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Incapacité à décrire verbalement, à réagir ou à localiser des stimuli du côté opposé au lobe cérébral lésé. Trouble de perception d'un hémi-espace.

Difficulté à exécuter des mouvements volontaires même si les muscles, la sensibilité et la coordination sont intacts. Compréhension du message fournie mais incapacité à agir.

Perte du concept de la nature d'un mouvement à exécuter. On ne comprend plus comment faire l'action.

Impossibilité d'organiser les mouvements dans la séquence correcte pour exécuter une action. La personne comprend le concept, mais ne peut pas coordonner les étapes.

Difficulté à manipuler des objets dans l'espace pour créer des formes (dessins, constructions).

Incapacité à nommer un objet, même si la personne sait ce que c'est et à quoi il sert.

Incapacité à lire, contrairement à la dyslexie qui est corrigible.

Incapacité à écrire. Contrairement à la dysgraphie qui est corrigible, la personne peut parfois copier mais pas écrire d'elle-même.

La partie du cerveau responsable du mouvement volontaire. Il contrôle les muscles pour permettre des actions physiques.

Une sous-section du cortex moteur qui planifie et séquence les mouvements. Elle prépare le corps à agir.

La section du cortex moteur qui envoie les signaux aux muscles pour les faire bouger.

Une partie du cortex moteur qui aide à coordonner les mouvements complexes et les mouvements bilatéraux (des deux côtés du corps).

Une zone cérébrale qui se trouve autour du corps calleux. Il est impliqué dans les émotions, la motivation et la mémoire.

La partie la plus avancée du lobe frontal, responsable des fonctions cognitives supérieures comme la planification, la prise de décision, la personnalité et l'attention.

Une difficulté à se concentrer sur une tâche et à ignorer les distractions. Cela peut impliquer une incapacité à inhiber les actions non désirées.

La capacité à adapter ses choix et son comportement en fonction de nouvelles informations ou de situations changeantes.

Le lobe temporal joue un rôle crucial dans le traitement et l'expression des émotions.

Certaines crises épileptiques peuvent se manifester par des émotions intenses, comme l'angoisse ou l'anxiété.

La stimulation du noyau amygdalien peut provoquer une réaction de colère explosive.

L'ablation chirurgicale des deux lobes temporaux.

La lobectomie bitemporale peut entraîner des automatismes oraux alimentaires, des comportements sexuels anormaux, des troubles de la mémoire et une distractibilité accrue.

Une maladie virale qui peut endommager les lobes temporaux, mimant les effets d'une lobectomie bitemporale.

Un syndrome observé chez les singes après une lobectomie bitemporale, caractérisé par une tendance orale, une perte de la peur et une hypersexualité.

Le syndrome de Klüver-Bucy est expliqué par une déconnexion entre le système sensoriel et le système limbique.

La stimulation de l’amygdale provoque des sentiments agressifs.

La stimulation du septum provoque des sentiments de bien-être.

L'hippocampe joue un rôle crucial dans la mémoire et le souvenir.

L'hypothalamus contrôle les fonctions autonomes comme la rougeur ou la pâleur.

Le striatum pallidum ventral est impliqué dans la motivation et le comportement.

Les noyaux gris centraux contrôlent la motricité volontaire et la coordination.

Le noyau ventral postérieur du thalamus est le principal relais de la sensibilité vers le cortex cérébral.

Le noyau ventral latéral du thalamus reçoit des informations du cervelet, du locus niger et du pallidum et est impliqué dans la motricité.

L'incapacité à exécuter des mouvements volontaires de la bouche, de la langue et du visage, bien que les mouvements automatiques de ces zones soient préservés.

Difficultés à contrôler les mouvements, notamment en termes de rapidité, de finesse et d'initiative. Les personnes peuvent présenter des mouvements lents, des difficultés à passer d'un mouvement à un autre, des répétitions et une tendance à l'inertie.

Réduction ou perte du contrôle volontaire des mouvements des yeux, pouvant conduire à un regard fixe, une paralysie d'un ou des deux yeux.

Des difficultés à parler, à comprendre le langage ou à trouver les mots, pouvant être provoqués par des lésions dans les aires motrices supplémentaires.

Difficulté à s'exprimer et à former des mots, malgré une compréhension du langage.

Difficulté à comprendre le langage parlé, malgré une capacité à parler couramment. Toutefois, le langage produit est souvent incompréhensible.

Désorganisation de la mémoire due à des lésions du lobe frontal. La mémoire en elle-même n'est pas affectée, mais la capacité à accéder et à utiliser les informations stockées est compromise.

L'hypothalamus joue un rôle dans la régulation de la température corporelle. Les thermorécepteurs dans la peau envoient des informations à l'hypothalamus, qui déclenche des réactions pour augmenter ou diminuer la température.

L'hypothalamus est impliqué dans la régulation de la soif. Les barorécepteurs et osmorécepteurs dans l'hypothalamus antérieur détectent la déshydratation et déclenchent la sensation de soif.

L'hypothalamus contrôle l'appétit. Le centre de la faim se trouve dans la partie dorsolatérale de l'hypothalamus, tandis que le centre de la satiété se situe dans la partie ventromédiale.

L'hypothalamus, en interaction avec l'amygdale, influence les émotions et le comportement alimentaire. Les émotions peuvent affecter l'appétit, comme dans les cas de boulimie ou d'anorexie.

La partie postérieure de l'hypothalamus est impliquée dans le comportement agressif. Normalement, cette région est inhibée par des informations provenant du système limbique et du néocortex. Une absence d'inhibition peut mener à l'agressivité.

L'hypothalamus joue un rôle dans le désir sexuel, mais pas dans la fertilité. L'amygdale inhibe cette partie de l'hypothalamus. Une destruction de l'amygdale peut entraîner une hypersexualité.

Le cervelet est crucial pour la coordination des mouvements. Des lésions du cervelet affectent la coordination et entraînent des problèmes de marche, de parole et d'écriture.

Les lésions du cervelet peuvent provoquer une ataxie (difficulté à marcher), une dysarthrie (trouble de l'articulation de la parole) et des troubles de l'écriture.