées entre deux familles - Demande de mariage pas à la femme mais aux parents - 1894 : Les Demi-Vierges, les jeunes filles ne seraient pas totalement vierge malgré leur virginité - A la belle époque, les jeunes filles prennent l'initiative pour débuter un flirt - Développement de l’éducation sexuelle pour les filles (syphilis). En Famille : - Le modèle bourgeoi l’emporte au XIXe contre celui de l’aristocratie - Promotion des valeurs familiales, encore plus que pendant la domination de l’aristocratie - “Famille triomphante” Michelle Perrot : c’est le groupe familiale qui devient important - I/ Père-mère enfants : pouvoirs juridique et usages sociaux - Code civil et héritage napoléonien (droit d’aînesse) TD 7 (4 novembre) : - 1898 : loi sur les incidents de travail - Les sources sur la consommation des classes ouvrières se basent sur l'acte de légation des biens après la mort d’une personne. - Léon-Augustin Lhermitte : Entre l'impressionnisme et le naturalisme, - Grandit dans une terres paysannes, famille modeste mais instruit - Père instituteur, réussit à intégrer les beaux arts - Rapidement reconnu en tant que peintre, considéré comme son chef d’oeuvre : La Paie des moissonneurs - Reconnaissance des pairs - Fondateur de la société national des beaux arts, - Ouvrier : grosse chaussure - Paysans : sabots - Femme récupère les payes car elle s’occupe du foyer, la nourriture - Identification de tous les éléments, le lieu, vêtements - Tertiarisation de la société française, accès à de nouveaux postes pour les femmes, acquisition d’une relative liberté, femme qui commence à pouvoir vivre seul de leur propre salaire - Travail des femmes pas mis en avant, alors que celle-ci le font, côté maternelle CM 7 (6 novembre) : Sexualité - Partiel Lundi 6 janvier (9-12h) - I/ La norme bourgeoise : le couple conjugal hétérosexuel - 1) La mainmise médicale - Les médecins s’autorise le droit vu qu’il s’occupe de l’intégralité du corps de s'intéresser aux relations sexuels des couples - Petite bible des jeunes époux (1885) Dr Montablan - Pas d’utilisation du sperme autrement que pour la procréation, pas de mastubration, accès à la prostitution - Quantité de sperme serait limitée, pas négociable de l’utiliser de manière excessive - Les médecins alerte sur les femmes insatiable qui recherche un désir sexuel mais aussi inversement qu’elles ne ressentaient rien pendant l’acte - L’objectif reste de favoriser la fécondation des couples, s'intéresse à la puberté - Deux peurs au niveau de la sexualité : masturbation et syphilis - Les médecins auraient également peur de la nymphomanie et des femmes possédées par leur utérus - Femme incassiable à un modèle : Messalina (Messaline), conduite scandaleuse, hypersexualité qui a provoqué sa perte - Larousse : Grand dictionnaire, une femme vaux en moyenne 2,5 homme sexuelement - L’économie sexuelle : Un homme (25 ans) aurait le droit à deux ou trois relations sexuel par semaine, 50 ans 1 fois toutes les 3 semaines - Principe actif de la sexualité par l’homme et passive par la femme. - Blitzkrieg sexuel, vigueur et rapidité de l’acte sexuel, pratique de préférence le matin, pas après le déjeuner, mauvais pour la digestion, pas lorsqu’on est malade - La Question sexuelle, Auguste Forel (1906) : 3min durée - La nuit de noce : femme pas connaissace déjà de leur propre anatomie, viol conjugal (1833 - Balzac), guide : essayer de convaincre et pas de forcer, douceur - Position recommandée : celle du missionnaire (femme en dessous, homme au dessus) : respect du dominée dominant, avec caleçon et chemise encore sur eux - Pas n’importe ou, pas devant les enfants, dans la chambre et précisément au lit - Chambre : sanctuaire de l'amour et de la maternité, lit : hotel - II - Homosexualités déviantes - Des pratiques et des personnes pathologiques et criminalisées - Première apparition des mots homosexuel et hétéro dans une lettre de Kertbeny en 1868 - Dépénalisation de l’homo en 1791 mais utilisationd de l’outrage à la pudeur ou l’atteinte aux moeurs pour arreter - Condamnation dans le code pénal allemand en 1872 (paragraphe 175), pétition lancée par Hirschfeld pour l’abolition du 175, + 6000 signatures (Einstein, Tolstoï, Zola) ça marche pas - Amendment Labouchère en Angleterre, abolit la prison à vie prévu par une loi de 1861, 2 ans de travaux forcés “acte outrageant les moeurs” entre deux hommes - “Sous culture homosexuel” conceptualisation par Karl Heinrich Ulrichs : “Une âme de femme dans un corps d’homme” - Havelock Ellis (sexologue anglais) : Inversion sexuel, inscrit l’homosexuel dans la biologie, s’intéresse également aux lesbiennes, déconstruit le stéréotype de l’homme féminin gay mais contruit la femme masculine lesbienne - Pour désigner les gays à cette époque : pédérastre, uranien, inverti - Oscar Wilde : procès (peine maxial - 2 ans de travaux forcés) ressort brisé - Homosexualité comme un “vice aristocrate” - III - Les prostituitons : une séxualité périphérique - Prostitution échappe aux tribunaux, maison close (surveillance beaucoup plus facile), toujours une prositution clandestine et majoritaire - Soumises (respect les règles de la police) vs Insoumises le contraire TD 8 (férrié) CM 8 : Garçons et filles, de l’école à l’université, des inégalités persistantes - Au début du XIXe, 9/10 sont illettrées fille, 6/10 garçons - Double inégalité (garçons/filles, classe aisé/populaire) - I/ Le XVIIIe s - a) Les débats des Lumières - Rousseau : Émile ou De l’éducation, 1762 (l’éducation des femmes doit être relative aux hommes, instruction extrêmement réduite) - Helvétius 1758, De l’esprit : Les femmes ont le même cerveau que les hommes et elles doivent donc bénéficier de la même instruction, c’est la société qui influence - D’Alembert 1759, lettre à Rousseau avant Émile : dénonce l’escalavage et l'abaissement auquel les hommes ont soumis les femmes, demande une même éducation - Condorcet 1790, Journal de la société de 1789 - Mme d’Épinay (lettre de 1772) : il est évident que les hommes et les femmes étant de même nature et de même constitution, en avance sur son temps - Pendant la révolution elles ne sont plus considérés comme mineurs juridiquement et peuvent aller au tribunal + droit d’héritage et plus de droits d'aînesse - b) Avancées et reculs durant la Révolution française - Pour les révolutionnaires l’éducation et l’instruction doit être un droit commun (déclaration des droits de 1793) - Idée d’une instruction nationale du ressort de l’État - Suppression des congrégations religieuse qui avaient la main mise sur l’éducation des filles et garçons - Talleyrand : relie en 1791 éducation et citoyenneté, la nature à réserver aux femmes le rôle du foyer, donc pas lieu de donner la même instruction vu qu’elles n’auront pas accès aux fonctions politique, emplois publique et accès au gouv - Le mieux pour elle serait une éducation primaire mais familiale jusqu'à 8 ans puis des maisons d’éducations publique dans lesquelles elles pourraient apprendre des métiers en lien avec l’occupation du foyer - Talleyrand représente le courant principal, quelques voix contre (Condorcet) - Pour Condorcet il y aurait un système similaire dans le primaire et secondaire mais à partir de là il évoque une préférence masculine dans l’éducation - Plus en avance que Condorcet, Lepelletier de Saint-Fargeau (inventeur de la prison substitue les châtiment physique) - En 1793 Lepelletier (montagnard) = soustraction des garçons et des filles de l’influence des familles, dès l'âge de 5 ans pour pour les deux, pensionnat de la république aux frais de la république - Néanmoins séparés, garçons instituteurs et filles institutrice - Lakanal 1793, école primaires divisées en deux sections, filles et garçons, tjr en 93 l’instruction primaire est rendue gratuite et obligatoire (la mesure dure 3 ans) - Création en 1806 de l’université impériale par Napoléon, regroupement de tous les établissement scolaires de France et crée une corporation publique - Fidélité à l’empereur, obéissance au statut du corps enseignant, citoyens attaché à la religion, à l’empereur, à la patrie et à la famille - Même opinion que Talleyrand pour Napoléon - II - De la restauration au Second Empire - a) De la Restauration aux années en 1840 - Retour de l’Église au premier plan sous la Restauration - 1816 ordonnance royale sur l’école primaire : les communes sont priées d’ouvrir tous les indigenas une école, femmes pas le droit d’enseigner aux garçons (exclusion des femmes des établissement mixte) - Création en 1824 d’un ministère des affaires ecclésiatique et de l’instruction publique - Sous la monarchie de Juillet : Guizot (protestant) loi du 28 juin 1833, réorganise l'enseignement primaire pour garçons - Deux sortes d’écoles : celles sous le contrôle de l’État et celles sous celui des frères - Une école primaire par garçon pour les villages de plus de 500 hab, instruction morale et religieuse, de la lecture, de l’écriture - Pas de secondaire féminin pour les filles du peuples - Question qui commencer à poindre pendant la monarchie de Juillet - Pédagogues protestant : Mme Guizot et Necker de Saussure - Pour le secteur universitaire (filles n’ont pas accès), garçons deux universités pour le secteur de droit et de la médecines - Grandes écoles émergent, pour l’armée et officiers (Saint-Cyr), marins (École Navale) et artillerie et génie (polytechnique) - ⅓ des bacheliers (que des garçons) tente d’entrer à Saint-Cyr ou Polytechnique - b) Des années 1840 au Second Empire - Début de défiance des instituteurs par rapport à l’église, monté de l’anticléricalisme - Membre des congrégations religieuses ne doivent pas passer de diplôme - Rôle éducatif des mère sur les fils, début du culte de la mère au XIXe - Député Boulay de la Meurthe : par l’éducation des mère que commence l’éducation des enfants - Loi Falloux de 1850 : institut la liberté d’enseignement secondaire pour les garçons, oblige les communes de plus 800 hab doivent ouvrir et entretenir une école de filles - Institutrice célèbre, Louise Michel - Néanmoins celles qui sont réellement en charge de l’instruction des filles, les soeurs - Éloignement entre Napoléon III en l’église après que le premier est attaqué le Vatican - Victor Duruy : l’extension de l’école primaire pour tous les enfants + tente de faire ouvrir des cours secondaires publics pour les filles (1867) - Abaisse la limitation de la loi Falloux à 800 hab - Si les républicains vont autant commencer à pousser l’instruction féminine, c’est car leurs hommes s’ennui - Félix Dupanloup (évêque Dupanloup) s’oppose à duruy : “faire passer à bas prix dans les bras de l’Université les jeunes filles élevées sur les genoux de l'Église” - Première bachelière : Julie Victoire Daubié en 1861 obtient sa licence de lettre en 1871 - BAC : 300 jeune filles dans la seconde moitié - IIIe République : - a) Loi Ferry 1882 : école primaire et obligatoire, gratuite en 1881, et les laïcs en 1886 (on peut dire pour l’ensemble dans les années 1880) - Ferry : Celui qui tient la femme, celui-là tient tout, d’abord parce qu’il tient l’enfant, ensuite parce qu’il tient le mari (...) - Loi Camille Sée 1880 : enseignement secondaire publique féminin, prolongée par la loi de juillet 1881 création d’une école normale secondaire des jeunes filles (ENS de Sèvres) - Très peu de science, mais littérature, travaux domestique, gym - Secondaire reste payant, tjr pas la possibilité de passer le BAC dans 352 90 000 garçons contre 3000 filles TD 9 (Corrigé DST) : 18 novembre - Introduction : Nature du document (lithographie essor au XIXe), contexte (date de l’image), identification de l’élément principale (homme, ouvrier, chaussure : grosse chaussure c’est un ouvrier, importance de l’identification de la classe ouvrière) - Contexte : révolution ouvrière, barricades, promesse du gouvernement pour calmer la foule de donner le suffrage universel, fond de difficulté économique - Sabot (paysan), tablier (cordolier, ouvriers), se concentrer réellement sur la description de l’image, pattes de lion en dessous de l’urne (représente la force) posée sur un piedestal (référence à l’antiquité pour magnifier le suffrage universel) - Attitude digne de l’homme, musclé, moustache, virilité et valorisant, manche retroussées (celui qui travail) - Auteur : anonyme (le dire même si on le connait pas) - Plan : - A/ Portrait d’un homme nouveau l’ouvrier citoyen - - B/ Un suffrage universelle ? - Age 21 ans, masculin, première éléctions, passage de 246 000 votants à 9 millions, imposé par l’ugence de la situation et l’abandon du suffrage censitaire (à la base il devaot juste avoir un élargissement du cens) - Idéalisation (urne en bois dans la réalité) - C/ Enjeu politique des armes - Les femmes même si participe pendant la journée des barricades, elles ne portent pas d’arme - Tout le message de l’affiche est de laisser l’arme pour les ennemis du dehors (rôle de la conscription 1798) et utiliser le vote à l’intérieur - Nécessité de pacifier les émeutes, prendre le fusil pour tirer sur des fançaise ne serait pas loyal - Préfecture de police, dossier de procédure (l’ensemble des pièces dans la résolutions d’un délit) - Travail : - Dépénalisation de l’homo en 1791 mais utilisationd de l’outrage à la pudeur ou l’atteinte aux moeurs pour arreter - Pour désigner les gays à cette époque : pédérastre, uranien, inverti - Trois documents, policier, judiciaire et journalier - “Sous culture homosexuel” conceptualisation par Karl Heinrich Ulrichs : “Une âme de femme dans un corps d’homme” - Le document soumit à notre étude est un ensemble de trois documents, respectivement un décret de police, un rapport de police et extrait de journal nommé la “Chronique des Tribunaux” nous évoque chacun de différente manière l’arrestation 19 individus Pb : En quoi cet ensemble documentaire rentrescrit-il condamne t’il la transgression des moeurs au travers des pratiques homosesxuel - I/ Condamnation de l’acte par le biais du politique - Dépénalisation de l’homo en 1791 mais utilisation de l’outrage à la pudeur ou l’atteinte aux moeurs pour arreter - Utilisation du terme flagrant d’élit ainsi que d’outrage publique (alors que cela ce passe en publique) - Présence de mineurs qui incrimine de manière encore plus drastique les investigateurs - II/ Condamnation de l’acte social - Pour désigner les gays à cette époque : pédérastre, uranien, inverti “arrestation de 19 pédérastes” rapport de police - Journal : “pervertisseurs de toute vertu”, utilisation du maquillage (transgression des normes de genre) - Condamnation permise avec l’aide du voisinage, par la surveillance de la correspondance de son locataire - Évoquation pelumes antiques, robes japonaises (uniquement pour femme) - “Ce Zouave lamentable” : description encore plus péjoratif dans le cadre d’un militaire (incarne une certaine virilité) CM 9 : - b) Supérieur - Faculté de médecine, première à s’ouvrire aux femmes (très lent, au début des femmes d’origine étrangère) - 1875 : Madeleine Brès devient première femme française médecin de la Faculté de méedine de Paris - 1887 : La majorité des étudiantes sont des russes et des polonaises (Marie Curie) - Accueil avec beaucoup d’hostilité (1894 : manifestation d’étudiants) - 1897 : Jeanne Chauvin, admise à la fac de droit mais refus pour elle d’être avocate car elle n’a pas les droits politique - Trois ans de lutte du journal “la fronde”, loi de 1899 qui accorde aux femmes le droit de plaider - Investissement dans le supérieur par les républicains, changement dans les fac de science, nouveaux investissement à cause la révolution industrielle Genre et travail : - Sous l’ancien régime : - Deux exemples : travaille non salarié (paysannes qui ne reçoivent pas de salaire et aide leur mari) - Les femmes sont cantonnées à la basse cours (poules) et les hommes les animaux noble (cheval) et les activités demandant beaucoup de force musculaire - Deux grandes activités féminine : laver, coudre - Activités traditionnelles qui demeurent au XIXe - XIXe, les métiers de toujours : - Agriculture; dans les champs une relative mixité - Présence d’un enfant : rappel la matérnité - Domestic system : activité de type industrielle mais fait à la maison - 1830 : Intervention de la machine à coudre (Barthélemy Thimonnier) - 1855 : Singer invente la première machine à coudre domestique - Bonne couseuses 25 en 30 points à la minute, 200 points à la minutes - Marqueur social : minimum petite bourgeoisie pour la machine à coudre et le fait d’avoir un/une domestique - Boum des grands magasins au XIXe siècle (Second Empire/IIIe République) : principaux clients et vendeuses (femmes s’occupe du foyer) - Massification du travail des femmes dans le secteur secondaire, - 1866 : 30% des actifs (salariés) - 1906 = 38 % - Ouvrières représente 25% - Essor de la dactylographie fin du 19e, travail moins pénible, meilleur salaire - Entrée à l’administration, les femmes sont qualifiée de main d’oeuvre docile et efficace (ministères) - Métier d'infirmière : milieu modeste, rôle de la femme que l’on attend, surtout leur qualité : obeissance, dévouement - II / Les femmes à l’usine - 1866 : 30% des ouvriers - 1906 = 37 %, c’est néanmoins très répartis selon les catégorie - Majoritaire dans le domaine de l’industrie du Vêtement (emploie non qualifié, mal rémunéré) - Femme : moitité moins qu’un homme, enfant : moitié moins qu’une femme - Femme pas censée vivre seul donc son salaire n’est juste qu’une amélioration des revenus de la famille - Exploitation sexuel, menace de perte de travail, pas systématique mais assez fréquente (peut être également fait aux enfants) - Congrès de Marseille en 1879, H.Auclert : à travail égal, salaire égal - III/ Les formes de mobilisation des femmes - Au début émeutes de substance (1847-1848) et il y en a encore jusqu’en 1910-1911 - Grève féminine : représente un scandale pour le patronat, l’opinion publique mais aussi une certaine hostilité des ouvriers qui les incite à reprendre le travail - Donc une faible participation gréviste (quelques exemples : 4000 sardinière de Douarnenez) - 1874 : Loi sur le travail des enfants et des filles mineurs : distinction des sexes à l’avantage des filles (discrimination positive) - Pas trop d’inspecteur du travail, loi peu impliqué - Jusqu'à la loi de 1892, renforcement du corps de l’inspection, loi sur le travail des enfants, des filles mineures et des femmes dans les établissements industriels TD 10 (25 novembre) : - Hermaphrodite (utilisé au XIXe, péjoratif, intersex aujourd’hui) - Herculine Barbin (par Michel Foucault) - Fille de sabotier - Dr Ambroise Tardieu (question médico-légale de l’identité…) CM 10 : Marginalité et exclusions sociales : Pauvreté, mendicité, vagabondage - Extrême pauvreté (XIXe siècle) = génératrice d’exclusion sociale - Les injonctions sociales se porte principalement sur les hommes de par leurs statut de revenus du foyer - Plusieurs formes d’exclusions sociales (pas de législation de retraite), que des cotisations privées à la fin du siècle - Chez les hommes cette exclusion va se caractériser par du vagabondage (abandon des liens familiaux) - Chez les femmes c’est plus de la mendicité, les enfants ne peuvent pas marcher et fournir des efforts physique tel que le vagabondage - Fin du Moyen Âge, pauvres représente 15-20 % de la pop urbaine/ 16-17e 20%/ 18-19e régression de la pauvreté - Veille de la révolution, 12,5 % mais les villes seraient plus touchées (18% Paris/ 16% Lyon) - I. Tendances générales - 1) De qui parle-t-on ? - Distinction des pauvres et des prolétaires (ceux qui utilise le corps, le force de travail pour gagner de l’argent) - Besoin fort en main d’oeuvre, renforce la suspicieuse des gens qui ne trouve pas de travail - L’État ne fourni aucune aide aux pauvres - Différenciation entre les infirmes (blessés, vieillards) et ceux qui sont soupçonnés de ne pas vouloir travailler - C’est qui vont former les lies de la sociétés (les bas fonds) - La question économique est au centre mais le facteur socioculturel est important : - L’exemple des chiffonniers (recyclage des déchets), demande une force physique importante, résidence dans des bidonvilles (Clignancourt) - Photographie 1839 - Permission nécessaire pour exercer le métier - Deux urgences communes à tous les métiers précaires : manger, logement - Alimentation insuffisante, déséquilibré - Dans les campagnes, la pauvreté peut être un peu moins dure, braconnage, nourriture plus facile à trouver, peuvent essayer de s'abriter dans les granges - On va néanmoins plus facilement appeler les gendarmes à la campagne - Certaines caves laissées à l’abandon existe à Paris - Pas accès aux points d’eaux habituels, odeur qui tend à l’exclusion comme la présentation physique (vêtements : guenilles (en lambeaux)) - Albert Morand : Image inquiétante du Vagabond - Lien entre criminalité et pauvreté - Discrimination postive pour les femmes qu’on laisse plus difficilement dehors - Vagabondage interdit, on place soit en prison soit en dépôt de mendicité (dans ceux-ci il y a ⅔ d’hommes) - 2) Stigmatisation et exclusion - Stigmatique rejet de la société surtout dans les grandes villes, solidarité plus importante dans les zones rurales - Littérature a beaucoup contribué à également accentuer le lien entre extrême pauvreté et violence - V.Hugo : Malgré sa fibre socialiste à l’époque et le fait qu’il incarne le romantisme sociale (élite sensible à la misère humaine), fait un amalgame dans les misérables entre pauvre et criminel - Pareil chez Maupassant avec Le Gueux - Soupçon également des faux mendiants qui profiterait de la charité par la société mais aussi l’État - Comité de mendicité (1790) ou un distingo entre les véritables et mauvais pauvres - II. Un traitement de la pauvreté parfois différencié - 1) l’enfermement des pauvres - Passible de prison dans le code pénal, travaux forcés pour les récidivistes - Décret de 1808 : Interdiction de mendicité sur tout le territoire, dépôt de mendicité, plaque de mendicité - Code pénal de 1810 : Reste un délit mais nécessite trois conditions : sdf, avoir une profession, suffisamment de ressource pour vivre - Les peines sans violence vont de 3-6 mois d'emprisonnement puis une peine de travail dans un dépôt de mendicité (exploitation d’une main d’oeuvre captive) - Dépôt de mendicité : A la fois des ateliers de travail mais aussi des lieux d'emprisonnement (ceux-ci étaient également pour emprisonner tous ceux dont on ne savait pas quoi faire : infirmes, fous, prostitués) - 2) Autres formes d’assistance - Certaines institutions font néanmoins preuve de charité : Le Mont de Piété (établissement de prête gratuit qui voit rapidement l’instauration d’un petit intérêt) - L'Hôpital : Pas uniquement des malades mais aussi ceux qui ne peuvent plus travailler, institution d’assistance - Définition hôpitaux larousse : “Maison de charité, établi pour recevoirs les malades et les indigents” - Bureaux de bienfaisance (ouvert par des initiatives privé ou publique) - Soupes (municipale ou privée) : distribution gratuite mais le fait d’y aller peut être stigmatisant - 176 oeuvres d’assistance à Paris en 1819 - 650 000 portions de soupes en 1848, 4M portions en 1896 - Dans ses oeuvres beaucoup se spécifie pour les femmes et les enfants (là aussi bonnes femmes vs mauvaises femmes (prostitués, enfants hors mariage) - III. La misère, facteur essentiel des avortements, infanticides et abandons d’enfants - Avec le code Pénal, punition de peine de morte pour le meurte des nouveaux nés - Pie IX : déclare que l’avortement est punitiable de l’excommunication - Lois scélérates de 1920, poursuit également les personnes qui aide dans le processus - 2) Les abandons d’enfants - Pratique en hausse pendant tout le XVIIIe et XIXe siècle - Figure de la fille mère : fortement stigmatisées, comparées aux prostitués - Le tour d’abandon : Pour l’abandon des enfants au niveau des hôpitaux (inventés par l’Église en MA pour éviter les infanticides qui est un grave péché) - Obligation en 1911 en France pour chaque hospice d’en avoir un - Abolition des tours en France en 1904 après la mise en place d’une politique à l’avantage des filles mères TD 11 : Immigration - Introduction avec la belle époque (industrialisation, chemin de fer, électricité) - Exode rurale : pas assez de main d'oeuvre sur le marché, immigration - Forte augmentation de la croissance démographique au sud de l’Italie, mal rémunération en Italie du nord pour ceux du sud, émigration pour avoir un meilleurs salaire - Uniquement des hommes (envoie des revenus à la famille), - Aigue Morte = 1856 activité salicole, économie se basant sur l’exploitation des marais salant - Ouvriers en forte concurrence avec leurs collègues italiens - Déroulement du massacre sous le regard des gendarmes - Couverture médiatique importante - Modèle viril de l’ouvrier : effort collectif, travail, républicain (vigueur physique, sexuel, force, exposition du corps et du savoir faire) - Ouvrier textile moins virile car partage l’activité avec les femmes - Ouvriers italiens vus comme une forme de menace en termes de compétitivité mais aussi contre la virilité ouvrière française - Non compatibilité par la virilité française, ouvriers italiens perçus comme physiquement moins robuste, fragile - Une virilité vue comme inférieur, incapable de se subvenir aux besoins de leurs familles, salairs plus bas - Xénophobie facteur important, formation des états nations, distinction entre le nationale et le non nationale - Loi 1889 apparition juridique du terme étranger (loi qui invente la nationalité) - Ouvriers italiens soupçonner à la solde des patrons (salaires plus bas, main d’oeuvre docile, accusation de voler des emplois locaux) - 1894 : Assassinat du président français par un anarchiste italien (redoublement des violences) - 1901 : Les italiens deviennent la première communauté étrangère devant les belges - Les femmes italiennes : domesticité, prostitution, petits métiers - Affaire d’homme : chasse à l’homme, la violence n’est exercé que par des hommes - II/ Le reflet d’une pauvreté à travers ces métiers de rue - Stigmatique rejet de la société surtout dans les grandes villes, solidarité plus importante dans les zones rurales - Pas accès aux points d’eaux habituels, odeur qui tend à l’exclusion comme la présentation physique (vêtements : guenilles (en lambeaux)) - L’exemple des chiffonniers (recyclage des déchets), demande une force physique importante, résidence dans des bidonvilles (Clignancourt) - Présence de l’activité physique, du travail en extérieur et de la mobilité - Pas de législation de retraite, donc absence de celle-ci, travail jusqu'à un âge avancé (doc 12) - L’État ne fourni aucune aide aux pauvres, l’aide viens plutôt d'initiative privés - Aléas climatique (travail dans la rue) - Contexte de mutation du monde travail, 1900 période qui voit une revalorisation des salaires - Marchande des quatre saisons (6-19h) souvent employés par des grossistes, pénible mais mieux payés - Les femmes sont toujours moins bien payées que les hommes peu importe le métier - Nadarre (photographe du début XIXe) CM 11 (4 décembre) : À califourchon ou en amazone : la pratique sexuée de l’équitation - Daniel Roche : culture équestre de l’occident - Cheval acteur à part entière de la société du XIXe, que ce soit dans les zones rurales (force motrice) marqueur social pour les paysans les plus aisées - En ville différemment mode de transport urbain - Animal lié à la noblesse mais si il connait une petite démocratisation au cours du siècle - En amazone : les deux jambes du même côté, il n’est pas question que les femmes écartent les hommes - I/ Cheval, virilité et pouvoir - a) Le cheval, marqueur des hiérarchies sociales et culturelles - Survivance du monde aristocratique mais aussi facteur de modernité - Moyen Âge : Comportement guerrier qui repose sur une maîtrise pour le mener à la guerre, ça à un aspect esthétique et morale - “Roi de guerre” : roi qui sait très bien monter à cheval - Rev FR : société égalitaire et unitaire - IIIe république : il faudra attendre cette période pour voir les décideurs politique mettre de la distance eux leur incarnation politique, leur personne et le cheval - Buffon 1753 (citation diapo) - Tradition iconographique et statuaire, qui remonte à l’antiquité, homme à cheval = homme de pouvoir - Marc Aurèle, Louis XIV fait la filiation - Napoléon III : Excellent cavalier mais c’est le dernier souverain/dirigeant à faire référence à l’équitation (photo officiel : tenue d’équitation) - Après, sous la IIIe, on rompt avec cette tradition aristocratique tenue bourgeoise/civil - Charlotte Thiroux d’Arconville = squelette féminin - Autruche : fécondité et gestation facile/ peureuse - Daniel Roche “Cheval moteur” : on utilise sa force, sa capacité à tracter, sa mobilité, utilisation aux labours à la campagne, porte les rondins de bois des bûcherons - Dans les milieu urbain : le Fiacre (transport urbain des élites au minimum la moyen bourgeoisie, 4-5 personnes), omnibus hippomobile (30/40 personnes, fin du siècle, prix de la place plus faible, la partie haute du peuple peut prendre de façon ponctuel) - Tramways hippomobiles, attelage 2 ou 3 chevaux (effort demandé moins fort, belle époque 1900S) - Cavalier à cheval haute bourgeoisie/aristocratie à Paris - Plus de chevaux que besoin pour tracter : aristocratie art de paraître - Bois de Boulogne : lieu où les élites se montrent à cheval - Hobbie de la course pour la bourgeoisie (Edgar Degas peintre) - Loisir qui a une fonction social important, étalement de la richesse - b) Une femme en territoire masculin : la dresseuse Marie Isabelle à l’Ecole de cavalerie de Saumur - La guerre est majoritairement à cheval jusqu’à la guerre de 1870 - Cristallisation de l’identité masculine face à une femme (1864) période de tension politique peu de temps avant la guerre de crimée - Méthode de surfaix-cavalier de Marie Isabelle = cavalerie plus efficace et engendrer des économie - Achat de méthode pour 20 000 francs par l’armée, elle va décider d’envoyer M. Isabelle à Saumur pour apprendre à ses hommes sa méthode - M. Isabelle originaire de Russie, lettre de recommandation d’officiers du Tsar, expérimentation de la méthode qui serait très bien - Néanmoins l’institution de l’armée reste l’endroit ou se manifeste le plus la virilité au XIXe - Elle a une solde, niveau d’un colonel, ne porte pas l’uniforme, les rapports se détériore néanmoins rapidement - Le comte d’Aure (aristocrate), reproche trois choses : c’est une femme, roturière, envoyé par Paris (opposition province/capital) - Lithographie - Au bout de 6 mois, crise ou d’Aure est viré et Marie Isabelle est rappelé à Saumure - Fille de cordelier - On tire de ça une opposition entre des hommes qui sont la pour la sauvegarde d’une institution aristocratique vs femme modeste d’origine rotuière - Développement des premiers banquets hippophagiques, désacralisation du cheval dont la viande était sacralisé auparavant - Siège de Paris par la Prusse en 1870, MANGE LES CHEVAUX - Viande de cheval très intéressante nutritivement parlant pour le bas peuple - 1904 : Première femme cocher (réservé au homme travail technique, responsabilité de conduire) - II/ L’équitation, une pratique sexuée - a) Une activité compatible avec la nature féminine - Une question qui ne se pose même pas à la petite bourgeoisie - Amazone : femme qui monte à cheval - Art d’agrément avec la danse, seules activités tolérées et encouragées pour les femmes. - Elles doivent monter en amazone, exercice conseiller mais pas une passion pour les médecins dans la première moitié du XIXe - Jules Pellier : La selle et le costume de l’amazone (codification de la pratique) - Selle spéciale pour la montée en amazone, robe bouffante jusqu’au second empire, en amazone - Activité physique nécessaire pour le besoin de plus d’enfants plus robuste et fort - b) Chasse à courre, monte à califourchon et virilisation des femmes - Première femme a avoir le permis de conduire, duchesse d’Uzès (aristocrate), aussi première femme à être maitre d’équipage de chasse à courre - Angleterre : pays où les femmes et les hommes se rencontre avant le mariage, pays de sport - Jules Pellier : Condamne absolument l’usurpation du rôle masculin par les femmes en Angleterre et évoque la nécessité de ne pas laisser les femmes participer à la chasse - Cirque Molier : Cirque privé, fait appel à des demi mondaine (courstisanne/ maitresse/ se ratache à la prostitution), Ernest Molier - Les étrangères (américaines, anglaises) montent souvent à califourchon au bois de Boulogne - Georges Sand s'indignait grandement quand sa fille voulait monter à cheval TD (9 décembre) : - Asile (1870-1914) : passage d’un accompagnement familial à l’encadrement asilaire. - Hystérie : proviendrait de l’utérus des femmes (uniquement au femme) - Haut taux de mortalité dans les asiles (⅓ des internés morts) - Bicyclette (du vélocipède à l’hirondelle) : - 1870-1880 : Contexte de la guerre et de la commune porte un coup fatal de l’industrie naissance du vélocipède - La France va prendre comme référence l’Angleterre (un des principaux pays de sport) - Apparition de la bicyclette et le tricycle, ainsi que le grand bi - Vélocipède de Karl Drais, amélioration avec la draisienne de Niépce qui invente la selle réglable - Première grande amélioration sous le second empire, l’apparition du pédalier, pas une grande stabilité (Pierre Michot) - Usage pour les femmes même que pour l’équitation - Grand bi (1m45 de hauteur) : en vogue dans les années 1870 et 1880 (réservé aux hommes car impossibilité de monter en amazone) - Pour les enfants, le tricycle (garçon, objet genré, souvent des chevaux avec des roues) - 1889 exposition universelle : modèle très proche du vélo moderne - Bicyclette Hirondelle (1900) : bicyclette moderne, même les femmes peuvent monter car recherche d’une plus grande clientèle passe outre les injonctions sociales - Utilisé par la police - Lisette (1894-1898 sur la scène sportive), émergence dans une scène masculine, Amélie, fille d’un cultivateur et d’une ménagère (issu du peuple) alors que la bicyclette fut très rapidement emparé par les élites - Néanmoins belle époque ; première vague de démocratisation de la bicyclette, elle est d’un milieu rural contrairement aux champions qui sont du prolétariat urbain, champion beaucoup originaire du peuple - Première épreuve féminine de vélo 1867 expo universelle - Fin des années 1880, début réel des courses et épreuves pour femme - Anger 1891 = épreuve réservé aux femmes, jury annule sous la pression du directeur - Jupes culottes, on voit néanmoins les mollets, chose qui masculinise les femmes - Henri Desgrange : douze records du monde, organise le premier Tour de France, véritable engouement populaire - 1889 exposition universelle : modèle très proche du vélo moderne - Bicyclette Hirondelle (1900) : bicyclette moderne, même les femmes peuvent monter car recherche d’une plus grande clientèle passe outre les injonctions sociales - Description des document : Photographie est un photographe français et l'un des premiers reporterssportifs. - Pb : En quoi le passage de la belle époque aux années 1930 marque un tournant dans la représentation féminine du cyclisme ? - Amélie le Gal émergence dans une scène masculine, Amélie, fille d’un cultivateur et d’une ménagère (issu du peuple) alors que la bicyclette fut très rapidement emparé par les élites - Néanmoins belle époque ; première vague de démocratisation de la bicyclette, elle est d’un milieu rural contrairement aux champions qui sont du prolétariat urbain, champion beaucoup originaire du peuple

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