Quiz sur la sécurité nationale et la lutte contre le terrorisme en France

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32 Questions

Quelle est la durée maximale de l'assignation à résidence sous la mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) ?

6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois

Quel est l'objectif de la création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme ?

Prévenir les infractions terroristes

Quelle est la différence entre l'assignation à résidence sous la mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) et sous l'état d'urgence ?

L'assignation à résidence sous la MICAS est moins restrictive

Que permet la loi Silt en matière de perquisition administrative ?

La perquisition administrative est possible avec un seuil de doute encore plus bas que pour les perquisitions judiciaires

Quel est l'objectif de la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement ?

Renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État

Quelles sont les autorités de police judiciaire autorisées à transmettre des informations aux services de renseignement ?

Seulement les autorités de police judiciaire ayant détecté des éléments qui pourraient intéresser les services de renseignement

Quelles sont les informations transmises entre la police judiciaire et les services de renseignement ?

Uniquement des informations sur des individus présentant une menace pour la sécurité nationale

Quelles sont les garanties procédurales encadrant la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement ?

La transmission d'informations est soumise à des conditions strictes pour éviter les abus

Que permet la loi Silt du 30 octobre 2017 pour lutter contre le terrorisme?

L'introduction d'outils de l'état d'urgence dans le droit commun

Quel est le but de la création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme?

Prévenir les infractions terroristes

Qu'est-ce que la mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) peut viser selon la loi Silt?

Des personnes présentant un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme

Quelles sont les conditions strictes de la MICAS selon la loi Silt?

D'extériorisation de la menace et d'adhésion à l'idéologie terroriste

Quelle est la durée maximale de l'assignation à résidence sous la MICAS selon la loi Silt?

6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois

Quel est le rôle du juge administratif dans la décision de renouvellement de l'assignation à résidence sous la MICAS?

Il doit statuer sur le recours spécifique

Qu'est-ce que permet l'article 40 du Code de procédure pénale?

La saisie du procureur en cas de crime ou délit

Quel est le but de la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement depuis 2017?

Renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État

Que permet la loi Silt du 30 octobre 2017 pour lutter contre le terrorisme?

L'introduction d'outils de l'état d'urgence dans le droit commun

Quel est le but de la création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme?

Prévenir les infractions terroristes

Qu'est-ce que la mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) peut viser selon la loi Silt?

Des personnes présentant un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme

Quelles sont les conditions strictes de la MICAS selon la loi Silt?

D'extériorisation de la menace et d'adhésion à l'idéologie terroriste

Quelle est la durée maximale de l'assignation à résidence sous la MICAS selon la loi Silt?

6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois

Quel est le rôle du juge administratif dans la décision de renouvellement de l'assignation à résidence sous la MICAS?

Il doit statuer sur le recours spécifique

Qu'est-ce que permet l'article 40 du Code de procédure pénale?

La saisie du procureur en cas de crime ou délit

Quel est le but de la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement depuis 2017?

Renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État

Quel est l'objectif de la création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme?

Prévenir les infractions terroristes

Quel est le but de la mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS)?

Lutter contre le terrorisme

Quelles sont les conditions pour que la MICAS puisse être appliquée?

Un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme

Quelle est la durée maximale de l'assignation à résidence sous la MICAS?

6 mois

Quel est l'objectif des perquisitions dans le cadre de la lutte contre le terrorisme?

Viser des lieux fréquentés par des personnes présentant une menace d'une particulière gravité liée au terrorisme

Quel est le rôle du juge des libertés et de la détention (JLD) dans la procédure de perquisition?

Intervenir pour garantir les droits

Que permet l'article 40 du Code de procédure pénale?

Saisir le procureur en cas de crime ou délit

Quel est le but de la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement depuis 2017?

Renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État

Study Notes

La loi Silt et la lutte contre le terrorisme en dehors de l'état d'urgence

  1. La loi Silt du 30 octobre 2017 introduit des outils de l'état d'urgence dans le droit commun pour lutter contre le terrorisme.

  2. La création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme vise à prévenir les infractions terroristes.

  3. La continuité entre la police administrative et le droit pénal est mise en évidence.

  4. La mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) ne peut viser que des personnes présentant un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme.

  5. La MICAS est soumise à des conditions strictes d'extériorisation de la menace et d'adhésion à l'idéologie terroriste.

  6. L'assignation à résidence sous la MICAS est moins restrictive que sous l'état d'urgence.

  7. La durée maximale de l'assignation à résidence est de 6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois.

  8. La décision de renouvellement est soumise à un recours spécifique devant le juge administratif.

  9. La censure du Conseil Constitutionnel en 2018 a conduit à une réécriture de la loi Silt pour renforcer la protection des libertés individuelles.

  10. Les perquisitions visent des lieux fréquentés par des personnes présentant une menace d'une particulière gravité liée au terrorisme.

  11. Le caractère hybride de la procédure de perquisition implique l'intervention du juge des libertés et de la détention (JLD).

  12. Les saisies de données et de matériels sont soumises à l'autorisation du JLD pour leur exploitation.Le lien entre la police administrative et le droit pénal dans la lutte contre le terrorisme

  13. La loi Silt permet à l'administration de perquisitionner avec un seuil de doute encore plus bas que pour les perquisitions judiciaires.

  14. La perquisition administrative est une procédure hybride qui nécessite l'introduction du juge judiciaire pour garantir les droits.

  15. Le droit pénal anti-terroriste incrimine des comportements considérés comme le premier pas vers l'acte nuisible.

  16. L'infraction terroriste est le fait de commettre certaines infractions dans un but de terrorisme.

  17. Le terrorisme implique une volonté planifiée de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation et la terreur.

  18. La loi de 1986 a créé les éléments constitutifs du terroriste.

  19. La loi de 1993 a créé l'association de malfaiteurs pour réprimer le fait de préparer en groupe une infraction.

  20. La loi de 1996 a sanctionné le fait de préparer en groupe un acte terroriste.

  21. La loi de 2014 a sanctionné le fait de préparer seul un acte terroriste.

  22. La sanction de la préparation individuelle d'un acte terroriste est plus difficile car elle laisse peu de prise à des éléments objectifs.

  23. Le Conseil Constitutionnel a censuré la simple intention de nuire et a permis la répression des actes préparatoires.

  24. L'article 40 du Code de procédure pénale permet à toute autorité constituée de saisir le procureur en cas de crime ou délit.Transmission d'informations entre police judiciaire et services de renseignement depuis 2017

  25. Depuis 2017, la loi permet la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement.

  26. Cette transmission se fait dans le cadre des procédures judiciaires.

  27. Les autorités de police judiciaire sont autorisées à transmettre des informations aux services de renseignement si elles détectent des éléments qui pourraient les intéresser.

  28. Cette transmission d'informations est encadrée par la loi.

  29. Elle vise à renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État.

  30. Les informations transmises peuvent concerner des individus ou des groupes susceptibles de représenter une menace pour la sécurité nationale.

  31. Les services de renseignement sont chargés de collecter, d'analyser et de diffuser des informations pour protéger les intérêts de l'État.

  32. La transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement permet de mieux lutter contre le terrorisme et le crime organisé.

  33. Les informations transmises restent confidentielles et sont utilisées dans le respect de la loi.

  34. Cette transmission d'informations est soumise à des conditions strictes pour éviter les abus.

  35. Elle est encadrée par des garanties procédurales pour protéger les droits des individus.

  36. Cette mesure a suscité des débats sur la protection des libertés individuelles et la surveillance de masse.

La loi Silt et la lutte contre le terrorisme en dehors de l'état d'urgence

  1. La loi Silt du 30 octobre 2017 introduit des outils de l'état d'urgence dans le droit commun pour lutter contre le terrorisme.

  2. La création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme vise à prévenir les infractions terroristes.

  3. La continuité entre la police administrative et le droit pénal est mise en évidence.

  4. La mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) ne peut viser que des personnes présentant un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme.

  5. La MICAS est soumise à des conditions strictes d'extériorisation de la menace et d'adhésion à l'idéologie terroriste.

  6. L'assignation à résidence sous la MICAS est moins restrictive que sous l'état d'urgence.

  7. La durée maximale de l'assignation à résidence est de 6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois.

  8. La décision de renouvellement est soumise à un recours spécifique devant le juge administratif.

  9. La censure du Conseil Constitutionnel en 2018 a conduit à une réécriture de la loi Silt pour renforcer la protection des libertés individuelles.

  10. Les perquisitions visent des lieux fréquentés par des personnes présentant une menace d'une particulière gravité liée au terrorisme.

  11. Le caractère hybride de la procédure de perquisition implique l'intervention du juge des libertés et de la détention (JLD).

  12. Les saisies de données et de matériels sont soumises à l'autorisation du JLD pour leur exploitation.Le lien entre la police administrative et le droit pénal dans la lutte contre le terrorisme

  13. La loi Silt permet à l'administration de perquisitionner avec un seuil de doute encore plus bas que pour les perquisitions judiciaires.

  14. La perquisition administrative est une procédure hybride qui nécessite l'introduction du juge judiciaire pour garantir les droits.

  15. Le droit pénal anti-terroriste incrimine des comportements considérés comme le premier pas vers l'acte nuisible.

  16. L'infraction terroriste est le fait de commettre certaines infractions dans un but de terrorisme.

  17. Le terrorisme implique une volonté planifiée de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation et la terreur.

  18. La loi de 1986 a créé les éléments constitutifs du terroriste.

  19. La loi de 1993 a créé l'association de malfaiteurs pour réprimer le fait de préparer en groupe une infraction.

  20. La loi de 1996 a sanctionné le fait de préparer en groupe un acte terroriste.

  21. La loi de 2014 a sanctionné le fait de préparer seul un acte terroriste.

  22. La sanction de la préparation individuelle d'un acte terroriste est plus difficile car elle laisse peu de prise à des éléments objectifs.

  23. Le Conseil Constitutionnel a censuré la simple intention de nuire et a permis la répression des actes préparatoires.

  24. L'article 40 du Code de procédure pénale permet à toute autorité constituée de saisir le procureur en cas de crime ou délit.Transmission d'informations entre police judiciaire et services de renseignement depuis 2017

  25. Depuis 2017, la loi permet la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement.

  26. Cette transmission se fait dans le cadre des procédures judiciaires.

  27. Les autorités de police judiciaire sont autorisées à transmettre des informations aux services de renseignement si elles détectent des éléments qui pourraient les intéresser.

  28. Cette transmission d'informations est encadrée par la loi.

  29. Elle vise à renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État.

  30. Les informations transmises peuvent concerner des individus ou des groupes susceptibles de représenter une menace pour la sécurité nationale.

  31. Les services de renseignement sont chargés de collecter, d'analyser et de diffuser des informations pour protéger les intérêts de l'État.

  32. La transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement permet de mieux lutter contre le terrorisme et le crime organisé.

  33. Les informations transmises restent confidentielles et sont utilisées dans le respect de la loi.

  34. Cette transmission d'informations est soumise à des conditions strictes pour éviter les abus.

  35. Elle est encadrée par des garanties procédurales pour protéger les droits des individus.

  36. Cette mesure a suscité des débats sur la protection des libertés individuelles et la surveillance de masse.

La loi Silt et la lutte contre le terrorisme en dehors de l'état d'urgence

  1. La loi Silt du 30 octobre 2017 introduit des outils de l'état d'urgence dans le droit commun pour lutter contre le terrorisme.

  2. La création d'une police spéciale de lutte contre le terrorisme vise à prévenir les infractions terroristes.

  3. La continuité entre la police administrative et le droit pénal est mise en évidence.

  4. La mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (MICAS) ne peut viser que des personnes présentant un comportement d'une particulière gravité lié au terrorisme.

  5. La MICAS est soumise à des conditions strictes d'extériorisation de la menace et d'adhésion à l'idéologie terroriste.

  6. L'assignation à résidence sous la MICAS est moins restrictive que sous l'état d'urgence.

  7. La durée maximale de l'assignation à résidence est de 6 mois, renouvelable une fois pour un total de 12 mois.

  8. La décision de renouvellement est soumise à un recours spécifique devant le juge administratif.

  9. La censure du Conseil Constitutionnel en 2018 a conduit à une réécriture de la loi Silt pour renforcer la protection des libertés individuelles.

  10. Les perquisitions visent des lieux fréquentés par des personnes présentant une menace d'une particulière gravité liée au terrorisme.

  11. Le caractère hybride de la procédure de perquisition implique l'intervention du juge des libertés et de la détention (JLD).

  12. Les saisies de données et de matériels sont soumises à l'autorisation du JLD pour leur exploitation.Le lien entre la police administrative et le droit pénal dans la lutte contre le terrorisme

  13. La loi Silt permet à l'administration de perquisitionner avec un seuil de doute encore plus bas que pour les perquisitions judiciaires.

  14. La perquisition administrative est une procédure hybride qui nécessite l'introduction du juge judiciaire pour garantir les droits.

  15. Le droit pénal anti-terroriste incrimine des comportements considérés comme le premier pas vers l'acte nuisible.

  16. L'infraction terroriste est le fait de commettre certaines infractions dans un but de terrorisme.

  17. Le terrorisme implique une volonté planifiée de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation et la terreur.

  18. La loi de 1986 a créé les éléments constitutifs du terroriste.

  19. La loi de 1993 a créé l'association de malfaiteurs pour réprimer le fait de préparer en groupe une infraction.

  20. La loi de 1996 a sanctionné le fait de préparer en groupe un acte terroriste.

  21. La loi de 2014 a sanctionné le fait de préparer seul un acte terroriste.

  22. La sanction de la préparation individuelle d'un acte terroriste est plus difficile car elle laisse peu de prise à des éléments objectifs.

  23. Le Conseil Constitutionnel a censuré la simple intention de nuire et a permis la répression des actes préparatoires.

  24. L'article 40 du Code de procédure pénale permet à toute autorité constituée de saisir le procureur en cas de crime ou délit.Transmission d'informations entre police judiciaire et services de renseignement depuis 2017

  25. Depuis 2017, la loi permet la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement.

  26. Cette transmission se fait dans le cadre des procédures judiciaires.

  27. Les autorités de police judiciaire sont autorisées à transmettre des informations aux services de renseignement si elles détectent des éléments qui pourraient les intéresser.

  28. Cette transmission d'informations est encadrée par la loi.

  29. Elle vise à renforcer la coopération entre les différents services de sécurité de l'État.

  30. Les informations transmises peuvent concerner des individus ou des groupes susceptibles de représenter une menace pour la sécurité nationale.

  31. Les services de renseignement sont chargés de collecter, d'analyser et de diffuser des informations pour protéger les intérêts de l'État.

  32. La transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement permet de mieux lutter contre le terrorisme et le crime organisé.

  33. Les informations transmises restent confidentielles et sont utilisées dans le respect de la loi.

  34. Cette transmission d'informations est soumise à des conditions strictes pour éviter les abus.

  35. Elle est encadrée par des garanties procédurales pour protéger les droits des individus.

  36. Cette mesure a suscité des débats sur la protection des libertés individuelles et la surveillance de masse.

Ce quiz vous permettra de tester vos connaissances sur des sujets d'actualité en lien avec la sécurité nationale et la lutte contre le terrorisme en France. Vous en apprendrez davantage sur la loi Silt, les perquisitions administratives, le droit pénal anti-terroriste ainsi que la transmission d'informations entre la police judiciaire et les services de renseignement. Testez vos connaissances et découvrez-en dav

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