RELATIONS INTERNATIONALES - AES - M1S1 PDF

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Université Paul Valéry Montpellier III

Camila Perruso

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international relations exam notes political science global studies

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These are class notes on international Relations, focusing on the introduction and some initial topics. The notes include definitions, themes, an overview of international relations as a field, and relevant historical and philosophical contexts.

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RELATIONS INTERNATIONALES Evaluation: Questions basés sur le cours et les exposés comme examen final (sur articles lus) qui vaudra 50% de la note (16 décembre) Exposés basés sur une des thématiques du cours en analysant un fait marquant international (environ 30 min par oral dans...

RELATIONS INTERNATIONALES Evaluation: Questions basés sur le cours et les exposés comme examen final (sur articles lus) qui vaudra 50% de la note (16 décembre) Exposés basés sur une des thématiques du cours en analysant un fait marquant international (environ 30 min par oral dans un groupe de 4 à 5 personnes suivi de 15 min d’échange.) qui vaudra 50% de la note Groupe: Iness, Alessandra, Juliane (2 décembre - Droits Humains) Professeur: Camila PERRUSO Fin cours à 19h45/19h15 Introduction I. La notion de relations internationales D’après vous, qu’est ce que sont les Relations Internationales? - entre différents pays (militaire, économiques, commerciaux, politiques…) - différentes dynamiques - interactions - liens entre pays Définition 1 Définition 2 Les relations internationales désignent Les relations internationales sont l'ensemble des interactions, fondées l'étude des rapports et des flux sociaux sur des principes théoriques, des de toutes nature qui traversent les règles politiques et des manifestations frontières et échappent au contrôle pratiques, qui se déroulent sur la d'un pouvoir unique. Elles impliquent scène mondiale entre divers acteurs, des acteurs appartenant à différentes principalement les États, mais aussi sociétés étatiques. d'autres entités influentes. Point commun entre les deux définitions : Le critère de localisation politique impliquant l'analyse des faits et des actes qui ne se limitent pas à un seul État et qui, par conséquent, dépassent nécessairement les frontières nationales. a) Les Relations Internationales : Une Discipline Pluridisciplinaire et Récente Il existe un lien fort entre les Relations Internationales et d’autres disciplines: Les relations internationales relèvent essentiellement des sciences politiques. Différence majeure : Sciences Politiques s'occupent des faits politico juridique sur le plan interne alors que Relations Internationales s'occupent des faits politico juridique sur des faits internationaux. Sociologie: Nous permet de comprendre les positionnement de différents acteurs des relations internationales Philosophie: C’est un philosophe qui est à l’origine de l’ouvrage fondateur ou il moralise et propose un projet de paix perpétuelle en 1795 (kante), Histoire: Les relations internationales fluctuent en fonction des faits historiques. Des évenement viennent poser des orientation des relations internationales. Droit international: Les relations internationales sont censées être régies par le droit. C’est lui qui encadre les rapports entre les acteurs des relations internationales. ⇒ Les relations internationales forment une discipline relativement récente (développée depuis la Première Guerre mondiale), avec des frontières disciplinaires souples, permettant ainsi des croisements avec d'autres champs de savoir. Le besoin de développer cette discipline s'est manifesté à travers le discours des 14 points du président américain Wilson, en 1918, où il a tenté de poser les bases pour éviter de futurs conflits majeurs, comme celui de la Première Guerre mondiale. Dans ce discours, il défendait le développement de relations favorisant la résolution pacifique des différends (interdiction de la guerre, une idée révolutionnaire), ainsi que la création d'organisations internationales, qui étaient alors très peu nombreuses (moins de 20, alors qu'il en existe des millions aujourd'hui). Il revendiquait également l'élaboration d'une nouvelle moralité en faveur de la paix. Définition : Les organisations internationales sont des associations d’Etats. En effet, ce sont des États qui se réunissent pour aborder ou développer une question précise. ⇒ Finalement ses propositions n’ont pas fonctionné. En effet, avant la fondation de l'ONU, une organisation précédente a existé (la société des nations de 1919) mais a été dissoute après avoir échoué à empêcher la Seconde Guerre mondiale, mettant ainsi fin à l'idéalisme wilsonien. b) Les principaux objets d'étude des relations internationales C'est-à-dire les aspects centraux qui structurent et influencent les interactions entre les États et d'autres acteurs sur la scène mondiale Relations de voisinage : Les relations internationales incluent les interactions de proximité entre les États, qui concernent des aspects de leur vie sociale et politique. Ces relations ont toujours existé : par le passé, elles étaient menées par des dirigeants (princes, rois, empereurs), les traités étaient traduits par leurs diplomates et ambassadeurs, ainsi que par des commerçants qui échangeaient à travers les frontières. Le noyau de ces relations a souvent été les préoccupations sécuritaires, qui sont une motivation majeure pour que les organisations politiques (comme les États) entretiennent des relations entre elles. Cela a conduit au développement de moyens militaires pour répondre aux préoccupations de sécurité. Concurrence et coopération : Les relations internationales se construisent autour de deux dynamiques principales : la concurrence et la coopération. Les États et les autres acteurs coopèrent ou entrent en compétition pour des raisons commerciales, économiques, militaires, ou territoriales, en fonction de leurs intérêts. Ces relations sont guidées par un mélange de solidarité (coopération) et de tension (concurrence) permanentes. Pouvoir et son organisation : Le texte traite aussi de la manière dont le pouvoir est organisé et distribué dans le système international. Au 20ème siècle, on a assisté à une diversification des acteurs sur la scène internationale, qui ne se limite plus aux seuls États. D'autres acteurs sont apparus: les organisations non gouvernementales (ONG), les organisations internationales, les grandes entreprises privées, et même les activistes. Ces différents acteurs exercent leur pouvoir de différentes manières et influencent les relations internationales. Chaque État définit sa politique étrangère en fonction de sa situation actuelle (conjoncture - politique actuelle) et de la géopolitique, qu'il s'efforce de mettre en œuvre. ⇒ Ces stratégies sont aujourd'hui bien plus articulées avec d’autre Etats (entre Etats ou dans le cadre d’organisations internationales en créant de véritables politiques publiques international (ex: Union Européenne) + Exemple: on peut voir de grands réseaux d'Etats contre la lutte contre la pauvreté (sujet mondial), c) Les deux grandes théories des relations internationales: l'idéalisme et le réalisme Ces théories donnent des raisons de l'existence de ces relations en fonction de leurs principes (il y a une tension entre la théorie des réalisme et libéralisme). Courant de L'IDÉALISME : ○ Définition: L'idéalisme en relations internationales prône une diplomatie multilatérale et ouverte, régulée par le droit international et les organisations internationales (comme l'ONU). Il est fondé sur l'idée de solidarité entre les États et les autres acteurs internationaux. Selon cette théorie, les relations internationales devraient être guidées par des règles juridiques et par les institutions internationales qui favorisent la coopération pacifique entre les États. ○ Référence au discours des 14 points de Wilson et Kant: L'idéalisme fait écho aux idées du président américain Woodrow Wilson, exprimées dans son discours des 14 points (1918), qui visait à instaurer une paix durable après la Première Guerre mondiale. Il est aussi lié aux idées du philosophe Kant, qui imaginait une "paix perpétuelle" fondée sur la moralité et le droit. ○ Critique de l'idéalisme: Cette approche est souvent critiquée pour être déconnectée de la réalité. Elle ne décrit pas le monde tel qu'il est, avec ses conflits et ses luttes de pouvoir, mais tel qu'il "devrait être" selon un idéal moral. Autrement dit, elle est accusée de ne pas tenir compte des comportements réels des États, qui agissent souvent de manière égoïste et compétitive. Courant du RÉALISME : ○ Définition: En opposition à l'idéalisme, le réalisme considère que la politique internationale est fondamentalement distincte de l'éthique. Selon cette théorie, chaque État est un acteur unique qui poursuit ses propres intérêts, souvent au détriment des autres. Le réalisme part du principe que le système international est anarchique, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de gouvernement ou d'autorité supérieure aux États pour réguler leurs actions. ○ Référence à Hobbes: Cette perspective est inspirée par le philosophe Thomas Hobbes, qui voyait le monde comme un "état de nature" où les États sont constamment en compétition pour le pouvoir et la sécurité, menant à une "course à l'armement" infinie pour protéger leurs intérêts. ○ Stabilité du système: Selon le réalisme, la stabilité du système international est possible lorsque les grandes puissances (États les plus influents) sont en paix. Cette idée est associée au sociologue et politologue Raymond Aron, qui a proposé que si les grandes puissances se maintiennent en paix, le monde dans son ensemble est plus susceptible d'être en paix. ○ Critique du réalisme: Le réalisme est souvent critiqué pour sa vision "paranoïaque" du monde, où chaque État est perçu comme un acteur uniquement motivé par ses propres intérêts, prêt à recourir à la force si nécessaire. Cette perspective est accusée de justifier la guerre et la méfiance entre les nations au lieu de promouvoir la coopération. ⇒ Ces deux approches expliquent pourquoi les relations internationales existent, mais offrent des interprétations très différentes de la manière dont elles fonctionnent réellement. Autres théories Le LIBÉRALISME : ○ Définition: Le libéralisme se distingue du réalisme en soutenant que les relations internationales ne sont pas uniquement déterminées par la quête de pouvoir des États. Il souligne le rôle des acteurs non étatiques tels que les organisations internationales, les ONG et les multinationales. La globalisation et la mondialisation ont contribué à transformer la structure des relations internationales, rendant les États plus interdépendants. ○ Rôle des organisations internationales: Les institutions internationales jouent un rôle central dans le libéralisme. Elles facilitent la coopération entre les États et réduisent l'anarchie qui caractérise le système international selon les réalistes. Le multilatéralisme et la coopération sont des concepts clés de cette théorie. Ce courant prend plus en compte les relations internationales d’aujourd’hui. Le FONCTIONNALISME : ○ Définition: Le fonctionnalisme est une théorie qui étudie l'intégration pacifique des États à travers des institutions internationales qui transcendent les États-nations. Le fonctionnalisme met l'accent sur la coopération dans des domaines techniques et non politiques, comme les échanges économiques et les projets technologiques. ○ Objectif: Le but du fonctionnalisme est de créer un système international pacifique où les besoins techniques et fonctionnels (tels que l'économie ou la technologie) priment sur les considérations politiques. Il s'agit d'une approche pragmatique, cherchant à surmonter les divisions politiques à travers des solutions pratiques. Le l'INSTITUTIONNALISME NÉO LIBERAL : ○ Définition: L'institutionnalisme néo-libéral est un mélange entre le fonctionnalisme et le réalisme. Il accepte que le système international soit anarchique, mais insiste sur le rôle crucial des institutions internationales qui encouragent les États à coopérer et à réduire les tensions. ○ Rôle des institutions: Les institutions internationales permettent de faciliter la coopération entre les États, réduisant l'anarchie du système réaliste en fournissant des forums pour la discussion, la négociation et la résolution des conflits. Elles aident à coordonner les actions des États et à promouvoir un système international plus stable et pacifique. Partie 1: La structure fondamentale des relations internationales Chapitre 1: L'historique des relations internationales (à partir de 1945) La fin de la Seconde Guerre mondiale débouche sur un monde bipolaire (guerre froide) qui finit avec la disparition en 1991 de l'Union soviétique ⇒ accélération d'événements qui accentuent l'instabilité des relations internationales (depuis 1945, la bipolarisation domine). I. Mise en place d’un ’ordre après la 2GM (1945 - 1947) Les Guerres ont pour effet: lorsqu'il y a vainqueur et vaincu il y a une réorganisation du système politique international. Ex fin de la 2GM qui affirme la supériorité de 2 grandes puissances a) Affirmation de deux superpuissance À la fin de la guerre, il est impossible de conclure un traité de paix en raison de l’effondrement de l’Allemagne et de la disparition de ses autorités politiques (l’absence de pouvoir en place a empêché la signature d’un traité). Les vainqueurs décident alors, par le biais de l’occupation, de créer un conseil de contrôle chargé de gérer les affaires de l'Allemagne. → Des alliés (États-Unis, Grande-Bretagne, France et Union soviétique) prennent le contrôle de l’administration du territoire allemand, qui est divisé en quatre zones d’occupation. Même Berlin est scindée en quatre secteurs. Problème: La division de l'Allemagne entraîne un démembrement du territoire en Europe centrale et orientale, sans consultation des populations locales. Ce morcellement provoque des situations dramatiques, comme la séparation des familles par le mur de Berlin. Dans cette opération, l’Union soviétique est le principal bénéficiaire, ce qui lui permettra plus tard de mener des actions politiques conséquentes. Conférence de Yalta (4 février 1945) Lors de la conférence de Yalta, les Alliés établissent des accords territoriaux et adoptent une "Déclaration sur l'Europe libérée", qui prévoit l'organisation d'élections libres dans les pays libérés. Cependant, les États-Unis montrent un certain désintérêt pour ces affaires européennes, laissant ainsi plus de latitude à Staline pour imposer ses volontés. Conférence de Potsdam (17 juillet 1945) La conférence de Potsdam organise la situation territoriale en Europe et pose les bases d'une paix sur le continent. L’ancien Reich allemand est démantelé, désarmé, et les auteurs de crimes de guerre sont jugés. Toutefois, les accords restent vagues sur plusieurs points. L’Union soviétique en profite pour commettre des violations qui amènent les puissances occidentales à créer la République fédérale d'Allemagne (RFA) et à initier son réarmement. + La guerre prend fin avec le Japon après les bombardements nucléaires des États-Unis. b) L'ordre politique international du post guerre ONU 1945: l'Organisation des Nations Unies est créée lors de la Conférence de San Francisco, par la signature de la Charte des Nations Unies (Charte de San Francisco). Objectif au moment de sa création est de maintenir la paix à travers une organisation internationale universelle, issue de la coalition des Alliés de la Seconde Guerre mondiale. → la coalition du temps de guerre. ⇒ Maintien de la paix et réprimer la guerre - règlement pacifiquedes différends - développer les relations amicales entre les nations et promouvoir la coopération internationale Conséquence: Un "club" de membres privilégiés, constitué des puissances victorieuses de la guerre, est formé au sein du Conseil de sécurité de l'ONU. Cet organe est le seul à avoir le pouvoir d'autoriser l'usage de la force (décident ensemble à l'unanimité) pour maintenir la paix ou prévenir les conflits. c) L’ordre économique mondial Après la Seconde Guerre mondiale, un ordre économique néolibéral est établi, fondé sur les principes défendus par les États-Unis. Cet ordre vise à la création d’un système économique universel basé sur la libre entreprise (libéralisation des échanges) favorisant ainsi les intérêts américains. Cet ordre économique néoliberal dominant sera aussi favorisé par un ensemble de structures au sein des USA. ⇒ création de plusieurs institutions mises en place avec l'aide d’économistes américains et britanniques. Les principes de cette ordre économique internationale néoliberal: Coopération économique: ○ Permet de développer la production industrielle de masse ○ Libéralisation du commerce international ○ Mise en place d’un système monétaire international stabilisé (Création de FMI - fond monétaire international) ⇒ Ce système s'appuie sur le multilatéralisme (un cadre de coopération et d'échanges entre plusieurs Etats) pour pouvoir établir des règles communes pour le commerce international, la monnaie d’échange et les investissements. ⇒ Ces principes fondent cette ordre économique international Cependant, l'Union soviétique, bien que l'un des vainqueurs de la guerre, reste en marge de cet ordre économique international en organisant un bloc de pays socialistes. Ce système, basé sur une idéologie communiste, s'oppose au néolibéralisme occidental. ⇒ L'URSS s'immiscent dans les Etats de l’Est Ainsi, dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, deux systèmes économiques antagonistes coexistent : le néolibéralisme occidental et le communisme soviétique. II. Les grandes tendances du 2 après guerre (1947 - 1989) Cette période est marquée par la compétition intense entre les États-Unis et l'Union soviétique, ainsi que par le processus de décolonisation. a) Système international bipolaire: Le monde devient bipolaire, car l'équilibre des relations internationales repose principalement sur le rapport de force entre les deux grandes puissances : les États-Unis et l'Union soviétique. La guerre froide (1947 - 1962): ○ Phase 1: L’engrenage ⇒ Cette période est marquée par la mésentente croissante entre les États-Unis et l'Union soviétique, bloquant toute coopération politique internationale au sein de l'ONU, principalement à cause de la politique agressive de Staline. Les États-Unis et les puissances occidentales considèrent que Staline viole les accords établis, ce qui est perçu comme une menace pour les États libéraux, créant des tensions croissantes. Conséquence: une série de crises (1948 - 1952) - 1948 : Blocus de Berlin imposé par l'armée soviétique, visant à désarmer l'Allemagne. -1950 : Guerre de Corée – Après l'invasion du Sud par le Nord, le Conseil de sécurité de l'ONU est saisi et décide de recourir à la force pour stopper l'agression. ⇒ L'Union soviétique adopte alors la "politique de la chaise vide" pour bloquer cette décision, car les 5 membres permanents du Conseil devaient approuver à l'unanimité. ⇒ Ces crises perdurent jusqu'à la mort de Staline en 1953, ce qui amorce un apaisement. ○ Phase 2: La décrue (1955 - 1962) Cette période se caractérise par une réduction des tensions, notamment grâce à l’admission de nouveaux membres à l'ONU dans le cadre du processus de décolonisation. Ce phénomène contribue à apaiser les relations entre les blocs. Conséquences: nouvelles crises - 1956: Crise de Suez. - 1962: Crise des missiles de Cuba, qui marque le point culminant des tensions entre les États-Unis et l'URSS. ○ Phase 3: La détente (1962 et 1973) Les deux blocs prennent conscience des risques immenses d'une guerre nucléaire, qui serait coûteuse et dévastatrice pour l'ensemble du monde. Conséquence : rapprochement des 2 blocs par des accords: - Des accords sont conclus sur la limitation des armements principalement nucléaires (car avant course aux armements) et la réduction des tensions militaires. - L’idée de "coexistence pacifique" devient centrale dans les relations internationales. Décolonisation (1945 - 1973) Après la guerre, de nombreux États européens (comme la France et le Portugal) maintiennent des colonies, sources de leur puissance. Cependant, les colonies commencent à revendiquer leur indépendance pour devenir des États indépendants/souverains. L'ONU joue un rôle clé dans ce processus, accélérant la décolonisation avec l'appui des États-Unis et de l'Union soviétique, qui deviennent des alliés des mouvements indépendantistes. En revanche, les puissances coloniales occidentales tentent de freiner ce mouvement. Les mouvements pro-décolonisation et anti-européen se développent et essayent de promouvoir une nouvelle perspective pour sensibiliser l'opinion publique et revendiquer un nouveau monde. ⇒ Résultat du processus de décolonisation: - L’apparition d’une centaine de nouveaux Etats qui naissent dans la société international - L'ONU passe de 51 membres à un grand nombre d'États nouvellement indépendants, bouleversant ainsi l'ordre international. ⇒ Ces nouveaux États sont souvent fragiles, en proie à des conflits interétatiques et à des désordres politiques. Toutefois, ils apportent une nouvelle dynamique en contestant la bipolarité du monde et en affirmant une politique internationale non alignée. De plus, ces États (désormais majoritaires) commencent à exercer un pouvoir de revendication, se positionnant souvent en adversaires des puissances occidentales. III. Un désordre mondial (1973-1989) Cette période est marquée par plusieurs crises, bouleversant l'ordre international. a) Crise économique mondiale La crise du système monétaire international, initialement structuré autour des accords de Bretton Woods (1944) et d'institutions comme la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD) et le Fonds Monétaire International (FMI), fragilise les économies mondiales. Concurrence des systèmes financiers privés : L'émergence de systèmes financiers privés affaiblit ces institutions, rendant les négociations avec les pays du Sud plus difficiles pour les nations riches. Crise pétrolière : En 1973, la crise pétrolière, résultant de la guerre israélo-arabe, exacerbe la situation économique mondiale. Invasion de l'Afghanistan par l'URSS en 1979, accentue les tensions globales. ⇒ Émergence du monde en développement Le "Groupe des 77" se forme au sein de l'ONU, regroupant les pays en développement pour réclamer un nouvel ordre économique international plus équitable. Ils veulent que les nations développées soutiennent les plus pauvres, notamment via l’aide au développement (= avec aide au développement au cœur des institutions internationales). b) Fin des années 1980 Les relations internationales voient l'apparition de trois dynamiques : Bipolarité militaire : Les deux superpuissances continuent à dominer militairement. Tri-polarité diplomatique : L'émergence d'un paysage diplomatique avec des acteurs comme les États-Unis, l'Europe et le Japon. Multipolarité économique : Concurrence entre les États-Unis, l'Europe, le Japon et de nouveaux acteurs de pays industriels comme la Chine, et des économies en développement. ○ Etats de l’est avec économie socialiste hépatique ○ Pays du sud avec économique sous développés IV. De 1989 à aujourd’hui a) USA, une superpuissance politique Après la dissolution de l'Union soviétique, les États-Unis cherchent à maintenir leur suprématie mondiale (politique de « nous sommes les meilleurs » et de stigmatiser l'ennemi). Politique étrangère des États-Unis : ○ Sous George W. Bush, les États-Unis adoptent une politique unilatérale, avec des interventions comme l'invasion de l'Irak sous le prétexte de "légitime défense préventive" ○ Sous Barack Obama (2008-2016), les États-Unis essaient de donner une nouvelle image des USA au monde en mettant l'accent sur la coopération internationale, tout en maintenant leur statut de superpuissance (donner une nouvelle image des USA au monde). ○ Donald Trump (2017-2021) adopte une politique plus isolationniste avec son slogan "Make America Great Again", en prônant un désengagement militaire global (Sont projet c’est d’enlever le fardeaux d’être le « Gendarme du monde ») et en se concentrant sur des alliances économiques (notamment avec la Chine, la Russie et l’Iran). Il a une vision différente de la politique extérieure, l'État doit être gérer comme une entreprise. Défiance au multilatéralisme, il considère le monde instable (perspective réaliste). ○ Joe Biden (élu en 2020 - président actuel) élu dans un pays avec une fracture importante, cherche à restaurer l’image internationale des États-Unis et à renforcer le multilatéralisme, tout en identifiant la Chine comme principal rival stratégique et économique. Il doit retrouver son leadership morale ( les bons contre les méchants). b) Politique internationale de la Russie Depuis la chute de l'Union soviétique en 1991, et le choc de l’indépendance des pays de l’Europe centrale, la Russie a perdu son influence internationale. Période de transition (1991-1999) : La Russie subit un déclin international. L'ère Poutine : Arrivé au pouvoir en 1999, Vladimir Poutine rejette l'ordre mondial post-1991, qu'il considère comme une catastrophe géopolitique: « la disparition de l’union soviétique est la plus grande catastrophe géopolitique du 20éme siècle ». Sa politique est résolument anti-occidentale, avec l'objectif de restaurer l'influence russe et contrecarrer l'expansion de l'OTAN à l'Est. Il observe les Occidentaux prendre le contrôle des pays de l'ancien bloc socialiste, ce qui le pousse à vouloir renverser cet ordre mondial, tout en conservant la position privilégiée de la Russie au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies. Pour Poutine, la Russie est victime d'une agression de la part des États occidentaux, qu'il accuse de tenter de diminuer son influence. Il rappelle que les pays occidentaux avaient promis de ne pas étendre l'OTAN aux pays de l'Est après la chute du mur de Berlin, une promesse non tenue. Face à cette politique qu'il juge agressive, Poutine estime légitime de prendre des mesures préventives. Dans un système multilatéral, il voit la Russie comme un pôle de pouvoir dominant. c) La Chine, une nouvelle puissance Restaurer la grandeur de la Chine en lui donnant une place importante dans le système international. Se sent menacer par interventionnisme international. Conflit interne émerge avec tendance indépendantiste. Objectif de consolider le PPC est de contester l’ordre mondial de ‘45 sous les USA. Position de la Chine était d’observer les relation international et de développer stratégie interne jusqu’en 2012 qu’en arrive au pouvoir Xi Jiping ; elle commence a orienter sa politique étranger et de devenir une grande puissance. Ils ne veulent pas commettre même erreur de l’union soviétique. La Chine souhaite devenir le laboratoire du monde dans l’innovation. L’arme nucléaire est clé de la défense chinoise. La Chine s’allie au groupe de 77 (pays en développement) Grande influence sur les institution spécialiser de l’ONU. BRICS porte une nouvelle voie , le Chine commence aussi les nouveaux routes de la soie ( projet d’infrastructure immense mises en place sur le plan maritime et ferroviaire pour favoriser le libre échange sur le plan planétaire) elle veut marquer sa présence dans le monde entier.Projet d’implantation chinois mondial. Sous Xi Jinping (depuis 2012), la Chine aspire à une place prépondérante dans le système international. Elle conteste l’ordre mondial de 1945 dominé par les États-Unis et cherche à établir un leadership dans l'innovation et le développement mondial. Les Nouvelles Routes de la Soie : Un vaste projet d'infrastructure visant à renforcer la présence chinoise à travers le monde, en facilitant le commerce global. BRICS : La Chine prend un rôle de premier plan dans ce groupe qui cherche à reformuler l'ordre économique mondial. d) L’Europe L'Europe établit un nouvel ordre institutionnel, organisé autour de trois piliers : économique (Union européenne - UE avec 27 membres), idéologique (Conseil de l'Europe pour les droits de l’homme - CE avec 47 membres), et sécuritaire (OTAN - avec 30 membres). Défis : Brexit, crise migratoire, adhésion potentielle de la Turquie, et une puissance diplomatique souvent inférieure à sa puissance économique. Afrique, Moyen-Orient, Amérique Latine et Caraïbes Afrique : Les nouveaux États africains redéfinissent leurs relations internationales, souvent en opposition aux États du Nord. Moyen-Orient : Une région d'intérêt stratégique pour ses ressources, mais marquée par des conflits récurrents. Amérique Latine et Caraïbes : Relations complexes avec les grandes puissances, mais des alliances économiques croissantes avec la Chine via les BRICS (= politique fragile). Chapitre 2: La société internationale et les acteurs des relations internationales La société internationale se distingue des sociétés nationales par sa complexité et la diversité de ses acteurs. I. Caractéristiques de la société internationale (SI) a) Les éléments stables Les États : Fondement de la SI, ils sont théoriquement égaux en droit, mais en pratique, une grande inégalité de puissance persiste, influençant profondément les relations internationales. → Certains États disposent d'une plus grande influence en raison de leur puissance économique, militaire ou géopolitique. b) Les spécificités institutionnelles Organisation internationale (OI) : Les OI stabilisent la SI en établissant des règles et en facilitant la coopération entre les États. Par exemple : l'ONU, l'OMS, l'OTAN, qui aident à gérer les conflits, les crises sanitaires ou à promouvoir la paix et la sécurité. c) Les facteurs d'évolution Augmentation du nombre d’États : Après la décolonisation, la SI devient plus diverse avec de nouveaux acteurs. Acteurs non étatiques : Les entreprises multinationales, ONG, et autres acteurs non étatiques jouent un rôle croissant dans la SI moderne. II. Qui sont ces acteurs et quelles sont ces influences? a) L’Etat: L'État comme personne juridique : Les États sont représentés au niveau international par des institutions (ex: les ambassades - sous les auspices du ministère des affaires étrangères) L’Etat est un des acteurs primordiaux, la puissance des états est un pilier. Il existe indépendamment d'une détermination de lois internationales (qui établit un régime juridique à l'Etat). → grâce à son pouvoir et sa souveraineté. Il doit réunir des éléments objectifs (ou on ajoute des éléments subjectifs qui relèvent d’un attribut). La cond*** de l’etat dépend de sa reconnaissance pour qu'il puisse avoir des relations internationales Elément constitutif (objectif) Territoire: L’État doit posséder un territoire défini, qu’il soit terrestre, maritime ou aérien. Les frontières déterminent sa souveraineté sur cet espace et lui permettent d’exercer une compétence exclusive (ex. : gestion des ressources naturelles). C’est un élément essentiel (seul institution à disposer d’un territoire) ○ Modes d'acquisition d'un territoire: Aujourd'hui, un territoire peut être délimité de plusieurs façons. Cela peut résulter d'une sécession, (la séparation d'une région d'un État pour former une entité indépendante - exemple: fin de l’Union seoviétique). Une organisation internationale, (comme l'ONU, qui peut aussi intervenir pour fixer des frontières). La cession, quant à elle, implique que l' État transfère une partie de son territoire à un autre. Enfin, lors de la décolonisation, les frontières d'un nouvel État sont souvent redéfinies. ⇒ ne devrait pas poser de problème tant que cela respecte le droit international, notamment l'interdiction de l'acquisition de territoires par la force (ex; pas de violation de l'intégrité territoriale, pas recours à la force, acquisition pacifique et coordonnée). sinon à l'égard du droit international elle n’est pas valide (ex: annexations etc). La délimitation se fait à partir de frontières Conséquence des frontières: les Etats ont une souveraineté, compétence sur cette espace démarque physiquement. (de façon pleine et exclusive exerce tout son pouvoir au sein de ce territoire.) Droit à l'intégrité territoriale (article 2 paragraphe 4 CNU). Actuellement il n'y a plus vraiment de territoires sans occupation. En revanche il existe des zones grises qui représentent des zones de la planète dans lesquelles aucune autorité d'Etat ne peut s'exercer (régions rurales ou il y a des pratiques de trafic de drogue ou l'état n'arrive pas (en Colombie? exemple les FARC) a exercer ces *** ou des zones de conflit qui engendre une perte de ***). + Les espaces maritimes: Les frontières maritimes sont définies par la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982, qui régule l’exploitation des ressources maritimes comme les plateformes pétrolières. + Le territoire aérien est de compétence de l’Etat (on ne peut le survoler sans autorisation de l’Etat) Les négociations déterminent les limites de ces espaces maritimes. ○ Population: Quelle est le lien juridique qui rattache une personne a un Etat? La population d’un État se définit par le lien juridique de la nationalité, qui détermine qui fait partie de cet État. Ce lien permet à l'Etat d'exercer une compétence relationnelle sur ces nationaux (et ressortissants) ainsi que pour les personnes morales (entités). Étrangers: Les étrangers présents sur un territoire sont soumis aux lois locales, bien que l'État d'origine conserve certains droits et responsabilités envers eux. + Principe d'autodétermination: tout peuple a droit de s'autodéterminer = aucune autre puissance peut déterminer la façon de vivre d’un autre peuple (article * paragraphe 1?) (exemple de minorités qui n'ont pas forcément d'état à eux). ○ Pouvoir politique organisé: Pour que l'État assure un contrôle effectif doit disposer d'un gouvernement, d’administration, d'une police, d'un système de justice…) qui leur permet d'avoir un contrôle effectif sur son territoire et sur sa population. Élément essentiel dans le cadre de relations internationales. (si pas organiser on doute du caractère de l'etat: les guerres sont la conséquence d’un manque de pouvoir politique organisé.) Chaque gouvernement peut être démocratique, autoritaire ou dictatorial, mais doit garantir une certaine stabilité politique (pas d'interférence d'autres Etats sur son organisation). Cependant, des influences peuvent exister, par exemple à travers des résolutions internationales (comme celles de l’ONU) qui favorisent les régimes démocratiques ⇒ favoritisme, mais ils nont pas le droit de dire ce quil faut ou non faire. ⇒ Tous ces éléments constitutifs ont pour conséquence l'attribution de cette attribut de l'etat ⇒ cette état à une souveraineté ⇒ principal attribut de l'etat Attribut (subjectif): ○ Souveraineté (conséquence des éléments objectifs) qui naît avec les Etats modernes qui ont été créés au 17 ème siècle. inscrite dans la charte de l'ONU (article 2 paragraphe 1). Souveraineté politique Un des aspects de déterminer librement son système politique national pouvoir d'exercer des compétences étatiques sur son territoire (monopole du droit : Il contrôle les lois, la justice, et exerce une contrainte légale sur ses citoyens etc). Souveraineté économique: Ce principe se traduit par la souveraineté permanente sur les ressources naturelles. Les États peuvent disposer librement de leurs ressources sans qu'il y ait appropriation par d’autres. Cependant, ce cadre économique peut être influencé par certaines organisations internationales, qui régulent ou orientent la gestion de ces ressources naturelles. Reconnaissance internationale de l'État: Bien que les éléments constitutifs suffisent à faire exister un État, sa reconnaissance par les autres États et par les organisations internationales est cruciale pour qu’il participe pleinement aux relations internationales. C’est un acte pris par un état ou organisation international. Définition: La reconnaissance est un acte bilatéral par lequel un État reconnaît officiellement l'existence d'un autre État et accepte de traiter avec lui sur la scène internationale. facteur de stabilité (clarification des rapports). Importance: La reconnaissance a une importance politique majeure, car elle constitue un facteur fondamental de stabilité dans les relations internationales. Bien qu'elle ne soit pas juridiquement obligatoire (question factuel plus que juridique), elle clarifie les rapports entre États. Cependant, le droit international interdit la reconnaissance de situations territoriales acquises par la force, (ex: création ou disparition d'un état conséquence d'une agression armée la reconnaissance serait illicite). Même si une telle reconnaissance n'entraîne pas de sanctions automatiques, elle mettrait en cause la légitimité de l'État reconnaissant = mise en cause de l'État. Conséquences de la reconnaissance : Cette reconnaissance permet à un État d’entrer dans des institutions telles que l'ONU ou de signer des traités internationaux et de participer aux conférences diplomatiques. Leur permet de participer à la vie politique à l'international. Les nouveaux États issus de la décolonisation ou de la recomposition politique, comme ceux nés de l'effondrement de l'Union soviétique, n'ont généralement pas rencontré de difficultés à intégrer ces organisations, car ils ont souvent succédé aux anciens États (ex : la Russie, qui a succédé à l'URSS). L’adhésion aux organisations internationales peut dépendre de critères formels (parrainage, formalités administratives), mais aussi de facteurs politiques et d’intérêts stratégiques. Par exemple, la Turquie a rencontré des obstacles dans sa tentative d’adhésion à l’Union européenne en raison de préoccupations concernant la démocratie et les droits de l'homme, mais aussi pour des raisons politiques internes à l’UE (solidarités, alliances). Organes et agents de l’Etat qui sont en charge des RI Le chef de l’État : Il incarne l’État à l'international et est souvent considéré comme l'acteur fondamental des relations internationales. Il représente l’État lors des sommets, des conférences internationales et des visites d'État. Dans les systèmes présidentiels (comme en France), le président assume ce rôle de manière plus active. Le chef du gouvernement : Dans les régimes parlementaires, le chef du gouvernement (premier ministre) est souvent celui qui dirige les affaires internationales au nom de l’État. Comme en Allemagne c'est le premier ministre, chef du gouvernement, qui représente l'État à l'international, bien que le président puisse avoir un rôle symbolique. Ministre des affaires étrangères : Le ministre des Affaires étrangères (MAE) joue un rôle central dans l'exécution de la politique étrangère. Il est chargé de mener les négociations diplomatiques et de veiller à l'application des directives données par le chef de l’État ou le chef du gouvernement. Il est également responsable de représenter l’État au sein des organisations internationales (comme l'ONU, l'UE) et de coordonner les activités des ambassades. ex: embrassades dispose de l'immunité diplomatique (ne peut être jugé par la juridiction française) Il y a de plus en plus de *** diplomatique ambassades (relation entre etats) /consulat (sert aux ressortissants) en dehors de l'etat: Lorsque les gouvernements légitimes sont contraints de fuir leur pays à cause de conflits ou d’invasions – vise à lutter contre l'oppression national par exemple: des gouv en exile (par exemple lors de la 2GG le gouver du general de gaulle s'est installée en angleterre (exile)). Ils peuvent continuer à exercer leurs fonctions à l'étranger en tant que gouvernements en exil. Entité paraétatique: pas hépatiques. en lien avec l'État mais pas des entités étatiques. Ce sont des entités qui, bien que étroitement liées à un État, n’ont pas de statut d’État reconnu. Il peut s’agir de mouvements de libération nationale (social ou politique) qui cherchent à établir leur propre État ou de groupes insurgés qui contestent le pouvoir en place. Ces entités cherchent souvent à obtenir une reconnaissance internationale et à participer aux relations internationales en défendant leur cause. Elles jouent un rôle important dans la dynamique des conflits et des processus de paix, en influençant les négociations diplomatiques et parfois en recevant le soutien d'autres États. Caractéristique de la puissance entre Etats: éléments qui influent et comment cette puissance est organisée. La puissance des États est un facteur clé qui façonne les relations internationales, et elle se manifeste par divers éléments. Chaque État possède un niveau de puissance distinct, ce qui engendre des inégalités et crée une hiérarchisation au sein de la communauté internationale. Cette diversité de puissance découle de plusieurs facteurs qui influencent la position relative des États. a) Facteurs naturels Taille du territoire : Un grand territoire permet généralement à un État d'accéder à davantage de ressources naturelles et d'avoir une influence plus étendue sur les relations internationales. Par exemple, des pays comme la Russie, le Canada ou les États-Unis sont non seulement vastes, mais disposent aussi de ressources abondantes en pétrole, gaz, et terres agricoles. + (existe des états continentales et microétats) Géographie : L'accès à la mer ou à des voies de navigation importantes est un autre facteur géopolitique déterminant. Les pays qui contrôlent des routes maritimes stratégiques (ex. : détroits, canaux) ou qui disposent de ports en eaux profondes peuvent avoir un avantage commercial et militaire. Ressources naturelles : La disponibilité de ressources naturelles, comme le pétrole, le gaz naturel, les minerais ou encore l'eau, joue un rôle clé dans la puissance des États. Les États riches en ressources (ex. : les États du Golfe pour le pétrole) ont souvent un poids considérable sur la scène internationale, car ces ressources sont nécessaires à l'économie mondiale. b) Facteurs structurels ???????RETARD Puissance militaire mesuré par l'effectif des armes et les dépenses militaires, le niveau des équipements militaires (arme, sous marins, avions etc…) ⇒ Plus puissant moins dépendant de Etats + la structure de * d'un pays est indicateurs du risque de dépendance des Etats ou des acteurs non Étatique (dépendance de l'etrangers) ⇒ relativise la puissance d'un etat b) Facteurs politiques Cohésion social: faible au nv de cela, l’Etat est plus fragil sur le plan des relations inter Fermeture/ouverture à l'égard d'autres Etats: peut se manifester par rapport à la situation géo qui fait faillite ou non les politiques d'ouvertures d'un Etat. ou par les flux migratoires (permet de voir perméabilité de l'etat) Coalition et alliances: permettent aux etats de démultiplier leurs puissance dans le domaine de la guerre, défense, politique étrangère, poid eco. ⇒ Ces facteurs permettent de hiérarchiser la puissance des Etats (ce n'est pas facile, il y a une multiplication des Etats depuis la 2GM ce qui fait de cette détermination hiérarchie de puissance une tâche compliquée d'autant plus qu' il y a des types de puissances différentes qu'il faut combiner pour hiérarchiser ces puissances). Influent sur la puissance des Etats La puissance est l'élément central sur la hiérarchisation (mention synthèse, central) Ensemble de réseaux de données (facteurs) avec des maillons qui évoluent et qui font que les Etats ont des gains et perte de puissance (dynamique qui permet de réfléchir à la puissance et hiérarchisation des Etats). ex: All Japan vécus et imposés à des limitations sévères (militaire) ⇒ puissance fortement affaibli mais grâce à leurs SV faire eco ont réussi à dvlp une puissance éco importante qui leur a permit d'entrer à nv dans le jeux de RI avec un statut de puissance si importants que la discussion de leurs inclusion ne cesse savoir lieu. ⇒ cycles de puissance de contexte histo qui se dvlp. ⇒ puissance Éco engendre la puissance Politique. b) hiérarchie des grandes puissances. Les 6 catégories d'État en vertue de leur puissance et /ou influence sur les plans de RI : Hyperpuissance: dans ce contexte actuel ce sont les Etats Unis (considéré comme étant l’hyper puissance puisque depuis la fin de la guerre les USA ont imposé leur supériorité dans différents domaines) ⇒ situation contrecarrer cette puissance: La chine, la Russie cherchent à s'imposer. ⇒ assure l'équilibre du monde entier (gendarme du monde) Superpuissances: sont a mesures d'intervenir partout dans le monde (influence mondial) disposent de toute sorte d'armes (nucléaire et de destruction massive), assure le contrôle d'une alliance militaire et visent à offrir un model universalisable de société (idéologie). Implique que l'équilibre soit dans la tension avec ces puissances. (pendant la guerre froide: Union sov et les USA avec projets idéologique en plus d'une structure capable d'influer sur toute la plante ⇒ ces 2 puissances assurait un équilibre dans le RI) Aujourd'hui la Chine? (a tous les critères mais ne le fait pas/ n'affronte pas les USA - si elle le faisait, il y aurait deux superpuissances USA et Chine) européens pas de moyens suffisant Puissances moyennes: Ambition mondial mais limité par leur capacité et qui sont svnt propre à quelques domaines (éco, diplomatique, ) = France /Royaume Unis /Japon/ grande bretagne/all Puissance régionales: Jouent un rôle important dans certaines aires géo (ex: l'egypte, l'arabie S, la turquie, l'afrique du sud, l'australie, le brésil) capacité à exercer hiérarchie sur une aire limité Puissances locales: Tout les reste = petits etats qui participants à la vie de RI mais essentiellement pour protéger leur indépendances et Intérêts (défense deux mêmes) Microétats: Sont le fruit de la décolonisation qui sont toujours dans un très degré de dépendance à l'égard des puissances tutélaire (ex colonisateurs) ⇒ forment une influence des anciens colonisateur envers leur anciennes colonies ⇒ Incomplète L'etat (premier acteur) mais avec l'institut des nvx acteurs sont apparus (org inter) avec lementgence dautre acteurs (org non gouv, entreprises) Org inter (création des états) différemment des autres acteurs sont créés par et pour les Etats (ne remet pas en cause la puissance des Etats…..) A) l'etat B) Les autres acteurs a) Les OI Association d’Etat établie par l'accord entre ces Etats membres. Elle est dotée d'un appareil permanent d’organes qui vont poursuivre la réalisation d'objectif d'intérêt commun a travers une coopération entre Etats. (exemple Lors des nations Unis - ONU). Les traités permettent de Les OI ne disposent pas de souveraineté (pas état) mais peuvent faire partie d'org inter (devenir membre d'autres OI car dispose d'une personne juridique titulaire de droit et d'obligation (autonome)). Cette permanence institute et le fait qu'elle soit créé par un traité permet de la distinguer d'une simple conférence Créé par et pour les Etats Permanente différent des *** A partir de la 2GM après 45 multiplication de SOI ⇒ cette famille …va être créée dans le cadre des nations unis (org inter du W: unesco, la SAO?....) liés entre elle par principe et valeurs ) + Organisations restreintes par leurs zones géo (conseil de l'europe) qui émergent pour ed f les intérêts spé avec nombre réduit d'états. Désacylation de ces OI à partir de 70 car crise institutionnelle du fait de la non participation financière des Etats qui font inhiber la création de nouvelles instits. De plus, après annés 2000 /11 sept 2001 les USA résistant à l'onu ⇒ déclin du multilatéralisme (crise qu'on pelle à surmonter (pref les bilateral??)) 45 prolifération 70 déclin 2000 crise du multilatéralisme Parmis les diff type on peut les classer selon les différents types portés Organisation régional (ex: conseil de l'europe, la *, l'union européenne, l'union africaine…) Org universelle (ex: nation unis, ) Org fonctionnelles: champ restreint à une question précise (org de la santé - domaine santé) Participé à l'orga inter: les membres fondateurs qui ont rédigés la traite conse de l'orga ont des droits et privilèges des la naissance de lorg international. Les membres qui aderent (procédure établie par les traités) en vertu des conditions de fond qui doivent être respectées. Pas que les Etats membres, peut être des entités sno étatique qui permettent à ces autres insti qui permettent de participer à la vie …pas capacité décisionnelle ou droit de vote au sein des OI Les etats peuvent participer et aussi de se retirer (en vertue d'un retrait - volontaire ⇒ retrait Ou par exclusion s'il ne respecte pas ces obligation (ex/ ex la russie du conseil de l'europe) Organes principaux créés par les traites consécutives organes subsidiaires (créés ultérieurement par les etats membres ou par les organes principaux qui ont besoin pour que l'organisation réalise ces missions) Organes pléniers: regrouents tous les etats membres qui font partie des OI (ex: l'assemblée générale) tous les etats ont un vote Organes restreints: intègrent une partie des membres de OI (ex: conseil de sécurité (15 membre 5 permanents)) organes politiques (conseil européen) “” administratifs (secrétariat de l'onu) “” juridictionnels (juge = la cours international de justice /cour de justice de l'union euro) Parlementaires (conseil des ministres…) Compétences de OI chaque organe a une liste de compétences (missions?) Comment exécuter ces compétences ? par des actes juridiques qui influent sur le comportement des Etats membres = textes qui orientent le comportement des Etats membres = prennent la forme de résolutions qui ont des forces juridiques obligatoires à l'égard des Etats membres. (Nation Unis - décisions du conseil de sécurité sont oblig**) + Résolutions avec valeurs de recommandation = textes qui explique le type de comportement lOI veut que les etats ait OI servent de forum pour les traités adoptés sous les auspices d'une OI Les fonction des OI Opèrent une structuration des relations internationales: dvlp les solidarités inter Légitimation collective: gage de reconnaissance de la légitimité d'un etat (ne pas rester à l'écart Assurent la gestion des problèmes à l'échelle mondial/régional): centralisation des information. (ex: covid, organisation mondial de la santé recevait des info et les communiquais) détermine les regles/protocoles pour gérer la problématique Rôle de réduire des tension s internationales: Unification du système inter: participe à l'uni de conduite des etats et a une uni idéologique au profit de certaines valeurs fondamentales. b) Les autres acteurs transnationaux (n'ont pas le statut de perso juridique pour conclure des accords etc) Transcendent l'Etat ne se limite pas et vont à l'encontre des Etats souvent, n'agissent pas pour le besoin des Etats comme le OI. Jouent un rôle de + en + important à partir des années 2000. Les firmes multi /sociétés transnationales Déf: entreprises dans le siège soc se trouve dans un état déterminé et qui exerce leurs activités dans un ou plusieurs autres etats par l'intermédiaire de succursales ou de filiales. dont la stratégie et la gestion sont conçues au niveau d'un centre de décision unique. (ex: Total, ) Ces grandes entreprises sincrive dans le proc de globalisation , ont besoin pour se dvlp que les échanges soient aussi libres que possible (libéralisation du marché) agissent dans l'initiative des etats occidentaux …. *************************12min organisations non gouvernemental Chapitre 3: Les principes politico-juridiques des relations internationales I. Principes d'origines anciennes Issus de ****** (pas controverses et ont donné origine à cette RI et ont façonnés les relations inter étatique mis en place un système entre les etats et forment des etats indépendants et lais=que (1748 traité de v- les etats naissants ont besoins de certains principes pour avoir des relations entre eux)) ⇒ repose sur l'indépendance et laïcité des etats PRINCIPE DE SOUVERAINETÉ L'institution maîtresse des raports internationaux depuis la naissance de l'etat moderne. Implique des attributs (exercice exclusif de pouvoir sur un territoire), lexignece des imunités pour les , permet aux etats de determiner librement les obligations juri auquels letat se sumet = la volonté et consentement des etats pour tout engagements (prerogatives de la souv) NON INTERVENTION Assuré à ce qu' aucun etat ne peut interférer (ne peut s’imisser) dans les affaires d'un autre etat ⇒ se developpe et devient non ingerence II. Principes consacrés par la charte des Nations Unis PRINCIPE DE NON INGERENCE ART 2 paragraphe 7 de la charte L’INTERDICTION DE L'EMPLOIS DE LA VIOLENCE Art 2 para 4 de la charte ⇒ première fois dans l’histoire (1945) sauf exceptions ⇒ édicte une véritable interdiction de la guerre contre l'intégrité territorial d'un etat ou indépendance politique ⇒ Acte d’agression si pas respecté Seul l'agression armée est interdite (la pression économique par exemple n’est pas interdit) LES PRINCIPE DE RÈGLEMENTS PACIFIQUE DE DIFFERENTS Objectif de e pas faire recours à l'utilisation de la force mais incite a regles pacifiquement ART 1 et 2 determine le principe mais aussi dans le 33 les modalités de reglements passifiqiues (mediation , nego, arbitrage, judiciaire, ***) ⇒ Les etats ont le choix du mode (souveraineté) tant que cest pacifique PRINCIPE DU DROIT DES PEUPLES À DISPOSER D'EUX MÊMES ou PRINCIPE D’AUTO DETERMINATION) ART 1 para § 2 ⇒ apparu au moment de la **???? par ce principe les peuples aspirant à la décolo on entreprendre le processus de décolonisation (ne saplique pas aux minorités qui font partie d'un État souverain mais plutôt où il faut fonder un nv etat) ⇒ ????? PRINCIPE DE RESPECTER LES DROITS DE L'HOMME Ces principes se fond sur l’art 1§3,55 ⇒ Institutions etc Difficile la conciliation les Etats consentissent par ce dernier principe mais se crispent lorsque elle prennent des decision tres protecteur et qui mettent en cause les etats PRINCIPE DE COOPERATION ART 56 ⇒ coopération international: Assure que les obj de l'onu soit respectés?? Cherche à ** une solidarité inter en vertu de certains intérêts communs III. Principes en émergence en émergence car commencent à orienter les RI PRINCIPE DE SOLIDARITÉ Par le biais de certaines logiques, pourrait être affirmées. ⇒ contours d'une aide et assistance au développement (Objectifs de Dev Durable: programme mis en place en 2015 a l'horizon de 2030: obj réaliser dev durable (éradiquer pauvreté, transition écolo juste et équitable) pour les atteindre faut que la solidarité soit mise en oeuvre par les moyens d’assistance et de **...) LE PRINCIPE D'AUTORISATION DE L’INGERENCE PRINCIPE D'AMÉNAGEMENT DE LA NON INGÉRENCE ⇒ une sorte d'ingérence consenti (en matière de droits de l'homme (DIDH) ou humanitaire (DIH ⇒ applicable en cas de conflits armés structuré en 49) + INGÉRENCE ÉCOLOGIQUE ) PRINCIPE DE RESPONSABILITÉ PÉNALES DES INDIVIDUS (plus en dvl qu'en émergence) Sur le plan inter il y a que les individus qui peuvent être responsable des crimes inter? (se dvl a l'issus de la 2GM ou on passe a considerer que les ind puise etre tenu responsable de crimes commis dans des contexte de guerre ou de genocide ou d crimes contre l'humanité ⇒ tribunal de NuremBerge) vu que ces crimes nexistait pas sur les droits etc cetait “autorisé” Les tribunaux ont ete largement critiques, on met en place linstitution permanente en 1988 “Cour pénale international”, statu de rome la crée, elle est mise en place en 2004 qui siege au pays-bas.juge les crimes de genocides, de guerre, contre lhumanité, et d’agression. Elle nest pas acepte par plusieurs etats dun point de vue formel (etats Unis, israel, chine, russie..) ⇒ peine a trouver s alegitimite mais est essntielle ⇒ ces principes sont peu nombreux, structure ensembles de RI, B) Caractéristiques communes de ces principes ,Reference de legitimation Permettent daprecier les comportements des acteurs des RI et principalement des etats. Sont souvent invoques comme bases du contentieux international Interdépendants Principes qui se complementes parfois et entretiennent des relations étroites entre eux (ex: interdiction de l'emplois d e la forc et le principe de règlement pacifique ) Peuvent cependant etre en conflits comme la (voir en haut jaune) Ont des fondements idéologiques perspective qui evoluent avec le interets et ideologie des nouveaux etats qui se forment (ex: autodétermination des peuples) C. Portée pratique de ces principes Ces principes constituent la structure politiqu, normative et institutionnelle des RI ○ Cette structure permet un ordre/stabilité MAIS n’est évidemment pas figé et susceptible d'évoluer ○ Très contesté: n’est pas homogène non plus, en fonction des faits présents les principes peuvent s’affaiblir Fot lobjet dun respect approximatif (non pas une portés réelle): ○ Peuvent avoir des divergences d'interprétation (qu'est ce que contient dans les termes “forces” établi ? La pression éco ne compte pas, quelle est la limite?) ○ Souvent dans une logique de se “pardonner” (ex: tendance a ne pas être regardant des violations des etat en matière de prot des droits de l'homme ) ⇒ indulgence des uns avec les autres (en raison de leur abstraction nécessite une) précision normative ○ Normes concretes qui viennent completer ou donner le sens de lapplication de ces principes. Chapitre 4: Le système politique des relations internationales Mis en place en 1945 (création de lorgani de nation unis, linstitutionalisation ⇒ débus dun systeme pol). Ces systeme pol sont constitué de plusieurs elements sui sarticulement et fonctionne en verti des diff institu et regles juridiques et non juridiques et qui va avoir des fondements dans lequel on établira des classification. A) Fondements système concurrentiel en vertu de quelques facteurs. concurrentiel car … ○ …inégalité entre les rapports de puissance entre les Etats - inégalités de faits qui est une constante (il y a toujours eu des grandes puissances et des états moins puissants) ⇒ constellations ⇒ conséquence de la diff: organisation du système politique qui peut être plus ou moins équilibré. ○ …défense de l'intérêt national a cote des inégalités de puissance atteste d'un système concurrentiel (quand…… cette defence consite en un pilier central deces etats?? dans la pol inter linteret nacional contitue un pilier ***) Quest ce qun interert national? sécurité, économique, culturels, civilisatoires (etats uqi v diffuser ses intererts et valeurs aupres des autres etats) Ces divergences dinterets peut etre la cause de concurrence plus importante (conflit ou la guerre elle meme) Cette concu nous conduit à penser un système pol en terme de conflit. Cette concu est aussi aujourd' hui élargie pour intégrer la concu de leat par les firmes multinationales. + Les grandes puissances privées viennent aussi concurrencer les RI (décisions etc) ⇒ largement concu Systeme pol sans peuple ○ arristocratique et oligarchique ⇒ les chefs detat disposent d'autorité sans que le parlement ou peuple aient a se prononcer (seul exemple ou le peuple participe aux affaires internationales: parlement de lunion euro ou le peuple vote atravers un référendum) asence des peuple amenent un activisme du peuple qui essayent savoir un impacte syr la pol inter (evenements: printemps arabe, …). Système faiblement structuré ○ Il ny a pas de constitution mondial qui vas determiner le systeme pol inter (meme si la charte des nation sunis peut etre vu comme un texte qui v structurer les RI avec les principes fondamentaux) et chaque etat detien le pv pol. ○ Pas dorgane mondiaux qui aurait des fonctions régaliennes (étatiques: police, justice ou legislation) (quand lorg des Etats Unis a besoin demande aux etats membres) ○ formé sur la base des org inter: institutionalisation la plus aboutit du system pol inter MAIS ce systeme est fonde sur les org inter n’est pas tres reussi car cette institutionnalisation est fragmenté ⇒ centres autonomes de prise de décisions. ○ En revanche ces raisons dune faible struc sont confrontés a une ideologie dun syst pol inter qui a ete pensé a partir dune utopie du gouv mondial et on trouve ces raisons objectives. confri=onté a des ideologies qui pensaient comme un veritable * mondial capable denciter a une bonne relation entre les etats. Cet idealisme a oeet fortement influencé par kant (projet de unification) visait a une sorte de republicatnisme mondial, ⇒ humanité universelle et des peuples unis autours des meme ideo et valeurs. TENTATIVE: org supranational ???? qui etablie des regles uniformes a tous ces etats membres. B) Les classifications se fondent sur certains criteres: Les nombres d’acteurs prédominants ○ permet de distinguer plusieurs types de configurations diplomatiques en vertu des diff polarisations qui qui peuvent exister du système pol (Diff polarisation: Systeme unipolaire: Un seul pole de ** prédominant / systeme bipolaire: fondé sur lidee de diff polari - deux etats qui dominents? guerre froide prédominant / systeme multipolaires: sont formes dau moin 3 etats dominants - tentent deviter a ce que il y ait de rupture de lequilibre existant (equilibre avant la 1GM) c⇒ ce systeme est bcp plus instable car plus on a de pols plus il y a disnstabilité (diff a atteindre linstabilité politique) Aujourd'hui le systeme a une predo des etats Unis et la chine vient concurrencer mais il y a aussi plusieurs blocs (pays en emergence, pays qui tentent dattirer des poles) ) Les valeurs communes ○ Se fonde sur des idéo auxquelles se référent diff acteurs. Plus le système est formé par des valeurs homogènes, plus le systeme inter sera homogène. A LPOSE, lus les valeusr ideo diverges entre acteurs plus le systeme sera heretogene. Aujourd'hui nous sommes dans un systeme tres heterogenes. Cette perspective entraine des conflits importants car des valeurs qui structurait sont auj contestés. système global et les sous systèmes ○ les osus sys peuvent etre formes par les sys regionaux (ex: europe, amerique du nord, africain..) obeissent a des logiques propres (en treme de geo, eco, culture) ⇒ communaute inter = plusieurs etats se reunisse autour dun ou des communs qui peut differer par rapport aux sous systemes du systeme politique inter. ⇒ cette classification du sys pol inter vaux ce que ca vaux = incomplete MAIS permet de comprendre quil nest pas fige dans le temps/espace ⇒ constamment revu, en construction. Partie 2 : Les grandes thématiques des relations internationales Chapitre 1: Guerre et/ou paix Chapitre 2: Globalisation et/ou mondialisation Chapitre 3: Droits humains Chapitre 4: Environnement

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