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Ce document détaille les structures et les fonctions des voies visuelles. Il explore les aspects anatomiques, physiologiques et les cas cliniques concernant les voies optiques, tout en expliquant l'importance des différentes structures impliquées dans le processus. 

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Les voies visuelles Le but du cours n’est pas forcément de faire retenir des structures précises ++ dans le cerveau mais de comprendre la structure de ces voies pour observer et comprendre les signes cliniques. Les cas cliniques présents dans le cours proviennent des collèges. Introduction Les voies...

Les voies visuelles Le but du cours n’est pas forcément de faire retenir des structures précises ++ dans le cerveau mais de comprendre la structure de ces voies pour observer et comprendre les signes cliniques. Les cas cliniques présents dans le cours proviennent des collèges. Introduction Les voies visuelles traversent tout le système nerveux, d’avant/arrière et de haut/bas. Donc la sémiologie liée à cette voie appartient à une grosse partie de la neurologie. Le cerveau récupère des signaux lumineux fragmentaires, fugaces et va construire une transplantation élaborée. Cela permet de savoir où se trouvent les choses dans l’espace et qu’est-ce qui nous entoure. Voie visuelle = vrai processus actif Pour pouvoir effectuer ce travail de transplantation, il faut plusieurs structures : Organe sensoriel Oculomoteurs bougeant de façon coordonnées= vestibule et cervelet. L’information est transmise à partir du globe oculaire via les nerfs optiques. Formé par le regroupement des nerfs optiques Trajet Globe oculaire →chiasma optique → tractus optique→radiation optique Air associative ischémie tête du nerf optique. PS : les céphalées sont importantes dans ce cas → maladie Horton CAS 2 : Homme 82 ans Diminution acuité visu brutale œil G Pupille dilatée non réactive Sur le fond de l’œil = rétine pâle sauf la fovéa qui est toute rouge. Ischémie rétinienne → occlusion Art centrale de la rétine => cause= Embolique. II) Le réflexe oculomoteur Le réflexe oculomoteur ou automoteur est composé de la contraction ou la dilatation de la pupille. Il dépend du M. dilatateur de l’iris et du M. contracteur de l’iris. Ils fonctionnent avec des systèmes d’innervation en parallèle. Système cholinergique parasympathique pour la constriction. Système adrénergique sympathique pour la dilatation. Les deux dépendent du même nerf →N. Silique court, partant du ganglion ciliaire qui est dans l’orbite au contact du nerf optique. Les trajets des voies sympathiques et parasympathique (important ++) Cette voie sympathique innerve le M. tarsal sup qui a pour rôle de relever la paupière. CAS 3 : Homme 74 ans Altération état général Paupière tombante Myosis G Atteinte M. tarsal sup + perte de tonus sympathique(myosis)= Syndrome de Claude Bernard Horner. Les gd causes : lésions apex pulmonaire Infarctus cérébral (face post du bulbe) Dissection carotidienne →sujet jeune + trauma cervical Constriction pupillaire Réflexe= réception signal lumineux entrainant contraction de la pupille→boucle Rétine →Nerf optique→passage dans chiasma→tractus optique→tronc cérébral Fibres suivant N. oculomoteur en parallèle

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