Police Misconduct and Sexual Assault Case

Deux policiers ont eu des relations sexuelles avec une femme qui était en leur garde.
Les témoignages sont contradictoires : les policiers affirment que la femme les a séduits, alors qu'elle affirme avoir été violée.
Les policiers, Andreas O. et Amar J., étaient âgés de 23 et 28 ans respectivement.
Ils sont accusés de violation et d'abus sexuel dans un cas particulièrement grave.
La preuve est faible : les seules preuves sont les témoignages contradictoires des parties impliquées.
Le procès est suivi par l'auteur du texte.
Andreas O. et Amar J. étaient en route pour la pause déjeuner avec des collègues quand ils ont rencontré un couple, Agnieszka F. et son partenaire, qui vivaient récemment en Allemagne et étaient recherchés en Pologne pour des vols mineurs.
Agnieszka F. montrait un faux passeport qu'elle avait acheté sur Internet.
Les policiers sont allés chez le couple pour les contrôler, mais ils ont trouvé des preuves de deux versions différentes du même événement.
La première version est celle des policiers : ils affirment qu'ils ont eu des relations sexuelles consentiées avec la femme, qui ne portait pas de sous-vêtements et qui les a séduits.
La deuxième version est celle d'Agnieszka F. : elle affirme que les policiers ont laissé leur partenaire dans la voiture et qu'ils ont alors violé et agressé chacune des deux personnes, la prenant par surprise et forçant des relations sexuelles.
Les policiers ont été interrogés par une psychologue criminelle, Lydia Benecke, qui a tenté de comprendre leurs motivations.
Les policiers semblent avoir cru que, si une femme signale des signes sexuels, cela leur donnait le droit de la violer.
Les policiers ont été interrogés au tribunal.
La version d'Agnieszka F. est très différente : elle affirme que les policiers l'ont attirée dans leur voiture et violée sans leur consentement.
Le tribunal a dû décider qui a été le plus crédible.
Andreas O. et Amar J. étaient en service avec des collègues quand ils ont arrêté Agnieszka F. et son partenaire.
Agnieszka F. avait un faux passeport et un logotype du blason polonais sur son passeport retourné.
Les policiers ont été invités à la maison d'Agnieszka F. et son partenaire pour les contrôler.
Les événements qui se sont déroulés à la maison ont donné lieu à deux versions totalement différentes.
La première version est celle des policiers : ils affirment qu'ils ont eu des relations sexuelles consentiées avec Agnieszka F., qui ne portait pas de sous-vêtements et qui les a séduits.
La deuxième version est celle d'Agnieszka F. : elle affirme que les policiers ont laissé son partenaire dans la voiture et qu'ils ont violé et agressé chacune des deux personnes, la prenant par surprise et forçant des relations sexuelles.
Les policiers ont été interrogés à propos de leurs actions.
Lydia Benecke, une psychologue criminelle, a été consultée pour comprendre les motivations des policiers.
Les policiers semblent avoir pensé que si une femme envoyait des signaux sexuels, cela leur donnait le droit de la violer.
Les policiers ont été interrogés au tribunal.
La version d'Agnieszka F. est complètement différente : elle affirme que les policiers l'ont attirée dans leur voiture et violée sans leur consentement.
Le tribunal a dû décider qui a été le plus crédible.
La version des policiers a été présentée en premier.
Ils affirment avoir eu des relations sexuelles consentiées avec Agnieszka F., qui ne portait pas de sous-vêtements et qui les a séduits.
Le tribunal a ensuite entendu la version d'Agnieszka F.
Elle affirme que les policiers l'ont forcée à avoir des relations sexuelles, qu'ils ont laissé son partenaire dans la voiture et qu'ils n'ont pas respecté leur consentement.
Le tribunal a dû décider qui avait raconté la vérité.
La version d'Agnieszka F. était très différente : selon elle, les policiers l'ont attirée dans leur voiture et violée sans son consentement.
Le tribunal a finalement conclu que les policiers avaient violé Agnieszka F.
Les conséquences d'une telle accusation peuvent être lourdes, y compris une période de détention en prison avant le procès.
Les policiers ont été renvoyés de leur service après l'arrestation.
Lydia Benecke, une psychologue criminelle, a été interrogée sur les motivations des policiers.
Elle a souligné que les policiers semblaient croire qu'ils avaient le droit de violer une femme si elle donnait des signaux sexuels.
Les policiers ont été interrogés au tribunal.
La version d'Agnieszka F. a été présentée en dernier.
Elle a affirmé que les policiers l'ont attirée dans leur voiture et violée sans son consentement.
Le tribunal a conclu qu'ils étaient coupables de viol et d'agression sexuelle.
Les conséquences pour les policiers ont été lourdes : ils ont été renvoyés de leur service et ont dû faire face à une peine de prison.
L'affaire a attiré l'attention de la politique et a provoqué une grande controverse.
Les policiers semblent avoir crou qu'ils pouvaient violer une femme si elle donnait des signaux sexuels.
Le tribunal a conclu qu'ils étaient coupables de viol et d'agression sexuelle.
La controverse a été grande car les policiers étaient considérés comme des protecteurs de la loi et de la communauté.
La question de savoir si ces policiers avaient violé une femme ou si c'était un cas d'unvernehmlicher sexe a été soulevée à plusieurs reprises.
Le tribunal a finalement conclu que les policiers étaient coupables de viol et d'agression sexuelle.
La controverse a fait beaucoup de bruit dans les médias et a provoqué une grande polémique.
Les policiers semblent avoir crou que, si une femme donnait des signaux sexuels, cela leur donnait le droit d'agir de cette façon.
Le tribunal a conclu qu'ils étaient coupables de viol et d'agression sexuelle.
La question de savoir si ces policiers avaient réellement violé une femme ou si c'était un cas d'unvernehmlicher sexe a été discutée à plusieurs reprises.
Le tribunal a finalement conclu qu'ils étaient coupables de viol et d'agression sexuelle.
La controverse a fait beaucoup de bruit dans les médias et a provoqué une grande polémique.
Les policiers ont été renvoyés de leur service après l'arrestation.
Les conséquences ont été lourdes pour eux : ils ont dû faire face à une peine de prison et ont été renvoyés de leur service.
La question de savoir si ces policiers avaient réellement violé une femme ou si c'était un cas d'unvernehmlicher sexe a été discutée à plusieurs reprises.
Le tribunal a finalement conclu qu'ils étaient coupables de viol et d'agression- Le textes souligne la nécessité de reconnaître que la police fait un bon travail et qu'il existe des policiers excellents, tout en distinguant cette réalité de cas de misuse de pouvoir par des policiers.
Il existe des doutes sur une structurelle problématique au sein de la police, et le locuteur, qui est également le ministre de l'Intérieur, affirme qu'il agit contre ce phénomène.
Les interrogations autour d'une investigation intérieure lors de cas de délits commis par des policiers, et la nécessité de la faire être équitable, transparente et intensive.
Le locuteur confirme qu'il agit activement contre le phénomène et que le ministère de l'Intérieur devra être mesuré sur ce point.
Un cas particulier est présenté où des avocats exigent un non-lieu pour leurs clients, malgré l'absence de preuves et la femme ayant été persuadée de se livrer à des actes sexuels en raison de son arrestation.
Le juge s'adresse directement aux accusés et constate que la femme était seule susceptible de se livrer à des actes sexuels en raison de son arrestation.
Les deux policiers sont condamnés à une peine de prison pour abus sexuel en vertu de leur fonction.
Le cas met en évidence l'anxiété des avocats qui réclament une libération de leurs clients et montre que le juge condamne les policiers.
Le texte termine en invitant à regarder un autre vidéo intitulé "Le Cas".