CHAPITRE 4-5 SOCIO PDF
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UCLouvain Saint-Louis Bruxelles
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This document appears to be a chapter or section of a sociology textbook, presenting a critical analysis of social inequalities and the concept of "symbolic domination."
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CHAPITRE 4 : La sociologie critique Ella a déconstrui les bases de légitimité des élites. Elle va étudier la hiérarchie sociale, les dominants et dominés. Et le fait que ça se maintienne dans le temps avec les inégalités sociales. Intro : extrait de la sociologie est un sport d...
CHAPITRE 4 : La sociologie critique Ella a déconstrui les bases de légitimité des élites. Elle va étudier la hiérarchie sociale, les dominants et dominés. Et le fait que ça se maintienne dans le temps avec les inégalités sociales. Intro : extrait de la sociologie est un sport de combat Pierre bourdieux -Domination et marges d’action- 4 : elements : ⁃ Objectif de la sociologie ⁃ Objet de la sociologie ⁃ Utilité de la sociologie ⁃ Limite ou nature de la sociologie Elle est censé detecter des lois, bourdieux dis souvent « il faut toujours penser en statistique, tendance, quelle est la régularité ? ». il met l’accent sur l’intériorisation de code, de faire d’agir, notion d’inconscience de nos comportements. Pas de doute que Bourdieux se place dans l’heritage Durkheinien. La sociologie critique prend comme objet les inégalités sociales et plus encore l’invariance de ces inégalités. Il faut se demander comment ca se passe ? Les mécanismes de se maintien dans le temps des inégalité. « La reproduction sociale » : le fait que de génération en génération les inégalités se reproduisent et avoir du mal a s’en sortir. Le grand mécanisme que bourdieux a découvert c’est la transmission du capitale culturel. —> la sociologie prend comme objet critique la « Domination symbolique » qui passe par le capitale culturel. C’est dans les mots, référence que l’on connait, pour faire la di erence avec une domination economic, physique. Et surtout la conception que l’on a de l’autre, le pauvre eme étant moins actif etc… B : cette conception de l’autre c’est pas seulement le dominant qui le projette sur le domine, c’est le dominé lui même qui l’a interioriser. l’idée n’est pas neuve car Frans fanon avait sortie le livre peau noir, masque blanc, et parlé que l’émancipation passe par la libération intérieur car nous somme les premiers a trouvé que il y a une supériorité et nous en somme complice car nous pensons cette supériorité. Une telle prise de conscience si on le sait peut être changé. De tel analyse prise par bourdieux est que si on a une prise de conscience, cela va servir au dominés. La sociologie doit donner des prises pour mettre n a cette domination, B dit « il s’agit de démasquer les idéologies et plus encore mais de séduire la porté intéressé et manipulatrice de chaque discours qui provient de l’élite. » Il ya un parti pris qui doit servir a contrer la domination symbolique, la sociologie est une science. Cette exigence de bien séparé politique et science résulte du caractère engagé de cette sociologie. Puisque si la socio veut aider au changement et contesté la domination symbolique, elle se doit d’être rigoureusement ff fi scienti que. Pk ? Car c’est la seule garantie qu’elle a d’être écouté, d’avoir de la légitimité. Il y a un passage des taches, les sociologue démontre les mécanismes et les activistes qui disent : si c’est ainsi on veut du changement. On est dans la tradition durkheinienne : « Déterminisme veut dire que les actions sont déterminées par des structures, lois et mécanismes dont les acteurs ne sont pas toujours conscients. Déterminisme implique qu’il y a une réalité objective qui est invisible et cachée, et qui pourtant détermine notre trajectoire et notre destin. » Comment être critique et resté objectif ? -Ré exivité et savoir savant- Le sociologue a intériorisé des valeurs et des préjugés, il fait partie de la société qu’il étudie. Il doit donc, pouvoir prendre distance, avoir de la ré exivité. Surtout de sa propre culture, milieu mais ca ne veut pas dire qu’il faut tout oublier mais plutôt l’objectivé, je dois en devenir conscient. B dit faut apprendre a transformer des problèmes existentiels en problème scienti que. Il faut faire sa propre socio analyse, creuser son inconscient. C’est a dire, analyser ses origines, les milieux que l’on a frequenter, la position sociale qui est la notre aujourd’hui. Re exivité = objectiver sa propre subjectivité B : On est toujours ethnocentrique, il fait un discours sur ça à Londres où il reçoit un prix. Si on objective sa subjectivité on peut l’utiliser. On est détenteur du savoir indigène, et le savoir scienti que ( ou il faut établir des theories ) Il faut aller dire qu’est ce qui gouverne ici avec les comportements des gens étudiés. -Violence, légitimité et inégalité- Le sens commun : livre « les héritiers » et « la distinction » écrit par Pierre Bourdieux Violence symbolique = appellation année 60-70-80 La société moderne est imprégné de violence symbolique. Les héritiers : Fin année 50 la république fr constate la perseverence de l’inégalité dans l’enseignement supérieur et ce malgré e fait que la république savait octroyer des bourses. On les exprimes en probabilités d’accès, l’inégalité extrême c’est que 1 ou 2 enfants issu de famille pauvre accéderont a l’enseignement supérieur contre 60% des enfants des classe moyenne, supérieur. —> forte sous-représentation de ces enfants de classe sous développé fl fi fl fi fi fl Bourdieux : nous pensons qu’il y a un rapport inégale a la culture, la culture savante, bourgeoise, la culture avec les bonnes référence. Dont la présence dans les hautes écoles amoindri les chances de certains étudiants de réussir. A l’université la réussîtes depend ennemi premier lieu de la connaissance de cette culture, des faits et references. La manière dont l’étudiant réussi a amené a faire valoir cette connaissance. Plus la culture a l’air d’être naturel, plus cette culture est amené de façon désinvolte sans être trop scolaire, plus elle sera apprécié. Année 60 : Bourdieux ajoute le déterminisme culturel a celui économique, pour comprendre ce déterminisme culturel il faut s’intéresser à la manière dont on l’amène. L’acculturation : étudiants devront faire face à un « sentiment d’irréalité », au point où ils vont sentir qu’ils ne vont pas y arriver si ils ne rentrent pas de plein pied dans cette culture.« pour réussir il faut que l’on oublie notre propre culture ». = l’acculturation. puis ils vont avoir a faire a l’auto- exclusion. L’auto-exclusion : devoir abandonné leur etudes des que ça ne marche pas pour eux, on l’impression que l’uni n’est pas un lieu pour eux, à eux. Ils quittent eux meme l’institutions. Elle permet a l’université d’être complice sans l’avoir l’air. L’appareil scolaire est l’institution qui permet à la société de perpétuer un idéal méritocratique, idéal qui veut que chacun·e ait selon ses mérites, dans une réalité qui est, quant à elle, non méritocratique, profondément inégalitaire et injuste. ➱ La société ne pourrait prétendre à l’égalitarisme s’il n’y avait pas l’école... Lorsque l’école nie l’existence des inégalités et privilégie un rapport désinvolte et libre a la culture comme signe d’intelligence. L’école transforme, le privilege sociale en don du mérite individuelle. Petit a petit on arrive a un moment ou c’est inégalités seront traduit en « ceux qui on réussit l’on mérite car ils ont travaillé. Positionné l’école, l’institution charnière de l’égalité sociale est très français et pas universelle. Cette théorie est universelle pour autant qu’elle connaisse les inégalité sociale, car toutes société inégalitaire va s’e orcer de trouver des arguments qui viennent légitimer ces inégalités. Et toutes ces sociétés opèrent des violences non-symbolique car elle nie ces inégalités. La seule chose qui peut varier ce sont les institutions. ⁃ Rompre l’ambiance méritocratique : arrêté de dire que a l’université c’est selon ces mérites, ce ne sont pas les résultats qui importent mais la trajectoire des étudiants pour atteindre ses résultats. Ces diplôme devraient être equivalent. ⁃ Abandonner la pédagogie charismatique : pédagogie de la rationalité, vous apprenez un métier et il y a plus de charisme. Il faut quand même qui il y ff est une connection avec un peu de charisme. Les qcm ( tu connais ou tu connais pas ). 6 ans après le livre les héritiers, qui va devenir une trilogie, le dernier livre : on veut pousser un peu plus loin la re exion théorique. ⁃ Violence symbolique ⁃ Introduction notion habitus Violence symbolique, pas physique, matérielle, économique mais elle porte sur les signi cations, gestes, mots, perceptions. Signi cation —> hiérarchie, certaine personne jugé moins méritante que d’autre. Elle façonne le destin de classe entière, elle créer des trajectoire de classe, il est di cile de sortir de sa classe sociale. Def v.s : « tout pouvoir de violence symbolique, tout pouvoir parvient a imposer des signi cations et à les imposer comme légitimes en dissimulant les rapports de force qui sont au fondement de la force, ajoute sa force propre, proprement symbolique, à ces rapports de force. » Def sens stricte du terme : ⁃ tout ce qui parvient a imposer des signi cations de valeurs ⁃ on ne les conteste pas ( légitime, pense par la majorité) ⁃ et a le faire tout en dissimulant les rapport de force qui sont a l’origine d’imposer, on utilise ses di érence mais on oublie de dire que ça à tout avoir avec le milieu d’où il vient, l’école. Principe de cumul : la v.s vient se rajouter à une sou rance : la violence économique ( travail des parents ) On peut dire que l’école parvient a imposer des signi cations méritocratique de façon légitime et a le faire tout en dissimulant les rapports de classe qui permet de faire la distinction entre un bon français et un mauvais français. —> lutte des classe existe encore après l’âpres-guerre, elle porte de la v. Eco et symbolique Il y a une dependance théorique entre les deux, pas de v. eco qui tienne si il n’y a pas de v.s L’un vient légitimer l’autre. Héritiers adopte une vue non mécanique du déterminisme, il faut plusieurs facteurs pour déclencher une réussite ou l’élimination. Un seul facteur tel que le revenue ne su t pas, ce qui le rend plus fragile. Meme si on a tous pour réussir ça peut quand meme ne pas marcher et inversement. Est ce que c’est encore du déterminisme ? Statistique : sous ses conditions là, ta classe réussira ou sera éliminer mais toi peut être que tu passera à travers les mailles du lets ffi fi fi ff fl fi fi fi ffi ff fi Sociologique : j’incorpore des valeurs qui me dispose à agir, valeur a vouloir x ou y B : Déterminisme passe par une incorporation des manières d’agir, penser, sentir Le milieu sociale ne peut mener a l’auto-exclusion que si il a était incorporé, le dominé contribue a sa propre exclusion si il a se sentiment d’incorporation. C’est grace a cette incorporation que ce déterminisme sociale échappe à son caractère automatique et mécanique. Citation…. ( voir slide ) Habitus : formation qui agit meme après avoir quitté le milieu Nous interiorison les principes d’un arbitraire culturel : ces valeurs et sentiment d’infériorité/superiorité non aucun fondement hors des rapports de classe, arbitraire qui a des e ets : ex : une caissière paye same que un metier « plus haut » ca nous fait bizarre Importance des pratiques : tout ca a de l’intérêt car cela, pousse des gens a agir de tel ou tel manier. Les valeurs que l’on incorpore ne reste pas juste dans nos têtes cela va carrément nous pousser dans une voie de vie. L’habitus informe et forme notre pratique. Def habitus : l’ensemble de dispositions prédisposantes, disposition inculqué a travers le milieu sociale mais qui dispose C’est l’habitus créer une brèche, il est possible de changer et retravailler les dispositions prédisposante Le privilege c’est ce qui est normalement dispo pour tout le monde mais qui est deja dans l’usage exclusif appartient deja à une classe. —> B intéresse par la force de l’ajustement ( D ), Transclasse : individus de façon improbable qui ont intégrer d’autre milieux que les leurs , milieux supérieurs, ascension sociale drastique 2 facteurs : ⁃ Tout ses individus ont connus une liaison durable avec une autre classe que la leur ( supérieure ), ce qui est décisif c’est l’amitié et l’amour, c’est le corps lui meme sui s’ouvre a autre chose ⁃ l’importance d’une émotion forte, la rage ( je vais vous montrer ), désir ( de repas le destin de ses parents ) Reproduction sociale : Livre : la distinction B va clore un long débat venant d’une question posé par Marx : Est ce qu’il faut s’intéresser à l’infrastructure pour s’intéresser a une société ou à la supra-structure ? ff Marx dit il faut pas s’intéresser a l’o re et la demande car trop abstrait, il faut aller mener des enquêtes dans les usines. Gramsci : il faut s’emparer de la supra-structure, des medias, des discours, idéologies (hégémonie) Francfort : les discours de sens que l’on donne au chose, ça ne fait que oublier la lutte au mass ( appareil de divertissement, Hollywood ) B : espace sociale composé de 2 couches : une couche « espace géométrie » —> espace condition d’existence objective( matérielle) des personnes ( gros revue, peuvent aller en vacances ou non ), « L’espace style de vie » ( ce que j’aime, sport que je fais ) —> il y a une correspondance statistique entre les conditions objective de classe et le style de vie. Si on veut situer une classe il faut prendre en compte les di érents capitaux ⁃ Capitale économique : richesse et patrimoine ⁃ Capitale culturel : diplômes mais aussi la présence de parents cultivés, style de vie ⁃ Capitale social : relations, contactes, connexions que un milieu entretien avec un autre milieu B découvre une correspondance mais va démontrer a partir de celle-ci qu’il y aune lutte pour le maintien de ce privilege, non seulement dans l’espace objectif mais aussi au niveau du style de vie. Chaque classe tente de se maintenir mais aussi de graveller les echelons, et de maintenir l’écart. La distinction = tous les agents et groupes sociaux tenteront continuellement de maintenir l’ecart entre leur pratiques culturelles et celles des autres. Critique sociale du jugement de gout : le livre explique que a priori, semblait ne pas pouvoir s’expliquer, cad le gout, rapport a la culture… il le fait en recardant les gouts dans l’espace sociale cad dynamique de lutte entre classe sociale. Même si chaque personne veut assurer le maintien du patrimoine, ce qui sont en train de faire l’espace sociale c’est de fermer des portes au autres. —> la culture est au coeur des luttes des classes, elle est loin d’être innocente Film : match point -la théorie des champs- Monde qui a ses propres codes, propres elites , ex : monde professionelle = champs professionnels. Chaque champs est : ⁃ structuré par la lutte entre dominants et dominés ⁃ Tiraillé par forces contraire auto-heteronormie ⁃ Alliance possible entre elites ff ff Enquête 1997 : extrait « les nouveaux chiens de gardes » : critiquer leur complaisances vis a vis des autres elites 2 mécanismes en eux : ⁃ Il y a complaisance car ses medias ne sont pas indépendants ⁃ Démontre qu’il y a une forte socialisation Il n’y a pas de complot car la socialisation est bcp plus puissante. Petit a petit on a de la sympathie our l’autre Point aveugle, fait divers… ex : pedophilie devient culture de la pedophilie « on boit une bière comme on prend un garçon », journaliste font voir ces milieux comme des milieux de terreur, de violence. Dans les discours ca va charier de façon insidieuse ces classes sociales. Et ces medias ne sont pas capable der mette ces choses en question. CHAPITRE 5 : l’Interactionisme symbolique Racines au usa, années 50 Il va s’intéresser à la norme et a tous ce qui vient de la norme et tout types d’exclusion qui en résulte. —> chansons West Side Story ; s’intéresser à la déviance juvénile Délinquants qui se moque des institutions, de la norme qui veut les ramener sur le droit chemin. Appareil de police, juridique, santé mentale, sciences sociale (sociologue), le travailleur sociale et l’appareil pénitancier. Nous savons très bien ce que nous savons et nous l’assumons. Idée de la déviance vis à vis de la langue et assumé et pratique de façon volubile et consciente, ils ont leur propres normes. Équivalent de Bourdieu : Go man et Becker -Prédecesseurs et contexte- Edwin Sutherland (1883-1950 ) : mentor de G et B Connu pour 2 livres : the professional thief and white collar crimes 1937 : the professional thief Il étudie le pickpocket est dit que c’est un métier car ils en vie. Il va suivre un voleur et lui poser des question sur ce metier, comment il a été former, qui est son mentor. Seule est le milieu professionnelle qui valorise et juge ce métier. Il le suit sans le juger ni sans le condamner, les comportement son étudier comme une carrière professionnelle. Il démontre que c’est un métier, une culture a part entière. Moeurs et codes qui lui sont propre, et meme la communauté du crime a ses propres moeurs et codes. ff En France c’est Jean Pene qui a travailler dessus, approfondissement d’un cas en particulier qui nous renseigne sur un cas en générale. Au usa c’est aussi Jack Katz, il va démonter que ce n’es pas la dépravation qui est décisive, mais l’accès a une communauté culturelle du crime, la place qu’on y trouve. 1949 : white collar crime Il va tenter d’étudier la criminalité pratiquer part les entreprise et plus particulièrement les multi-nationale. Exploitation non réglementaire de la main d’oeuvre, l’abus, tendances monopolistique ou encore s’engager dans dans la publicité mensongère. Il a analyser 70 entreprises parmi les 200 plus grandes entreprises des usa. Il regarde si de temps a autre ils ont des proccès, aller au tribunal et donc il en a trouver 70 et il les a analyser sur 40 ans. Il va analyser la norme, comment ses entreprises s’en sortent elle. Pendant 40 ans ces 70 entreprises passe tout les 3 ans au tribunal. Cela montre que ces pratiques font parti de la normalité pour ses entreprises. Du pov de ce qui commette ses crimes ça fait sens, le crime fait sens. —> E et drastique de ce double travail ; après cette analyse on ne peut plus dire que le crime, l’insécurité, la délinquance concerne que les classes populaire. Ça touche toute les classes, tout les milieux. —> Plus le criminelle est prestigieux moins il sera punis, il le démontre au juridique. Le criminelle n’est pas celui qui est pauvre ou mal dans sa peau, mais celui dont on accepte pas le crime ( le pauvre ). Le traitement réservé au criminelle n’a d’autre fondement que le rapport à la société avec le crime. Ex : féminicide A l’époque : « crime passionnelle », l’homme est pris de passion pour sa femme c’est pour cela qu’il la tué. Rapport de la société au crimes. Ex : crimes écologique 2 ème mentor des deux autres auteurs : Everett Hughes (1897-1983) Démontre le moralisme de la sociologie de l’époque, il est anti-moraliste. On s’interesse aux normes mais pas pour l’imposer, on s’y intéresse pour comprendre leur diversité. Année 30-40-50 : le Fonctionnalisme Grande air du fonctionnalisme, paradis complètement obsolete. Il est arrivé par l’exode des intellectuelles européen. Ils fuient la guerre. les européen débarque et trouve ça nulle, ils veulent des modèles plus formés, il faut généraliser la société en tant que telle et comment on s’intègre. Ils amenent la thématique de la cohesion et de l’integration. Né peu a peu le fonctionnalisme : chaque phénomène rempli une fonction dans la société, chaque comportement contribue au bon fonctionnement de la société. ff ff La société est un corps avec plusieurs organes, qui remplis un role utile pour le tout. Le coeur c’est l’art, les mains se sont les ouvriers. Fonction : tache/ role/ occupation & verbe « fonctionner » Émeutes —> déviance qui va briser cette machine qu’est la société La sociologue tente de savoir comment l’individu s’ajuste au role sociale qui lui revient. Def du fonctionnalisme : étude de l’action ent tant qu’elle vise a rencontrer la norme sociale. Regarder : revolutionary road -Le sens du moi- Livre : Asiles —> études sur la condition sociale des malades mentaux Il a contribué à la contre-culture et au mouvement de l’anti-psychiatrie Livre résultat d’une enquête de terrain, qui née en 54-55 à Chicago. Il se fait passé pour un in rmier. Cette immersion lui permet de faire 3 découvertes : —> La premiere est celle de la compétence généralisée du psychiatre, dénoncer l’idée que dans un asile on présuppose que le psychiatre doit pouvoir être sur tout les place de la vie de l’interne. Il doit pouvoir accès a TOUT les aspect de la vie du patient. Go man dit c’est super important sinon le psychanalyste ne pourra pas discréditer le patient, discréditer la façon dont lui meme se voit, raconte sa vie et fait sens de sa vie. Ce discredit va lui permettre de commencer sa thérapie. Le prix a payer et que le patient perd tout sens de soi, console a contrecarre les histoire que le patient fais de lui meme. 2 eme méthode c’est la littérature secondaire. Il va commencer a la lire, des observations de terrain fais par d’autre chercheurs. Il va s’intéresser a plus que l’asile mais aussi aux témoignages des prison, couvant, camps de guerre. Tout ces lieux ou on tente de renfermer la personnes. J’ai l’impression que ce qui se passe dans les asiles se passe aussi dans des institutions qui ne sont pas comparables. Toute ces instituions je vais les appeler les « total instutional » qui répondent a deux critères. 1) elle englobe la totalité des activités quotidiennes 2) isolent les internés du reste du monde, politique d’isolement ex : prison. Il veut échapper au cadrages normatif imposé par la psychanalyse. Il veut démontrer que quelque soit le cadrage normatif, il se passe quelque chose sociologiquement propres à ces institutions sociales. Il ne s’agit plus d’un cadrage médicale mais d’un cadrage sociale. Toute la vie sociale dans une institution total s’organise sous l’emprise de cette polarisation ( institutions et internes). —> La seconde découverte est celle de la technique de la morti cation : pas de possibilité de cuisiner sois meme, utilisation des noms de familles, de numéro, fouille régulière, architecture douche collective, ensemble des attentes fi ff fi Techniques de morti cation : procédures qui sont imposés a l’interné et qui n’ont que seul but d’a aiblir l’interner. De le déposséder de sa personnalité pour le rendre plus malléable. L’argument est de dire que les institution totales vont tenter de rendre plus malléable les internés. Création chez l’interné d’une anxiété existentielle = rompre le sens d’agir et le sens de l’e cacité de l’interné. Il est mis en di culté vis a vis des taches les plus simple du quotidien, il perd le sens de maitrise. G en parle à ses colleges qui ne sont pas totalement d’accord. 1 ère objection : les I-T o re aussi un système de recompense, privilèges pour tout interner qui se comporte bien. Ces recompense compense la morti cation car on est valorisé si on fait qlq chose de biens. G dit c’est vrai mais ca ne contre car pas cette anxiété existentielle, perdre le sens d’agir et toujours là. 2 ème objection : au fond ces techniques c’est horrible, il faut rééduquer le personnel. G vous vous trompe car le personnel sait ce qu’il fait mais il se sent obliger de le faire. Ils n’ont pas perdu leur morale. Mais plutôt le personnel est tenailler entre des registre d’institution opposé. D’une part il y a les principes d’humanités mais d’autre part il y a la rationalité de la gestion des grands groupes. Personnelle : rendre plus malléable est une réponse classique a la question de savoir comment reformer une foule et garder la main. 3ème objection : tu ne parle pas assez des rites d’integration, rites qui rapproche les deux univers. Qui le temps du rite lève les di erences. Ex : redaction d’un journal d’intérieur, sketch satyrique, les visites d’inspection, les compétitions sportives. Se sont des moments de rapprochement et lève la polarisation. G si ça se lève juste pour le rite mais que ça redevient après comme avant, il y a plutôt un re établissement de la polarisation. —> La troisième découverte est la ligne de partage, la di érence entre ses deux univers : toi tu es fou moi non. Il y a un déplacement possible entre les roles. ils doivent continuellement entretenir cette distinction car sinon c’est trop dur. Cette ligne de séparation est né de l’internement lui meme. Elle marque une di erence purement institutionnelle, purement dramaturgique. On et toujours l’autre en scene comme inférieur. Elle n’existe pas en dehors de ces institutions. c’est pourquoi il faut continuellement la répéter. Plus la mise en scene est extrème plus il y a de risque d’abus, de déshumanisation. Comme ci il fallait entretenir l’écart pour se justi er. 2 cas de déshumanisation : ⁃ L’a aire des tortures d’Abu Ghraib ( Irak, 2003) : caserne où des présumés membres de la résistance sont amené pour être interrogé. Mise en scene, photo reportage qui traite leur prisonnier comme des chiens (littéralement) et envoie ça à leur réseau entre eux. Soldat de NY va créer une fuite et le scandale sera mise au grand jour. L’armée des usa avait tout mis en place pour que il y est cette déshumanisation. Occident contre le non-occident. ffi ff ff fi ff ff fi ffi ff ff fi D’un pot sociologique, si vous créer des institutions pareil vous allez amené a la déshumanisation. ⁃ Creation du camp de détention à Guantanamo ( cuba,2002) —>,lutte contre le terrorisme. Ils sont amenés des présumés terrorismes. Les américains les kidnappés dans tout le monde. Il y a une dramaturgie de l’uniforme et de l’humiliation. Cette mise en scene à des e ets durables pour celui qui la subit et qui le fait subir. Ces « présumés terroristes » les ont brisés. Ils en sont sorti avec plus qu’une anxiété existentiels, elle va atteindre la construction de sois. L’Interactionnisme symbolique à démontré « qu’on devient tel qu’on nous décrit » ( Alain Coulon ) Livre : Asiles I-T : maison de repos, plantation moderne, navire négrier Go man s’interèsse à la résistance dont font preuves les habitants des I-T —> la distance que prenne les internes vis a vis de l’identité qui leur ai imposé Les interné n’accepte pas si facilment cette id donne par l’institution. Il l’avait découvert lors de son immersion en tant qu’in rmier. Cette hôpital était traversé de micro geste à travers lesquelles les internes se défont de leur id institutionnelle, il appel ça la vie clandestine Actes de résistance : 4 catégories ⁃ L’attitude : comment l’interné a che son attitude, ça peut être de l’ironie, la erté, l’indi érence. Ces attitude montre que l’on obéis mais en n’y croyant pas ⁃ Posséder un objet : faire des couteaux à partir de métal de cuillère, avoir des objets personnels dérobés au regard du personnel caché dans une planque, moyen de créer du feu ⁃ Tactiques de contourné les règles : moyen de recevoir 2 dessert, avoir accès a des rendez vous qui normalement ne sont pas prévues, complicité avec le personnel pour avoir accès à qlq chose ⁃ Création artistique : poèmes, dessin, peinture —> cette distanciation doit être acte, performé, s’incarner dans un test ou un acte, ces a travers ces actions que se matérialise une autre id que celle imposé. Pour que ça marche il faut que ce geste soit vu. —> l’interné peut s’opposer à cette id tout en obéissant, je fais ce qui est attendu de moi sur la scene principale mais dans les coulisse je fais écouter une autre id. fi ff ff ffi ff fi —> la vie clandestine n’est pas égale à la révolte, le fait de fuir la plantation ne fait pas parti de la vie clandestine. Par contre la vie clandestine prépare la possibilité d’une révolte, du marronage. C’est pourquoi les I-T essaye d’empêcher que cela puisse éclore car ils savent ce qui va être amené par la suite. Plus l’I-T met une ligne de partage plus on va essayer d’éradiquer cette vie clandestine. G dit que tout les institutions totales ou non possède des point faibles dans les marges, interstices où se developer la vie clandestine. l’individu n’est ps que le résultat de la société, des forces, milieu du groupes qui pèsent sur lui. On peut pas le réduire a la société, il a sa propre force qui l’aide à résister. Ces forces là sont contraire a ce que veut la société des individus. Il va pas le faire par pur plaisir mais pour sa liberté, c’est vitale, plus on lui impose qlq chose plus il va resister. Il faut tenter de rester digne de soi. -> étude du sens de soi avec les interactions avec autrui; enjeux de la préservation de soi. La vie clandestine vise la reconquête de cette autonomie. G dit : si il y a quelque chose qui peut contrer les techniques de morti cation c’est la vie clandestine. G dit au sociologue, nous devons partir de l’idée que les gens ne veulent pas accepter forcement le rôle qui leur est attribué. G pendant quelque pages il va critiquer la sociologie, « je reproche la sociologie de s’être trop intéresser à l’attachement du groupe sans se rendre compte qu’on raté une grande partie (…) ». Il faut que l’on puisse se regarder en face chaque soir dans un miroir, qu’est ce que je suis, est ce que je fais, fait sens ? Il reproche aux sociologues de réduire la personne a un statut, milieu alors que c’est la construction du sens de moi qui est importante. -Etiquettes et stigmates- 1963 : Outsiders, Howard S. Becker Il propose une reformulation radicale de la délinquance, ou de ce qu’on appelait alors la déviance. Il va interroger en quoi la société décide que ceci est une déviance, celle qui décide des normes. La question n’est plus alors morale, mais sociale au sens fort, c’est la société que l’on doit analyser. Comment est designer la ligne de partage entre la norme et la déviance. Anthropolgue découvert 2 chose que toutes les société trouve répréhensible : ⁃ L’inceste ⁃ L’assasinat D’autres sont considerer moins reprehensible en fonction des société : ⁃ L’adultere ⁃ Prostituion fi ⁃ L’avortement ⁃ Alcool, drogue ⁃ Homosexualité Ce qui est décisif c’est l’étiquetage, des personnes qui sont étiquetté comme déviant. « (…)Le déviant est celui auquel cette étiquette a été appliquée avec succès et le comportement déviant est celui auquel la collectivité attache cette étiquette. » Les outsiders ne sont des marginaux non part ce qu’ils font, mais par le regard qu’à la société sur leur comportement. C’est la ligne de partage qui créer l’outsider. C’est la société qui créer la déviance. Il étudie de groupes considérés comme étant des déviants : ⁃ Groupe de jazz : vu comme des lieux de déviances, malfamé ⁃ Mileu de consommateur de drogue ( marijuana ) On peut voir ça comme des pratiques qui s’apprenne et qui ne sont pas si simple. C’est une pratique qui montre qu’il y a une id de l’intérieure, il va appeler ça la carrière morale = trajectoire parcouru mais qui est en techniques sociales. Morale car ca va changer la vision du monde et de soi. Au fond dans ces communautés deviant, la pratique déviante et toujours accompagné de considerations éthiques, cad il ( le deviant ) va tout le temps se poser la question de pk ce que je fais est ok. Il n’y a pas d’indi erence a la loi, il la connaisse très bien, les comu déviante savent très bien pk les autres les vois comme deviants. Ils vont donc élaborer une liste d’argument pour justi er le fait d’être déviant. Et ces à travers toutes ces re exion qu’une vision du monde apparaît. Idée d’une contre culture qui émerge dans la sociologie. “En bref, les individus apprennent à participer à une sous-culture organisée autour d’un activité déviante particulière. » Théorie de l’ampli cation : Après avoir était désigné personnellement comme deviant, le deviant va vouloir justi e sa pratique mais il va passer a un stade supérieur. Il va réorganiser toute sa vie autour de cette nouvelle identité; il va réorganisé tout les aspects de sa vie autour de cette déviance. Ampli cation de l’étiquette, comme pour justi er ce moment de designation. Cela devient un moment de prise de position. 1963 : Stigmate Go man, s’intéresse a tous ceux dont un des attribuas conditionnes tout les interactions avec autrui = stigmate Les stigmatisés sont donc constamment renvoyé à cette unique attribut : handicape physique, tics, traits corporel (( nains, aveugle, di ormité physique ). Le racisme ça se n’est plus un stigmate, car celui ci est redouble par une structure sociale ( noir dans une école blanc dans une autre ), c’est de l’intériorisation ff fi fi fl fi ff ff fi fi culturel. Stigmatisation n’est pas égale avec inégalité. On est simplement sur la scene de l’interaction au quotidien, en face a face, où il n’y à pas d’institution qui dit lui est moins bien que lui. G dit, on retrouve l’oscillation, entre la communauté des paires et l’appartenance. Ils hésiteront eux même à accepté le stigmate opposé par la société. Retournement du stigmate = accepte de faire partie de cette communauté et en faire un vecteur de erté. Retourne lire outsider ( n du livre) Ces lignes de séparation c’est assez aléatoire, oui mais elle tombe pas du ciel, il y a toujours des lobbys qui mènent l’excursion. Il ya tout ces entrepreneur de la moral qui font existé cette ligne de partage. Il y a 4 sous groupes : ⁃ les réformateurs : veulent une reforme, interdiction (voile). Hommes et femmes intransigeant sur ce qui est bon ou non. Ils se sentent investit d’une mission. Ils vont mener une croisade pour que les autres se comporte autrement. Lutte pour le bien des autres et utilise un argumentaire humaniste. ⁃ Les lobbys : peuvent avoir n interêt a ce que ça se passe. Ils voient quelles sont les réformes revendiqués et décide mettre leur argent dans tel ou tel reformes. ⁃ Les spécialistes : expert sciences humaines et sociales et aussi les juristes. Ils aident a reformuler la demande des réformateurs de tel façon à ce que ça peut intégrer l’appareil etathiques. ⁃ La police : ne sont pas convaincues mais eux doivent garder la ligne de partage. Doit faire en sorte qu’elle soit un minimum respecté. Ils ne se sentent pas investit d’une mission. Pragmatisme, avec une vision réaliste de la nature humaine. Ils se donnent une certaine attitude mais ils ont un point faible, une chose qu’ils défendent corps et ame —> le respect que on leur doit. Son travail ne consiste pas a faire respecter la loi, mais à faire respecter qui ils sont. fi fi