Régulation de la prise alimentaire

Le processus par lequel l'intellect et les émotions influencent nos choix alimentaires, menant potentiellement à une dissonance cognitive et à des régimes restrictifs.

Le conflit entre les émotions et les normes intellectuelles en matière de choix alimentaires, entrainant des frustrations et des tentatives de restrictions.

Des plans alimentaires qui limitent fortement la consommation d'aliments, souvent inefficaces à long terme.

La perte de poids suivie d'une reprise de poids supérieure à la perte initiale, souvent causé par des régimes restrictifs.

Le poids pour lequel le corps se considère à l'équilibre, différent pour chaque personne et déterminé génétiquement.

Le mécanisme qui active la sensation de faim et réduit les dépenses énergétiques pour aider à retrouver le set point.

L'acte de manger, qui, quand elle n'est pas liée à des besoins physiologiques, ne procure plus de plaisir.

Paramètre physiologique régulé pour maintenir l'homéostasie énergétique, l'équilibre entre apports et dépenses énergétiques.

Equilibre entre les apports alimentaires et les dépenses énergétiques, nécessaire pour un poids corporel stable.

Entrée d'énergie provenant de l'alimentation.

Sortie d'énergie, liée à des activités et au métabolisme.

Mécanismes physiologiques adaptant les apports alimentaires aux dépenses pour maintenir un poids corporel constant.

Messages chimiques provenant de l'intestin, de l'estomac, de l'intestin grêle et du pancréas, régulant la prise alimentaire.

Un seul signal spécifique déclenchant la sensation de faim.

Plusieurs signaux impliqués dans la sensation de satiété.

Hormone sécrétée par le tissu adipeux et l'estomac, important signal de satiété.

Messages transmis par le nerf vague, liés à la distension gastrique et aux sécrétions intestinales.

Le cerveau et la moelle épinière, centre de régulation de nombreuses fonctions corporelles, incluant la prise alimentaire.

Centre cérébral impliqué dans la régulation du comportement alimentaire, recevant des informations de la périphérie.

Partie du cerveau qui intègre les signaux hormonaux et nerveux pour réguler la prise alimentaire.

Une obésité rare causée par une mutation d'un gène impliqué dans la régulation de l'appétit.

Modifications du gène de la leptine, entraînant une production insuffisante de cette hormone de satiété.

Modifications du récepteur à la leptine, empêchant l'organisme de percevoir les signaux de satiété.

Modifications du gène POMC, aboutissant à un déficit de l'hormone α-MSH, impactant le signal de satiété.

Modifications du récepteur MC4R, réduisant l'efficacité du signal de satiété (plus fréquentes).

Un syndrome génétique avec une association d'obésité précoce, déficience intellectuelle, et problèmes comportementaux/émotionnels.

Mécanismes naturels qui contrôlent la faim et la satiété.

Influence des émotions sur la prise alimentaire, parfois indépendante des besoins physiologiques.

Réseaux cérébraux associés au plaisir, impliqués dans la régulation comportementale (dont la prise alimentaire).

Réaction positive/plaisir immédiat lié à la prise d'aliments, phase initiatrice de la prise alimentaire.

Désir de renouveler une expérience positive liée à la prise d'aliments.

Région du cerveau impliquée dans la planification, la prise de décision et la mémoire.

Influence de la conscience et de la connaissance sur les décisions alimentaires.