Photosynthèse - Chaîne de Transporteurs d'Électrons

Un processus où les électrons énergétiques issus du photosystème II sont transportés au photosystème I par une chaîne de molécules porteuses d'électrons.

Un complexe de protéines membranaires qui transporte les électrons du photosystème II vers le photosystème I.

Une différence de concentration de protons de part et d'autre de la membrane du thylakoïde. Cette différence est générée par le transport des électrons.

L'utilisation de l'énergie du gradient électrochimique de protons pour produire de l'ATP.

La membrane du thylakoïde empêche les protons de passer librement. Cette imperméabilité contribue au gradient électrochimique.

L'utilisation des électrons énergétiques du photosystème I pour produire du NADPH. Ce flux est linéaire car il suit un chemin direct.

Le retour des électrons vers la chaîne de transporteurs d'électrons, augmentant le gradient de protons mais diminuant la production de NADPH.

Un canal qui permettrait aux protons de traverser la membrane du thylakoïde et de détruire le gradient de protons.

La phase sombre utilise l'énergie et le pouvoir réducteur produits pendant la phase claire de la photosynthèse.

Six molécules de CO2 sont consommées pour produire une seule molécule de glucose.

Le glycéraldéhyde-3-phosphate (G3P) est le produit principal du cycle de Calvin.

Le G3P peut être converti en saccharose (transporté dans la plante) ou en amidon (stocké dans les chloroplastes).

Les organismes phototrophes capturent l'énergie de la lumière pour produire de l'énergie.

Les organismes chimiotrophes utilisent l'énergie libérée par des réactions chimiques comme source d'énergie.

Les organismes autotrophes synthétisent leurs propres nutriments à partir de matières inorganiques.

Les organismes hétérotrophes dépendent d'autres organismes pour obtenir des nutriments organiques.

Organites cellulaires impliqués dans la détoxification et l'oxydation des acides gras.

Les peroxysomes ne contiennent pas d'ADN, ils dépendent donc de la cellule pour synthétiser les protéines nécessaires à leur fonctionnement.

Courte séquence d'acides aminés qui sert de signal pour diriger les protéines vers le peroxysome.

Protéines membranaires qui aident à transporter les protéines vers l'intérieur des peroxysomes.

Réactions enzymatiques utilisant l'oxygène pour oxyder des substances nocives.

Conversion des acides gras en acétyl-CoA, une molécule utilisée pour la production d'énergie et la synthèse de nouvelles molécules.

Les peroxysomes sont des sites majeurs de consommation d'oxygène, mais ils ne produisent pas d'énergie sous forme d'ATP.

Enzymes qui utilisent l'oxygène pour enlever des atomes d'hydrogène de molécules organiques.

Un segment d'ADN qui code pour une protéine. Il est composé d'exons et d'introns.

Un segment d'ADN qui ne code pas pour une protéine. Il est éliminé lors de l'épissage.

Le processus qui consiste à éliminer les introns d'un pré-ARNm et à joindre les exons.

Une séquence de 100 à 200 adénines ajoutée à l'extrémité 3' d'un ARNm mature.

Un nucléotide de guanine méthylée ajouté à l'extrémité 5' d'un ARNmmature.

La forme inactive de l'ARNm, qui est transcrite à partir de l'ADN et doit subir une maturation.

L'ensemble des modifications que subit un pré-ARNm avant de devenir un ARNm mature.

L'ARNm mature qui est capable d'être traduit en protéine.

Le dogme central de la biologie moléculaire décrit le flux d'information génétique dans les cellules vivantes. Il stipule que l'ADN est transcrit en ARN, puis l'ARN est traduit en protéines.

L'ARNm est un type d'ARN qui porte les instructions génétiques de l'ADN vers les ribosomes pour la synthèse des protéines. Il contient un code génétique qui spécifie la séquence des acides aminés dans une protéine.

L'ARNt est un type d'ARN qui transporte les acides aminés vers les ribosomes pour la synthèse des protéines. Il lit le code génétique de l'ARNm et s'associe à l'acide aminé correspondant.

L'ARNr est un type d'ARN qui est un composant structurel des ribosomes. Il contribue à la formation de la structure des ribosomes et facilite la liaison de l'ARNm et de l'ARNt.

Le code génétique est un ensemble de règles qui spécifient la correspondance entre les codons de l'ARNm et les acides aminés dans une protéine. Il détermine la séquence des acides aminés dans une protéine à partir de la séquence des nucléotides dans l'ARNm.

Un codon est une séquence de trois nucléotides dans l'ARNm qui code pour un acide aminé spécifique.

La traduction est le processus de synthèse protéique qui se déroule dans les ribosomes. L'ARNm est lu par les ribosomes et l'ARNt livre les acides aminés correspondant à chaque codon pour construire une chaîne polypeptidique.

Le code génétique est dégénéré car plusieurs codons peuvent coder pour le même acide aminé. Cependant, un codon ne peut coder que pour un seul acide aminé, ce qui le rend spécifique.

Le codon d'initiation AUG code pour la méthionine et marque le début de la traduction de la protéine.

Les codons STOP (UAA, UAG, UGA) ne codent pour aucun acide aminé et signalent la fin de la traduction d'une protéine.

L'anti-codon de l'ARNt s'apparie de manière complémentaire au codon de l'ARNm, assurant que le bon acide aminé est ajouté à la chaîne protéique.

La transcription est le processus par lequel l'information génétique de l'ADN est copiée dans l'ARN messager (ARNm).

L'ARN polymérase est une enzyme qui catalyse la synthèse de l'ARNm à partir de l'ADN.