Criminologie: Affirmations PDF
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Université de Lausanne
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These notes from a criminology course present assertions on criminological research, criminal indicators, and societal issues. It includes a series of questions and answers, likely from a past exam or assignment.
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Criminologie: Affirmations Chapitre 1: initiation aux recherches criminologiques 1) Selon la théorie de Popper, toutes nos connaissances proviennent de vérification d’hypothèses précédentes (p.9) ->Faux 2) En sciences sociales, la plupart des théories sont déterministes (p.8) ->Faux 3) L’observat...
Criminologie: Affirmations Chapitre 1: initiation aux recherches criminologiques 1) Selon la théorie de Popper, toutes nos connaissances proviennent de vérification d’hypothèses précédentes (p.9) ->Faux 2) En sciences sociales, la plupart des théories sont déterministes (p.8) ->Faux 3) L’observation participante est une excellente technique pour développer des hypothèses (p.14) ->Vrai 4) L’utilisation d’un échantillon aléatoire augmente le risque de subjectivité de la part du chercheur au moment de choisir la personne qu’il souhaite étudier (p.17) ->Faux 5) Le taux de prévalence est calculé à partir du nombre de membres d’une population qui ont commis au moins une infraction ->Vrai 6) Le taux d’incidence est calculé à partir du nombre d’infractions commises par les membres d’une population ->Vrai 7) Lors de l’étude de la causalité, il est toujours possible de prendre en considération et tester les variables tierces (p.20) ->Faux 8) Par cause, nous entendons toute variable corrélée à une autre variable si l’évolution chronologique d’une des deux montre qu’elle est antécédente et si la corrélation n’est pas artificielle (p.19) ->Vrai 9) On commet une erreur de première espèce lorsqu’on considère une hypothèse comme corrélée alors qu’objectivement elle ne l’est pas (p.25) ->Vrai 10) On commet une erreur de première espèce lorsque l’on considère une hypothèse comme réfutée alors que les données ne permettent pas une telle conclusion (p.25) - deuxième espèce ->Faux 11) On commet une erreur de deuxième espèce lorsque l’on considère une hypothèse comme corroborée, alors qu’objectivement elle ne l’est pas (p.25) ->Faux Chapitre 2: Les indicateurs de la criminalité et du contrôle social 1) un indicateur est fiable lorsque la mesure utilisée est reproductible et intersubjective ->Vrai 2) Les SDA ont été utilisés pour mesurer la délinquance des toxicomanes traités aux opiacées en Suisse ->Vrai 3) Les règles de comptage utilisées pour établir les statistiques policières ont très peu d’influence sur le nombre de crimes enregistrés ->Faux 4) La validité des SDA peut être améliorée en recontactant les personnes qui ont refusé de répondre au questionnaire la première fois ->Vrai 5) Pour une comparaison du taux de délinquance de diff pays, il vaut mieux utiliser les star de police plutôt que le sondage de victimisation ->Faux 6) Les SDA peuvent produire des résultats diff selon l’origine ethnique des participants ->Vrai 7) En ce qui concerne les taux de délinquance calculés à partir des SDA, on peut dire que les taux de prévalence sont plus fiables/valides que les taux d’incidence ->Vrai 8) La validité des SDA peut être améliorée en distinguant les infractions banales ->Vrai 9) Les premiers SDA indiquaient de nombreux comportements qui ne sont pas des délits, ils concernent plutôt des comportements problématiques d’adolescents venant des USA ->Vrai 10) Les comparaisons entre SDA et statistiques montrent que la police ne choisit pas au hasard les jeunes à qui elle s’intéresse ->Vrai 11) Les SDA permettent de mettre en évidence la délinquance grave avec des échantillons de petite taille ->Faux 12) Le manière dont sont posées les questions concernant la localisation des évènements dans le temps à très peu d’influence sur les résultats obtenus avec des SDA ->Faux 13) Les SDA sont peu utiles pour des recherches comparatives au niveau international->Faux 14) Les stat judiciaires sont plus valides que les stats policières->Faux 15) Les SDA ont permis de prouver que la criminalité est distribuée de manière homogène dans toutes les couches de la population ->Faux 16) Les SDA sont en général construit avec des échantillons représentatifs de l’ensemble de la population ->Faux 17) On dit d’un indicateur qu’il est fiable s’il mesure bel et bien ce qu’on veut mesurer ->Faux 18) Le taux de prévalence est calculé à partir du nombre de membre d’une population ayant commis au moins une infraction ->Vrai 19) Le taux d’incidence est calculé à partir du nombre total d’nfractions commises par les membres d’une certaine population ->Vrai 20) Le taux d’incidence est calculé à partir du nombre d’infractions de différents types commises au moins une fois par des membres de l’échantillon ->Faux 21) La validité externe cherche à déterminer si les résultats d’une recherche sont valides dans d’autres contextes ->Vrai 22) La validité pragmatique contient la validité concourante et prédictive ->Vrai 23) Pour constater qu’il existe un rapport de causalité, il faut établir 3 conditions->Vrai 24) Les taux de réponse aux sondages sont importants pour établir la validité des résultats obtenus avec ceux-ci ->Vrai 25) On dit d’un indicateur qu’il est valide, si la mesure est reproductible et non subjective ->Faux Chapitre 3: Le crime dans les différents types de sociétés 1) Le calcul des taux de criminalité urbain pose un problème de numérateur difficile à résoudre->Faux 2) L’évolution du nombre de femmes victimes d’homicide suggère que les femmes n’ont pas profité du processus de civilisation décrit par Ellias ->Vrai 3) La structure inégalitaire d’une société implique forcément qu’une frange à risque de la population masculine sers particulièrement touchée ->Faux 4) Ni les explications données à l’évolution de la délinquance aux USA ni la plupart des théories criminologiques peuvent expliquer l’évolution récente de la délinquance en Europe ->Vrai 5) Ce n’est pas le nombre d’habitants d’une ville qui est décisif pour qu’elle présente un taux de délinquance élevé, mais plutôt sa position de centre = son rôle de carrefour, d’activités humaines ->Vrai 6) La diminution de la misère humaine depuis la fin du 19ème siècle explique que de nos jours on ne trouve pas de corrélation entre la prise des aliments de première nécessité et le vol ->Vrai 7) La théorie de l’anomie de Durkheim n’est pas corroborée par l’évolution de la criminalité (délinquance) à long terme ->Vrai 8) La valeur de l’économie parallèle en Suisse est particulièrement élevée ->Faux 9) La meilleure solution contre la corruption est la répression et l’instauration de nouveaux contrôles sur l’administration publique ->Faux 10) Les organisations impliquées dans le domaine de la criminalité transfrontalière ont une structure similaire à celle des organisations criminelles classiques ->Faux 11) L’économie parallèle englobe de nombreuses activités non-criminelles ->Vrai 12) La délinquance fiscale est un domaine difficile à étudier en utilisant des évaluations expérimentales ->Faux 13) L’économie parallèle est moins répandue en suisse que dans les pays méditerannéens ->Vrai 14) Les recherches en la matière de prévention des fraudes à l’assurance montrent qu’envoyer un courrier aux assurés condamnant ce genre de fraudes est une méthode efficace pour la réduire ->Faux 15) La corruption s’explique mieux par le caractère pervers des acteurs impliqués que par les éléments structurels ->Faux 16) La corruption est plus facilement dénoncée dans les pays où elle est peu répandue que dans ceux où elle est très répandue ( banale) ->Vrai 17) La criminalité organisée a été peu affectée par le phénomène de la mondialisation ->Faux 18) La nouvelle criminalité transfrontalière en Europe a peu de choses en commun avec le modèle traditionnel de la mafia en Italie et aux USA ->Vrai 19) La criminalité transfrontalière augmente lorsque le déséquilibre entre pays ou continents diminue ->Faux 20) Les recherches empiriques suggèrent que les gains effectifs obtenus par les membres des organisations criminelles sont beaucoup moins élevés que ceux qui sont évoqués dans les débats politiques ->Vrai Chapitre 4: criminalité et pluralisme culturel 1) La situation des sans papiers ou des requérants d’asile ne garantit aucun séjour à long terme dans les pays de destination, ce qui entraine un changement de perpective impliquant qu’ils doivent compter sur des gains rapides ->Vrai 2) La version de Sellin de la théorie du conflit de culture est basée sur la prémisse que la loi pénale est infiniment variable d’une culture à l’autre ->Vrai 3) Les SV ne permettent pas d’étudier l’origine des délinquants ->Faux 4) Dans le cadre de l’étude de la criminalité des minorités ethniques, les décennies de 60 à 70 peuvent être qualifiées comme des années difficiles (p158) ->Faux 5) L’osquon prend en considération des variables comme le passé judiciaire de l’inculpé, la nature et la gravité de l’infraction et l’attitude de la victime, les minorités ethniques ne semblent pas être la cible de traitements discriminatoires de la part des tribunaux (p154) ->Vrai 6) Le développement d’une criminalité transfrontalière n’est pas liée à la présence d’immigrés à l’intérieur du pays (p.164)->Vrai 7) Les recherches ont largement corroboré la pertinence de la théorie du conflit des cultures pour expliquer la différence dans l’implication dans la délinquance des autochtones et des étrangers (p.164,165,166,167) ->Faux 8) Le choc pétrolier des années 70 n’a pas eu d’influence sur la situation des migrants (p161) ->Faux 9) La présence d’immigrés clandestins a peu d’influence sur le calcul du taux d’implication dans la délinquance des étrangers par rapport aux nationaux (p162) ->Faux 10) La première génération d’immigrés commet d’avantage de délits que la deuxième (p177) ->Faux ->Vrai 11) De nos jours, les immigrés sont rarement victimes de crimes (p174,175,176) ->Faux 12) Les recherches n’ont pas trouvé de corrélation entre victimisation et délinquance (p175)->Faux 13) Afin d’étudier le lien entre l’origine ethnique des personnes et leur implication dans la délinquance il vaut mieux utiliser le sondage que les statistiques (p148) 14) La théorie du conflit de cultures propose une explication suffisante de la relation entre criminalité et pluralisme culturel ( p.164) ->Faux 15) La proportion d’étrangers parmi les personnes mises en causes par la police est restée stable depuis les années 70. (P160) ->Faux 16) La 2eme génération d’immigrés est moins impliquée dans la délinquance que la première (p.177) ->Faux 17) L’enquête internationale de délinquance autoreportée a montré que dans la majorité des pays le taux de délinquance des immigrés et jeunes migrants étaient semblables à ceux des autochtones (p.168) ->Faux 18) L’enquête menée en Suisse en 77 auprès de recrues de l’armée Suisse a montré que les taux de délinquance des jeunes immigrés étaient semblables à ceux des autochtones (p169) ->Faux 19) Les projets d’avenir des immigrés ne jouent aucun rôle dans l’explication de la délinquance(p161) ->Faux 20) Le système scolaire du pays d’accueil joue un rôle modeste dans l’explication de l’implication des immigrés dans la délinquance (p171) ->Faux Chapitre 5: Criminalité et facteurs démographiques 1) La présence d’une arme a feu dans le domicile est un des facteurs les plus importants à risque d’homicide dans le cadre de la violence domestique ->Vrai 2) La surreprésentation des jeunes hommes dans les statistiques de délinquance s’explique parce que ces statistiques sont biaisées (p.181,182,183) ->Faux 3) Aux 17 et 18 èmes siècles, la proportion de femmes parmi les condamnés était sensiblement moins élevée qu’aujourd’hui (p185) en mode sorcellerie ->Faux 4) La durée d’exposition aux risques permet d’expliquer pourquoi les auteurs inconnus de l’enfant sont minoritaires parmi les auteurs d’abus sexuels sur enfants (p212,213) moins lgt en publique ( moins de chances d’agression, car enfant surveillé) ->Vrai 5) On constate une certaine concentration des abus physiques envers les enfants dans les lieux modestes, caractérisés par des problèmes de chômage et d’autres difficultés d’intégration sociale (p211)->Vrai 6) Les fréquences de poursuites pénales et des condamnations atteint un sommet vers la fin de la vie adulte ( p190) ->Faux 7) La prévalence des abus physiques envers les enfants a augmenté durant le 20 ème siècle (p.210) ->Faux 8) Le risque d’être victime d’une infraction dans l’espace publique s’explique bien en utilisant la théorie du style de vie (p204,205) ->Vrai 9) La sous-criminalité féminine peut s’expliquer de manière suffisante en n’utilisant que des théories sociologiques ->Faux 10) La recherche indique que les abus sexuels ont diminué depuis la deuxième guerre mondiale (p2120) ->Vrai 11) Les enfants vivant avec deux parents naturels courent moins de risques d’être victimes d’abus sexuels que des enfants vivant dans d’autres conditions familiales (p212) ->Vrai 12) A travers le temps, les variations dans les orientations du droit pénal et de la répression sont corrélés avec les variations dans les pourcentages d’hommes et de femmes dans le détail des personnes condamnées ->Vrai 13) La disparité dans la fréquence des abus sexuels commis par des religieux appartenant à différentes religions s’explique par leurs différentes conceptions de la religiosité ->Faux 14) Quand on compare le nombre de mineurs condamnés dans différents pays, les variations observées s’expliquent en grande partie par des différences dans les procédures pénales du pays (p213) ->Vrai 15) Les abus sexuels sur les enfants sont majoritairement commis par des inconnus (p211) ->Faux 16) En Europe occidentale, le risque d’être victime de violence domestique est plus élevé pour les femmes appartenant à des minorités ethniques que pour le reste des femmes (p208) ->Vrai 17) Dans les pays qui présentent des taux élevés de violence, le pourcentage de femmes tuées est plus élevé que dans ceux présentant des taux de violence bas ( p209) ->Faux 18) La violence subie durant l’enfance est corrélée avec les comportements violents de la victime à l’âge adulte (p169) ->Vrai 19) Les filles sont autant que les garçons impliquées dans la resquille dans les transports en commun et les vols à l’étalage (p182) ->Vrai 20) Les résultats d’une étude allemande ont montré que le taux de prévalence et d’abus physiques les plus élevés se trouvaient parmi les personnes qui ont vécu leur enfance après les 60s (p.210) ->Faux 21) Environ la moitié des infractions sont commises par un groupe d’auteurs représentant moins de 10% de la population (p192) ->Vrai 22) Dans les stats judiciaires, lorsque certaines variables telles que les antécédents sont prises en compte, les différences de traitement entre femmes et hommes deviennent minimes(p182) ->Vrai Chapitre 6: La délinquance juvénile 1) Le conditionnement opérant explique bien l’invention de solutions nouvelles et l’apprentissage de certaines distinctions essentielles pour la survie de l’organisme (p221) ->Faux 2) Un des points Forts de l’étude longitudinale de Cambridge dirigée depuis des années par Farrington est la taille très importante de l’échantillon étudié (p.235) ->Faux 3) Les données de l’étude de Cambridge montrent qu’il n’y a pas de différence entre les délinquants précoces et le reste des délinquants (p242) ->Faux 4) Les études transversales utilisent souvent des opérations rétrospectives pour connaître le passé plus lointain (p239) ->Vrai 5) Les recherches longitudinales permettent de saisir les relations causales mieux que les recherches transversales (p232)->Vrai 6) Les effets à long terme de la TV sur l’agressivité des enfants n’a pas pu être démontrée de manière satisfaisante (p229) ->Vrai 7) L’approche cognitive de l’apprentissage a inspiré des recherches qui montrent que l’apprentissage est possible sans que l’on ait soi-même exécuté l’acte ( Bandura poupée) (p224) ->Vrai 8) La thèse de l’ubiquité de la délinquance ne fonctionne que par des délits très banals (p244) ->Vrai 9) La théorie de l’association différentielle postule qu’un processus de communication assez intense avec des délinquants serait à l’origine de l’apprentissage des techniques des attitudes criminelles (p216) ->Vrai 10) Le lien de causalité entre communication avec des délinquants et commission d’infraction proposé par la théorie de l’association différentielle est l’un des points faibles de cette théorie (p217) ->Vrai 11) Les recherches transversales permettent de suivre l’évolution de la délinquance d’un même groupe de personnes de l’adolescence à l’âge adulte ( étude longitudinale) ->Faux 12) Le point faible de la théorie de l’association différentielle de Sutherland réside dans la relation causale qu’elle propose ->Vrai 13) La recherche long de Cambridge a suivi un groupe de jeunes de classe sociale favorisée ->Faux 14) La théorie du conditionnement classique postule que l’on peut augmenter ou diminuer la fréquence de certaines réactions de l’organisme au moyen de renforcements ou punitions (p221) (opérant) ->Faux 15) La théorie du conditionnement opérant est plus proche de la stratégie de la prévention générale par la peine que de celle de la prévention spéciale (p222) ->Faux 16) La théorie de l’association différentielle soutient que le comportement criminel est appris notamment à travers les émissions violentes observées dans les médias (p227) ->Faux 17) La théorie des vitres brisées a des liens avec le concept d’efficacité collective (p217) ->Vrai 18) Les abus physiques subis pendant l’enfance n’ont pas d’influence sur les comportements violents à l’âge adulte (p264) ->Faux Chapitre 7: Le crime comme produit de la situation 1) l’approche situationnelle suggère une corrélation entre chômage et criminalité ( p273; si approche situationnelle pas activité routinière) ->Faux 2) La prévention du crime par la réduction des occasions n’entraine pas un déplacement systématique de la criminalité (p312,284) ->Vrai 3) La théorie des brèches postule que l’évolution technologique, économique et sociale conduit à l’avènement de certains points faibles dans l’organisation économique et sociale (p306) ->Vrai 4) L’influence de la température et les précipitations journalières sur les activités routinières et le style de vie permettent d’expliquer le rapport entre conditions météorologiques et criminalité (p306) ->Vrai 5) La théorie du style de vie est plus large et plus abstraite que la théorie des activités routinières (p272) routinières = microsociologique ->Faux 6) Le modèle de Clarke et Mayhew pour prévenir la délinquance propose de changer la psychologie du délinquant (p278) ->Faux 7) La suppression du gain tiré du crime semble être une stratégie efficace de la lutte contre la délinquance (p294) ->Vrai 8) La comparaison internationale montre qu’il existe une forte corrélation entre le pourcentage de ménage disposant d’une arme à feu et le taux de suicide d’un pays (p290) ->Vrai 9) A cause de leur style de vie, le risque de victimisation est plus élevé pour les jeunes hommes que les femmes (p270) ->Vrai Chapitre 8: Le crime et la réaction sociale 1) Ce n’est pas la délinquance ( même très répandue) qui menace l’existence d’une norme, mais plutôt le fait que son non-respect général soit connu du grand public (p324) ->Vrai 2) La vaste majorité des infractions arrive à la connaissance de la police et des tribunaux (p313-314) - chiffre noir ->Faux 3) L’inflation des lois pénales explique l’augmentation de la délinquance contre la propriété (p316) ->Faux 4) La législation pénale émane d’une intention économique claire et cohérente (p329) ->Faux 5) Le crime est un comportement interdit par les lois telles qu’elles existent à un moment donné , dans une société donnée, déterminée, et pour lequel les lois prévalent une sanction (p319) ->Vrai 6) Le système pénal actuel est plus sévère que les anciens systèmes pénaux (p342) ->Faux 7) La théorie de l’étiquetage fait une distinction entre déviance primaire et déviance secondaire (p334)->Vrai 8) Le système pénal d’autrefois était plus systématique que le système pénal actuel dans l’application des sanctions pénales (p344) ->Faux 9) L’explosion du taux de détention aux USA est dûe à l’augmentation de la criminalité dans ce pays (p349) - CLIMAT POLITIQUE ->Faux 10) Les augmentations de la population carcérale s’expliquent par la tendance à infliger des courtes peines d’incarcération ( p349) non, plus longues ->Faux 11) Selon la théorie de l’étiquetage, le comportement déviant est celui que les gens étiquettent comme tel (p315) ->Vrai 12) La principale recommandation de politique criminelle de la théorie de l’étiquetage est la non intervention radicale ->Vrai 13) La théorie de l’étiquetage a été corroborée par de nombreuses recherches empiriques (p337) ->Faux 14) Selon la théorie de l’étiquetage, les peines et mesures appliquées dans un but de prévention spéciale sont efficaces (p315) ->Faux 15) La théorie de l’étiquetage soutient que les attitudes et les comportements criminels sont appris au contact d’autres personnes ->Faux 16) La punitivité objective fait référence à la sévérité des peines qu’une société inflige aux condamnés (p337)->Vrai 17) La théorie de la stabilité de la punition de Blumstein et Cohen (1973) a été réfutée par l’évolution des populations pénitenciaires aux USA et en Europe (p338)->Vrai Chapitre 9: Le crime, le système pénal et l’opinion publique 1) le fait que l’Europe latine soit plus punitive que l’Europe du Nord s’explique parce que l’Europe latine valorise d’avantage la liberté individuelle (p 373-374) ->Vrai 2) Les sondages de victimisation montrent que les victimes de délits contre les biens dénoncent les délits pour des raisons différentes que les victimes de délits contre la personne ( mot liées a l’argent, intégrité physique pas vrm violée)->Vrai 3) L’attitude des particuliers face aux grands thèmes de la politique criminelle dépend de leur sentiment d’insécurité au niveau individuel ( p368) ->Faux 4) Lorsque l’on compare différents pays européens, il n’y a pas de corrélation entre la durée de la peine que les citoyens interrogés souhaiteraient imposer p.ex à un cambrioleur récidiviste et le taux de détention de leur pays (p378) ->Faux 5) La punitivité subjective fait référence au souhait exprimé par les interrogés, que la peine et les réponses face au crime, notamment de la part de la police, deviennent plus au moins sévères (p351) ->Vrai 6) En Suisse, les immigrés ont une image de la police helvétique plus négative que celle qu’ont les Suisses (p378) ->Faux 7) La peur de sortir le soir dans les alentours du domicile touche notamment les femmes (p357) ->Vrai 8) Les sondages de victimisation sont peu utiles pour mesurer la punitivité ->Faux 9) Les mesures de prévention concrètes prises par les citoyens lorsqu’ils se promènent de nuit dans l’espace public connaissent des variations en fonction des risques objectifs ->Vrai 10) La peur du crime peut être mesurée en analysant les statistiques policières (p352) ->Faux 11) La question de l’impact d’une victimisation peut être mieux étudiée avec une recherche transversale qu’avec une recherche longitudinale (p357) ->Faux 12) Les variables clés pour mesurer la peur du crime sont l’âge et la vulnérabilité (p357) ->Faux 13) La victimisation vicariante n’a pas d’effet sur le sentiment d’insécurité (p362) ->Faux 14) Les recherches empiriques montrent que les attitudes punitives des Suisses n’ont guère évolué depuis les années 60 (p369) ->Faux Chapitre 10: La prévention générale comme fonction de la peine 1) La théorie de la prévention générale a été remise en question par les travaux de Lambrisse (p382) ->Vrai 2) La théorie de la prévention spéciale a inspiré les législateurs des 18 et 19 ème siècles (p382) ->Faux 3) La théorie de la prévention générale a refait surface dans les années 70 (p382) ->Vrai 4) L’approche cognitive utilisée dans le cadre de la théorie de l’association différentielle soutient la théorie de la prévention générale (p382) ->Vrai 5) La théorie de la prévention générale a été en partie discréditée par les recherches sur la peine de mort (p382) ->Vrai 6) L’approche comportementalisme utilisée dans le cadre de la théorie de l’association différentielle soutient la théorie de la prévention générale ( chap 6,263-4) ->Faux 7) La prévention spéciale peut aussi être appelée dissuasion spéciale (p381) ->Vrai 8) Le manque de corroboration d’une hypothèse est synonyme de la presse de son inexactitude (p396) ->Faux Chapitre 11: La prévention spéciale et la resocialistion comme fonctions de la peine 1) Par prévention spéciale on entend toute intervention qui tend à dissuader l’ensemble de la population de commettre un délit (p413) ->Faux 2) L’analyse de la récidive doit prendre la forme d’une analyse longitudinale qui prend comme point de départ la personne quittant la prison et qui suit leur évolution dans le temps (p418) ->Vrai 3) L’expérience de Cmabridge-Sommerville, évaluée par McCord suggère qu’une intervention trop massive des assistants sociaux peut créer une dépendance des enfants vis-à-vis de l’assistance sociale et engendrer des effets nocifs à long terme (p438)->Vrai 4) L’évaluation du programme Suisse de substitution des charges a mis en évidence une diminution très importante de l’incidence de la délinquance (p441) moins de délits commis par les particulier ( ici les toxico) ->Vrai 5) Les variables démographiques, la nature du délit et les condamnations antérieures sont les variables clés pour essayer de prédire la récidive (p421) ->Vrai 6) Selon les données Suisses sur la récidive, six ans après leur libération, presque la moitié des détenus libérés en 1988 auraient été à nouveau condamnés et presque 1/3 réincarcéré (p419) ->Vrai 7) La récidive est un phénomène très courant parmi les condamnés sans expérience carcérale (p421) ->Faux 8) La récidive générale a beaucoup augmenté au fil des années (p422) ->Faux 9) Le changement d’attitude du détenu n’a pas d’influence sur son risque de récidive (p424) ->Faux 10) Les expérimentations randomisées ne permettent pas de savoir si les effets obtenus avec un traitement auraient pu être obtenus sans le traitement ( si pck groupe contrôle) ->Faux 11) Les expérimentations randomisées ne peuvent jamais être questionnées du point de vue éthique ( faux, ca veut dire qu’on choisit des gens qui auraient + le mérite de bénéficier d’un traitement p.ex) p429 ->Faux 12) Les expérimentations randomisées sont peu coûteuses (p429) ->Vrai 13) Les deux groupes randomisées sont en principe identiques et facilitent les comparaisons ( matches pairs - sosie) ->Vrai 14) La présence d’un groupe contrôle permet de savoir si les effets auraient été quand meme atteints sans le traitement p429 ->Vrai 15) Seule la comparaison entre les deux groupes randomisés permet de constater les effets secondaires indésirables ->Faux 16) L’expérimentation randomisée permet de contrôler la causalité ->Vrai 86