Structural Brain Differences in Stuttering

Les études cérébrales utilisant l’imagerie en diffusion (DTI) ont révélé un déficit de transmission de la matière noire chez les personnes qui bégaient.

Chang et ses collègues ont conclu qu'une déficience de connectivité entre le cortex frontal inférieur et le cortex prémoteur est un corrélat neural du bégaiement.

Selon Kochunov et collègues, la matière blanche cérébrale est constituée de paquets de dendrites.

Cykowski et ses collègues ont suggéré que le dysfonctionnement cérébral dans le bégaiement implique un excès de myélogenèse des fibres blanches du cerveau.

Les résultats des recherches génétiques récentes appuient l'hypothèse d'un dysfonctionnement cérébral impliquant un déficit de myélogenèse des fibres blanches dans le bégaiement.

D'après les études cérébrales, il n'y a pas de différence de connectivité entre le cortex frontal inférieur et le cortex prémoteur chez les personnes qui bégaient.

La stimulation physiologique peut influencer le seuil à partir duquel l'épisode de bégaiement est généré.

L'excitation émotionnelle peut diminuer l'état de stimulation physiologique d'un individu.

Il y a une relation linéaire directe entre l'état de stimulation physiologique et la sévérité du bégaiement au niveau individuel.

Stimuler la fluidité verbale peut augmenter le contrôle sur le bégaiement.

Les ressources cognitives disponibles pendant la communication n'ont aucun effet sur le bégaiement selon Metten et al. (2011).

Une tâche linguistique concurrente peut diminuer le bégaiement en libérant des ressources cognitives.

Le bégaiement est causé uniquement par des différences cérébrales structurales.

Le modèle causal trifactoriel des moments de bégaiement est un modèle unifactoriel.

Le modèle de Packman et Attanasio a été présenté pour la première fois à la Convention de l’Association Américaine du Langage et de l’Audition en 2004.

Lors de la 9e conférence d’Oxford sur la disfluence en 2011, le modèle de Packman et Attanasio a été présenté pour la première fois.

Le modèle causal trifactoriel des moments de bégaiement décrit les facteurs de façon théorique.

Selon le texte, il est préférable de chercher la cause des moments de bégaiement plutôt que ce qui cause le bégaiement.

Les participants normalement fluides du groupe contrôle ont montré moins de disfluences lors de la double tâche.

Selon le modèle mentionné, les tâches multiples impliquant de partager les ressources avec le langage verbal peuvent augmenter le seuil à partir duquel le bégaiement est engendré.

Les moqueries durant l'enfance sont considérées comme des facteurs modulants susceptibles d'influencer les expériences individuelles selon le modèle cité.

Le modèle des Exigences et capacités ne prend pas en compte l'impact des stresseurs environnementaux.

Selon le modèle de Packman et Attanasio, ce sont les perceptions des stresseurs environnementaux potentiels par l’individu qui ont un impact sur le seuil auquel le bégaiement est engendré.

Les différences individuelles de réactivité émotionnelle ont peu d'influence sur l'impact des expériences individuelles selon le modèle cité.

Le Programme Camperdown est un modèle de traitement basé sur la parole prolongée.

Packman et Kuhn ont examiné le bégaiement sous l'angle de la simplicité.

Le stress syllabique n'a pas été exploré comme un facteur de bégaiement dans l'article de Packman, Onslow, Richard, et van Doorn.

La prédiction du début du bégaiement à l'âge de 3 ans a été étudiée dans l'étude prospective menée par Reilly et al.

Le bégaiement est considéré comme un modèle dynamique et multifactoriel par Smith et Kelly.

L'étude de Jones, Eisenhuth, Carey et O’Brian portait sur la tâche unique et le bégaiement.