Pharmacologie de la douleur et opioïdes

Une douleur transitoire, signal d'alarme utile pour le diagnostic, orientant vers une lésion. Elle est de courte durée et a un mécanisme nociceptif (monofactoriel).

Une douleur permanente ou récurrente, persistante au-delà de la période de guérison prévue, qui se maintient même après la lésion initiale. Elle est plurifactorielle et devient une maladie en soi.

Mécanisme responsable d'une douleur aiguë, lié à une lésion physique.

Une douleur dont l'origine provient de plusieurs facteurs, non seulement physique, mais aussi psychologique, environnementaux...etc.

Facteurs qui déclenchent, exacerbent ou soulagent la douleur, incluant mouvements, activités, position, etc.

Douleur qui augmente avec les mouvements, suggérant un problème musculaire.

Effet émotionnel lié à la douleur, incluant l'anxiété et la dépression.

Voie neuronale transmettant la sensibilité superficielle (thermique, douloureuse, tactile grossière).

Voie neuronale transmettant la sensibilité profonde (toucher fin, vibration, proprioception).

Chemin neuronal dans le tronc cérébral, véhiculant la sensibilité profonde.

Région du thalamus qui reçoit la sensibilité, incluant la spinothalamique et lemniscale.

Perception de stimuli comme la douleur, la température et le toucher grossier.

Perception de la position et du mouvement du corps.

Passage d'un côté du corps à l'autre, souvent observé pour les voies sensitives au niveau du tronc cérébral.

Premier neurone d'une voie sensitive, situé dans les ganglions de la racine dorsale.

Partie de la voie spinothalamique, transportant la douleur et la température.

Une partie de la voie spinothalamique, transportant le toucher non-discriminatif

La noradrnaline est le neurotransmetteur principal dans le noyau coeruleus.

La srotonine est le neurotransmetteur principal dans les noyaux du raph.

Des voies crbrales qui inhibent la perception de la douleur.

Ces zones crbrales modulent la douleur.

Capacit de percevoir le contact.

Sensibilit la douleur et la pression, pas fine.

Capacit percevoir la temprature.

Facilite la transmission de la douleur.

Inhibe la transmission de la douleur.

Inhibe la transmission de la douleur.

Inhibe la transmission de la douleur.

Inhibe la transmission de la douleur.

Facilite la transmission de la douleur.

Facilite la transmission de la douleur.

Médicaments qui soulagent la douleur sans être des opioïdes.

Anti-inflammatoires non stéroïdiens, un type d'analgésique non opioïde qui inhibe la COX

Analgésiques qui produisent une douleur modérée à forte

Analgésiques qui produisent une forte douleur

Médicaments qui renforcent l'efficacité des analgésiques.

Classe de médicaments qui inhibent l'activité de la cyclooxygénase, une enzyme impliquée dans la production de prostaglandines, un médiateur clé de la douleur.

Hormones qui aident à gérer la douleur inflammatoire.

Antidépresseur utilisé pour soulager certaines douleurs chroniques.

Médicaments utilisés pour soulager certaines douleurs neuropathiques.

Antalgique non opioïde à action rapide, utilisé pour diverses douleurs.

Médicaments utilisés dans le traitement de la douleur osseuse et d'autres pathologies associées.

Opioïde puissant, utilisé pour traiter des douleurs aiguës sévères ou chroniques.

Réponse rapide et limitée de l'organisme à une agression, caractérisée par des symptômes locaux comme la rougeur, la chaleur, le gonflement.

Réponse prolongée de l'organisme à un stimulus persistant, impliquant des lésions tissulaires et des tentatives de réparation.

Analgésiques très puissants, utilisés pour des douleurs extrêmement fortes.

Analgésiques moins puissants que les majeurs, souvent utilisés pour une douleur plus modérée.

Elévation de la température corporelle au-dessus de la normale, régulée par le centre de thermorégulation.

Médicaments anti-inflammatoires qui ciblent spécifiquement l'enzyme COX2.

Température corporelle supérieure à 37,2°C mais inférieure à 38°C.

Augmentation du nombre de globules blancs dans le sang, souvent liée à une infection.

Diminution du nombre de globules blancs dans le sang, souvent associée à des infections graves.

Récepteurs impliqués dans l'inhibition de la libération de médiateurs par les mastocytes et basophiles, et l'inhibition de l'activité des neutrophiles, et de la chimiotaxie, ainsi que l'activation des cellules T suppressives.

Cellules impliquées dans la médiation de l'inflammation et la libération de médiateurs chimiques.

Cellules impliquées dans le processus inflammatoire, dont l'activité est inhibée par les récepteurs H2.

Processus d'attraction de cellules immunitaires vers un foyer inflammatoire.

Cellules qui régulent et limitent la réponse immunitaire.

Remplacement des tissus lésés et des cellules mortes par de nouvelles cellules similaires aux cellules d'origine en termes de structure et de fonction. Se produit dans les tissus régénérables comme l'épithélium, le foie etc.

Remplacement des tissus lésés suite a une lésion importante par du tissu cicatriciel.

Tissus capables de se régénérer, comme l'épiderme et l'épithélium intestinal.

Réaction complexe et dynamique des tissus vivants face à un stimulus nocif.

Phase post-inflammatoire impliquant la régénération ou la formation de cicatrices pour rétablir la fonction et l'architecture tissulaires.

Cellules impliquées dans la synthèse de collagène et la réparation tissulaire.