Progrès de la Scolarisation Primaire

Le taux de non-scolarisation est le pourcentage d'enfants en âge d'aller à l'école primaire qui ne sont pas inscrits dans un établissement éducatif.

Le seuil de compétence minimale est un niveau de performance en lecture, écriture et mathématiques qu'un élève devrait atteindre pour répondre aux exigences minimales de l'éducation.

L'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture) est une organisation internationale qui développe des indicateurs et des standards éducatifs, dont le seuil de compétence minimale.

L'ISU (Institut de la statistique de l'UNESCO) est une organisation qui collecte et analyse des données sur l'éducation dans le monde, y compris les statistiques sur le niveau de compétence des élèves.

L'analphabétisme est l'incapacité à lire et à écrire.

La littératie désigne la capacité à comprendre et à utiliser l'information écrite afin d'atteindre ses objectifs.

Les statistiques de l'UNESCO montrent qu'un grand nombre d'enfants scolarisés n'atteignent pas le seuil de compétence minimale en lecture et en mathématiques. Cela suggère que certains systèmes éducatifs ne parviennent pas à fournir une éducation de qualité.

L'accès à l'éducation ne garantit pas automatiquement une éducation de qualité. Il est important de s'assurer que les enfants apprennent les compétences essentielles dont ils ont besoin pour réussir dans la vie.

La Loi sur l'instruction publique au Québec oblige tous les parents à scolariser leurs enfants à l'école primaire. Cependant, la fréquentation scolaire est obligatoire dans certains pays, optionnelle dans d'autres, et même considérée comme un privilège dans certains cas.

L'UNESCO et l'OCDE collectent des données mondiales sur la scolarisation primaire, malgré des critiques sur leur approche statistique de l'éducation.

Les statistiques montrent que l'accès à l'éducation primaire a progressé ces dernières décennies, mais les progrès sont encore fragiles et inégaux.

Les filles, les enfants ruraux et les enfants vivant dans des zones de conflit restent désavantagés en termes d'accès à l'éducation.

La nouvelle gestion scolaire basée sur les résultats transforme les pratiques et le financement de l'éducation, en mettant l'accent sur le capital humain.

La compétition entre les pays sur le plan de l'éducation transforme les politiques éducatives.

Même dans un contexte d'accès facile à l'éducation, certains enfants restent exclus du système scolaire en raison de problèmes administratifs.

L'éducation primaire, un domaine complexe qui ne se résume pas à des statistiques.

Les parents sont souvent prêts à faire de grands sacrifices financiers pour que leurs enfants accèdent à ce qu'ils considèrent comme des voies d'excellence.

L'accès à l'école primaire est très surveillé par l'UNESCO, car l'organisation vise à augmenter la présence des filles dans l'éducation.

Malgré les objectifs internationaux, il existe un écart important dans l'accès à l'école primaire entre les filles et les garçons. Pour chaque 100 garçons sans accès à l'école, 128 filles n'y ont pas accès.

Les disparités entre filles et garçons dans l'accès à l'école ne sont pas réparties uniformément ; elles sont influencées par des pratiques culturelles, comme les mariages précoces des filles en Afrique subsaharienne.

Le retrait des filles enceintes de l'école et le manque de perspectives professionnelles sont également des facteurs qui expliquent la faible présence des filles dans certains pays.

Chaque obstacle qui empêche les filles d'aller à l'école est une lutte contre les traditions et un combat politique.

Les progrès de l'accès des filles à l'école primaire stagnent depuis une décennie, malgré les progrès importants au début des années 2000.

La disparité d'accès à l'école selon le genre est également liée au niveau de richesse du pays. Dans les pays pauvres, les filles sont moins nombreuses à fréquenter l'école que les garçons.