QCM SMB - Biologie - 2017-2018

Summary

This document is a collection of multiple-choice questions (QCM) from a 2017-2018 biology course. It covers various topics including cell cycle, apoptosis, and membrane transport. The document also includes questions from previous exams.

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TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Le Cul-CM Bonjour à tous et à toutes, L’idée de ce QCM était de créer de nouvelles questions (puisque que tout le monde se passe les mêmes QCMs d’année en année) afin de couvrir tout le champ SMB de la p...

TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Le Cul-CM Bonjour à tous et à toutes, L’idée de ce QCM était de créer de nouvelles questions (puisque que tout le monde se passe les mêmes QCMs d’année en année) afin de couvrir tout le champ SMB de la première année. Au fur et à mesure, des « vraies » questions ont été rajoutées afin de mieux représenter les questions que les profs posaient et donc vous trouverez des questions de retranscrits remontant jusqu’en 2006. Voici quelques informations à garder en tête lors de votre utilisation de ce QCM : 1. Ce QCM contient trois types de questions : - Les noires sortent de mon imagination - Les rouges ont étés données en cours par les professeurs - Les oranges sont des questions déjà tombées en examen 2. Toutes les questions sont sous format « examen », donc soit des question type A (5 réponses possibles, une seule correcte), soit K’ (4 réponses possibles, toutes pouvant être justes ou fausses, indépendamment les unes des autres). 3. Ce QCM a été réalisé durant l’année 2017-2018, les cours sont susceptibles d’avoir étés modifiés et donc les réponses peuvent devenir obsolètes avec le temps. 4. Les questions noires ont été créées de toutes pièces et ont toutes été relues par plusieurs étudiants, mais trouver une ou deux fautes n’est pas impossible. 5. Vous retrouverez une certaine touche d’humour (plus ou moins subtil) dans ce QCM, libre à vous de ne pas l’apprécier, mais ça m’a aidé à garder le sourire pendant cette année difficile. Attention ! Ce QCM comprend de nombreuses questions déjà tombées en examens et certaines se répètent avec les années (des questions de 2012, 2015, … sont ressorties en 2018). Vous ne devez donc ABSOLUMENT PAS imprimer ce QCM sur les imprimantes de l’uni, poser ces questions sur le forum ou vous les envoyer sur le mail de l’uni ! J’espère que ce QCM vous sera aussi utile qu’il nous a été. Bonne chance pour vos révisions ! TtLD 1 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Cosson 3 Transport membranaire 7 Tissus nerveux 10 ADNprot 14 Système nerveux 19 Systeme endocrinien 22 Système reproducteur 26 Système cardio-vasculaire 30 Système digestif 33 Système urinaire 37 Anatomie 41 Embryolo 47 Embryologie des systèmes 53 Système respiratoire 58 Pharmacologie 63 Système ostéo-articulaire 65 Locomotion et Activité physique 70 Métabolisme osseux 75 Métabolisme lipidique et obésité 79 Immunité 83 Inflammation 90 Greffes 94 Hémorragies 96 Questions du module A en vrac 100 Biochimie 106 Microbiologie 108 Atherosclerose 109 Réponses 110 2 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Cosson 1. Concernant le début de la mitose : A. Le centrosome se duplique au début de la phase M B. Les lamines nucléaires se font déphosphorylées au début de la mitose, ce qui les désassemble et entraine la désagrégation de l’enveloppe nucléaire. C. Le FMT (fuseau mitotique) se met en place durant la prophase D. Les chromosomes se condensent au début de la mitose 2. Concernant le fuseau mitotique : A. Les MT polaires relient le FMT a la membrane de la cellule B. Lors de la métaphase, les chromosomes sont alignés sur la plaque métaphysique par les MTK (MT du kinétochore) C. Lors de l’anaphase, les MT polaires sont repoussés par des dimères de dynéines. D. Lors de la télophase, une étape s’appelle la cytokinèse et permet de séparer les deux cellules filles. Elle implique un anneau contractile d’actine et de myosine 1. 3. A propos des drogues touchant le cytosquelette : A. La stathmine stabilise les MT B. Le Taxol entraine la dépolymérisation des MT ce qui empêche le FMT de se mettre en place. C’est pour ça que c’est un anticancéreux. C. Les microvillosités sont composées d’actine stabilisée par des MAPs D. La cytochalasine séquestre l’actine libre E. La phalloidine entraine une dépolymérisation des filaments d’actine 4. Est vrai : A. Les MT se polymérisent par ajout de tubuline sur l’extrémité + B. La vitesse de dépolymérisation des MT varie selon la concentration de tubuline libre C. Lorsqu’on applique une force, l’actine se déforme avant de se briser D. Lorsqu’on applique une force, les MT se deforment et se brisent 5. A propos de la mort cellulaire programmée : A. Les trois phases sont « apoptose - bledding - phagocytose » B. Les caspases sont activées par des kinases C. Le rôle des caspases initiatrices est de dégrader les lamines nucléaires afin que les caspases effectrices puissent dégrader les éléments essentiels a la vie cellulaire. D. Elle commence par une condensation et fragmentation du noyau E. L’activation des caspases est réversible grâce a une protéolyse 6. Regulation de l’apoptose : A. L’apoptose et le recrutement de caspases peut se faire selon deux voies, l’intrinsèque ou l’extrinsèque. Le stress cellulaire est une bonne représentation de la voie extrinsèque. B. La protéine p53 est un facteur de transcription synthétisé et dégradé en permanence C. Le rôle de la protéine Bcl-2 est de bloquer la formation du pore Bax D. Si le pore Bax se forme, le cytochrome C pourra se lier avec TRADD et FADD ce qui activera les caspases 7. Concernant le controle cycle cellulaire A. Les deux phases essentielles de contrôles sont aux transitions G1/M et G2/S B. Permet de moduler la prolifération en fonction de l’état de la cellule C. Permet de moduler la prolifération en fonction des signaux extracellulaires D. Il est important de réguler les transitions car une fois les phases S ou M commencées elle vont jusqu’au bout 3 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 8. Concernant l’activité MPF : A. La concentration de cyclines est invariante B. Ce sont les mêmes cyclines et les mêmes CDK qui sont responsables de l’entrée en phase S et M C. Il faut que le complexe CDK-cyclines soit activé par une kinase afin d’être actif D. Les CDK-cyclines G1/S phosphorylent les lamines nucléaires les rendant instables et permettant la duplication de l’ADN E. Les molécules responsables de l’activité MPF sont en permanence dans la cellule aux mêmes concentrations, c’est uniquement leur activité qui change 9. Concernant la protéine Rb, est faux : A. Elle est régulée par les CDK-G1/S B. C’est un suppresseur de tumeurs C. Une fois phosphorylée elle se lie sur le facteur E2F permettant la transcription de gènes dont les ADNpol D. La quantité de Rb est invariante, mais la quantité de Rb phosphorylée reflète l’activée des CDK-G1/S E. La transcription des gènes sous le contrôle de E2F lance l’entrée en phase S 10. Modulations du cycle cellulaire : A. p53 induit la traduction de p21 (WAF1) qui a pour but d’inhiber les CDK-G1/S B. p53 empêche la phase S car on voudrait pas dupliquer une cellule avec des mutations C. La phase G0 consiste en une phase G1 éternelle, c’est surtout les cellules souches qui sont concernées D. p53, suite à une lésion de l’ADN a trois rôles : essayer de la réparer en induisant des mécanismes de réparation, bloquer les divisons cellulaires, et dans le cas ou la réparation est impossible, induire l’apoptose de la cellule. 11. Le cancer est un processus évolutif : A. Pour qu’une mutation soit sélectionnée il faut qu’elle soit héréditaire et confère un avantage sélectif B. Un oncogène est un gène pouvant induire une prolifération cellulaire incontrôlée C. Les mutations sur des oncogènes sont récessives D. Des CDK actifs tout le temps ou un facteur E2F ne liant pas Rb sont des oncogènes 12. Les suppresseurs de tumeurs sont plutôt sympas : A. Par définition un suppresseur de tumeur est un gène normal empêchant la formation d’une tumeur car freinant la division cellulaire B. p53, p21 et Rb sont des suppresseurs de tumeurs C. Les mutations sur les suppresseurs de tumeurs sont récessives D. Dans le cas du retinoblastome c’est le gène suppresseur de tumeur Rb qui a été muté sur les deux allèles 13. Concernant les microscopes : A. La longueur d’onde dépend de la résolution B. La résolution optimale est la longueur d’onde divisé par 2 C. L’électron offre une moins bonne longueur d’onde que le photon D. Les électrons ont une meilleure pénétrance que les photons E. Le microscope a fluorescence est un microscope électronique 4 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 14. A propos de l’immunofluorescence : A. L’immunofluoresence indirecte permet un meilleur marquage des protéines B. L’immunofluorescence directe est pratique pour observer le fonctionnement cellulaire, car ça se fait sur des cellules vivantes C. On fixe la cellule grâce à de la saponine D. Dans une immunofluorescence indirecte c’est le premier anticorps qui est fluorescent E. L’immunofluorescence puisqu’impliquant de la lumière (fluorescence) n’est réalisable qu’au microscope optique 15. Lipides biologiques : A. Les TG s’organisent sous forme de micelles B. l’AG est amphiphile C. Les phospholipides ont une partie hydrophile mais sont insolubles dans l’eau D. Le cholesterol participe a l’étanchéité de la membrane lipidique 16. Concernant la membranes et ses copains : A. Une protéine attachée a un lipide de la membrane est dite « périphérique » B. Pour qu’une protéine soit transmembranaire, on met des acides aminés hydrophiles (leucine, valine) pour que ce soit stable C. On parle de « mosaïque » fluide parce que les protéines a la surface de la cellule peuvent bouger, mais elles finissent toujours par revenir a leur place originale D. Toutes les protéines membranaires sans exception peuvent se déplacer sur la membrane selon le concept de « mosaïque fluide » E. La mitochondrie, comme le noyau possède une double bicouche 17. Concernant la synthèse des protéines : A. La majorité des gènes mitochondriaux sont synthétisés dans la mitochondrie B. L’insertion mitochondriale des protéines est post-traductionnelle et sélective C. L’insertion dans le RE est co-traductionnelle grâce a une séquence signale (SS) en C- terminal D. La SS est nécessaire et suffisante pour une insertion dans le RE 18. Concernant l’insertion dans le RE A. la SRP reconnait la SS et bloque la traduction B. SRP lie directement le ribosome au pore de translocation C. La signal peptidase clivant la SS est dans le cytoplasme D. C’est le pore de translocation qui est responsable de la reconnaissance du segment transmembranaire d’une protéine devant aller dans la membrane 19. Concernant les voies de sécrétion : A. La sécrétion constitutive met en jeu des granules de 50nm B. Dans la sécrétion régulée, c’est uniquement la fusion du granule avec la membrane qui est régulée C. Les vésicules contiennent des protéines ne portant pas de signaux spécifique de triage D. Il est possible d’accumuler des granules lors de la sécrétion régulée 5 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 20. Vous êtes en train d’observer des protéines dans une cellule au microscope et vous remarquer qu’il manque certaines modifications dites « post-traductionnelles » vous pouvez affirmer que : A. Si beaucoup des protéines sont mal repliées, c’est certainement qu’il y a une problème au niveau des protéines chaperonnes (BiP) B. Il n’est pas normal de voir des structure « pont-disulfure » dans le RE car c’est un milieu oxydant C. Il est normal de voir des protéines cytoplasmique glycosylées D. Il est normal que dans le processus de sécrétion de l’insuline une partie soit enlevée par protéolyse 21. La voie d’endocytose : A. Lors de la pinocytose, la concentration d’une protéine X que l’on trouve dans le milieu extra-cellulaire est moins concentrée dans les vésicules d’endocytose B. La Clathrine se polymérise et dépolymérise spontanément C. On retrouve déjà des enzymes lysosomales dans les endosomes précoces D. La Clathrine est encore liée a la vésicule lors de sa fusion a l’endosome précoce 22. Vous avez adoré les cours de MIGA, êtes devenu généraliste et recevez un patient qui vient d’avoir un premier infarctus, sauf que ce bon Eugène a 30 ans. Il a un taux extrêmement haut de LDL dans le sang et vous voyez qu’il a un genotype Aa. En vous rappelant du cours de M. Cosson sur l’hypercholestérolémie familiale vous pouvez affirmer que : A. Eugène souffre d’une mutation récessive B. Il se pourrait qu’il soit un mutant JD C. Il a une mutation sur le motif d’endocytose D. Eugene a des LDLR mais pas assez E. Le problème ne vient pas de la car la pinocytose est bien plus efficace pour capturer des éléments du milieu extra-cellulaire 23. Manteau de triage membranaire : A. Les adaptines sont polymérisées en même temps que la clathrine et interagissent avec les récepteurs qui doivent être internalisés B. La vésicule COP2 va du RE au cis-golgi C. La vésicule allant de la membrane aux endosomes précoces utilise AP2 D. Dans la mucolipidose de type 2, on a pas d’enzymes synthétisant du M6P et les enzymes lysosomales sont sécrétés dans le cytoplasme 24. Triage des protéines sécrétées : A. La séquence KDEL est nécessaire mais pas suffisante pour une rétention dans le RE B. La séquence KDEL est N-terminale C. Il existe un mécanisme assurant un transport rétrograde des protéine portant la séquence KDEL depuis le trans-golgi vers le RE D. Le récepteur a KDEL a 7 domaines transmembranaires 6 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Transport membranaire 25. Le liquide interstitiel : A. Est riche en calcium B. Contient 1 / 3 de l’eau C. Contient moins de sodium que de potassium D. Est pauvre en protéines E. A la même composition ionique que le plasma 26. Est un transporteur secondairement actif : A. Aquaporine B. Uniport pour l’urée C. H+, K+ ATPase D. Co-transporteur Na+ glucose E. Canal calcique 27. Déterminent le potentiel d’équilibre d’un ion, sauf : A. Concentration intérieure B. Concentration extérieure C. Température D. Valence de l’ion E. Potentiel de membrane 28. Au potentiel d’équilibre K+ : A. Les membranes cellulaires sont imperméables au potassium B. Les cellules ont un potentiel positif C. Les ions K+ ne sont plus soumis aux forces de diffusion D. L’agitation thermique des ions K+ minimale E. Les flux entrant et sortant de potassium sont de même amplitude 29. Au potentiel d’équilibre du potassium : A. Les canaux potassiques voltage dépendants Kv sont activés. B. Les cellules sont dépolarisées. C. La conductance unitaire des canaux potassiques kv est minimale. D. La force électromotrice pour le K+ est nulle. E. La probabilité d’ouverture des canaux potassiques est maximale 30. Les canaux ioniques : A. Maintiennent les gradients ioniques. B. Déterminent le potentiel de membrane. C. Les canaux ont toujours un filtre de sélectivité D. Génèrent un courant d’amplitude fixe E. Se ferment au potentiel d’équilibre 31. Différencie les ATPases de type F et V : A. Localisation cellulaire B. Orientation du complexe enzymatique C. Phosphorylation durant le cycle de transport D. Nature de l’ion transporté 7 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 32. Concernant les formules : A. Le temps de diffusion ne tient pas compte des concentrations B. Le flux de diffusion sera plus élevée si la T° est élevée C. Le potentiel d’équilibre d’une molécule chargée est la somme de son potentiel électrique et de son potentiel chimique D. Le potentiel d’équilibre du Na est de +65mV 33. D’après l’équation de Nernst, une cellule dont la membrane est sélectivement perméable à un anion monovalent ayant une concentration 10x plus élevé à l’intérieur qu’à l’extérieur de la cellule à un potentiel transmembranaire d’environ : A. -120 mV B. -60 mV C. 0 mV D. +60 mV E. +120 mV 34. Concernant les canaux ioniques, est vrai : A. Une des sous-unités de ses sous-unités déterminé sa sélectivité B. L’amplitude d’un courant ne reflète que la conductance du canal et de la quantité du ion l’ayant traversé C. Les canaux ioniques voltage-dépendant sont utilisé dans le transport et le décodage de l’information alors que les ligands-activés servent a la transmission rapide d’information d’une cellule a une autre. D. Un canal n’a que deux états, ouvert et fermé 35. Canaux potassiques : A. Les canaux potassiques sont ubiquitaires et déterminent le potentiel de repos des cellules B. C’est l’unité S4 du canal potassique qui est responsable de la sélectivité C. La sélectivité se fait grâce a la longueurs de liaisons entre l’ion et les molécules d’eau D. En conditions « normales » le canal est fermé a cause du potentiel négatif hors de la cellule 36. Les pompes ioniques : A. Toutes les pompes sont phosphorylées B. La pompe SERCA n’est pas une Ca-ATPase de type P C. C’est lors de la liaison des ions K+ sur la Na/K-ATPase que le phosphate dégage induisant un retour a la conformation initiale permettant d’amener les K+ dans la cellule. D. Les pompes de type V fournissent l’ATP que les autres pompes utilisent E. Les transporteur ABC ne sont pas activés par l’ATP 37. Concernant les courants ioniques : A. Un courant sortant positif peut être du a une entrée d’anions B. Au potentiel de repos la somme des courants ioniques ≠ 0 C. L’hyperpolarisation correspond à une déviation transitoire du potentiel de membrane vers des valeurs plus positives D. Un courant entrant est du à une entrée d’anions E. La conductance totale est majoritairement influencée par celle du Na 8 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 38. la diffusion facilitey : A. Se fait grâce à un uniport B. Un canal ionique doit être ouvert par un changement de conformation pour laisser passer la molécule alors que l’uniport s’active et change de conformation une fois son substrat lié sur lui. C. Un canal ionique est bien plus rapide qu’un uniport D. A l’inverse de la diffusion simple, la diffusion facilitée n’atteint jamais une saturation 39. Autres formes de transport : A. Le transport secondairement actif utilise directement de l’ATP B. Le symport Na-X est très utilisé dans le cadre du transport vectoriel (a travers une cellule) C. L’antiport NCX est est toujours chargé d’évacuer le Ca de la cellule D. Le symport SLGT-1 transporte 1 Na et 1 Glucose simultanément 40. Une solution de 200 mmol/L de NaCl : A. Est hypotonique B. Est hyperosmotique C. Est une solution optimale pour l'injection d'un médicament D. Fait gonfler les globules rouges 41. Transport de l’eau : A. L’osmose est un phénomène de diffusion active B. Une solution de 100mM de NaCl a une osmolarité de 100mOsm C. Une osmole ineffective traverse pas la membrane D. Il est possible d’être dans un milieu hyperosmotique mais hypotonique E. L’urée est une osmose effective 42. Flux d’eau : A. Dans le cas d’un capillaires les ions ne sont pas omsotiquement actifs B. Pour une différence d’osmolarité donnée le flux d’eau sera faible si le soluté est imperméable C. La pression oncotique tire l’eau en dehors des capillaires D. Une pression hydrostatique trop basse entraine des œdèmes E. L’AVP entraine l’exocytose des AQP3 9 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Tissus nerveux 43. Concernant le neurone : A. Les corps de Nissl sont des amas de ribosomes responsables de la couleur de la matière blanche B. La traduction des protéines est limitée au soma C. Les boutons terminaux sont directement connectés au Soma D. L’axone hillock correspond au départ de l’axone et est suivi de l’AIS (riche en canaux Na Voltage-dépendants qui sont ancrés par l’ankyrin G) E. Le transport rétrograde (depuis la périphérie vers le soma) implique des kynésines 44. Le cytosquelette neuronal : A. La protéine Tau se lie au MT, dans la maladie d’Alzheimer cette liaison a lieu en trop grande quantité (Taupathies) B. Le neurofilaments (FI) déterminent le diamètre de l’axone C. On parle de transport lent quand on utilise des protéines liées au MT D. Le cytosquelette du neurone n’est pas modifiable, le concept de plasticité ne s’applique pas 45. Concernant les différents types neuronaux, est vrai : A. Le neurone multipolaire est le modele le plus courant (notamment les neurones moteurs de la ME) B. Le neurone bipolaire est surtout représenté par les neurones sensitifs (olfactifs, rétine, auditif) C. Les neurones sensoriels du SNP sont bien représentés par les neurones pseudo- unipolaires D. Les neurones pyramidaux constituent 70% des neurones du cortex cérébral et dégénèrent dans la sclérose latérale amyortophique 46. A propos de la synapse : A. Plus une synapse sera loin du hillock (ou du soma en général) plus elle sera efficace B. Une synapse électrique est forcément excitatrice C. Lors d’une synapse chimique la conductance passe de sodique a calcique D. Un neurone peut sécréter plusieurs types de NT E. Le GABA et le Glutamate sont les principaux NT excitateurs du SNC 47. Parlons peu, parlons glies : (Rappel : y en a plus que les neurones 5-50x plus) A. Les cellules de Schwann constituent la gaine de myéline dans le SNC B. La BHE est constituée par les podocytes astrocytaires C. Les oligodendrocytes myélinisent un seul axone dans le SNC D. Les cellules ependymaires forment la paroi des ventricules dans le SNC et sécrètent le liquide céphalo-rachidien E. Les microglies servent a la gliose post-lésionnel 48. Les astrocytes ont des rôles très important dans le SNC, on peu dire que : A. Elles servent de tampon pour différentes molécules extracellulaires (K+, Glu) B. C’est la neuroglie la moins abondante C. La BHE est perméable aux substances liposolubles D. L’alcool, l’O2, le CO2 la nicotine et les anesthésiants y ont des transporteurs spécifiques 10 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 49. Concernant la myéline : A. Le processus de myélinisation se termine vers 11-12 ans B. La sclérose en plaques est une maladie démyélinisante du SNC C. Sur un axone non-myélinisé la conduction du PA est saltatoire D. Diminue la vitesse de conduction du PA E. Les fibres de douleurs sont myélinisées 50. Concernant le liquide céphalo-rachidien, est vrai sauf : A. Synthétisé par le plexus choroïde, sort par le 4ème ventricule et entoure le cerveau B. L’analyse du LCR permet de dépister des pathologies C. Il est réabsorbé par les sinus veineux au niveau des granulations arachnoïdiennes D. On réalise les ponctions au niveau de la base de la nuque E. Les cellules ependymaires aident a sa circulation 51. Un peu de culture sur les neurotransmetteurs : A. Peu être un gaz B. Une des propriété du NT est qu’il doit y avoir un mécanisme qui se charge de diminuer sa concentration après son relarguage C. L’ACh est le seul NT qui se fait dégrader dans la fente synaptique (si on veut) au lieu d’une recapture simple D. Une application exogène du NT ne produit pas le même effet 52. Vous connaissez l’ACh ? Est vrai : (JNM = jonction neuromusculaire) A. Sa dégradation par AChE forme un acétate et une choline B. ChAT couple un acétate et une choline pour sa formation C. Dans le cas d’une myasthénie grave, des anticorps attaque l’ACh dans la JNM D. La Latrotoxine exerce effet de type agoniste en provoquant un relarguage d’ACh 53. Les catécholamines : A. Derivent de la tyrosine B. Comprend : adrénaline, noradrénaline, dopamine et serotonine C. Sont dégradés par COMT qui leur est spécifique et MAO qui est spécifique aux monoamines D. La dopamine passe la BHE mais pas L-Dopa 54. Le parkinson A. Causé par une dégénérescence des neurones du striatum B. Peut être traité en administrant de la dopamine C. Implique un problème dans la communication nigrostriée (communication entre la substance noire et le striatum) D. Entraine des mouvements très rapides et incontrôlables E. Améliore les compétence de branlette 55. La serotonine : A. Est un monoamine de la famille des indolamines B. Sa synthèse se fait a partir du tryptophane C. Une recapture trop efficace de la serotonine augmenterait la susceptibilité a déprimer D. Ne peu pas être dégradée par MAO 11 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 56. Le glutamate et GABA : A. LE Glutamate est le NT inhibiteur par excellence du SNC B. GAD est responsable de synthétisé le glutamate en decarboxylant le GABA C. L’alcool ou les benzodiazépines active le récepteur au GABA D. Le récepteur GABAA est couplé a une conductance au Cl- E. Le GABA a uniquement des récepteurs ionotropiques 57. Concernant le relarguage vésiculaire : A. Un défaut d’une pompe de type V sur une vésicule dans le neurone pré-synaptique empêcherait secondairement le remplissage de cette vésicule de NT B. L’entrée de calcium en pré-synaptique et sa liaison a la synaptotagine permet la fusion e la vésicule a la membrane C. Une inhibition de la degradation d’un NT (par exemple des organophosphorées qui inhibent l’AChE) est un effet de type agoniste D. Un Petscan permet entre-autres de voir la consommation de glucose du cerveau et donc d’observer son métabolisme E. Toute ces réponses sont justes 58. A propos de l’anatomie du cerveau : A. La fissure rolandique est aussi appelée sillon latéral B. La fissure sylvienne sépare les lobes frontaux et pariétaux du lobe temporal C. Le corps calleux est une fibre associative D. Ce qui est rostral au sillon central est somato-sensoriel E. Le lobe occipital est impliqué notamment dans la mémoire et l’audition 59. Concernant la somatotopie corticale : A. L’aire de Broca est impliquée dans la motricité de la parole et se trouve dans le libre frontal B. L’aire de Wernicke est impliqué dans la compréhension e la parole et se trouve dans le lobe temporal C. Des régions proches sur le corps ne sont jamais traitées par des régions proches dans le cerveau D. Les aires de Brodmann, bien qu’ayant des fonctions différentes ne sont pas différentes sur le point de vue histologique 60. Un de vos patients vient vous voir pour des maux de tête, et comme vous êtes un génie, vous repensez a votre troisième cours d’organisation sur les tissus nerveux et vous pouvez affirmez que : A. Un hématome épidural du à la rupture d’une veine pourrait être la cause de cette douleur B. L’accumulation de sang dans un hématome subdural serait rapide a cause de la haute pression des vaisseaux lésés C. Si vous lui faites une ponction lombaire vous devez percer la dure-mère et la pie-mère D. Le LCR que vous voulez prélever circule entre l’arachnoide et la dure-mère 61. Concernant la différenciation neuronale dans le développement : A. La marquage via de la thymidine radioactive permet de montrer le développement de l’intérieur vers l’extérieur des couches corticales B. Les progéniteurs neuronaux sont statiques C. Les astrocytes sont formés avant les neurones D. Une fois le développement cérébral terminé, l’intégralité des neurones perd la capacité de se diviser E. Les interneurones inhibiteurs se développent la ou ils feront leur synapse, afin que leur régulation inhibitrice soit la plus précise possible 12 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 62. Le genre de question que t’as pas envie d’avoir. Concernant l’information de position dans le névraxe, il y a une polarisation par gradients d’indicateurs de position, est vrai : A. SHH est un indicateur ventral B. Il n’y a pas d’indicateur rostral, on parle plutôt d’une absence de caudalisation C. BMP et Wnt sont des indicateurs dorsaux D. L’acide rétinoïque et Wnt sont des indicateurs caudaux (caudals ?) 63. Concernant le guidage axonal et le mécanisme de décussation : A. NGF est un neurorepellant B. La Netrin est reconnue par les récepteurs Robo 1 et Robo 2 C. Les neurones commissuraux croisent plusieurs fois la ligne médiane D. Un trouble dans la decussation peut avoir lieu si le neurone commissural ne cesse pas d’exprimer Robo 3 après avoir traversé la ligne médiane E. Slit permet de polymériser l’actine dans les neurones 13 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 ADNprot 64. Concernant l’opéron lactose. Une bacterie possède une mutation sur le gène régulateur et le répresseur est inactif : A. C’est une mutation dominante B. Si on insère un gène régulateur intact, on retrouve le phénotype sauvage C. La ß-galactosidase n’est pas exprimé chez cette bactérie D. C’est seulement dans le cas ou le site opérateur est muté qu’introduire un site opérateur intact permettra de retrouver le phénotype sauvage E. Si on insère un gène régulateur intact, on produira quand même de la ß-galactosidase en absence de glucose, mais moins 65. Concernant les bases de l’ADN : A. Un nucléoside possède un phosphate B. Les bases se lient entre elles selon un modèle purine-purine ou pyrimidine-pyrimidine C. Le groupement phosphate est en 5’ D. Les trois éléments fondamentaux des bases sont : un sucre + une base + un ethanol E. L’ARN possède des désoxyriboses au lieu de riboses 66. Vous analysez votre ADN en laboratoire et le pourcentage de liaison A-T est de 78%, vous pouvez affirmer que le pourcentage de C est de : A. 22% B. 3.5% C. 36% D. 11% E. 78% 67. Est vrai : A. La transduction correspond a un transfert de l’ADN de l’hote par des bactériophages et des rétrovirus B. La conjugaison permet au bactéries de se transférer de l’ADN C. Si une enzyme de restriction reconnait 3 nucléotides, lafréquence de coupure est de (1/2)3 D. Pour le clonage, on a uniquement besoin d’une ADN ligase afin de « coller » l’ADN qu’on veut dupliquer 68. Lors de la réplication : A. Les fragments d’okazaki se forment sur le brin précoce B. Est conservative C. L’ADNpol ne nécessite pas d’amorce D. La topoisomérase 2 réduit la tension lors du super enroulement E. La télomérase est une rétrotranscriptase 69. Encore un peu de réplication, est vrai : A. La télomérase rallonge le brin parental (continu) qui servira de matrice au brin tardif B. Les analogues de nucléotidesutilisés dans les traitements anti-viraux ont un 3’OH C. La télomerase est une ADNpol a matrice ARN et amorce ARN D. Les anticancéreux peuvent cibler les topoisomérases ou la télomérase 14 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 70. Concernant les différentes mutations de l’ADN : A. Une transition correspond a un changement purine-pyrimidine B. Une délétion est plus grave qu’une insertion C. L’ADNpol a une activité exonucléase 3’-5’ D. C’est grâce au tri-phosphate mal positionné que l’ADNpol se rend compte du mésappariement E. On estime la perte de pyrimidines a 5000/jour/cellules 71. Concernant les mécanismes de réparation de l’ADN, est vrai : A. Une désamination se répare par recombinaison homologue B. Les UV peuvent induire des dimères de pyrimidines qui nécessitent des endonucléases pour se faire réparer C. Lors d’une recombinaison homologue, il y a forcément échange de materiel génétique D. Les rayons UV peuvent également briser l’ADN double brin, une solution possible pour réparer bien que pas optimale serait une NHEJ (jonction non-homologue) 72. Concernant la recombinaison : A. Le recombinaisons site spécifique implique des recombinases B. Un NHEJ est un bon exemple de recombinaison inégale C. Une recombinaison inégale peut être homologue D. Transposons et retrotransposons sont des cas de recombinaisons site-spécifique 73. Est vrai concernant le génome : A. La complexité d’un organisme dépend du nombre de chromosomes B. Une cellule contient plus d’ARN que d’ADN C. La complexité d’un organisme et la taille de son génome ne sont absolument pas liés D. Le genome ne prend pas en compte les séquences non-codantes E. Dans le génome humain, les introns sont plus petits (en règle général) que les exons 74. A propos des gènes : A. Des gènes orthologues sont des gènes au sein de la même espèce découlant du même gène ancestral B. Des gènes paralogues sont issus d’un événement de duplication survenu au sein de la même espèce C. Un gène orthologue ne peut pas être homologue D. Le nombre de gènes pour lesquels il existe des gènes orthologues entre deux organismes est proportionnel au nombres d’années qui les sépare du dernier ancêtre commun 75. Est faux concernant la compaction de l’ADN : A. L’hétérochromatine est la forme la plus compactée de l’ADN B. L’histone H1 bloque l’ADN autour des octamères d’histones afin de stabiliser le tout C. Les octamères d’histones sont composées de deux copies des histones H2A, H2B, H3, H4. D. Lors de la mitose, la chromatine est sous forme d’euchromatine E. Le premier état de condensation de l’ADN est le nucléosome 15 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 76. Concernant la transcription génique : A. Chez les procaryotes, le processus d’expression génique se fait dans des compartiments séparés B. Chez les eucaryotes, en conditions physiologiques il est normalement impossible de trouver des transcrits primaires dans le cytoplasme C. C’est l’ARNpol qui choisit le nucléotide a appareiller D. Un gène de ménage est activé en permanence 77. Est vrai concernant l’ARNpolymérase : A. Fait moins d’erreur que l’ADNpol B. Chez les virus il existe 3 ARNpolymérases différentes C. Vous observez des similarités dans des sous-unités d’ARNpol de procaryotes et d’eucaryotes, vous en concluez qu’elles sont codées par des gènes paralogues D. Les ARNm on une forme bien précise E. C’est l’ARNpol 1 des eucaroytes qui synthétise les ARN ribosomaux 78. Concernant les différents ARN : A. L’ARNr représente 10-15% de la masse totale d’ARN dans une cellule B. UN ARNm eucaryote code pour une seule protéine C. Les petits ARNs n’ont pas encore de fonction connue D. Un exon est purement codant 79. Est vrai concernant la maturation des ARNm : A. Le transcrit primaire ne possède pas encore la coiffe et la queue poly-A B. Une Uracile est un élément clé pour le mécanisme de l’épissage, et des mutations a cet endroit peuvent provoquer des maladies graves C. Les modifications de maturation des ARNm sont co-transcriptionnelles D. C’est la CTD de l’ARNpol 3 des eucaryotes qui permet ces modifications car elles portent les facteurs de coiffage, d’epissage et de polyadenylation E. La poly-A polymerase est une ARNpol nécessitant une matrice 80. Est une affirmation correcte concernant les promoteurs : A. Détermine le niveau d’expression du gène en aval B. Le séquence TATA contient le point d’initiation de la transcription C. Les ARNpol peuvent se lier seules au promoteur D. Indique la position et la direction notamment grâce au facteur général de transcription TF2D E. Les promoteurs varient d’un gène a l’autre 81. Concernant les régulateurs : A. Est reconnu par un facteur régulateur (ou activateur) que sous forme d’ADN bicaténaire B. Sont similaires pour tout les gènes C. Détermine l’accessibilité d’un promoteur D. Un groupe de régulateurs précédant un gène s’appelle un amplificateur 82. Concernant les activateurs : A. La dimérisation des activateurs augmente la force, mais réduit la spécificité de l’interaction B. C’est le domaine d’activation qui dicte la spécificité de l’activateur C. La grande majorité des activateurs se lient dans le petit sillon de l’ADN D. Le controle combinatoire augmente le nombre de profils d’expressions E. Le domaine d’activation fonctionne toujours via un coactivateur 16 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 83. Concernant les structures des protéines : A. La structure tertiaire correspond au repliement local des acides-aminés en hélices ou feuillet B. Toutes les protéines n’ont pas de structure quaternaire C. La forme typique des ARNt est un exemple de structure secondaire D. L’hélice proline est un motif de structure quaternaire E. La séquence secondaire correspond a un agencement en domaines stables 84. La séquence d’acides aminés définit la structure primaire, est vrai : A. Tout les acides aminés ont des stéréosiomères L et D B. Les patients atteints de phénylcétonurie ne doivent pas consommer de phénylalanine C. La formation d’une liaison peptidique est thermodynamiquement favorable D. Dans nos protéines on ne trouve que des acides-aminés D 85. Concernant les liaisons chimiques : A. Les forces de Wan der Wals ne sont efficaces qu’a courte distance B. Les structures secondaires et tertiaires dépendent de liaisons non-covalentes faibles C. Les liaisons ioniques sont des interactions covalentes D. Si on brise les ponts disulfure de l’insuline, on observe une dénaturation de la protéine 86. Concernant le ribosome : A. Est formé d’ARN et de protéines B. La petite sous-unité catalyse la formation de la liaison peptidique C. La grande sous-unité est responsable de la reconnaissance de l’ARNm par le bon ARNt D. La grande sous-unité avance lors de l’hydrolyse du GTP amené par le facteur EF-G E. L’arrivée du facteur EG-F couplé a un GTP fait avancer la petite sous-unité 87. Concernant les protéines mal repliées : A. Les protéines chaperonnes utilisent pour la plupart du GTP B. C’est l’ubiquitine ligase E3 qui permet de passer l’ubiquitine sur la protéine qui sera dégradée C. Les DUB sont des protéines qui dégradent l’ubiquitine après utilisation D. C’est l’exposition des acides aminés hydrophiles qui indiquent qu’une protéine est mal repliée E. Une structure de type « globule fondu » a une structure tertiaire correcte mais secondaire incorrecte 88. Est vrai concernant les synthétases : A. Discriminent facilement les acides aminés apolaires B. Les liaisons Wan der Wals permettent une bonne discrimination C. L’aminoacyle-ARNt-synthétase transfert l’acide aminé sur l’ARNt pour former une liaison esther D. Il existe une dizaine de synthétases E. Une synthétase pour acide aminés polaires a deux poches de synthèse pour diminuer son taux d’erreur 89. Concernant l’initiation de la traduction : A. Chez les eucaryotes, la petite sous-unité ribosome est déjà en association avec l’ARNt Met (codon d’initiation) B. Les eucaryotes ont des sites de liaisons aux ribosomes sur l’ARNm C. Le facteur d’initiation elF2 se fait hydrolyser lors de l’arrivée de la grande sous-unité D. Les procaryotes n’ont pas de coiffe en 5’ 17 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 90. A propos des facteurs d’élongation : A. Lorsqu’un nouvel ARNt arrive sur le site A il est couplé au facteur EF-G B. Le facteur EF-Tu a une fonction de relecture C. Le facteur EF-G sert faire avancer la grande sous-unité et catalyser la liaison peptidique D. EF-G a une fonction GTPase intrinsèque 91. Concernant des mécanismes de régulation : A. L’ARNm codant pour la transferrine se fait dégrader en présence de fer B. L’ARNm de la ferritine est réprimé en présence de fer C. Une phosphatase déphosphoryle elF2-GDP ce qui l’amènera a séquestrer elF2B D. Une régulation d’un ARNm en 5’ régule sa stabilité E. Une régulation en 3’ d’un ARNm régule l’initiation de la traduction 18 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Système nerveux 92. Concernant les aires corticales motrices : A. Les corps cellulaires des neurones du tractus corticospinal ne sont que dans le cortex moteur primaire B. L’aire motrice supplémentaire est activée par stimulus visuel C. Vous êtes en train de jouer du piano, c’est le cortex prémoteur qui vous le permet D. Le cortex moteur primaire est toujours activé en premier E. L’aire motrice supplémentaire n’est pas impliqué dans les mouvements simples 93. Concernant les motoneurones : (NB : TCS = tractus corticospinal) A. Une atteinte du MN supérieur entrainera des fasciculations du muscle concerné B. Le réflexe de Babinski correspond a une attente du MN supérieur C. La sclerose latérale amyotrophique ne concerne que les MN inférieurs D. Les MN du TCS antérieur ont une connexion monosynaptique E. Les MN-alpha sont des MN supérieurs 94. Concernant les voies motrices : A. Dans la voie directe, le putamen active le globus pallidus externe B. La dopamine excite la voie directe via les récepteurs D2 C. Une sur activation de la voie directe peut entrainer une hypokinésie D. Dans le maladie de Huntington, la voie indirecte est sur-stimulée E. Dans l’hémibalisme, on ne peut plus activer le globus pallidus interne et la voie directe est sur-stimulée 95. Est vrai concernant les différentes étapes du potentiel d’action : A. Un neurone en train de se dépolariser a ses canaux potassiques ouverts B. La repolarisation a lieu lorsque le potentiel de membrane tend vers le potentiel d’équilibre du sodium C. Les PA ne sont pas additionables à cause de la période réfractaire D. La « porte interne » des canaux sodiques se ferme suite a une haute dépolarisation 96. Concernant la transmission synaptique : A. Dans une fibre non-myélinisé le PA est un phénomène autorégénératif B. Un potentiel postsynaptique inhibiteur peut se faire via l’entrée de chlore C. La conduction saltatoire est impossible si l’axone est myélinisé D. Dans un segment myélinisé, la densité en canaux sodiques est élevée 97. Différence entre potentiel d’action et potentiel post-synaptique (PPS) : A. Un PPS a une amplitude variable B. La sommation de PPS est impossible a cause de la période réfractaire C. Le PPS est plus court que le PA D. La PA implique directement des récepteurs ionotropiques ouverts par des NT E. Le PPS implique des récepteurs voltage dépendants 98. Concernant les différents récepteurs qu’on a vu cette année : A. mGluR est un récepteur ionotropique B. GABAB est un récepteur métabotropique C. NMDA est un récepteur ionotropique spécifique au Na D. L’adrénaline ne possède pas de récepteurs ionotropiques 19 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 99. Concernant la machinerie de fusion vésiculaire : A. La syntaxin est une protéine vésiculaire B. La toxine botulique clive la synaptobrevine C. La synaptotagmine change de conformation lors de l’augmentation de la concentration de Ca cytoplasmique ce qui permet la fusion vésiculaire D. VAMP/synaptobrevin est une protéine membranaire E. Lors de la phase de docking, la vésicule fusionne déjà partiellement avec la membrane cellulaire 100. Concernant la plasticité à court terme : A. Une synapse avec une haute probabilité de libération aura tendance à faciliter B. Sont des mécanismes largement postsynaptiques C. Les mécanismes de facilitation impactent sur la concentration de Ca intracellulaire en pré-synaptique D. Un neurone dans lequel plusieurs messages suivis et soutenus importent aura plus tendance à déprimer 101. Concernant la plasticité a long terme : A. La potentielisation a long terme dans le cervelet consiste en premier lieu a l’externalisation de récepteur AMPA B. Si l’événement post-synaptique a lieu avant l’événement présynaptique, l’ion Mg dégage et on assiste a une potentialisation à long terme C. La dépression a long terme dans le cervelet implique le recrutement de phosphatases D. La concentration de Ca intracellulaire en post-synaptique influence sur l’évolution en une LTP ou LTD E. Si on bloque mGluR, on agit sur la plasticité de l’hippocampe 102. Est un technique d’imagerie irradiante : A. Une angiographie par CAT-scan B. IRMf C. NIRS D. MEG 103. Est un effet du SNAS : A. La faciale (ejaculation) B. Mydriase C. Augmentation du péristaltisme dans le tube digestif D. Bronchodilatation 104. Un patient vous annonce que sont champ de vision est anormal et que certaines parties ne sont plus que des taches noires. Vous allez lui faire passer des examens, mais vous pouvez déjà affirmer que : A. Une lésion au niveau du chiasma optique va toucher les fibres optiques temporales B. Une lésion du tractus optique gauche post-chiasmatique entrainerait une hémianopsie homonyme droite C. Si la lésion est proche du cortex, son champ de vision sera plus touché que si elle est proche de la rétine D. Une lésion du nerf optique gauche entraine un anopsie droite E. Lors d’une hémianpsoie bitemporale, les deux fibres nerveuses temporales sont touchées 20 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 105. Est vrai concernant le SNA : A. Le SNAP n’a aucun effet sur les glandes sudoripares B. Le SNAS est uniquement adrénergique C. Les nerfs du SNAS quittent le SNC à deux niveaux, via les nerfs craniaux et le plexus sacré D. Le ganglion coeliaque fait partie de la chaine paravertébrale E. On ajuste le SNAP selon les contextes pour diminuer le tonus constant exercé par le SNAS 106. Concernant la transmission dans le SNA : A. La récepteur M3 entraine une diminution du rythme cardiaque B. Les récepteurs ß-1 exercent le même effet que les récepteurs M2 C. Les récepteurs a-adrénergiques sont couplés a PLC via GaQ D. La néostigmine est un inhibiteur irréversible de l’AChE E. Les récepteurs ß-2 entrainent une bronchoconstriction 107. Concernant l’histogenèse nerveuses : A. Dans le tube neural, la couche du manteau forme la matière blanche B. Le cortex possède une deuxième couche mitotique, la granulaire externe C. Dans le tube neural, la matière grise est en périphérie D. Dans le cortex, il a une invasion des neurones de la couche intermédiaire dans la couche marginale afin de former les 6 couches du néocortex E. La couche ventriculaire deviendra la dure-mère 108. Dérivent des cellules des crêtes neurales A. Oligodendrocytes B. Cellules de Schwann C. Cortex surrénalien D. Ganglion coeliaque 109. Est vrai : A. Le mésencéphale dérivent du Télencéphale B. Le cortex dérive du Télencéphale C. Le cervelet dérive de la partie dorsale du Métencéphale D. Le diencéphale est a l’origine des vésicules optiques 110. Concernant les malformations du système nerveux : A. Une spina bifida est une fermeture incomplète du tube neural B. Une anencéphalie découle d’une fermeture précoce du neuropore antérieur C. Un medulloblastome est une tumeur du cortex suite à une prolifération excessive D. Un manque de SHH peut entrainer une cyclopie 111. Concernant la signalisation dans les mécanismes du développement : A. Le gradient de Shh dirige la polarité ventrale B. Wnt et TGFß vont diriger la différenciation des neurones sensitifs C. La rostralisation se fait grâce a une absence de signaux caudalisants D. Une notochorde placé latéralement au tube neural sera capable d’induire au zone ventrale lattéralement E. Toutes ces réponses sont justes 21 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Systeme endocrinien 112. Lesquelles de ces généralités sur les hormones sont vraies : A. Les hormones thyroïdiennes circulent liées a une protéine plasmatique B. Les peptides et cathécolamines ont des effets plus lents que les hormones stéroidiennes C. Le système endocrinien ne passe pas nécessairement par le compartiment sanguin D. L’effet d’une hormone est invariante selon la T° corporelle 113. Est vrai concernant le système hypothalamohypophysaire : A. L’hypothalamus a une système porte B. L’hypothalamus forme la paroi du 3ème ventricule C. Les hormones hypophisiotropes sont les hormones de l’hypophyse agissant sur le corps et les organes D. L’hypophyse antérieur n’est composée que de tissus nerveux E. L’hypothalamus remplit essentiellement une fonction endocrine 114. L’ocytocine : A. Inhibe l’éjection du lait pendant la lactation B. Inhibe les contractions utérines pendant l’accouchement C. Est synthétisée par des neurones hypothalamiques D. Est libérée dans le système porte hypothalamo-hypophysaire E. N’est pas produite chez l’homme 115. L’ocytocine et l’AVP sont très semblables, est vrai : A. Les copeptides produits lors du clivage de leur prohormone ont une activité physiologique B. Ces hormones ne sont pas synthétisées dans les mêmes noyaux hypothalamiques C. Un neurone peut sécréter les deux hormones D. Proviennent de cellules dites « magnocellulaires » 116. Les hormones hypophysiotropes : A. Sont sécrétées par l’hypophyse postérieure B. Sont des peptides C. Ont des récepteurs nucléaires D. Ont plusieurs organes cibles E. Synthétisées dans des neurones parvocellulaires 117. Un jeune patient vient vous voir avec une hyperosmolarité plasmatique, une hypernatrémie et une hypoosmolarité urinaire, vous soupçonnez : A. Diabète insipide B. Maladie de sécrétion de vasopressine inadéquate C. Problème de sécrétion d’ocytocine D. Déshydration E. Toutes ces réponses sont fausses 118. Concernant l’hypophyse antérieure et les hormones hypophysiotropes : A. Les neurones a GHRH passent par la zone externe de l’éminence médiane B. L’hypophyse antérieure ne secrète que des hormones qui sont des protéines monomeriques C. Les hormones hypophisiotropes en provenance de l’hypothalamus passent par le système porte D. On retrouve 6 types cellulaires dans l’hypophyse antérieure, qui sécrètent 6 hormones différentes 22 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 119. Concernant le rétrocontrôle sur l’axe hypothalamo-hypophysaire : A. Une hormone peut exercer un rétrocontrôle sur 2 autres hormones B. Dans la boucle courte, CRH inhibe ACTH C. TRH inhibe la production de TSH D. L’ocytocine exerce un rétrocontrôle sur la neurohypophyse 120. Est un effet des hormones thyroïdiennes, sauf : A. Potentialisation des effets du SNAS via une augmentation et une meilleure affinité des récepteurs ß-adrénergiques B. Nécessaire a la maturation pulmonaire durant le développement C. Thermogenèse via expression de UCP D. Augmentation de la Psanguine E. Maturation foetale et périnatale du SNC 121. Concernant le mode d’action des hormones thyroïdiennes : A. T4 exerce un rétrocontrôle sur l’axe hypothalamo-hypophysaire B. Tous les tissus ont des récepteurs aux hormones thyroïdiennes C. D3 active T4 en T3 sur la membrane plasmique D. Le récepteur MCT8 permet de faire rentrer T4 dans les cellules du système nerveux E. On utilise surtout D2 en période de jeune afin de réduire le métabolisme de base 122. Est une affirmation vrai sur l’axe thyréotrope : A. Le stress stimule l’axe thyréotrope B. TSH a un effet trophique sur la cellule folliculaire C. TSH a une régulation circadienne et homéostatique D. T3/T4 sont auto-régulés 123. A propos des pathologies thyroïdiennes : A. Une hypothyroidisme chez l’enfant entrainera une nanisme sans obésité B. Une Euthyroidie est un manque total en iode C. Un manque d’hormones thyroïdiennes chez l’adulte peut entrainer des œdèmes généralisés D. Dans la thyroïdite de Hashimoto, des anticorps anti-récepteur a TSH miment l’action de TSH. E. Une mutation de D2 peut entrainer une hypothyroïdie 124. Le goitre, c’est sympa, mais vous savez ce que c’est ? Est vrai : A. la maladie de Graves (Basedow) est une maladie auto-immune B. Il n’y a pas de rétrocontrôle dans un goitre hypothyroïdien C. Une exophtalmie est une des conséquences d’un goitre hyperthyroïdien D. Un goitre est un adénome 125. Concernant les effets métaboliques de GH : A. Stimule la protéolyse B. Stimule la glycogénolyse C. Augmente la sensibilité a l’insuline D. Est hyperglycémiante 23 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 126. Est une affirmation correcte concernant les effets sur la croissance de GH : A. Agit directement sur l’os et le muscle squelettique durant l’adolescence B. La somatomédine n’exerce pas de rétrocontrôle C. IGF-1 agit uniquement de manière endocrine D. En periode de jeune vous sécrétez de l’IGF-1 afin de maintenir la glycémie E. Les effets sur la croissance de GH ne sont déclenchés qu’en présence d’IGF-1 127. Concernant la secretion de GH : A. La secretion est pulsatile B. Elle est régulée par un rythme circadien/homéostatique C. Elle est régulée par un rythme ultradien D. Est stimulée par la ghréline E. Toutes ces réponses sont justes 128. Peut être une cause de nanisme : A. Déficit de GH ou IGF-1 B. Adénome sécrétant du GH C. Syndrome de Laron D. Récepteurs a GH défectueux 129. A propos de la prolactine : A. Est relâché suite a l’activation des neurones dopaminergiques B. Peut être produite lors d’une hypothyroïdie C. Est tout de suite stimulus-dépendante lors de l’allaitement D. Stimule la production de GnRH E. A son effet lactogénique augmenté par le progestérone 130. Pathologies et prolactine, est vrai : A. Une sécrétion excessive de prolactine peut induire la stérilité chez les deux sexes B. Les opiacés peuvent induire une hyperprolactinémie C. Une hypoprolactinémie hors période de lactation n’a pas de conséquences D. Lors d’une acromégalie chez l’homme il peut y avoir une galacthorrée 131. Concernant l’axe corticotrope et les surrénales : A. Les différentes zones du cortex surrénalien sont différenciées par leur pool enzymatique B. La medulla représente 80% du volume de la glande C. La zone reticularis produit des glucocorticoides D. La protéine StAR est nécessaire a l’entrée du cholestérol dans la cellule E. Les minéralocorticoides ont des propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives 132. Est une affirmation vraie sur la régulation des hormones de l’axe corticotrope : A. Est uniquement régulée par le rythme circadien B. La sécrétion d’ACTH s’amplifie en fin de journée C. Dès qu’un stress disparait, l’organisme retrouve dans les heures qui suivent sa concentration basale de cholestérol D. Le noyau suprachiasmatique est responsable du contrôle du rythme circadien E. Un stress peut uniquement activer le SNAS 24 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 133. Concernant le clivage de la prohormone de l’ACTH, POMC : A. Dans les neurones corticotropes, ce clivage peut donner de la ß-endorphine B. Lors d’une hyposécrétion d’ACTH, ACTH peut se lier aux récepteurs d’a-MSH et induire une mélanodermie C. a-MSH entraine une diminution de l’appétit lors de sa liaison sur les neurones hypothalamiques D. La ß-endorphine augmente la sensibilité a la douleur 134. Est vrai à propos de l’action d’ACTH : A. Une hyper sécrétion d’ACTH entraine un hypoplasie du cortex surrénalien B. Dans la zone glomerulosa elle active aussi tout les enzymes nécessaires a la synthèse du cortisol C. Active la protéine StAR dans les trois régions du cortex D. Sa demie-vie est de 10mn 135. A propos du cortisol, est vrai : A. Peut être convertie en cortisone dans le foie B. En absence de cortisol, chaque récepteur au cortisol est lié à sa chaperonne HSP C. La conversion en cortisone est irréversible D. La cortisol a une demie vie plus longue que la cortisone E. Circule principalement lié a l’albumine 136. Le cortisol joue un rôle important dans la survie et l’adaptation au stress, est vrai : A. Augmente le glycogénolyse B. A un effet inverse au glucagon C. Diminue l’absorption de glucose par le TA D. En condition chronique provoque une lipolyse incontrôlée E. Maintien l’anabolisme protéique 137. Est un effet correct du cortisol sur les différents systèmes de l’organisme : A. Joue un rôle plus important que T3 dans la maturation du SN pendant le développement B. Potentialise l’effet des catécholamines C. Fait varier le ratio ostéoblastes/ostéoclastes en faveur des ostéoblastes D. Diminue l’excrétion d’eau par le rein E. Entraine un épaississement de la peau 138. Concernant les pathologies reloues de Cushing : A. Est lié a un déficit de cortisol B. Dans la maladie de Cushing, la cause primaire est une tumeur sécrétrice d’ACTH C. La mélanodermie peut apparaitre dans le syndrome de Cushing D. Il y a une résistance à l’insuline et une hyperglycémie 139. Concernant l’autre pathologie reloue, celle d’Addison : A. Il y a une liaison d’ACTH sur les récepteurs de a-MSH entrainant une mélanodermie B. La cause primaire est une hypertrophie du cortex surrénalien C. Il y a un rétrocontrôle par le cortisol, mais il est inefficace D. La cortex surrénalien est fonctionnel 140. L’adrénaline et le cortisol participent à la réponse au stress, mais différemment : A. L’adrénaline stimule la glycogénolyse B. Le cortisol stimule la croissance C. Le cortisol est important dans la réponse rapide D. L’adrénaline a ses effets augmentés grâce au cortisol 25 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Système reproducteur Accrochez vous, va y avoir plein de questions sur les effets des hormones sexuelles. 141. Concernant certains effets des cellules de l’axe gonadotrope : A. La progestérone assure le développement de l’endomètre B. FSH stimule l’ovulation C. En cas de grossesse, hCG est produite par le corps jaune D. Les oestrogènes induisent la différenciation des cellules mammaires E. LH stimule la stéroïdogénèse 142. Concernant la stéroïdogénèse : A. Toutes les étapes se passent dans le RE B. Les organes stéroidogèniques sont le foie, les gonades et les surrénales C. Le LDL est une source potentielle pour la steroidogénèse D. LH est suffisante pour la production d’oestrogènes E. L’étape la plus importante concerne le transport du cholestérol vers le RE 143. Concernant le transport des stéroïdes : A. C’est la fraction liée aux protéines qui est biodisponible B. L’albumine a une faible affinité pour les stéroïdes C. Les différents stéroïdes sont en compétition pour se lier sur les protéines spécialisées D. Les protéines spécialisées ont une grande capacité de transport 144. Concernant les protéines spécialisées dans le transport des stéroïdes, CBG et SHBG A. Le CBG a plus d’affinité pour le cholestérol que la progestérone B. La DHT a l’affinité la plus forte pour SHBG C. Une augmentation de SHBG augmente le rapport T/E D. La thyroxine entraine une diminution du rapport T/E 145. Est vrai concernant la SHBG : A. Est un transporteur intracellulaire de l’oestrogène B. Lie l’oestrogène avec plus d’affinité que la testostérone C. Sa synthèse est régulée par l’oestrogène D. Modifie l’activité de la progestérone E. Possède un domaine N qui module l’ADN et un domaine C qui se lie au stéroïde 146. Concernant le mécanisme d’action des stéroïdes : A. La testostérone a des effets plus puissants que DHT en raison de sa plus grande affinité pour TR (Trécepteur) B. Leur action génomique est plus lente que leur action non-génomique C. Sur leur recepteur, c’est les doigts de Zinc qui permettent de moduler la transcription D. Les stéroïdes se lient sur l’extrémité N-terminale de leur récepteur E. Une liaison du complexe stéroide-recepteur sur l’ADN ne peut qu’activer la transcription 147. Est vrai a propos de la régulation de la stéroidogénèse : A. FSH active l’aromatise via l’adenylate cyclase B. Il n’y a aucune conversion d’androgènes en oestrogènes dans les testicules C. Les cellules thécales sont responsables de la conversion des androgènes en oestrogènes D. C’est FSH qui favorise l’entrée du cholestérol dans la mitochondrie 26 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 148. A propos du cycle menstruel : A. C’est le rétrocontrôle négatif de l’oestradiol qui entraine le pic de LH et FSH B. Durant la phase lutéale, il y a une forte augmentation de la sécrétion d’oestradiol C. LH permet le recrutement et la maturation des follicules pendant la première partie du cycle D. La sécrétion de progestérone après l’ovulation prépare le corps a une éventuelle implantation en lançant la différenciation des glandes mammaires ou de l’endomètre E. Le pic de FSH est plus important que celui de LH 149. Est vrai : A. L’oestriol est spécifique à la grossesse B. L’aromatase est également présente dans le tissus adipeux et la peau C. La progestérone est une hormone essentiellement féminine D. Une gynécomastie peut être due a une anomalie hépatique E. Toutes ces réponses sont justes 150. Est une affirmation juste concernant les androgènes : A. Les seuls androgènes actif sont T, DHT et DHEA B. L’androgène principal que l’on retrouve dans les ovaires est DHEA C. La testostérone peut exercer son rétrocontrôle négatif via une conversion en oestrogène par l’aromatase du SNC D. Une exposition a DHT dès la 7ème semaine du développement induira un phénotype masculin 151. Concernant les pathologies des androgènes : A. Une hypoplasie surrénalienne durant le développement peut entrainer une virilisation ou une ambiguïté sexuelle chez un foetus féminin B. Le syndrome de Cushing peut entrainer un hirsutisme chez la femme adulte C. Un défaut de conversion de T en DHT induira une cryptorchidie D. Un hypogonadisme masculin chez l’homme adulte n’a pas de conséquences notables 152. Est juste concernant la spermatogénèse : A. S’arrête plus ou moins au même âge que la ménopause B. A lieu dans les tubules séminifères C. Est contrôlée directement par LH et FSH D. Implique 3 divisions méiotiques E. Une spermatogonie B donne 16 spermatozoide 153. Concernant le système génital masculin, est vrai : A. La cellule de Sertoli a une origine épithéliale B. La cellule de Leydig produit l’ABP (androgen binding protein) C. Il n’y a plus de spermatogonies dans les tubes séminifères après la puberté D. Les spermatozoïdes sont mobiles dès la sortie du tube séminifère E. Le testicule est entouré d’une importante couche de cellules musculaires lisses 154. Est correcte concernant les étapes des la spermiogénèse : A. Le flagelle contient 9 paires de microtubules B. Il y a formation de l’accrosome, dont le produit de sécrétion (accrosine) servira à dégrader la corona radiata C. Il y a une condensation de la chromatine et diminution de la taille du noyau D. Les mitochondries de la gaine hélicoïdale sont regroupées dans la pièce intermédiaire 27 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 155. A propos de la mobilité du spermatozoïde : A. Dans le syndrome de Kartagener la kynéine est mutée B. C’est l’axonème qui donne sa mobilité au flagelle C. Les spermatozoïdes éjaculés sont encore immobiles D. La capacitation a lieu grâce a FPP 156. Est une affirmation correcte concernant le développement des follicules : A. Un follicule secondaire préantral a un développement hormono-dépendant B. Les follicules primordiaux ont une zone pellucide C. Le follicule secondaire antral a une lame basale D. Le stroma ovarien regroupe les cellules folliculaires E. Le follicule primaire a une couche de cellules folliculaires aplaties 157. L’ovocyte II : A. Est formé après l’ovulation B. Est formé après la fécondation C. Est entouré d’une zone pellucide D. Contient la même quantité d’ADN que le 2ème globule polaire E. A terminé sa méiose II 158. Concernant la fécondation : A. Les spermatozoides dégradent la zone pellucide grâce aux hyaluronidases B. La liaison du spermatozoide a la protéine ZP1 induit la réaction accrosomale C. Uniquement le noyau du spermatozoïde arrive a pénétrer dans l’ovocyte D. La réaction corticale empêche la polyspermie E. Un triploïdie est viable 159. La réaction acrosomale : A. Permet la fusion des membranes du spermatozoïde et de l’ovocyte B. Permet au spermatozoïde de traverser la corona radiata C. Modifie la zone pellucide pour éviter que d’autres spermatozoïdes la traverse D. Permet au spermatozoïde de traverser la zone pellucide E. Permet la réaction corticale 160. Le placenta est un dispositif complexe et couteux, mais qui améliore le rendement de la reproduction femelle et de la survie de la descendance, est faux : A. Est une barrière infranchissable B. Formé au cours de la deuxième semaine C. A une fonction respiratoire D. Empêche le rejet du conceptus E. Laisse passer l’ethanol 161. Concernant les villosités dans la formation du placenta : A. Les villosités primaires sont composées de colonnes de mésoderme extra-embryonnaire B. Les villosités tertiaires ont des vaisseaux sanguins C. Le vascularisation commence dans le mésoderme extra-embryonnaire D. Il y a formation d’une coque syncytiotrophoblastique 162. Est vrai à propos de l’évolution du placenta durant la grossesse : A. Le chorion lisse apparait au niveau de la décidue basale B. La décidue est un tissu embryonnaire C. La réaction déciduale modifie le tissus musculaire de l’utérus D. Au 3ème trimestre de la grossesse, le cytotrophoblaste a disparu des villosités 28 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 163. La môle hydatiforme : A. Est composée de tissus foetaux et placentaires B. Est un gynogénote C. Est triploïde D. Est un risque majeur de choriocarcinome E. On observe des niveaux d’hCG très bas 164. Concernant les différents trucs relous pouvant aboucher à un enfant pas tip-top : A. L’énantiomère R de la thalidomide est tératogène B. L’héparine traverse la barrière placentaire C. Le TSAF entraine des séquelles moins importantes que le SAF D. La tabac provoque des avortements spontanés E. La warfarin entraine des amélies 165. A propos de l’anatomie ovarienne : A. On retrouve les follicules et les cellules germinales dans la médulla ovarienne B. On ne retrouve plus de cordons d’ovogonies après la naissance C. Dans le mois précédant la naissance, on observe encore des ovogonies en prolifération D. Les taux d’hormones maternels sont suffisants pour observer des follicules secondaires 166. Est vrai : A. Apres l’ovulation, les cellules de la granulosa deviennent les cellules para-lutéales B. En cas de grossesse, le corps jaune secrète hCG pour assurer le maintien du placenta C. Chez l’homme, a la puberté FSH est sécrété avant LH D. Lors de la ménopause il y a une chute brutale de LH et FSH E. Les cellules supportrices des cellules germinales produisent de l’inhibine 167. Ont une couche épaisse de musculature lisse : A. Canal déférent B. Epididyme C. Vésicule seminales D. Prostate 168. Concernant les sécrétions des voies génitales masculines : A. Les tubes séminifères sécrètent la majeure partie du sperme B. La prostate permet la fluidification du sperme C. Les vésicules séminales ne sécrètent que 10% du sperme D. Les glandes bulbo-alvéolaires produisent les prostaglandines E. Le sperme est acide afin d’habituer les spermatozoïdes au pH du tractus féminin 169. Concernant la puberté masculine : A. La secretion de GnRH, LH et FSH est diurne puis nocturne B. Pendant la puberté la DHT augmente tellement qu’elle induit des effets sur les récepteurs à la testostérone C. Il faut des oestrogènes et de la testostérone pour un développement normal D. L’érection est un phénomène du système SNAS E. Les cellules de Leydig sécrètent l’ABP 29 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Système cardio-vasculaire 170. Est vrai A. Il est normal de voir une situation ou toutes les valves cardiaques sont ouvertes B. Tout le sang arrivant dans l’oreillette droite arrive par les veines caves C. Le coeur est le deuxième tissu le plus perfusé de l’organisme derrière le cerveau D. La valve aortique est une valve sigmoïde 171. Concernant la croissance du coeur : A. Il est possible de voir une hyperplasie du coeur chez l’adulte B. Une hypertrophie est forcément irréversible C. La grossesse entraine une hyperplasie cardiaque D. Une hypertrophie concentrique correspond a un ajout de sarcomères en parallèle E. Dans une hypertrophie excentrique, la paroi du coeur s’épaissit 172. Est une affirmation correcte concernant l’activité électrique cardiaque : A. Le faisceau de His a la conduction la plus rapide B. Un patient transplanté verra son coeur battre moins vite en raison du tonus basal C. La contraction se fait via des cardiomyocytes spécialisés D. Le tissu fibreux entre les oreillettes et les ventricules aide a la transmission du PA E. La contraction du coeur n’est pas influencée par le SNA 173. Est une veine qui transporte du sang artériel : A. Cave B. Porte C. Pulmonaire D. Iliaque E. Subclavière gauche 174. Est une fonction du système artériel : A. Distribution de la compliance B. Amortissement de la pression pulsatile C. Réserve de sang D. Echange O2/CO2 E. Régulation de la fréquence cardiaque 175. Concernant le cycle cardiaque : A. La contraction ventriculaire isovolumique est une étape de la diastole B. Lors du remplissage ventriculaire, les valves artérielles sont ouvertes C. Chez une personne au repos, 90% du remplissage ventriculaire est passif D. Le « boum-tchac » est lié a la fermeture des valves 176. Tu te rappelles du diagramme « pression-volume » ? A. Le volume télésystolique correspond au remplissage maximal du ventricule B. La relation pression-volume télédiastolique correspond à la compliance ventriculaire C. La fraction d’éjection est de 50% D. La valve mitrale se ferme a la fin de la systole E. L’inotropie (élastance active) est reflétée par le relation pression-volume télésystolique 30 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 177. Concernant la tension de Laplace : A. Une augmentation de la pression artérielle diminuera le débit cardiaque B. La précharge est la tension de Laplace durant la systole C. Un augmentation de la tension de paroi durant la systole augmente le volume d’éjection D. L’inotropie est influencée par le SNA 178. Influence positivement le volume d’éjection : A. Précharge B. Le SNAS C. La fréquence cardiaque D. La postcharge 179. Est un déterminant de l’amplitude du signal cardiaque enregistré par un ECG : A. Le calibrage de l’enregistrement B. L’axe de l’enregistrement C. La masse myocardique générant le courant D. La résistance a la conduction (quantité de tissu) E. Toutes ces réponses 180. Est vrai concernant la nomenclature de l’ECG : A. Une onde plus large est une onde plus longue B. Le complexe QRS correspond à la dépolarisation des ventricules C. L’onde P correspond à la repolarisation des oreillettes D. Les ventricules se repolarisent de l’extérieur vers l’intérieur 181. Concernant le sang : A. L’hématocrite est le pourcentage du sang occupé par les protéines B. Le serum est du plasma sans fibrinogène C. Le sang est un tissu conjonctif dont la MEC est le plasma D. La drépanocytose est une maladie autosomique dominante 182. Est une affirmation correcte concernant la paroi des artères : A. Une artère musculaire n’as pas de fibres élastiques entre ses deux lames élastiques B. Il est possible de retrouver des vasa vasorum dans la média de certaines artères élastiques C. L’adventice est la couche principale des artères D. Les arterioles n’ont plus de lame élastique interne E. La média représente la majeure partie d’une veine 183. Concernant les modifications de pression du système CV : A. Une augmentation locale au niveau des vaisseaux résistifs en CO2 modifie la Pam B. La pression différentielle (pulse pressure) augmente avec l’âge C. Les artérioles n’ont aucune influence sur la Pam D. Une augmentation de la pression différentiel diminue la Pam E. Lorsqu’on mesure la pression artérielle systémique, le passage d’un flux laminaire à turbulent correspond à la pression systolique 31 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 184. Homme alcoolique, ventricules agrandis, parois minces, oedèmes périphériques, pression artérielle normale : A. Postcharge augmentée B. Précharge diminuée C. Fraction d’éjection augmentée D. Fréquence cardiaque diminuée E. Déplacement de la boucle pression/volume vers la gauche 185. Concernant l’insuffisance cardiaque : A. Lors d’une insuffisance systolique, les mécanismes de compensation impliquent une hypertrophie en largeur des myocytes B. Une insuffisance cardiaque diastolique est notamment due a une augmentation chronique de la précharge C. L’insuffisance cardiaque gauche est souvent secondaire à une insuffisance cardiaque droite D. Des valvulopathies peuvent causer des insuffisances cardiaques diastoliques et systoliques E. L’insuffisance systolique peut avoir une fraction d’éjection normale 186. Concernant les traitements possible pour une insuffisance cardiaque : A. Inhiber le SNAS afin de réduire la résistance et diminuer la postcharge B. Augmenter la précharge est toujours bénéfique C. Administrer des diurétiques D. Stimuler la chronotropie est une solution, mais seulement pour une insuffisance systolique 187. Est vrai concernant l’anémie : A. Est toujours traitée avec de l’EPO B. Lors d’une anémie on voit apparaitre des reticulocytes dans le sang C. Est une conséquences de l’hypoxie D. Peut être induite par des carences en vitamines B9 ou B12 32 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Système digestif 188. Concernant l’histologie du système digestif : A. La sous-muqueuse est très vascularisée et innervée B. La muqueuse est la couche qui varie le moins C. La couche musculaire comprend uniquement la circulaire interne et longitudinale externe D. Les organes extra-péritonéaux ont une couche de mésothelium 189. Est une affirmation vraie : A. L’épithélium pluristratifié de l’estomac lui permet de résister a l’acidité B. Les glandes sous-muqueuse sont typiques de l’oesophage C. Au niveau du fundus de l’estomac, on ne retrouve que des glandes mucoïdes D. Les cellules calciformes sécrètent du bicarbonate E. Les entérocytes ont des fonctions différentes selon leur localisation épithéliale 190. Concernant les spécificités de l’intestin : A. Il y a de plus en plus de cellules mucoïdes au fur et à mesure que l’on avance dans le TD B. L’iléon est moins vascularisé que le jéjunum C. La « structure en rosette » représente une glande tubuleuse contournée D. L’intestin grêle a un taenia coli E. L’apparition de villosités au niveau du jéjunum marque l’entrée dans le grêle 191. Concernant les glandes salivaires : A. La parotide est une glande séreuse B. Les glandes muqueuses sécrètent des ions et des enzymes C. Participent déjà à la digestion des protéines D. La sublingual secrète du mucus et des ions 192. Est vrai concernant un organe dits « annexes », le pancréas : A. A des lobes qui sont séparés par des travées épithéliales B. Chez une minorité de la population il y a fusion des canaux de Wirsung et cholédoque C. Le pancréas libère le contenu des ses granules dans le sang D. La fonction endocrine du pancréas est moindre que sa fonction exocrine E. Possède des acinis muqueux 193. Concernant le foie : A. Les hépatocytes ont une polarité fonctionnelle B. Contrairement pancréas, il exerce une fonction uniquement exocrine C. Dans le foie, le sang veineux repart par les espaces de Kiernan D. La bile a une circulation dite antérograde E. La foie est majoritairement vascularisé par l’artère hépatique 194. Concernant l’absorption le long du TD : A. L’estomac absorbe déjà certains substances B. Le jéjénum est le lieu majeur de l’absorption C. L’eau est massivement absorbée dans le duodénum D. L’aspirine est absorbée dans le rectum 195. Est un muscle volontaire : A. Sphincter anal interne B. 2/3 supérieurs de l’oesophage C. Rectum D. Pharynx 33 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 196. Est vrai concernant la motilité du tube digestif : (NB : TD = tube digestif) A. Le péristaltisme implique la motilité tonique B. Les cellules musculaires lisses du TD sont dans un état constant de pré-excitabilité C. Les cellules de Cajal imposent un rythme commun a tout le TD appelé ondes lentes D. La contraction rythmique permet le broyage et mixage des aliments E. Lors des périodes digestives ont voit des contractions de type MMC ayant pour but de vider l’intestin grêle (partent de l’estomac et vont jusqu’à la fin de l’iléon) 197. La régulation du transit intestinal se fait via : A. Système nerveux périphérique B. Système nerveux entérique C. Système nerveux central D. Système endocrinien 198. Concernant les réflexes digestifs : A. Les réflexes longs peuvent être influencés par l’état émotionnel B. Le réflexe gastro-iléal entraine une vidange de le l’intestin suite a un remplissage de l’estomac C. Le réflexe intestino-intestinal améliore l’absorption au niveau du jéjunum D. Le réflexe gastro-gastrique permet d’augmenter la sécrétion d’HCL lorsque l’estomac est bien plein afin d’améliorer la digestion 199. Manger est un art qui commence lors de la perception de l’odeur de la nourriture, passe par l’admiration du plat et qui se finit les fesses à l’air posées sur les WC du CMU, est vrai : A. Lors de la phase céphalique, le SNAS stimule la production d’HCl B. La sécrétine va permettre la contraction de la vésicule biliaire C. La gastrine agit sur le péristaltisme et les mécanismes de contraction D. La CCK agit en présence d’un chyme acide E. Les acinis pancréatiques vont sécréter du HCO3- afin de tamponner l’acidité 200. Concernant les mouvements d’eau du TD : A. Les colonocytes utilisent SLGT1 pour créer un gradient osmotique favorable lors de la réabsorption d’eau B. Le passage d’eau se fait via des aquaporines intestinales C. La sécrétion d’eau est un mécanisme très régulé et passe par une augmentation d’AMPc D. La Na/K ATPase est nécéssaire lors de l’absorption d’eau dans le colon et dans le grêle 201. Est une cause de diarrhée : A. Ingestion de boissons sucrées et salées B. SN sympathique C. Hypertrophie des cellules caliciformes D. Hyperactivation des canaux ENaC E. Hyperactivation des glandes de Lieberkühn 202. Concernant les électrolytes et la déshydratation : A. La soif est un signe fiable de déshydratation B. Lors d’une diarrhée, on peut voir apparaître une acidose métabolique C. Le potassium est absorbé activement D. Le Cl- est sécrété contre du HCO3- qui est réabsorbé E. Le rotavirus entraine des diarrhées sanguinolentes 34 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 203. Concernant le microbiome : A. Le flore définitive apparait vers 12 ans B. Stimule la production d’IgA C. Est composée en majeure partie de mauvaise bactéries D. Ne varie pas entre les individus d’une même espèce 204. Les glandes gastriques sont pleines de cellules diverses et variées, est vrai : A. Les cellules principales sécrètent le facteur intrinsèque B. Les cellules mucoïdes sécrètent le mucus en basolatéral C. Les cellules de type D ont un effet positif sur la sécrétion d’HCl D. La pepsine une fois activée exerce un rétrocontrôle négatif sur sa transformation E. La sécrétion d’HCl nécessite trois transporteurs différents pour se faire 205. Concernant la cellule pariétale : A. Secrète du bicarbonate en basolatéral B. Possède un système tubulo-vésiculaire riche en H/K ATPases C. Voit sa sécrétion de HCl inhibée par la SS D. Le meilleur moyen de lutter l’hyperacidité gastrique est un antagoniste de l’histamine 206. Est une réponse juste à propos du pancréas exocrine : A. L’entérokinase est lié à la paroi du jéjénum B. Sécrète des enzymes actives dans la lumière intestinales C. Une fois la trypsine activée, elle est chargée d’activer les autres protéases D. L’orlisat inhibe l’amylase pancréatique E. Les cellules delta sont responsables de la sécrétion d’eau 207. Sécrètent du HCO3- : A. Cellules épithéliales des canaux excréteurs intralobulaires pancréatiques B. Cellules pariétales C. Cellules calciformes D. Cellules épithéliales des canaux biliaires 208. Est juste concernant la bile et les graisses (parce que c’est bon putain) : A. Un excès de cholestérol dans la bile peut provoquer des calculs biliaires B. La voie biliaire est la deuxième voie importante pour éliminer le cholestérol de l’organisme C. Les sels biliaires sont des molécules hydrophobes D. Les sels biliaires sont réabsorbés par la partie distale du colon E. Un chyme gras diminue la sécrétion de GIP 209. Concernant les hormones gastro-intestinales : A. La gastrine a un effet trophique sur la muqueuse de l’estomac B. La CCK ralentit la vidange de l’estomac C. La GLP-1 provoque un effet antagoniste de la ghréline sur l’appétit D. Sécrétine, CCK, Gastrine, GIP, GLP-1 stimulent toutes la production d’insuline 210. Concernant la digestion des bigmacs (les graisses si t’as pas compris) : A. Peut se faire sous forme de triglycérides B. Les acides gras sont forcement réesterifiés en chylomicrons C. L’émulsification permet l’hydrolyse par la lipase pancréatique D. Les micelles sont réabsorbées dans l’iléon, avec les sels biliaires E. Les lipides sont uniquement transporté dans le sang par les lipoprotéines 35 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 211. Concernant les TA et la thermogenèse : A. Le TA blanc a uniquement une fonction de stockage B. Les hormones thyroïdiennes stimulent l’expression de UCP1 dans presque tout les organes (ø cerveau, rate et gonades) C. UCP est principalement régulée par le SNC D. Le TA brun a une localisation rétrosternale E. Le glucose stimule l’activité de UCP1 212. Est vrai concernant la glycémie : A. Le glucose-6-phosphatase (permettant d’exporter le glucose) est propre au foie B. On considère qu’un diabétique est en hypoglycémie plus vite qu’un patient sain C. Lors d’une transfusion on mets des inhibiteurs du cycle de Krebs car du malate pourrait se lier aux GR et diminuer leur affinité pour l’oxygène D. Le cerveau consomme 20% du glucose total 213. Concernant la régulation de la sécrétion de l’insuline : A. Est stimulée par le SNAS B. Pénètre dans la cellule ß grâce a un transporteur GLUT4 C. Ferme un canal K sensible à l’ATP D. Il y a une hyperpolarisation de la cellule 214. Concernant les effets de l’insuline : A. Stimule l’expression ubiquitaire de GLUT1 B. Inhibe la glycogénèse C. Stimule la Na/K ATPase D. Peut augmenter la production musculaire de lactacte 215. Concernant les transporteurs GLUT : A. Est un mécanisme de diffusion facilitée B. Est spécifique au L-Glucose C. Sont insaturables grâce a leur forte capacité D. GLUT2 est uniquement actif a hautes glycémies 216. Une augmentation de glucagon cause : A. Une augmentation de la néoglucogenèse hépatique B. Une augmentation de la glycogénolyse musculaire C. Une diminution de la production de corps cétoniques D. Une augmentation de GLUT4 à la membrane du muscle squelettique E. Une augmentation de l’activité de la PKC 217. Est juste à propos du métabolisme du glycogène : A. La glycogène phoshorylase est active sous forme déphosphorylée B. Le glucagon recrute des kinases C. Le glucagon éteint la glycogénolyse et active la glycogénèse D. L’insuline va entrainer des phosphorylations E. La glycogénolyse commence par une phosphorylation du glycogène 218. Réagir contre l’hypoglycémie : A. Le glucagon stimule la lipolyse B. GH simule la glycogénolyse C. Les catécholamines ont un effet global et activent glycogénolyse, lipolyse et néoglucogénèse D. Le cortisol ne stimule pas la glycogénolyse 36 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 Système urinaire 219. Est correct concernant le néphron : A. Les néphrons courts servent a concentrer l’urine B. La quantité de néphron chez un individu détermine la durée de vie du rein C. Est une sous-unité du corpuscule de malpighi D. Leur association aux vasa recta permet la réabsorption de la quasi-totalité de l’eau filtrée E. Le corpuscule rénal est un autre nom pour l’amas de glomérules 220. Concernant les mécanismes de régulation de la filtration : A. La rénine est sécrété par les cellules myoépithéliales B. Les cellules mésengiales filtrent le plasma C. Le glycocalyx est chargé positivement D. Les capillaires glomérulaires font partie d’un système porte 221. Le GFR (débit de filtration glomérulaire) augmente lors d’une : A. Augmentation du tonus vasculaire de l’artère efférente B. Augmentation du tonus vasculaire de l’artère afférente C. Pression hydrostatique augmentée dans la capsule de Bowman D. Vasodilatation des veines E. Lors d’une administration intra-veineuse de protéines 222. Influence négativement (induit diminution) la filtration glomérulaire : A. Pnette négative B. Altération de la LB C. Hémorragie sévère D. Diminution de la constante de perméabilité 223. Concernant les épithéliums absorptifs et sécrétoires du rein pour l’eau : A. Lors d’une sécrétion, l’eau passe en transcellulaire B. Les mêmes cellules sont responsables des deux mécanismes C. La Na/K ATPase est toujours en position basolatérale D. Lors d’une absorption, l’AVP provoque l’exocytose des canaux AQP4 224. Inuline est une substance de référence car elle est : A. Filtrée librement B. Réabsorbée C. Non-métabolisée D. Sécrétée 225. Concernant la clairance : A. Maximale si = GRF B. Celle du PAH permet de calculer le débit sanguin rénal C. Si la clairance fractionnelle d’une substance x < 1, cette substance est sécrétée D. L’inuline est pratique car c’est une substance endogène E. La clairance peut se mesurer pour une molécule endogène avec des concentrations variables 37 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 226. Concernant le sel et l’organisme : A. Le compartiment interstitiel comprend plus de Na que le plasma B. Le plasma est chargé électriquement C. Une hyponatrémie entrainera une déshydratation intracellulaire D. Une augmentation de la quantité totale de Na entrainera une augmentation de la pression artérielle 227. Est vrai concernant la réabsorption de Na dans le rein : A. L’aldosterone régule la majeure partie de la réabsorption B. Dans l’anse ascendante de Henle, la lumière est chargée positivement ce qui permet de réabsorber des cations grâce au mouvement d’eau C. Les furosémides permettent de réguler l’absorption dans le tube distal D. L’amiloride exerce un effet antagoniste de celui de l’aldostérone E. On réabsorbe en isoosmotique dans le tube contourné distal 228. L’osmolarité du liquide dans le tubule collecteur augmente lors : A. De l'augmentation de la concentration plasmatique de vasopressine B. De l'endocytose d'aquaporine 2 C. Suite à l'ingestion de 1L d’eau D. D'un excès de glucose dans la circulation sanguine 229. Est nécessaire pour la formation du gradient osmotique du rein : A. Des vaisseaux sanguins en sens inverse (vasa recta) B. Des pompes Na+/K+ dans l’anse descendante C. Des aquaporines dans l’anse ascendante D. Une avancée du liquide par péristaltisme 230. Concernant le système Rénine-Angiotensine-Aldostérone (RAA) : A. Le stimulus initial est capté par les barorécepteurs centraux B. ACE qui active A1 en A2 (angiotensine active) est localisé dans le coeur C. La rénine est sécrétée en permanence, c’est lorsque qu’une baisse de la Pa est ressentie, que l’on va sécréter de l’angiotensinogène D. L’angiotensine s’autoamplifie en stimulant l’activité sympathique E. Stimule l’appétit pour le sel, qui en parallèle avec la sensation de soif provoquée par l’AVP (vasopressine) permettra la rétention hydrosodée 231. Est correct concernant la pharmacologie du système RAA : A. Les ß-bloquants inhibent la sécrétion de rénine B. L’inhibition de ACE freine le développement de maladies chroniques rénales et cardiaques C. L’A2 (angiotensine active) a 2 récepteurs différents, on bloque AT1 D. On évite de donner des antagonistes du récepteur à l’aldostérone 232. Concernant la kaliémie : A. La kaliémie augmente fortement en postprandial B. Une hyperkaliémie peut entrainer la mort par des arythmies cardiaques C. Une hypokaliémie peut entrainer la mort par des arythmies cardiaques D. Le potassium à l’inverse du sodium est un facteur protecteur du coeur 38 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 233. Trop de potassium dans le sang est mauvais pour l’organisme de ce fait notre corps a mis en place des mécanismes pour limiter sa liberté en période post-prandiale, notamment grâce a une certaine pompe, la Na/K ATPase : A. Est inhibée par l’insuline B. Stimulée dans les os, le pancréas et la rate en post-prandial C. Stimulée par l’adrénaline D. Inhibée par l’aldostérone E. Dysfonctionnelle chez une personne en léger surpoids 234. La régénération des bicarbonates plasmatiques se fait dans : A. Pneumocytes B. Cellules principales intestinales C. Hépatocytes D. Tube contourné distal E. Cellules intercalaires du tube collecteur 235. Concernant HCO3- : A. Est régulé car c’est le seul tampon dont la seule utilité est de tamponner B. Est entièrement réabsorbé par le tube contourné distal C. Sa réabsorption nécessite l’action de 2 anhydrases carbonique D. Le produit formé par l’anhydrase carbonique est une molécule stable 236. Concernant le calcium : A. Sa concentration diminue avec l’âge B. Le calcium ionisé n’est pas régulé par le rein C. Une baisse de l’albumine sérique diminue la calcémie D. Sa concentration est principalement régulée par la calcitonine E. Une hypocalcémie peut entrainer des dépôts de calcium 237. Concernant le FGF-23 : A. Il est produit par le tube distal mais a un effet sur le tube proximal B. Il se lie au récepteur FGF-R2c C. Il est activé par le calcitriol D. Augmente l’effet de la PTH E. S’il est sécrété en trop grande quantités, des calcifications ectopies peuvent apparaitre 238. Est une affirmation correcte sur les hormones régulant le calcium et le phosphate : A. La calcitonine a un effet inverse de la PTH B. PTH est hypercalcémiante C. Calcitonine et calcitriol ont des effets semblables sur la résorption osseuse D. La calcitonine est sécrétée par les cellules C de la parathyroïde E. La 25-OH-D3 diminue l’excretion rénale de calcium et phosphate 239. Un patient vient vous voir avec une calcémie basse, quels mécanismes vont se mettre en place ? A. Stimulation de la 1-hydroxylase par la PTH B. Augmentation de la réabsorption rénale de phosphate C. Augmentation de la réabosprion intestinale de calcium stimulée par le calcitriol D. Un taux élevé de 25-OH-D3, alors que la concentration de calcitriol est basse peut mettre en évidence une insuffisance rénale 39 TtLD SMB jeudi, 20 février 2020 240. Est vrai concernant le métabolisme de l’azote : A. On ne retrouve jamais l’ammoniaque en circulation B. L’aspartate a comme rôle principal de circuler C. Le transfert d’un groupement amine sur un acide a-cétonique pour donner l’acide-aminé correspondant est irréversible D. Un a

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