Quiz sur l'AVC et ses Symptômes

Un AVC ischémique se produit lorsqu'un caillot bloque une artère dans le cerveau, réduisant le flux sanguin.

Un AVC hémorragique se produit lorsqu'un vaisseau sanguin dans le cerveau se rompt et saigne.

Les signes d'un AVC peuvent inclure des difficultés à parler, des faiblesses musculaires d'un côté du corps, des engourdissements, des troubles de la vision ou des maux de tête intenses.

Un AVC ischémique correspond à 80% des cas d'AVC, tandis que l'AVC hémorragique représente 20% des cas.

Oui, les symptômes d'un AVC peuvent être transitoires et durer quelques minutes. Dans ce cas, il s'agit d'un accident ischémique transitoire (AIT).

Perte de la capacité à bouger une partie du corps, généralement un côté du corps.

Difficulté à parler ou à comprendre le langage.

Déficience du champ visuel qui se manifeste par l'incapacité à voir une partie du champ visuel.

L'AVC est une urgence médicale et la rapidité du traitement est cruciale. Le délai crucial est de 4 heures pour la thrombolyse et de 6 heures pour la thrombectomie.

Traitement qui vise à dissoudre le caillot sanguin qui bloque l'artère cérébrale.

Traitement qui consiste à retirer le caillot sanguin qui bloque l'artère cérébrale.

Échelle neurologique utilisée pour évaluer la sévérité des déficits neurologiques suite à un AVC.

L'AVC hémorragique est une urgence médicale et la prise en charge nécessite un contrôle de la tension artérielle.

Offrir des stimulations sensorielles au patient, sans l'obliger à y participer.

Observer le patient et adapter les stimulations en fonction de ses réactions et préférences.

La séance doit se terminer en douceur, en ramenant progressivement le patient à la réalité.

Le toucher thérapeutique peut s'appliquer sur différentes parties du corps du patient, comme le visage, les mains, les pieds ou le corps entier.

L'objectif principal de la consultation post-AVC est de réduire le risque de récidive et d'aider le patient à devenir acteur de sa prise en charge.

La consultation post-AVC se déroule en deux étapes : un appel téléphonique à environ 3 mois après la sortie de l'hôpital et une consultation en personne à l'hôpital 3 à 6 mois après l'appel.

Lors de la consultation post-AVC, il est crucial de discuter des séquelles neurologiques, des difficultés que rencontrent les patients, et de fournir des informations et des supports pour les aider.

La conduite automobile est interdite pendant 1 mois après un AVC, et la reprise doit être validée par un médecin agréé.

Thérapie non-médicamenteuse utilisant les 5 sens (ouïe, odorat, vue, toucher, goût) pour stimuler, détendre et améliorer le bien-être.

Diminuer l'anxiété, les troubles du comportement et le ressenti douloureux chez les patients.

Troubles de la communication, troubles du comportement, troubles de la socialisation, angoisse, anxiété, fin de vie, arrivée dans un établissement.

Bien-être, détente, réduction du stress et de l'anxiété, diminution des troubles du comportement, amélioration du sommeil et de l'appétit, détente musculaire.

Consolidation du rapport soignant-soigné, meilleure connaissance du patient.

S'assurer de l'acceptation du patient avant de commencer la séance.

Créer une ambiance rassurante et sécurisante, préparer le matériel adéquat en fonction du patient et de ses besoins, prendre en compte ses goûts et désirs.

Bien installer le patient, respecter ses besoins et lui proposer des stimuli sensoriels adaptés.

L'AVC, ou accident vasculaire cérébral, est un événement qui survient lorsque l'apport sanguin au cerveau est interrompu, soit par un caillot de sang qui bloque une artère (ischémie) soit par une rupture d'un vaisseau sanguin (hémorragie).

Les symptômes d'un AVC apparaissent soudainement, sans avertissement. Ils peuvent inclure une faiblesse ou une paralysie d'un côté du corps, des problèmes d'élocution, une confusion, des maux de tête intenses et des troubles de la vision.

Le patient doit être admis à l'hôpital le plus rapidement possible après les premiers symptômes d'un AVC. Un traitement rapide peut limiter les dommages au cerveau et améliorer les chances de rétablissement.

La prise en charge d'un patient après un AVC comprend des mesures pour prévenir d'autres événements, comme des médicaments pour fluidifier le sang ou contrôler la tension artérielle, ainsi que des séances de réadaptation pour restaurer les fonctions perdues.

Il est important de rappeler aux patients les conseils hygiéno-diététiques, l'importance de l'activité physique et les ressources de soutien social disponibles pour améliorer leur qualité de vie après un AVC.

L'hypertension artérielle (HTA) est une condition médicale où la pression artérielle est trop élevée. C'est un facteur de risque majeur d'AVC, car elle peut affaiblir les vaisseaux sanguins et les rendre plus sujets aux ruptures.

Les troubles du rythme cardiaque peuvent augmenter le risque d'AVC en raison de caillots sanguins qui peuvent se former dans le cœur et se déplacer vers le cerveau.

Une sténose de la carotide est un rétrécissement de l'artère carotide, qui est l'artère principale qui fournit du sang au cerveau. Ce rétrécissement peut limiter le flux sanguin vers le cerveau et augmenter le risque d'AVC.

Le diabète est une maladie chronique qui affecte la façon dont le corps utilise le glucose. Le diabète augmente le risque d'AVC en endommageant les vaisseaux sanguins et en augmentant le risque de caillots.

L'hyperlipidémie est un excès de lipides (graisses) dans le sang. Cela peut entraîner une accumulation de plaque dans les artères, rétrécissant le passage du sang et augmentant le risque d'AVC.

Le suivi et l'évaluation de l'état neurologique sont essentiels pour les patients victimes d'AVC. Le score NIHSS (National Institutes of Health Stroke Scale) est un outil utilisé pour mesurer la gravité de l'AVC et évaluer l'évolution du patient.

Il est important d'éviter que les patients victimes d'AVC ne développent des complications respiratoires comme la pneumopathie de déglutition. Cela peut arriver lorsqu'ils ont des difficultés à avaler, ce qui peut conduire à une aspiration de nourriture ou de boissons dans les poumons.

Les patients victimes d'AVC ont un risque accru de thrombose veineuse profonde (TVP), ce qui peut entraîner une embolie pulmonaire (EP). Les mesures préventives comme la compression mécanique des jambes et la mobilisation précoce sont cruciales.