Préparation de l'alumine et procédés associés

Méthode pour produire de l'alumine (Al2O3) à partir de bauxite. Elle utilise une attaque basique par la soude caustique (NaOH) et la précipitation de l'hydrate d'alumine.

Minéral contenant de l'alumine (Al2O3) mélangé avec d'autres oxydes, notamment de fer et de silicium.

Technique d'extraction de produits solubles d'un solide par un liquide. Dans le procédé Bayer, la bauxite est traitée par de la soude caustique pour extraire l'alumine.

Composés chimiques contenant de l'aluminium et de l'eau dans leur structure. Une forme commune est Al(OH)3, utilisée dans une étape du procédé Bayer.

Action de dissolution d'un minerai (comme la bauxite) par une solution alcaline (soude caustique).

Processus de formation et de séparation d'un solide insoluble à partir d'une solution. Ici, le composé d'aluminium est séparé.

Procédé de chauffage à haute température pour éliminer l'eau d'un composé. Transformation de l'hydrate d'alumine en alumine pure.

Oxyde d'aluminium, composé chimique essentiel. Le produit cible du procédé Bayer. Utilise par exemple dans la fabrication de céramiques et d'aluminium.

Un minéral d'oxyde d'aluminium (Al2O3) utilisé comme base pour les rubis et les saphirs.

Un corindon rouge obtenu par la substitution partielle d'ions Al3+ par des ions Cr3+.

Un corindon bleu obtenu par la substitution partielle d'ions Al3+ par des ions Fe2+ et Ti4+.

Un champ électrique créé par les ions entourant un ion métallique dans un cristal. Il affecte la couleur du composé.

Des dispositifs médicaux remplaçant l'articulation de la hanche, composés notamment d'alumine.

L'alumine est utilisée dans les PTH car elle est stable, chimiquement inerte et très résistante.

Les propriétés mécaniques de l'alumine dans les PTH dépendent de sa densité, pureté et taille des grains.

L'alumine est 30 à 40 fois plus résistante aux rayures que les alliages métalliques.

L'alumine est plus facilement mouillable que les métaux ou les polymères, ce qui la rend idéale pour la lubrification articulaire.

La fabrication de l'alumine chirurgicale implique des technologies avancées et des contrôles de qualité stricts pour garantir sa biocompatibilité.

Ce système définit un couple acide-base par la relation : Acide + O2- → Base. Il permet de comprendre les réactions acido-basiques impliquant les oxydes.

Dans les réactions entre les oxydes, il peut y avoir un transfert d'ions oxygène entre les réactifs.

Ce sont des polluants atmosphériques qui résultent de la combustion de combustibles fossiles. Ils sont nocifs pour la santé humaine et l'environnement.

Ils proviennent principalement de l'utilisation de combustibles fossiles, notamment du trafic routier.

Les NOx contribuent à la pollution atmosphérique, aux pluies acides et à la formation d'ozone troposphérique.

Les NOx contribuent à la destruction de la couche d’ozone stratosphérique, qui protège la Terre des rayons ultraviolets nocifs.

Les NOx réagissent avec l’ozone (O3) pour former du dioxyde d’azote (NO2) et de l’oxygène moléculaire (O2), réduisant ainsi la concentration d’ozone dans la stratosphère.

Techniques pour réduire les émissions de NOx dans l’atmosphère, généralement via des processus catalytiques.

Un bon catalyseur pour le traitement des NOx doit être actif, sélectif et résistant à divers facteurs environnementaux comme le SO2, les halogènes et les variations de température.

Divers matériaux peuvent servir de catalyseurs pour traiter les NOx, notamment des métaux précieux comme le platine et le rhodium, des oxydes métalliques et des zéolithes.

Dispositifs utilisés dans les systèmes d’échappement des véhicules pour convertir les NOx en produits moins nocifs, généralement en utilisant un monolithe céramique constitué d’un support et d’une phase active.

Composée de nanoparticules de métaux précieux (ex: platine, rhodium) déposées sur un support en céramique, elle joue un rôle crucial dans la transformation des NOx.

Un capteur situé dans le système d'échappement qui mesure la quantité d'oxygène dans les gaz d'échappement.

Un système électronique qui contrôle les différents paramètres du moteur, y compris la quantité d'essence injectée.

Le rapport optimal entre la quantité d'air et d'essence nécessaire pour une combustion efficace.

Un oxyde de cérium utilisé dans les pots catalytiques car il facilite le stockage et la libération de l'oxygène.

Composés gazeux émis par la combustion de combustibles fossiles et les activités industrielles.

Phénomène naturel résultant de la dissolution des oxydes d'azote et de soufre dans l'eau de pluie.

L'hydroxyde de calcium, utilisé pour neutraliser les oxydes d'azote et de soufre dans les gaz d'échappement.

Un dispositif qui réduit les émissions nocives des gaz d'échappement des véhicules. Il est composé d'un matériau poreux contenant des métaux précieux pour catalyser les réactions chimiques.

Les pots catalytiques utilisent des métaux précieux (platine, rhodium et palladium) pour convertir les gaz nocifs en substances moins nocives. Le platine est utilisé pour oxyder le CO et les HC, tandis que le rhodium réduit les NOx.

La phase active est constituée de nanoparticules de métaux nobles (platine, rhodium, palladium) qui catalysent les réactions chimiques transformant les polluants.

Le support du catalyseur est une couche d'alumine stabilisée de haute surface, qui contient des oxydes de terre rares comme la cérine.

La plage de températures et de conditions optimales pour un bon fonctionnement du catalyseur, où la conversion des NOx, HC et CO est la plus efficace.

Un capteur dans le moteur qui surveille le rapport air/essence. Il permet de maintenir les conditions optimales pour le catalyseur et d'optimiser la conversion des polluants.

Un matériau ajouté au monolithe pour aider à maintenir le rapport air/essence optimal et à améliorer l'efficacité du catalyseur.