Psycho du travail digitalisé - 3.2 Le statut des technologies dans les transformations sociotechniques du travail

Quel pourcentage de cadres, selon l'étude mentionnée, n'ont jamais été impliqués dans la conception des logiciels qu'ils utilisent ?

Comment la maîtrise du métier se manifestait-elle traditionnellement, avant la dépendance accrue aux technologies ?

Quel est l'impact principal de l'arrivée soudaine d'un nouvel outil sur les employés ?

Quelle est une conséquence potentielle de l'obsolescence des compétences due aux changements technologiques ?

Quel concept Linhart utilise-t-il pour décrire l'état d'incertitude et d'instabilité lié aux changements technologiques constants ?

Comment les ingénieurs industriels sont-ils affectés par les outils de conception assistée par ordinateur (CAO) ?

Quelle est l'une des implications pour les contrôleurs de gestion concernant les progiciels de gestion intégrés (ERP) ?

Quel est le principal défi pour les salariés face aux nouvelles technologies, au-delà de la simple formation technique ?

Comment décririez-vous la relation actuelle entre la maîtrise d'un métier et la technologie, selon le texte ?

En quoi le changement de technologie impacte-t-il la façon d'exercer un métier, et quel est le groupe professionnel cité en exemple qui illustre le mieux cet impact ?

Comment les technologies itératives contribuent-elles principalement à l'activité professionnelle selon le texte?

Quelle est la principale caractéristique des technologies disruptives?

Quel avantage spécifique une technologie itérative offre-t-elle aux opérateurs lors d'un processus de changement?

Pourquoi l'adoption de technologies disruptives nécessite-t-elle une remise en question de l'expérience métier?

Dans le contexte des transformations sociotechniques, quel est l'impact des technologies sur le travail lorsque celles-ci sont itératives?

Quelle est une conséquence directe de l'utilisation de technologies disruptives sur les pratiques professionnelles?

Comment une démarche participative et anthropocentrée influence-t-elle la conception des technologies itératives?

Si une entreprise introduit un système d'IA pour assister les médecins dans les diagnostics, quel type de technologie est-ce le plus susceptible de représenter, et pourquoi?

Dans le contexte des technologies disruptives, l'acquisition de nouveaux principes d'action est-elle limitée au système technique lui-même?

Un chirurgien doit apprendre à opérer avec un robot chirurgical. Selon le texte, quelle serait la principale difficulté rencontrée et comment cela affecterait-il son expérience métier?

Quelle est la conséquence principale pour les salariés lorsqu'une technologie est conçue sans leur participation ?

Comment l'arrivée fréquente de nouvelles technologies affecte-t-elle l'expérience des salariés ?

Quel est l'enjeu principal pour un professionnel face à un changement technologique majeur dans son domaine ?

Comment la capacité d'adaptation aux nouvelles technologies influence-t-elle l'exercice d'un métier ?

Quelle est une des conséquences possibles de l'obsolescence des compétences due aux changements technologiques rapides ?

En quoi la maîtrise des technologies de métier impacte-t-elle les pratiques professionnelles, par exemple chez les contrôleurs de gestion utilisant des progiciels de gestion intégrés (ERP) ?

Quel concept, parmi les suivants, décrit le mieux l'état d'incertitude et d'instabilité ressenti par les individus face aux changements technologiques constants ?

Comment la relation entre la conception des logiciels et l'implication des futurs utilisateurs est-elle souvent caractérisée ?

Dans un contexte de changements technologiques fréquents, sur quoi un professionnel ne peut plus compter ?

Un ingénieur industriel utilisait des méthodes manuelles complexes pour la conception de machines. Avec l'introduction des outils de conception assistée par ordinateur (CAO), quel changement radical pourrait-il rencontrer, même après une formation approfondie ?

Quelle est la principale différence entre les technologies itératives et disruptives en termes d'impact sur l'utilisateur ?

Quel est l'avantage principal d'une approche anthropocentrée dans la conception de technologies itératives ?

Dans le contexte des technologies disruptives, que signifie 'revoir toute la gamme des pratiques professionnelles' ?

Comment les technologies itératives contribuent-elles à réduire l'incertitude lors d'un processus de changement ?

Quel est l'élément essentiel que l'apprentissage des technologies disruptives implique au-delà de la maîtrise de l'outil lui-même ?

Quelle est la conséquence possible d'une résistance au changement face à l'introduction de technologies disruptives ?

Dans quel contexte l'usage d'une IA pour partager un diagnostic médical est-il cité comme exemple ?

Comment une entreprise peut-elle faciliter l'adoption de technologies disruptives par ses employés ?

Si une entreprise met en place un système de gestion de la relation client (CRM) qui intègre des fonctionnalités d'IA pour personnaliser les interactions, quel type de technologie cela représente-t-il le plus probablement, et pourquoi ?

Un artisan menuisier qui utilisait traditionnellement des outils manuels commence à travailler avec une machine à commande numérique (CNC). Comment cette transition affecte-t-elle son expérience métier, sachant que la CNC exige une maîtrise des logiciels de conception et une compréhension des codes de programmation ?

La maîtrise de l'outil est de plus en plus cruciale pour l'exercice du métier.

Plus de 90% des cadres sont systématiquement impliqués dans la conception des logiciels qu'ils utilisent.

L'arrivée d'une nouvelle technologie n'affecte en rien les méthodes de travail établies.

Les ingénieurs industriels adaptent leurs méthodes de représentation et de fabrication des pièces en fonction des outils de CAO utilisés.

L'expérience et les compétences des salariés ne sont jamais remises en cause par l'introduction de nouveaux outils.

La précarité subjective, selon Linhart, est un état de certitude et de stabilité face aux conditions de vie et de travail.

Les contrôleurs de gestion adoptent les mêmes conduites professionnelles quel que soit le progiciel de gestion intégré (ERP) utilisé.

La capacité à créer ou adapter des outils était autrefois une manifestation de la maîtrise du métier.

Le texte suggère que les outils sont toujours conçus avec la participation active des salariés.

Un changement technologique permet toujours à l'usager de s'appuyer sur ses compétences et son savoir-faire professionnels antérieurs.

Les technologies itératives nécessitent une remise en cause de l'expérience utilisateur.

Les technologies disruptives impliquent uniquement l'apprentissage du système technique.

Les transferts d'apprentissage sont favorisés par les technologies itératives.

Une nouvelle version d'un logiciel métier conservant une logique d'utilisation similaire à l'ancienne est un exemple de technologie disruptive.

Le partage d'un diagnostic médical avec une IA est cité comme un exemple de technologie itérative.

Les technologies itératives sont toujours plus coûteuses à implémenter que les technologies disruptives.

Les technologies disruptives sont toujours mal accueillies par les utilisateurs finaux.

L'anthropocentrisme est une approche de conception des technologies favorisant les technologies disruptives.

Une technologie qui exige une révision complète des organigrammes d'une entreprise est probablement itérative.

Dans le contexte des transformations sociotechniques du travail, une 'technologie orthogonale' est une technologie qui s'intègre parfaitement aux systèmes préexistants sans nécessiter d'adaptation.

La maîtrise des outils est de moins en moins importante pour l'exercice du métier.

Se former à une nouvelle technologie implique uniquement d'apprendre à utiliser un nouvel outil.

Selon une étude, plus de 63 % des cadres ont été activement impliqués dans la conception des logiciels qu'ils utilisent.

Auparavant, la maîtrise du métier impliquait parfois d'adapter les outils à son activité.

Changer de technologie n'a aucun impact sur la façon dont un métier est exercé.

Les ingénieurs industriels conceptualisent toujours les mêmes pièces, peu importe l'outil de CAO utilisé.

L'arrivée d'un nouvel outil peut renforcer l'expérience et les acquis des salariés.

L'obsolescence des compétences peut contribuer à la déqualification professionnelle.

Le concept de précarité subjective, tel que défini par Linhart, décrit un état de certitude et de stabilité face aux conditions de travail.

Lors d'un changement technologique, un usager peut toujours compter sur son référentiel de compétences et son capital de savoir-faire professionnels sans aucune remise en question.

Les technologies itératives entraînent une remise en question profonde de l'expérience métier.

Les technologies disruptives exigent une modification des façons de faire, de penser et d'organiser le travail.

Une démarche participative et anthropocentrée favorise l'adoption des technologies itératives.

L'apprentissage des technologies disruptives se limite à la compréhension de l'interface utilisateur.

Les technologies itératives sont toujours plus coûteuses à implémenter que les technologies disruptives en raison de la nécessité de former le personnel.

Le partage d'un diagnostic médical avec une IA est un exemple d'usage d'une technologie itérative.

Les technologies disruptives sont préférables aux technologies itératives car elles entraînent une augmentation de la productivité à long terme.

L'utilisation d'un robot chirurgien est considérée comme une technologie itérative car elle remplace simplement le travail du chirurgien humain.

Une mise à jour d'un logiciel métier conservant une ergonomie similaire à la version précédente est un exemple de technologie disruptive.

Les technologies itératives minimisent l'incertitude lors des transitions technologiques, car elles permettent aux opérateurs de transférer facilement leurs compétences existantes vers les nouveaux outils, ce qui réduit le besoin de formation intensive et accélère l'acceptation.