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Romain Eliard - Pour me présenter, Romain Eliard - je suis Romain, je suis le fondateur de Cockpit. Romain Eliard - Avant de monter Cockpit, Romain Eliard - j'étais directeur commercial chez Usain. Romain Eliard - que vous devez connaître, solution signature électronique, où je pilotais une quaranta...

Romain Eliard - Pour me présenter, Romain Eliard - je suis Romain, je suis le fondateur de Cockpit. Romain Eliard - Avant de monter Cockpit, Romain Eliard - j'étais directeur commercial chez Usain. Romain Eliard - que vous devez connaître, solution signature électronique, où je pilotais une quarantaine de personnes dans plusieurs pays. Romain Eliard - Et c'est durant cette expérience que j'ai eu l'idée de monter Cockpit. Romain Eliard - Pourquoi ? Parce que pour faire très simple et très concis, quand on pilote des équipes commerciales, on a plusieurs problématiques, en dehors du revenu. Romain Eliard - Et les deux principales qui revenaient systématiquement, qui avaient un impact phénoménal sur les performances commerciales, c'était 1. Romain Eliard - la maîtrise des compétences métier, est-ce que mon commercial opère correctement, opère bien une phase de découvert, de négociation, de closing, etc. Donc on est vraiment sur le côté très terrain, pratique au pratique. Romain Eliard - D'où le petit bot enregistreur, c'est une de nos briques fonctionnelles, mais qui je crois chez vous a moins d'intérêt à court terme, de ce que me disait Mathieu. Et la deuxième problématique, qui correspond à notre deuxième brique, c'est une problématique plus axée sur le savoir, la connaissance. Un bon commercial, c'est quelqu'un, ça peut paraître basique, mais c'est quelqu'un qui va maîtriser parfaitement. son scope, sa proposition de valeur, l'offre qu'il doit représenter. S'il ne la maîtrise pas, Romain Eliard - on va arriver à un moment donné sur une zone de défaillance qui va in fine avoir un impact sur les performances, voire l'image de l'entreprise. Romain Eliard - Et donc moi, c'est cette pratique à laquelle j'étais confronté tous les jours, parce que Usain, ça paraît très simple de l'extérieur. mais c'est assez technique parce qu'il y a des clients qui intègrent notre solution à leurs ERP. C'est très technique. Et surtout, Romain Eliard - c'est un domaine qui est très réglementé. Et donc, il y a des aspects juridico-techniques à maîtriser sur lesquels on ne peut pas improviser. C'est Et donc, c'est comme ça que j'ai eu l'idée de Cockpit. Et c'est ce que je vais vous présenter aujourd'hui, en l'occurrence, la deuxième brique. Mathieu Janneau - Parfait. Romain Eliard - Vous voulez que j'embraye ou vous avez des questions ? Sophie Baron - Pourquoi cockpit ? Romain Eliard - Pourquoi le nom ? Mathieu Janneau - Ouais. Romain Eliard - Cockpit, pour moi, comme dans un avion, Romain Eliard - c'est l'idée d'avoir d'un côté le tableau de bord et les instruments pour bien piloter ses équipes. Romain Eliard - Dans un cockpit d'avion, il y a deux pilotes, il y a des instruments, il y a des commandes. Et si on arrive à bien interagir avec l'ensemble de ces éléments, on mène tout le monde à bon pas. Sophie Baron - D'accord. Et si on ne parle pas du premier paramètre, l'enregistrement, c'est que grâce à l'enregistrement, Sophie Baron - c'est un support qui vous permet de faire améliorer les équipes. Romain Eliard - Exactement. Romain Eliard - Exactement, sur la brique d'enregistrement qui s'appelle Recordix, Romain Eliard - on va venir se connecter à tous les outils de visio, de téléphonie et les CRM. On va venir enregistrer toutes ces interactions clients, les retranscrire et avec une surcouche d'intelligence artificielle, on va en sortir des informations essentielles qui vont venir aider la direction déjà à savoir ce qui se passe. Romain Eliard - ce qui était le cas dans 95% des entreprises. Et une fois qu'elles ont identifié ce qui se passe, mettre en place des rituels de coaching, sortir des informations clés, comme par exemple, quelles sont les objections qui reviennent le plus souvent, quelles sont les questions qui reviennent le plus souvent, les concurrents qui reviennent le plus souvent. Romain Eliard - Et tout ça, Sophie Baron - c'est un peu... Comme dans notre métier, on ne fait pas en visio, en fait, c'est la problématique. Romain Eliard - Exactement, c'est ce que me disait Mathieu la dernière fois. Mathieu Janneau - On n'a pas un taux de rendez-vous trop important en vision. Si on en a quelques-uns, mais ça va être des clients parisiens, des clients d'autres départements. Mathieu Janneau - Malgré que tout, en faisant les stats, on a quand même des signatures sur des ventes à distance. Des fois un peu plus faciles que sur des ventes en direct. Mathieu Janneau - C'est pour ça que je t'ai dit, aujourd'hui, non. Dans six mois, peut-être. Sophie Baron - Déjà, si on en a, il faudrait peut-être essayer. Sophie Baron - Je ne sais pas. Bref, on va en travailler sur la deuxième, on verra après. Romain Eliard - Je pourrais vous présenter cette brique-là, Romain Eliard - vu qu'on a une heure. Romain Eliard - La première brique que je vais vous présenter, c'est une brique qui est totalement intégrée aux outils que vous utilisez. C'est aussi ce qui fait que ça marche très bien avec les commerciaux. Je vais vous partager mon écran. Romain Eliard - Il y a toujours un petit décalage. Mathieu Janneau - Et c'est bon. Romain Eliard - Voilà, donc ici on est dans Slack, mais imaginons Teams. Romain Eliard - Teams c'est exactement la même interface, c'est juste chez Microsoft. Romain Eliard - C'est un petit bot qui va venir se positionner ici. Les commerciaux n'ont rien à faire. Vous allez voir, c'est souvent quelque chose que je vais répéter. Romain Eliard - ce n'est pas accessoire, ce n'est pas anecdotique. Pourquoi je répète souvent ça ? Parce que dans la construction de notre produit, on a essayé de limiter au maximum les points de friction. Pourquoi ? Parce que j'ai observé dans ma carrière, pour piloter une centaine de commerciaux, Romain Eliard - que plus on leur demande des choses chronophages, plus on va avoir des drops d'engagement, plus on va perdre un peu leur attention et leur motivation. Romain Eliard - C'est vrai. Ça pourrait s'ouvrir un autre débat, mais on n'est pas là pour ça. Et donc, nous, notre idée, c'était vraiment de se dire, on va essayer de faciliter au maximum la vie du commercial pour qu'il puisse se concentrer surtout sur ses performances. Et donc, c'est un petit bot qui vient ici, Romain Eliard - aux utilisateurs que vous aurez assignés en amont, et qui va venir par défaut, il y a plusieurs modes de fonctionnement, je pourrais vous les présenter après, mais par défaut, qui va venir poser. deux questions tous les deux jours directement sur l'outil qu'il utilise tous les jours. Et donc, typiquement, ces questions, en tout cas chez nos clients et chez nous, ce sont des questions que pourraient nous poser nos clients ou nos prospects. Typiquement, cette question qu'on a sous les yeux, ce n'est pas une question anecdotique. Encore une fois, c'est une question qu'on me pose. Romain Eliard - fois par jour, et il ne faut pas que je me trompe. C'est exactement la même logique avec les commerciaux. Chez vous, j'imagine qu'il y a des sujets techniques, potentiellement juridiques, contractuels, sur lesquels c'est dichotomique, c'est binaire. Il faut bien répondre. Si on répond mal, on est en risque. Romain Eliard - Tout l'idée de Cockpit, c'est quoi ? C'est stimuler, entraîner la connaissance. Romain Eliard - Et en plus d'entraîner, on décharge aussi le management, on va venir évaluer. Parce que ça c'est un autre point qui était très douloureux chez Usain, c'est que je n'avais aucune vue sur le niveau de maîtrise de mes équipes. Romain Eliard - Quand ma direction me demandait si telle et telle équipe, telle et telle personne maîtrisait tel et tel sujet, Romain Eliard - j'étais un peu, pour être totalement honnête, au doigt mouillé. Souvent, j'allais faire des points de corrélation avec les performances commerciales, mais si j'étais très honnête avec moi-même, ce n'était pas totalement corrélé. Et donc, c'est tout l'idée de cockpit, c'est de se dire, on emprunte et en même temps, on évalue, et on va donner sur une autre interface que je vais vous montrer juste après, Romain Eliard - ces données-là au management. Romain Eliard - Vous voyez, pour revenir sur le bot, c'est extrêmement simple. Romain Eliard - On va pouvoir directement, 5-10 secondes maximum, répondre aux questions. Il n'y aura pas l'excuse du je n'ai pas le temps D'autant plus que vu qu'on est sur Teams, Teams a une application mobile. Donc même quand on est sur le terrain, on peut répondre, on va recevoir la notification. C'est à l'heure du déjeuner, on a testé plein de formats. C'est là où on a le plus d'engagement. Romain Eliard - Et donc le commercial va voir ça comme un jeu. Il ne voudra pas être le dernier de son équipe. Et c'est aussi le levier sur lequel on joue énormément. Romain Eliard - Et donc il va se prendre au jeu et en plus de s'amuser, il va s'entraîner. Sophie Baron - le but c'est qu'ils ne communiquent pas entre eux alors ils peuvent le faire de manière complémentaire après ça veut dire qu'ils apprennent quand même il ne faut pas voir ça négativement exactement, ils apprennent et surtout ils s'entraînent non mais si lui il ne sait pas il va appeler son voisin Robert pour dire Robert là je ne connais pas la réponse est-ce que tu peux m'aider mais malgré tout ce n'est pas négatif parce qu'il va quand même apprendre parce qu'il va se poser la question c'est ça Romain Eliard - Exactement. Romain Eliard - C'est un peu le principe. Mathieu Janneau - Ça les fait s'interagir. Romain Eliard - C'est un peu le principe. C'est des clients qui nous ont remonté ça puisqu'on a mis en place des algos pour qu'il n'y ait pas de triche. Romain Eliard - En fait, si on se rappelle l'époque, ça remonte maintenant, mais du collège, du lycée, Romain Eliard - quand on trichait un peu, au final, tout l'exercice de tricherie à la fin nous faisait qu'on connaissait par cœur la leçon. Romain Eliard - On avait mis tellement d'efforts à tricher qu'à la fin, on maîtrisait la leçon. Romain Eliard - C'est une petite digression, mais en fin de compte, la philosophie est la même, parce qu'en fait, on s'entraîne et on mémorise. Parce que ce qu'on a observé avant de mettre en place Cockpit, c'est que souvent dans les entreprises, il y a beaucoup d'efforts qui sont mis en place sur les phases d'onboarding des collaborateurs, on va dire pendant un mois. Et ensuite, ça commence progressivement à descendre. Romain Eliard - Et c'est justement là que Cockpit peut venir appuyer la maîtrise. Parce que surtout que les connaissances sont vivantes. Sophie Baron - Je suis d'accord. Parce que j'avais l'idée de faire des quiz. Sophie Baron - Régulièrement, lors des réunions ou autres, faire des quiz. On ne l'a jamais fait. Sophie Baron - Donc là, c'est un peu ça. Vous faites des quiz, mais tous les jours. Et ça, c'est top. Mathieu Janneau - comme je t'avais dit Romain moi l'avantage c'est que ça peut m'aider aussi dans le sens où aujourd'hui moi je suis sur le terrain, je suis avec eux j'ai le côté affectif qui est plus présent on va dire l'avantage c'est que là c'est l'intelligence artificielle qui va me dire bah voilà ton commercial est défaillant là là là là là donc c'est les points que moi je peux voir avec eux quand je suis sur le terrain après derrière exactement et Sophie Baron - puis toi Sophie Baron - Mathieu, le tableau de compétences que j'ai été demandé de remplir, ça peut t'aider aussi. Mathieu Janneau - C'est ça, et en plus, je pense que ce tableau de compétences-là, on peut même le compléter avec les outils de cockpit. Sophie Baron - Oui, c'est ça. Romain Eliard - Et c'est ce que font nos clients, ils sont certains d'un point de vue commercial, mais aussi d'un point de vue RH. Romain Eliard - Parce que ça va leur rendre la vue sur quelque chose qui aujourd'hui, mais c'est normal, il n'y avait pas d'outils. Romain Eliard - est complètement opaque. Romain Eliard - Toutes les directions commerciales ont très peu de vues sur le niveau réel de maîtrise des connaissances. Il y a beaucoup de données sur la performance commerciale, Romain Eliard - mais pas sur la connaissance. Sophie Baron - Et tu ne réponds pas, par exemple, il y a une journée, il ne répond pas. Sophie Baron - Le lendemain, il peut répondre ou pas ? Romain Eliard - Oui. Romain Eliard - Il peut répondre et il y a... Romain Eliard - Pardon ? Sophie Baron - On voit si les personnes sont insidies ou pas. Romain Eliard - Oui, c'est ce que je vais vous montrer juste après. On voit, alors vous allez avoir un tas d'analytiques. Je ne vais pas vous assommer avec toutes, mais on pourra aller voir toutes celles qui vous intéressent. Romain Eliard - Et en parallèle des statistiques, il y a aussi un jeu de notification pour que ce ne soit pas au manager d'aller relancer manuellement chaque commercial. Là, ça se fait automatiquement en fonction de l'activité de chacun. Romain Eliard - et de la même manière notre algorithme va pousser certaines thématiques de questions en fonction du niveau du collaborateur quelqu'un qui maîtrise moins le juridique il va avoir beaucoup plus de questions axées juridiques pour qu'on vienne élever sa courbe de maîtrise sur le juridique Romain Eliard - et donc là vous voyez sur l'application on arrive petit aspect très bête mais vous avez une vue sur le niveau moyen général de vos équipes ça c'est quelque chose qui chez tous nos clients ça fait un petit why effect parce que pour le coup ils étaient complètement à l'aveugle et au bout de quelques jours ils ont une vue sur le niveau de maîtrise et souvent nos clients pensent que les équipes maîtrisent plus ou moins à 80% et en général ils sont plutôt en dessous de 60% Romain Eliard - ce qui fait qu'il y a quand même beaucoup d'accompagnements à mettre en place vous allez aussi pouvoir voir l'évolution du niveau dans le temps et donc si on va dans les statistiques vous allez avoir pas mal de statistiques celle qui est énormément utilisée c'est celle-ci parce qu'elle est très visuelle, elle est très concrète vous allez tout de suite voir où est-ce que ça pêche et dans quelles proportions. Sophie Baron - Donc là, on est toujours au niveau de l'équipe ou individuellement ? Romain Eliard - Là, c'est au global. D'accord. C'est au global. Et ensuite, on va pouvoir creuser progressivement. Donc là, on va voir le classement des thématiques avec le niveau de maîtrise. Donc là, je vois que les sujets ressources humaines sont les mieux maîtrisés. À l'inverse, les process sont moins maîtrisés. Romain Eliard - Je vois aussi l'évolution dans le temps du niveau de maîtrise de mes équipes. Je vais pouvoir jouer avec les différentes équipes pour mettre en perspective les niveaux. Romain Eliard - et ensuite par équipe je vais pouvoir creuser. Donc là par exemple sur mon équipe tech, je vois qu'ils sont à 68% avec une tendance un peu négative, je vois les thématiques moins maîtrisées. Romain Eliard - forcément, ça me donne envie de creuser. Romain Eliard - Donc là, je suis à l'échelle de l'équipe tech, donc je vais voir le niveau de l'équipe tech par thématique. Et si je veux vraiment encore plus creuser, je vais pouvoir aller par personne, Romain Eliard - où là, je vais voir par collaborateur son niveau de maîtrise en le mettant en perspective avec le niveau de son équipe. Mathieu Janneau - Ok. Romain Eliard - Voilà. Romain Eliard - et de la même manière je peux aller voir le niveau d'engagement ça c'est ceux qui répondent ou nous en question donc je vois le niveau d'évolution dans le temps je vais aussi pouvoir voir le nombre de réponses qu'il a faites donc au final on va quand même assez loin dans les statistiques pour que vous puissiez derrière vraiment faire effet de levier dessus Sophie Baron - Vous pouvez redescendre un peu, ça veut dire qu'il a répondu à 80 réponses en septembre, Mathieu Janneau - ça veut dire qu'aujourd'hui il répond en général à 30 questions. Romain Eliard - C'est ça. Sophie Baron - C'est-à-dire qu'il ne répond pas tous les jours. Romain Eliard - C'est ça, en l'occurrence c'est un collaborateur qui... Romain Eliard - qui est parti de chez nous. Romain Eliard - On voit le drop progressif. C'est aussi intéressant parce qu'on a souvent des clients qui nous disent que certains de leurs commerciaux qui sont défaillants commercialement sont ceux qui ne jouent pas le jeu. Et à l'inverse, ceux qui sont performants, ce sont ceux qui vont toujours aller faire le coup de pas supplémentaire. Mathieu Janneau - Je suis d'accord. Romain Eliard - Je vais faire un petit tour sur les programmes. C'est ici que vous allez pouvoir créer vos programmes. Romain Eliard - Je vous parlais tout à l'heure sur Teams, vous allez avoir par défaut un mode continu. Romain Eliard - Tout est paramétrable, bien évidemment. Mais c'est par défaut deux questions tous les deux jours. Lundi, mercredi, vendredi, entre midi et deux. Romain Eliard - on vient vraiment entraîner en continu on remplace on épaule le manager mais il y a beaucoup de nos clients qui nous ont dit alors c'est sympa le mode continu mais j'ai besoin d'un mois et demi, deux mois sur la base de six questions par semaine pour avoir une vue précise et consistante du niveau de mes équipes et donc on a créé les programmes accélérés qui permettent justement de pousser Romain Eliard - plusieurs questions, ça c'est complètement illimité, Romain Eliard - c'est à votre main, Romain Eliard - directement dans Teams, à vos commerciaux. Concrètement, ce que font nos clients, c'est qu'ils vont, Romain Eliard - à la mise en place de Cockpit, créer un programme accéléré avec 30, 40, 50, 60 questions. Ça leur permet de lancer bien la collaboration sur Cockpit. tout de suite ils ont une vue statistique sur le niveau des équipes. Parce qu'en fait, quand on clique dessus, vous allez avoir la moyenne des score utilisateurs, les participants, Romain Eliard - et d'autres statistiques, mais vous allez aussi voir à l'échelle individuelle le niveau de chacun. Romain Eliard - Ce qui vous permet tout de suite de vous positionner, et ensuite vous basculer sur un mode continu. Mathieu Janneau - Ça veut dire que, grosso modo, j'ai une réunion commerciale, Mathieu Janneau - par exemple, le 6 juin, me dit tiens je vais faire un programme accéléré sur 30 minutes avec mon équipe pendant 30 minutes je les isole ils sont tous isolés les uns des autres tiens vous avez 50 questions et là je peux savoir au moment T quel est le niveau de compétence de mon équipe exactement tout à l'heure je pensais ça au lieu Sophie Baron - de faire 2 questions par jour au début faire 50 questions c'est ce qu'il y a d'ailleurs ils ont des QCM et on y va et je pense que déjà tout de suite on a une vue d'ensemble sur chacun d'eux. Mathieu Janneau - Et après, faire du contenu pour garder le côté temps. Sophie Baron - Et tu reposes des questions pour savoir, pour qu'ils les intègrent bien. Romain Eliard - Et d'ailleurs, ce que vous décrivez, c'est exactement ce que nous décrit nos clients. Ils nous ont dit que ce serait bien que cette bascule entre le programme accéléré, qui est un peu un programme one-shot, et un programme continu, ce serait bien que ça soit fait automatiquement. On n'est pas allé sur l'application, et donc on a lancé il y a quelques jours les parcours, ce qui va vous permettre de mettre en place des parcours de programme. Vous pouvez commencer par... par exemple c'est pour un programme accéléré avec 50 questions et ensuite vous basculez sur du continu et quelques semaines après vous rebasculez sur un autre programme etc etc ouais mais toi les programmes groupés il faudra les faire quand on est en réunion quoi au Mathieu Janneau - moins t'es sûr que là y'a pas de triche, y'a pas d'appel, y'a pas de... Sophie Baron - ouais ouais c'est mes QCM de... voilà Mathieu Janneau - C'est des trucs que tu voulais, Sophie. Sophie Baron - Oui, franchement, c'est comme ça qu'on avance. Sophie Baron - Je trouve ça bien. On a tellement de particularités dans notre métier, comme dans tous les métiers, Sophie Baron - qu'en moins, Sophie Baron - ça les oriente sur ce qu'ils doivent connaître. Romain Eliard - et au moins par un côté de bêtise à nos clients et là on est en train si vous voulez un peu voir notre vision on est en train de travailler ça va certainement sortir à la rentrée on est en train de travailler avec des coachs commerciaux qui sont experts dans leur métier depuis 30 ans sur des programmes d'évaluation métier typiquement sur des phases de découverte ou un peu comme des TOIC mais commerciaux Romain Eliard - qu'on va mettre sur étagère, qu'on proposera exclusivement à nos clients, pour qu'en parallèle de la maîtrise de la connaissance interne, vous puissiez aussi les auditer sur les compétences. Romain Eliard - ça sera une aide assez précieuse pour les managers commerciaux. Sophie Baron - En fait, c'est des vidéos ou c'est vraiment un coaching comme ça en vidéo ? Romain Eliard - Non, ce sera toujours un mécanique de quiz, Romain Eliard - mais plutôt sur des compétences métiers, pour savoir s'ils maîtrisent bien les fondamentaux commerciaux. Mathieu Janneau - Des méthodes de vente. Sophie Baron - Des choses très précises en fait. Mathieu Janneau - Les méthodes de vente. Exactement. Les méthodes de vente, on peut déjà l'intégrer dans les questions de base de tous les jours. Romain Eliard - Oui. Mathieu Janneau - j'avais perdu là parce que j'ai eu un appel et donc voilà moi quand je parle avec les commerçants moi j'ai une méthode de vente avec 12 étapes et souvent quand je débriefe avec le commercial je dis tiens l'étape 7 t'as manqué et souvent j'en suis sûr qu'ils connaissent pas l'étape 7 donc tu vois ça serait top qu'ils puissent connaître la méthode avec les étapes et à l'étape 7 dire bah tiens ton étape 7 elle est pas bonne et dire à qui il sait ce que c'est et puis c'est parti quoi Romain Eliard - Et bien ça par exemple Mathieu, tu pourrais très bien en quelques minutes créer un programme. Romain Eliard - Et si tu as déjà de la documentation en interne, nous on se sert de l'IA pour prémâcher le travail comme ça tu n'as pas à passer des heures dessus. Romain Eliard - Et ce qui fait que nous, on a des clients qui se mettent en place en 2-3 jours, ce qui est rien du tout. Parce qu'avant l'IA, on parlait plutôt de mois de préparation. Là, c'est quelques heures, quelques jours. Sophie Baron - Excusez-moi parce que je ne vous vois plus. Je ne sais pas, mon téléphone a sonné. Et là, je ne l'ai que moi. Et j'aimerais bien vous voir, au lieu de me voir ma tête. J'aimerais bien vous voir, mais je ne sais pas comment vous voyez. Romain Eliard - C'est fichu. Mathieu Janneau - Je pense que Romain est plus adepte que moi au niveau informatique. Romain Eliard - Alors, vous êtes sur ordinateur ? Sophie Baron - Sur un Mac. Oh là là, je ne sais pas pourquoi. Sophie Baron - Conversation, non. Je ne sais pas pourquoi. Romain Eliard - Ça doit être sur votre navigateur. Peut-être que ça a changé d'onglet. Sophie Baron - Là, il m'a mis dans une salle. Sophie Baron - N'importe quoi. Je sais pas, c'est bizarre. Sophie Baron - C'est pénible quand le téléphone sonne et ça change tout et je sais pas comment faire. Mathieu Janneau - Tu ressens et tu rentres. Sophie Baron - Ouais, ils vont te demander, mais c'est dommage quand même, je comprends pas pourquoi. Romain Eliard - À mon avis, Romain Eliard - c'est une page de votre navigateur qui a dû se masquer. Si vous nous entendez, ça veut dire que vous êtes toujours connectés. Sophie Baron - Bah oui, mais je me vois moi, mais rien à faire de ma tête en fait, je préfère vous voir vous. Romain Eliard - Ah, ça a masqué les... Alors attendez, je pense savoir ce que c'est. Romain Eliard - Je ne peux pas trop vous aider à distance. Mathieu Janneau - On fait une présentation. Mathieu Janneau - C'est pas grave. Mathieu Janneau - Tiens, par contre, Romain, moi aussi, je vais te partager un module. Mathieu Janneau - Tu vois mon écran Romain ? Romain Eliard - Oui. Sophie Baron - Je vais quitter, je vais revenir parce que là je ne vois plus rien en fait. Mathieu Janneau - Pas de souci. Sophie Baron - Je repite et je reviens. Romain Eliard - A tout de suite. Mathieu Janneau - Là Romain c'est mon module de formation que j'ai mis en place. Mathieu Janneau - C'est un petit jeu avec des M&M's, c'est pour animer. Mathieu Janneau - Toi là j'ai mon agenda modélisé. j'aimerais bien qu'il l'intègre après j'ai des petites astuces des commerciaux par rapport à l'agenda modélisé ça genre de document là je te le transfère l'IA peut me prendre j'ai ma méthode de vente avec mes étapes Mathieu Janneau - ouais alors si tu si tu peux voilà déroulé comme ça je peux te dire la toile j'ai bon après je j'intègre des sketchs là c'est mes règles du jeu tout au méridion je veux que l'il fasse des règles du jeu à chaque rendez vous toi c'est ça c'est le côté important on va dire après la découverte client après bon là c'est les exercices que je leur fais faire les rendez vous intermédiaires trahissants présentation mise en place après bon c'est ce qu'elle suit vidéo Mathieu Janneau - et après j'ai le r2 avec les douze étapes du r2 et mais règle du jeu qu'on doit mettre aussi en r2 la création de contact quand on crée les contacts donc là du coup avec la règle des cas de pépins notages petite annonce parrainage position financement comment on calcule un financement tu vois et ça je peux le coupler avec un deuxième document Mathieu Janneau - Celui-là par contre l'IA va s'en servir très bien parce que c'est notre document du guide pratique bien à construire donc là c'est limite ce que devraient savoir tous les commerciaux Romain Eliard - Alors ça c'est parfait ça l'IA plus elle a de contenu brut Romain Eliard - meilleur elle sera. Sur ton document, Romain Eliard - il faudra tester, mais je pense qu'il n'y aura pas assez de texte pour générer énormément de questions, contrairement à celui-là. Mathieu Janneau - Et il ne prend pas les graphiques ? Romain Eliard - Les photos, non. Les photos, c'est compliqué à interpréter pour une intelligence artificielle. Mathieu Janneau - Tu vois, là, il y a tous les avantages du CCMI. Tu vois, ça, c'est parfait. Romain Eliard - Ça, c'est parfait. Sophie Baron - Parce que c'est l'intelligence artificielle qui crée les questions. Mathieu Janneau - Oui. Oui. Mathieu Janneau - Ok. Mathieu Janneau - Toutes les garanties, les garanties binaires, Mathieu Janneau - tout ça, j'aimerais bien savoir s'ils connaissent tout ça. Après, moi, en rendez-vous, je les vois, mais après, c'est le schéma type d'un projet de construction. Romain Eliard - Ce qui se passe avec nos clients, pour vous donner un peu de visibilité sur le process, c'est qu'on va commencer en vous accompagnant. Romain Eliard - Vous allez avoir un chef de projet dédié qui va venir vous prendre par la main, capter tous les documents que vous aimeriez voir traduire en questions, quiz. Romain Eliard - Avec l'IA, on va générer les questions progressivement, petit scope par petit scope. Vous les validez, refusez, ajustez. Romain Eliard - petit à petit on va créer un pool de questions et comme ça vous allez avoir vos programmes de training très rapidement et en continuant on va pouvoir créer des nouvelles questions et vous pouvez toujours créer manuellement des questions, c'est aussi important souvent c'est les meilleures questions d'ailleurs Sophie Baron - Lya ne va jamais remplacer l'homme au point qu'on dit tu vois Maud ça je sais pas au niveau juridique je suis sûre que je lui demande de créer des questions dans tous les services mais tu vois il y a des choses sur Mathieu Janneau - le procès ça serait top quoi dans tous les services on a besoin que ce soit le procès soit BE qu'on va mettre en place la semaine prochaine dans tout ça aujourd'hui l'avantage c'est qu'on a on a On va dire une équipe commerciale qui est assez nouvelle. C'est-à-dire qu'on a renouvelé l'équipe commerciale. Comme je t'ai expliqué, je suis fraîchement arrivé chez Allianz en septembre. Mathieu Janneau - Du coup, je veux emmener des petites choses que j'ai dans mon ancien groupe. Je t'avais expliqué. En fin de compte, l'équipe est quand même assez récente. L'avantage, c'est que, en général, c'est des gens qui viennent de la maison individuelle. Mais je ne m'interdis pas, si tu veux, demain. J'ai une agence à ranger, j'ai un gars qui est assez performant. je ne m'interdis pas de vendre un côté à quelqu'un qui est novice dans la maison individuelle, qu'on lui apprend par l'intermédiaire de Julien et moi. Et donc, du coup, ces choses-là peuvent être intéressantes pour l'aider à bien comprendre les choses. Romain Eliard - Oui, je vais complètement dans ton sens. Romain Eliard - Souvent, les profils un peu plus juniors, ou en tout cas, les profils qui viennent d'arriver dans une organisation, vont être beaucoup plus enclins à être challengés, à progresser. Mathieu Janneau - mais là tout le monde est nouveau commerçant aujourd'hui c'est ce qui m'a qui me prouve le plus sur le terrain tu vois ils mettent le plus de panneaux et mettre le plus après j'ai un ou deux anciens la g l'or et rodrick deux anciens qui sont assidus quand même mais j'ai d'autres anciens ou ben voilà faut les commencer à un petit peu les challenges et c'est ce qu'il faut aujourd'hui mettre en place quoi donc ouais Sophie Baron - Et en règle générale, comment c'est perçu dans les boîtes, les collaborateurs ou les commerciaux ? Parce que souvent, c'est des équipes de commerce. Romain Eliard - Oui, nous, on va cibler principalement les équipes qui sont en interaction avec le client, donc les commerciaux, les équipes... Romain Eliard - support... Sophie Baron - Les conducteurs de travaux, ça serait top aussi. Romain Eliard - C'est plutôt bien perçu parce que justement, c'est très simple, c'est très intégré, ils ne vont pas sur un énième outil. Romain Eliard - En fait, on vient sur un outil qu'ils utilisent déjà et ça prend très peu de temps. Romain Eliard - Aujourd'hui, on a à peu près 80% de taux d'engagement, c'est-à-dire qu'il y a 80% des utilisateurs qui utilisent... tous les jours cockpit, ce qui est énorme. On ne s'en rend pas compte, mais des outils d'apprentissage classiques dans le monde entier, statistiques mondiales, on est plutôt à 10%. Donc, on fait Mathieu Janneau - 8 fois plus. Romain Eliard - Et donc à côté, on a cette brique, alors elle vous concerne moins aujourd'hui, mais au moins vous savez qu'elle existe, si un jour les choses évoluent de votre côté. Romain Eliard - Il y a cette brique d'enregistrement qui est ultra complémentaire, parce que justement, dans des équipes qui, et ça s'est énormément généralisé depuis le Covid, les équipes qui vendent de plus en plus à distance, on va pouvoir combiner les deux, d'un côté maîtriser vraiment sa proposition de valeur, et de l'autre, les compétences terrain, on va pouvoir repasser sur les appels, on va faire de la prise de notes automatique, qu'on va venir pousser dans des CRM, donc on fait aussi gagner du temps aux commerciaux. Romain Eliard - mais volontairement je vous en parle pas trop parce que mathieu m'a dit que c'était moins le sujet mais je peux très bien si vous le souhaitez vous présenter soit que nous n'a pas en visio c Mathieu Janneau - On n'en a pas tant que ça, on en a quand même. Sophie Baron - Mais c'est rare. Mathieu Janneau - C'est quoi, c'est 10% de nos rendez-vous ? Sophie Baron - On vend quand même des maisons. Mathieu Janneau - Après, c'est sûr que c'est plus pour les résidents secondaires, ça va être plus les gens de la côte qui vont avoir du monde, ou Angers, ou qui vont avoir des gens des Parisiens. Mais c'est plus ces gens-là qu'on va capter. Alors on essaie de capter de plus en plus, parce que c'est aussi ces gens-là qui vont pouvoir venir investir dans la région. Romain Eliard - mais à l'heure actuelle tout de suite maintenant c'est pas ces gens là qu'on a beaucoup quoi mais ça je pense que le plus simple c'est de revenir à moi le jour où vous voyez que en fait il ya une augmentation du nombre de visio et là ça a du sens ça sert à rien en outils s'il n'y a pas d'utilisation Mathieu Janneau - De toute façon, avec Sophie, on va travailler pour changer vraiment notre communication et d'aller chercher aussi ces gens-là pour nos programmes, parce qu'on a quand même une dizaine de programmes sur la région, sur de la VFA ou des choses comme ça. Là, on va changer un peu notre communication et on change notre cheval de bataille, on va dire. Romain Eliard - D'accord. Sophie Baron - On s'adapte. Mathieu Janneau - On s'adapte au marché. Sophie Baron - Et le fonctionnement, comment ça se passe ? Romain Eliard - Alors, on est sur une licence de 30 euros par utilisateur par mois. Romain Eliard - Et il y a un frais ponctuel d'activation, notamment pour l'intelligence artificielle, de 2000 euros, qui vous permet de générer automatiquement et de manière illimitée des questions avec l'intelligence artificielle. Mathieu Janneau - 1000 euros, c'est quoi ? C'est... Romain Eliard - C'est le frais d'activation. C'est un frais ponctuel. Mathieu Janneau - C'est quand on signe. Romain Eliard - C'est quand vous signez. Mais si vous restez avec nous 5 ans, vous n'allez pas chaque année être facturé de cette somme-là. C'est juste la première année. Mathieu Janneau - D'accord. Sophie Baron - Et si c'est nous qui faisons les questions ? Romain Eliard - Alors si vous ne voulez pas du tout utiliser l'intelligence artificielle, là on ne vous facture pas les frais d'activation. Sophie Baron - Là c'est vraiment pour l'utilisation de l'IA quoi ? Romain Eliard - Oui, parce que derrière c'est des coûts relativement importants, Romain Eliard - on gère beaucoup de volume de données, Romain Eliard - c'est pour ça qu'on facture ce coût-là. Romain Eliard - et honnêtement on aimerait ne pas le facturer mais vu l'impact que ça a chez nos clients, on a des clients qui génèrent 500 questions grâce à ça donc ça veut dire qu'il y a des clients qui partent d'une situation où ils se disent waouh comment je vais faire pour générer autant de questions parce qu'en fait ce qui se passe derrière c'est que les commerciaux utilisent vraiment la solution donc il faut vraiment créer des questions sinon au bout d'un moment ils vont tourner en rond et ils vont arrêter d'utiliser la solution et c'est là où l'IA prend le relais et vous décharge énormément parce qu'en fait, elle va réussir de manière très pertinente à générer un nom important de questions très quali. Romain Eliard - Ok. Mais que vous allez valider, bien évidemment. Romain Eliard - On ne va jamais pousser automatiquement les questions, mais ça prémâche énormément le travail. Mathieu Janneau - D'accord. Sophie Baron - En fait, les questions, vous allez les chercher via nos docs ou via l'IA ? Sophie Baron - Sur GPT, sort-moi, Sophie Baron - je ne sais pas, sans question, sur le métier de la maison individuelle. Sophie Baron - Comment ? Romain Eliard - C'est sur la base de votre documentation. Mathieu Janneau - Oui, parce qu'elle a été coupée tout à l'heure, Sophie, quand je vous montrais tout à l'heure. En fin de compte, genre on leur donne notre bien à construire, avec toutes nos informations en interne, on le donne au chargé de projet, il donne à l'IA, l'IA fait 500 questions sur notre documentation du bien à construire. Et on sait que là, ces 500 questions qui sont sur notre... Sophie Baron - Mais tout n'est pas sur ça, en fait. Mathieu Janneau - Non, mais c'est plus important, parce que tout n'est pas... On peut transmettre plusieurs docs, on peut transmettre le bien à construire, on peut transmettre le formulaire méthode de vente que tout à l'heure j'ai montré tout à Romain. On peut transmettre un agenda, et après derrière ça cumule des questions. Romain Eliard - Et on n'en a pas parlé, mais l'outil est collaboratif, c'est-à-dire que les commerciaux pourront aussi suggérer des questions directement dans Teams. Romain Eliard - Et ça, ce n'est pas mal parce que vous pouvez mettre en place des petits challenges en interne où vous allez récompenser ceux qui participent le plus. Par exemple, je vous donne une idée, c'est ce qui est fait pas mal chez nos clients. Et typiquement, ce qui se passe aujourd'hui dans des départements commerciaux, c'est qu'il y a beaucoup de questions qui sont posées. en général de plus en plus dans Teams, dans Slack, et c'est des questions qui se perdent. Et là, en fait, avec la mise en place de Cockpit, Romain Eliard - nos clients demandent à leurs commerciaux, Romain Eliard - dès qu'ils ont une question, de la suggérer dans Cockpit, ce qui fait qu'il y a un cercle vertueux qui se met en place de création de questions, Romain Eliard - qui sont souvent des très bonnes questions, parce que c'est les questions de vos commerciaux. Sophie Baron - Oui, c'est des questions du terrain. Romain Eliard - Exactement. Sophie Baron - Ok. Sophie Baron - Et là, le temps qu'on fait la mise en place, par exemple, je dis n'importe quoi, on signe là le 1er juin, mai, juin, déjà. Sophie Baron - Mais 1er juin, la mise en place se met au bout de combien de temps ? Le temps de... Là, on vous donne tous les documents pour faire les questions. Ça génère du temps. Romain Eliard - Ça peut aller assez vite. Ça va dépendre aussi un peu de votre temps, parce que du temps que vous allez allouer à valider les questions qu'on va vous suggérer. Mais en moyenne, je vais vous donner une fourchette. On a des clients qui ont mis 4-5 jours. Romain Eliard - Et il y a des clients qui mettent 3-4 semaines. Romain Eliard - Moi, je pense que la zone raisonnable, c'est au milieu. Mathieu Janneau - D'accord, c'est 15 jours. Sophie Baron - mais ça va c'est de générer combien de questions ? Romain Eliard - il faut au moins selon nous avoir 150 questions mais ça va assez vite là le document Mathieu que tu m'as montré il y avait 52 pages il faudrait qu'on voit mais je pense que rien qu'avec ce document on peut générer beaucoup de questions Romain Eliard - Oui, Sophie Baron - mais il n'y a pas tout. Il y a le carnet de bord, Sophie Baron - les processus. Mathieu Janneau - C'est ça, c'est que là, je vais montrer qu'est-ce que le document, Sophie. Sophie Baron - Parce que là, c'est vraiment un document commercial. Donc, tu vois, les fiches produits, il faudrait... Mathieu Janneau - Oui, c'est tout intérêt. Romain Eliard - Ce qui fait qu'à mon avis, les 150 questions, vous allez vite les dépasser. Ce qui est plutôt une très bonne nouvelle. Romain Eliard - nous c'est compliqué de travailler avec des entreprises souvent on refuse des entreprises parce qu'en fait elles n'ont pas cette documentation donc on sait très bien que même si elles nous disent qu'elles vont passer du temps manuellement à le faire, on sait très bien qu'à l'usage elles ne vont pas avoir la motivation nécessaire pour créer ces questions là et donc on préfère leur dire revenez nous voir quand vous avez cette documentation parce qu'on sait que derrière ça fonctionne et vous vous l'avez, donc ça c'est plutôt une bonne chose Mathieu Janneau - Ah oui, là je suis en train de regarder, on a même tout ce qui est sur la loi Hamon, tout ce qui est sur... Sophie Baron - Tu mets le contrat de construction, tu mets... Mathieu Janneau - Oui, le contrat de construction, le trafic... Sophie Baron - Toutes les informations qu'elle nous a données, Anne aussi, sur les softs. Mathieu Janneau - Une notice descriptive. Sophie Baron - La notice descriptive, forcément. Mathieu Janneau - Oui, mais on a énormément de contenu, parce qu'on a un métier, il faut être honnête, il y a énormément de choses à connaître, Mathieu Janneau - parce qu'on parle du financement, on parle du terrain, on parle de la maison, on parle des lois juridiques de chacun, on parle des... Nouvelles normes. Des normes, on parle de... Le terrain frontal. Mathieu Janneau - et en plus l'avantage c'est que ça change tout le temps ça veut dire qu'on peut même aujourd'hui on en normait en 2020 demain ils vont nous pondre avec le côté carbone on fera transmettre un nouveau document en disant ça il faut que les commerciaux le sachent c'est important après l'avantage moi ce qui me plaît c'est sûr dans cette solution là c'est que dans Management Mathieu Janneau - j'apprends beaucoup de choses et j'apprends tous les jours je m'adapte aussi aux équipes l'avantage c'est que le seul point un peu je sais que je ne suis pas naïf mais il manque de lucidité de se dire qu'ils connaissent ça ou ils ne connaissent pas le problème c'est que je suis tous les jours avec eux sur le terrain tout à l'heure je monte à Pontchâteau avec une équipe je monte à Angers je passe 3h, 4h avec eux on débriefe des dossiers comment je peux les aider merci je vais avec eux en rendez-vous. Le problème, c'est que j'ai aussi mon côté affectif. Il est contre ma volonté. Il rentre en ligne de compte. Sophie, comme Sophie me dit, tu penses que cette commerciale-là, est-ce qu'elle va vendre ? Moi, j'ai toujours l'espoir de dire qu'il va y avoir la vente parce que j'y crois lucidement derrière. Mathieu Janneau - C'est plutôt Sophie qui va me dire lucidement, Mathieu, je pense que là, elle ne va pas la faire. et c'est ce côté là que moi je connais pas parce que du coup j'ai pas encore évalué les compétences et c'est ce que sophie m'a donné un tableau et qu'on voulait mettre en place bon je suis un peu pris aujourd'hui par le temps à chercher du contact plus qu'autre chose mais du coup toi c'est là où ton produit je pense peu Mathieu Janneau - m'apporter quand même une grande aide et apporter aussi une lucidité de savoir ce que les commerciaux ou les autres équipes, puisque du coup, ton outil est très bien, mais on peut aussi le mettre au compteur de travaux, au chargé de projet, Mathieu Janneau - au BE. Mathieu Janneau - parce que OBE savoir aussi s'ils sont compétents dans toutes les connaissances architecturales et tout ça qu'on peut avoir aujourd'hui, l'avantage c'est qu'on peut mesurer grâce à ton outil la compétence des personnes qui composent l'entreprise je dis pas qu'ils sont pas compétents, je dis simplement voir les axes d'amélioration qu'on peut travailler avec eux exactement la seule chose qu'on peut pas savoir c'est si eux ont envie de s'améliorer, dans ces cas là s'ils ont pas envie de s'améliorer ils font pas partie de l'entreprise Mathieu Janneau - là c'est un oeil c'est qu'il ya d'autres problèmes c'est ça mais c'est là où tout outil web m'intéresse moi en tous les cas personnellement écoutez moi Romain Eliard - je m'aligne sur votre agenda votre calendrier c'est vraiment à vous de me dire comment vous voyez les du coup aussi parce que Mathieu Janneau - C'est vrai que l'immobilier... Sophie Baron - En ce moment, on est pas dans une période très favorable. Donc, ouais, le coût... Parce que ça fait quand même... Là, si je compte sur 10 commerciaux, ça fait 3600 euros, plus 2000, ça fait 5600. Alors, vous allez me dire, c'est peut-être pas énorme, mais là, en ce moment, Sophie Baron - c'est beaucoup, en fait. Sophie Baron - Pour nous. Sophie Baron - Parce qu'on a pas de vente. Mathieu Janneau - On n'a pas beaucoup de vente, ça c'est sûr. Sophie Baron - Un peu de vente. Donc là, je dois regarder ça aussi. Romain Eliard - Est-ce que vous voulez que je vous fasse une proposition ? Romain Eliard - Déjà, dans un premier temps, pour que vous ayez un peu de matière sur laquelle réfléchir. Romain Eliard - Oui ? Mathieu Janneau - Oui, tu peux. Romain Eliard - Ok, je vais vous faire ça. Je vais vous mettre un peu de... Romain Eliard - un peu de doc, comme ça vous pourrez aussi voir en asynchrone les deux produits. C'est toujours intéressant de voir le deuxième, à quoi il ressemble. Romain Eliard - Et puis en termes de calendrier, Romain Eliard - pour ne pas que je vous relance inutilement, comment vous voyez les choses ? Sophie Baron - Je ne sais pas. Je ne suis pas capable de dire quoi que ce soit. Sophie Baron - Là, je ne sais pas. Mathieu Janneau - On va nous la proposition. Mathieu Janneau - Nous, la semaine prochaine, on a une grosse semaine avec une réunion sur l'arénaud et sur une réunion commerciale avec une équipe et une porte ouverte. Mathieu Janneau - Je pense qu'avec Sophie, on va se poser un petit peu après tous ces événements-là et on va regarder un petit peu où est-ce qu'on va. Mais si... si la solution est attractive pour notre société. Mathieu Janneau - Je te laisse nous envoyer ta meilleure proposition. Sophie Baron - Oui, c'est ça. Mathieu Janneau - Nous sommes dans le monde commercial. Romain Eliard - Non, non, mais surtout... Sophie Baron - Non, mais quand tout va bien, tout va bien. Mais là, effectivement, on est dans une période où, effectivement, il faut faire le doron et faire attention aux dépenses. Sophie Baron - Si Macron nous disait, ça y est, on veut sauver le bâtiment et on veut faire des choses, aujourd'hui, ce n'est absolument pas le cas. Donc on n'a aucune visibilité de savoir quand ça va démarrer. Ce n'est pas parce que mes collaborateurs vont connaître trois questions, enfin vous voyez, ils vont avoir de la connaissance sur le métier, que ça va faire venir les contacts, ou ça peut peut-être améliorer les ventes, mais ce n'est pas ça qui va bousculer les choses en fait. Romain Eliard - Effectivement, on va plus être positionné en aval. Dès que vous avez un lead, s'assurer qu'il soit closé. Romain Eliard - Ça d'ailleurs, on l'observe chez nos clients, il y a des augmentations de taux de conversion, des réductions de tic de vente. Et ça arrive une fois qu'on a le lead. Sophie Baron - Ça dépend du métier en fait, ça dépend des métiers, franchement. Sophie Baron - Vous voyez, nous on ne fait pas du one shot, on ne prend pas des allumettes ou je ne sais quoi. Donc là, nous, c'est vraiment sur du long terme aujourd'hui. Sophie Baron - Tu souris, hein ? Mathieu Janneau - Je souris parce que j'aimerais bien avoir du one-shot. Ben oui. Mathieu Janneau - Aujourd'hui, Sophie Baron - il y a tellement de paramètres sur nos métiers que c'est complexe. Mathieu Janneau - Ce que je te rejoins Romain, c'est qu'aujourd'hui, j'aimerais bien augmenter mon taux de transformation, j'aimerais bien diminuer mon cycle de vente, ce que je suis déjà en train de faire depuis un petit moment. Sur les ventes qu'on a faites, on est déjà descendu pratiquement de 30 jours. Donc déjà, je suis quand même assez content là-dessus. Maintenant, aujourd'hui, ma plus grosse problématique, c'est la création de contacts. Mathieu Janneau - Là où on travaille, parce que je pense que... Mathieu Janneau - Il y a beaucoup de travail à faire sur notre communication, sur le point communication qui va permettre de nous apporter du contact supplémentaire. C'est sûr, comme dit Sophie, aujourd'hui, le milieu du bâtiment, M. Macron n'est pas trop en train de nous aider à nous remettre un prêt à taux zéro ou quoi que ce soit pour nous aider à repartir. Parce que lui, il préfère construire ses 30 000 logements en VFA. Mathieu Janneau - Aujourd'hui, on essaie de trouver des solutions. On travaille là-dessus. Je ne te cache pas que maintenant, tout de suite, à l'instant T, je préfère mettre 2 000 balles dans l'achat de Leeds. pour pouvoir faire de la transformation que de faire aujourd'hui cette solution-là qui me paraît super intéressante. Sophie Baron - On ne remet pas en cause le sujet, on est d'accord. Mathieu Janneau - C'est simplement un coup financier que je trouve qu'on puisse aborder. Sophie Baron - On doit faire attention à tous les sujets. Mathieu Janneau - J'aurais une trentaine de vente qui m'ont... Ce budget, Sophie Baron - on le met plutôt dans la publicité ou dans des trucs autre chose que dans ces sujets-là. Sophie Baron - Là, il faut qu'on se pose pour se dire, est-ce que ça va nous permettre d'avoir du contact et d'améliorer les ventes ? C'est ça, en fait. Mathieu Janneau - C'est ça. Romain Eliard - Je comprends complètement votre point de vue. Romain Eliard - Pour le coup, Romain Eliard - on est tous un peu dans le même bateau. Romain Eliard - On a tous plusieurs enjeux. Romain Eliard - Il n'y a que vous pour prendre cette décision. Romain Eliard - Je vais vous faire ma meilleure proposition. Romain Eliard - Je vais vous faire deux propositions, une avec 10 utilisateurs et une avec 20. Comme ça, vous voyez les effets de volume. Romain Eliard - Et puis, n'hésitez pas à revenir voir moi si vous avez la moindre question. Mathieu Janneau - Laisse-nous passer la semaine prochaine qui est importante pour moi en termes de communication et travail effectif parce que là il faut que je lance mon mois de juin et voilà, il faut que je lance mon mois de juin donc j'ai un gros travail la semaine prochaine à faire sur mes équipes mentalement et on va dire sur... Mathieu Janneau - sur l'effectif. Donc du coup, d'ici une dizaine, une quinzaine de jours, j'en saurais plus de comment on va pouvoir travailler. Soit on refait le dos rond encore jusqu'à fin août et on se dit à septembre, on peut peut-être partir sur cette idée-là. Ou octobre, parce qu'on va attendre quand même que septembre parte, parce que septembre est toujours un peu le mois un peu charnière, on va dire. Mathieu Janneau - bon je te cache pas contre toi et moi j'aimerais bien que ça part dès le mois de juin ça c'est clair mais tout de suite là j'ai vendre en qui a certes après midi donc mais on est en train de se battre en ce moment sur toutes les sur 5,6 25 ventes par mois là où on devrait faire 30 ventes par mois je sais pas si c'est juste pour donner une ordre on devrait faire 30 ventes par mois aujourd'hui pour avoir l'effectif qu'on achète alliance au total aujourd'hui on est plus sûr du 5,6 ventes par mois Je parle qu'en maison individuelle, on a la diversification à côté, qui heureusement sont là pour nous rapporter un peu d'argent et qui nous sauvent aussi un petit peu. Mathieu Janneau - Avant, c'était la maison qui sauvait les diversifications, qui aidait à développer. Aujourd'hui, c'est les diversifications qui nous aident à survivre. C'est là où on en est rendu. Je prends des mots importants, mais c'est vraiment des mots qui sont importants dans notre milieu. Maintenant, on sait que la France a besoin de logements. On sait qu'on est quand même une entreprise fiable sur le secteur. Donc, on sait qu'on a encore notre épingle du jeu à tenir, à sortir. Maintenant, ta solution est très bien. Maintenant, il faut voir comment on l'acclimate. Romain Eliard - Je comprends complètement. Sophie Baron - Ce n'est pas le sujet du tout. Romain Eliard - Vous prêchez inconvaincu, je comprends complètement la situation. Romain Eliard - et c'est quelque chose qu'on rencontre au quotidien et qu'on vit tous dans des mesures différentes, donc je comprends complètement, il n'y a pas de sujet là-dessus. Mathieu Janneau - Si on était tous dans le développement tout le temps, ça serait littéral quoi. Romain Eliard - C'est des cycles, ça va revenir. Sophie Baron - Les périodes sont très formatrices en fait, Sophie Baron - parce que quand on aura passé la crise, on se dira, on a mis ça en place, on a fait ça, on a réussi et c'est top quoi. Mais aujourd'hui, ben voilà. Sophie Baron - le fait de cette certitude du marché et la non-visibilité. Sophie Baron - C'est ça qui est perturbant, parce que si on savait que ça reprendrait en septembre ou en janvier, bon ben là, sauf qu'aujourd'hui on ne sait pas. Sophie Baron - On n'a aucune visibilité en fait. Donc c'est ça qui est un peu perturbant. Romain Eliard - Oui, effectivement. Sophie Baron - Merci pour votre... Mathieu Janneau - Merci Romain en tout cas. Romain Eliard - Merci à vous. Sophie Baron - On attend votre proposition et on revient vers vous. Romain Eliard - Merci beaucoup. Bonne journée en tout cas, à très vite. Mathieu Janneau - Merci beaucoup. Romain Eliard - A bientôt.

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